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Émissions

Un jeune artisan actif dans la fabrication d'horloges lance sa campagne sur Weimakeit.ch !

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Hugo Rittener c’est un jeune artisan de 23 ans domicilié à Vaulion qui est actif dans la fabrication d'horloges. Il y a quelques semaines, il s’est donné comme mission de récolter des fonds pour acquérir une fraiseuse à commande numérique, une machine qui lui permettra d'optimiser sa production en gagnant du temps. 

Sa campagne sur Weimakeit.ch !

Pour ce faire, Hugo à lancé une campagne de financement participatif pour acheter cette machine développée par un artisan suisse qui propose un service après-vente de proximité. Les personnes sont donc invités à se rendre sous le lien ci-dessous et de choisir une contrepartie crée ou organisée par l’artisan lui-même.

https://wemakeit.com/projects/horloges-artisanales

Les contreparties

Parmi les offres, Hugo nous propose des savons artisanaux, 1 polo ou 1 top brodé, une plaque gravée,  1 visite et repas dans l’atelier de fabrication ou encore une horloge qui lui a demandé 300 heures de travail. Il est évidemment possible de participer à cette campagne sans contrepartie <3.

Pour Hugo, se procurer cette machine est une étape importante et essentielle pour continuer à vivre de sa passion mais aussi pour pouvoir travailler de façon indépendante, tout en favorisant les partenariats avec d'autres artisans régionaux.

Ecoutez Hugo Rittener 

 

 

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Styleto à Lausanne

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Styleto !

Phénomène fulgurant de la nouvelle génération pop française, l’artiste était de passage aux Docks à Lausanne. Elle nous a accordé quelques minutes précieuses dans sa tournée...

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Double Face

Double Face : Lionel Baier, le couteau suisse du cinéma

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Lionel Baier a adapté "La Cache" au cinéma avec Michel Blanc. / @Keystone, Urs Flueeler

Le cinéaste vaudois Lionel Baier était l'invité de Double Face pour évoquer notamment son dernier film : "La Cache", un récit autobiographique de Christophe Boltanski.

Notre invité, Lionel Baier, est un véritable touche-à-tout du monde cinématographique. Réalisateur, scénariste, producteur, acteur, enseignant, et autrefois projectionniste. Un métier qu'il a exercé au cinéma Rex à Aubonne dès ses 17 ans. Avec un certificat validant ses compétences en la matière. C'est même le seul titre qu'il possède, a-t-il confié au micro de Valérie Ogier. Un cinéma, dans lequel il ne s'est pas contenté d'y projeter des films ; il en est devenu programmateur et co-gérant.

Il se considère bien moins titré que la plupart des étudiants à qui il remet des prix à la Fémis (Ecole nationale supérieure des métiers de l'image et du son de Paris) ou à l'Ecal (Ecole cantonale d'art de Lausanne), école au sein de laquelle il s'impliquera au sein de la direction du département cinéma. Des étudiants qu'ils envient, in fine, d'avoir la possibilité d'expérimenter les différentes facettes du 7ème art, à contrario de son parcours ou il a directement été jeté dans le bain et plongé dans la réalité notamment via sa société de production.

Dès l'âge de 9 ans, Lionel Baier a su qu'il voulait faire du cinéma. Le déclic s'est produit en visionnant un film d'Hitchcock. Il nous raconte les circonstances qui l'ont amené à s'intéresser à la profession de réalisateur, et l'évidence pour lui d'embrasser cette profession, soutenu par sa famille passionnée de culture. Une vocation qui l'amènera à réaliser son premier film : "Celui au pasteur (ma vision personnelle des choses)". Un documentaire sur son père, pasteur en terre vaudoise à la fin du XXème siècle.

Lionel Baier a récemment adapté au cinéma l'œuvre de Christophe Boltanski, "La Cache", actuellement à l'affiche. Ce film, qui explore les dynamiques familiales au sein d'une famille juive d'origine russe vivant à Paris dans l'après-guerre, est marqué par la présence de Michel Blanc, qui incarne le grand-père Etienne. Une apparition d'autant plus émotive qu'elle constitue la dernière de l'acteur, décédé en octobre dernier.

