Double Face
Double Face : Simon Romang promène sa "Poussette!"
Comédien et humoriste, Simon Romang était l'invité de Double Face. Il se produira sur la scène du Pavillon Naftule, à Lausanne-Bellerive, le 4 février, avec son spectacle "Poussette".
Cette semaine, l'invité de l'émission Double Face était Simon Romang, comédien et humoriste. Il a fait ses débuts sur scène à l'âge de 14 ans dans une reprise de la célèbre pièce "Roméo et Juliette". Cependant, c'est à 18 ans qu'il a véritablement eu un déclic, le poussant à s'engager dans une carrière de comédien. Originaire du canton de Vaud, il avait initialement le rêve de devenir pompier professionnel à l'Aéroport de Genève. Avec une maturité fédérale en économie, droit et psychologie, il aurait pu également explorer d'autres voies, comme celles d'éducateur ou de psychologue selon ses dires.
En 2016, il écrit son 1er spectacle humoristique, "Charrette!" dans lequel il racontera notamment sa vie de fils de paysans à Apples. Une enfance à la ferme riche d'anecdotes, entres autre, aux côtés de son frère Simon, aujourd'hui ingénieur physicien. Une enfance heureuse racontée avec délectation au micro de Valérie Ogier et d'Isabelle Bertolini.
Avant de se lancer dans la carrière qui a fait de lui un artiste reconnu, Simon Romang a d'abord étudié la comédie à Paris et la danse à New York. Un parcours qui l'a ensuite conduit à intégrer la "Manufacture, la haute école des arts de la scène de Lausanne". Pour notre invité, quitter son pays natal était un besoin viscéral, une quête qui lui a permis de découvrir d'autres horizons. À son retour en Suisse, il a pu apprécier encore plus les ressources que ce pays offre à la culture, en comparaison avec d'autres nations francophones. Selon lui, bien que la Suisse ne soit pas un terreau pour devenir une star, elle permet de développer une carrière dans un environnement moins concurrentiel qu'à l'étranger. Une concurrence existante, certes, en Romandie également, mais dans une atmosphère qu'il qualifie de bienveillante et chaleureuse, notamment dans le milieu des humoristes.
Le "Caque à part", surnom des habitants d'Apples, se remémore avec tendresse ses débuts dans l'humour. Plutôt que de se concentrer sur son 1er passage, dont il n'a gardé aucun souvenir marquant, il préfère évoquer sa 2ème prestation au "Swiss Comedy Club", dans une salle du canton de Fribourg. Une performance déterminante qui lui a ouvert les portes du "Festival de la Cité", grâce à Ivan Madonia, fondateur et gérant de "Swiss Comedy Productions", comme il l'a évoqué dans Double Face sur LFM.
Des prestations toujours empreinte de vie tout comme son 1er seul en scène d'humour, intitulé "Charette" ou son 2ème et dernier spectacle "Poussette". Dans ces performances, il choisit de ne pas être égocentriste, préférant faire le choix de mettre en avant des récits qui touchent le public. Son metteur en scène, ainsi que sa maman, parfois, sont des spectateurs attentifs qui l'aident à sublimer son art.
Simon Romang refuse de se cantonner à l'étiquette d' "humoriste vaudois", à l'instar de notre précédent invité Nathanaël Rochat. Pourtant, son prochain spectacle s'orientera vers la thématique du terroir, un sujet qui lui tient à cœur. Il aspire à offrir, dans cette nouvelle création, une expérience sensorielle totale, mêlant humour et sensations, et travaille actuellement sur ce 3ème spectacle, visible en 2026, avec notamment Blaise Bersinger.
Dans cette dernière séquence, place à notre madeleine de Proust avec le "Tac-au-tac" de Double Face. Le comédien et humoriste nous apprend pêle-mêle que son modèle dans l'humour n'est autre que Lionel Frésard, que l'on peut avoir actuellement en télévision dans l'émission "Caravane FM", ou encore qu'il a envie d'écrire des pièces, dont une traitant de la thématique du couple, que dans 5 ans il aimerait faire de la mise en scène et , entres autres, naturellement poursuivre ses seuls en scène avec d'autres spectacles.
Simon Romang est à voir le 4 février à 20h00 au Pavillon Naftule, à Lausanne-Bellerive avec "Poussette".
Double Face
Double Face : Marina Viotti, une diva pas comme les autres
Après avoir raflé le prix de l’artiste lyrique de l’année aux Victoires de la musique classique en 2023, notre invitée a été récompensée en février aux Grammy Awards. Marina Viotti est l'invitée de Double Face.
La chanteuse lyrique franco-suisse Marina Viotti a récemment captivé le public lors de la cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques de Paris. Sa performance mémorable en duo avec le célèbre groupe de metal Gojira a fait sensation. Cette prestation audacieuse lui a valu d'être récompensée lors de la 67ème cérémonie des Grammy Awards, où elle a remporté le prix de la meilleure prestation metal le 2 février dernier.
Encore émue par cette reconnaissance, Marina Viotti a accordé une interview à Valérie Ogier et Isabelle Bertolini depuis Los Angeles, quelques heures seulement après avoir reçu ce prix prestigieux.
Née dans une famille de musiciens classiques, notre invitée a grandi dans un environnement où la musique était omniprésente. Fille d'un chef d'orchestre et d'une violoniste, elle a d'abord exploré le monde du metal avant de revenir à ses racines classiques, perfectionnant son art à Lausanne et à Vienne. Le chant a toujours été une passion pour elle, nourrie par les souvenirs d'enfance où elle assistait notamment aux opéras dirigés par son père.