La disparition de Michel Blanc confère une résonance particulière à cette production. Selon Lionel Baier, malgré son départ, l'acteur reste vivant à l'écran, et ce jusqu'à la dernière scène du film ou l'on voit ce dernier chantonnant du Brahms, un clin d'œil à son rêve d'enfance de devenir pianiste classique. Un rêve qui a pris un tournant inattendu lorsqu'il a croisé le chemin de Gérard Jugnot au Lycée Pasteur, à Paris. Un moment qui a redéfini sa carrière et l'a conduit finalement à rejoindre notamment la célèbre troupe du Splendid.

"La Cache" n'est pas seulement un film sur la famille, mais aussi une réflexion sur les liens qui unissent et parfois étouffent. Un thème universel qui touche chacun d'entre nous.

"La Cache" est une œuvre qui nous plonge dans l'histoire d'un jeune garçon découvrant une cache secrète au sein de son appartement familial situé rue Grenelle à Paris. Cette découverte va le mener à explorer le passé de son aïeule juive et de son grand-père, contraint à la clandestinité durant le régime de Vichy. L'intrigue se déroule dans le contexte tumultueux de Mai 68, une période marquée par des bouleversements sociaux et politiques, dont les échos résonnent à travers la radio trônant sur la table de la cuisine.

Les protagonistes sont confrontés à ce secret familial, les obligeant à faire face à un passé douloureux et à ses répercussions sur leur identité. Un récit qui aborde des thématiques universelles telles que la mémoire, la guerre et la déportation, tout en offrant une réflexion sur la transmission des histoires entre générations.

Le livre "La Cache" a été proposé à Lionel Baier par l'entremise de la distributrice de son film "La Vanité", sorti en 2015, avec l'intention de le porter à l'écran. Le cinéaste vaudois s'est lancé dans l'adaptation libre de cette œuvre via une comédie douce-amère réalisée avec le concours de Catherine Charrier, coscénariste du film.

Il est souvent dit que le documentaire est le genre maître du cinéma, et pour Lionel Baier, cela se traduit par une réalité complexe. En effet, il trouve plus difficile de réaliser un documentaire que de s'attaquer à la fiction. Cette distinction s'apparente à celle que notre invité établit entre le roman et la poésie : les deux relèvent de l'irréel, mais le roman, tout comme la fiction au cinéma, offre une liberté narrative plus vaste, tandis que la poésie, à l'instar du documentaire, se concentre sur la vérité et l'authenticité. En Suisse, cette flexibilité de passer d'un genre à l'autre est précieuse. Contrairement à d'autres pays où les étiquettes sont omniprésentes, les créateurs de notre pays peuvent explorer librement les frontières entre fiction et réalité.

L'idée d'un film peut surgir à tout moment, pour notre invité, souvent nourrie par un sens aiguisé de l'observation et le désir de raconter une histoire. Pour Lionel Baier, faire un film, c'est avant tout un processus de mise en forme d'une idée, de la coucher sur papier pour la partager avec le monde.

Toujours armé de son carnet, il consigne ses pensées, ses réflexions et ses inspirations. Ces carnets, véritables témoins de son parcours, lui permettent de revisiter ses pensées des années plus tard, offrant un regard décalé sur son passé. Actuellement, il parcourt les écrits des années 2010, comme un journal intime.

Double Face s'achève une fois de plus avec son rituel bien connu : la séquence "Tac-au-tac", où les questions fusent, posées par Valérie Ogier.

Au cours de cet échange, Lionel Baier partage un moment marquant de sa carrière : sa rencontre avec Jacqueline Veuve, une figure emblématique du documentaire et du cinéma, en 1996 à Soleure, avec laquelle il a eu l'opportunité de collaborer.

Lionel Baier se révèle également être un homme de nuances. Il admet ne pas être un optimiste forcené. Ses journées, dit-il, commencent avec un égo surdimensionné, mais se terminent souvent avec une sensation de fatigue, comme s'il avait vidé ses batteries.

Un des messages forts qu'il souhaite transmettre est de ne pas se laisser intimider par l'univers du cinéma. Il encourage les jeunes talents à oser, à se lancer, malgré les défis et les découragements que certains réalisateurs peuvent parfois imposer. "Le chemin pour faire un film est très long, il faut être un marathonien pour le faire", souligne-t-il, rappelant ainsi que la persévérance est essentielle dans ce milieu exigeant.

L'intégrale de Double Face est à retrouver ci-dessous :

Double Face Long Format Lionel Baier

"La Cache", de Lionel Baier, avec Michel Blanc, Dominique Reymond, William Lebghil, Liliane Rovère, Adrien Barazzone et Gilles Privat, actuellement dans vos salles de cinéma.

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Ici c'est bien !

Kyo - Le chemin, les 20 ans

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Pour fêter les 20 ans de son album mythique “LE CHEMIN”, KYO revient  avec une tournée de concert d’ores et déjà mythique. Pour cette occasion, le groupe a décidé de récompenser, avec des privilièges hors du commun, ses fans les plus assidus, le tout de façon ludique ! Pour cela un seul chemin : “LE CHEMYN”.

Le groupe passera par l'Arena de Genève le 4 juin, ils sont passés par le studio LFM, histoire d'évoquer ces 20 ans...

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Le 6/9 LFM

Le film "Natacha (presque) hôtesse de l'air" sort aujourd'hui

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"Natacha (presque) hôtesse de l'air, dans les salles dès aujourd'hui. / @Julien Panié

Noémie Saglio et Camille Lou, respectivement réalisatrice et actrice du film : "Natacha (presque) hôtesse de l'air", qui sort en salle ce mercredi, étaient les invitées du 6/9.

Un film familial est à voir dans vos cinémas dès aujourd'hui en Suisse romande. Une réalisation inspirée de la bande dessinée du scénariste Gos et du dessinateur François Walthéry. Une production réalisée par Noémie Saglio avec, dans le rôle titre, Camille Lou, incarnant Natacha, une héroïne qui n'a peur de rien, sauf peut-être de ne pas réussir son examen d'hôtesse de l'air, avec l'obsession de travailler tout en voyageant. Un personnage que certains d'entre vous ont, peut-être, découvert dans le magazine "Spirou" dès les années 70.

L'intrigue du film, sortit en salle ce 2 avril, se situe avant les récits en bande dessinée de Natacha. Néanmoins le film s'inspire en partie du tome 7 intitulé : "L'hôtesse et Monna Lisa".

Au casting de "Natacha (presque) hôtesse de l'air, on retrouve également Vincent Dedienne en steward, Didier Bourdon en ministre de la Culture, Isabelle Adjani en descendante de Mona Lisa, le tout agrémenté par la voix off de Fabrice Lucchini qui nous entraîne dans une quête pour récupérer le tableau de la Joconde volé.

Une adaptation qui a murit depuis une dizaine d'année dans l'esprit de Noémie Saglio, sa réalisatrice, comme elle l'a confié sur LFM, avec l'envie de mettre en avant cette héroïne féminine, joyeuse, aventurière, positive et optimiste. Une femme moderne qui travaille, qui est indépendante et qui ne veut pas se marier selon les traits de caractère imaginés pour la bande dessinée. Une femme moderne pour l'époque, toujours selon Noémie Saglio, et qui cherche à voler de ses propres ailes.

Natacha est aussi à retrouver depuis mars dernier en BD avec le dernier tome de la saga. François Walthéry a sorti "Chanson d'avril", le tome 24 de l'héroïne. A n'en pas douter le film : "Natacha (presque) hôtesse de l'air" va apporter un coup de boost en terme de vente à sa nouvelle bande dessinée.

“Natacha (presque) hôtesse de l’air” de Noémie Saglio avec Camille Lou

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