Aujourd'hui, le prix qu'elle a reçu la propulse sous les projecteurs, lui offrant des opportunités de collaborations internationales, notamment aux États-Unis. Depuis sa consécration dans la cité des anges, de nombreuses propositions artistiques lui sont déjà parvenues, témoignant de l'engouement suscité par son talent.
Malgré cette reconnaissance elle reste humble et ancrée dans la réalité. Marquée par des défis de vie personnels et familiaux, dont une lutte contre le cancer ou encore la perte de son père, elle s'est investie corps et âme dans la musique tel un refuge. Elle se remémore, pour nous, son parcours à ses débuts dans le metal. Un univers différent du classique mais partageant des similitudes, notamment de part leurs dimensions "théâtrale". Un mélange des genres inspirant auquel elle s'était déjà confrontée en tant que spectatrice du groupe After Forever au sein duquel évoluait l'actuelle chanteuse du groupe Nightwish, un groupe de métal symphonique finlandais. Un premier concert de métal à Strasbourg où tout a basculé, éveillant en elle le désir de suivre cette même voie.
Marina Viotti est une artiste qui incarne à merveille le mélange des genres, alliant avec brio les univers du metal et de la musique classique. Au fil de ses expériences crossover, elle a su puiser dans ces deux mondes pour nourrir sa créativité. Elle constate d'ailleurs que de nombreux artistes ont récemment emprunté cette même voie, témoignant d'une tendance croissante.
Du metal, Marina Viotti a appris l'importance du partage, du contact avec le public et l'amour inconditionnel que les fans portent à leur musique. En revanche, la musique classique lui a inculqué des valeurs telles que la discipline, le respect de l'artistique et l'amené à développer une sensibilité profonde.
Refusant d'être catégorisée, Marina Viotti souhaite avant tout faire ce qu'elle aime, avec passion et professionnalisme. Sa spontanéité et son naturel se reflètent non seulement dans sa musique, mais également dans sa vie quotidienne. Elle nous confie avec sincérité qu'elle est la même, que ce soit sur scène ou dans la vie privée.
La musique classique, selon notre invitée, est un environnement particulièrement ouvert qui lui a permis de s'épanouir tant en Suisse qu'à l'étranger. Dès la fin de ses études, elle a été sollicitée par un grand nombre d'institutions et de projets. Son emploi du temps est, à ce titre, bien rempli, et elle nous a confié qu'il était déjà organisé jusqu'en 2030.
Pour gérer ses divers engagements, elle jongle avec jusqu'à six rôles en parallèle, une tâche qui demande une grande capacité d'organisation. Une charge de travail qui peut parfois devenir écrasante, d'où un certain besoin de lâcher prise. C'est pourquoi, pour l'année 2025, elle a pris la résolution de se libérer d'une partie de cette charge mentale afin de trouver un meilleur équilibre entre sa vie professionnelle et personnelle.
Fraîchement récompensée d'un Grammy Award, Marina Viotti prend le temps de savourer cette distinction unique qu'elle considère comme un événement qui n'arrive qu'une fois dans une vie. Ses quinze heures de vol vers la Suisse lui offriront certainement l'occasion de digérer cette reconnaissance. Avant de rentrer chez elle, elle a pris le temps de répondre encore à quelques questions lors de notre séquence du "tac-au-tac".
Au cours de cet échange, la franco-suisse âgée de 38 ans, a partagé son rêve de chanter au Hellfest, un souhait qui pourrait bientôt se concrétiser ayant été contactée par l'organisation du festival suite à sa récompense aux Grammy Awards. Elle en a profité pour révéler son intérêt pour un autre genre musical : le flamenco. Enfin, Maria Viotti a délivré un message inspirant aux jeunes talents : "Osez être qui vous êtes, créez et ne vous mettez aucune limite." Un appel à la créativité et à l'authenticité.
La chanteuse lyrique dont le dernier album intitulé "Melankhôlia" est paru il y a quelques semaines et dans lequel elle lie ses deux amours: le classique et le rock extrême.
Double Face
Double Face : FORMA ou Priscilla dans tous ses "Formats"
Chanteuse et humoriste, Priscilla Formaz, alias FORMA, était l'invitée de Double Face. La Valaisanne est actuellement en tournée avec son 1er spectacle : "Formats".
Bien qu'elle n'apprécie guère de parler d'elle-même, FORMA sait que cet exercice est inévitable pour une artiste. C'est avec pudeur et authenticité qu'elle s'est confiée dans l'émission Double Face, dimanche dernier entre 11h00 et midi, animée par Valérie Ogier et Isabelle Bertolini.
Diplômée de la Haute École de Musique de Lausanne en 2017, FORMA, un nom d'artiste qu'elle a choisi elle-même, a su s'imposer progressivement dans le paysage médiatique suisse romand, notamment grâce à l'émission "52 Minutes".
Depuis son enfance, la Valaisanne nourrit le rêve de devenir chanteuse. Un désir qui s'est naturellement épanoui au sein d'une famille d'artistes. Elle se remémore, pour nous, avec précision, sa 1ère performance en public, durant laquelle elle a interprété la chanson du "Chien vert venu de Jupiter" lors d'un passage de son interprète Mannick dans son village. Une expérience qui a renforcé sa passion pour le chant.
Récemment, FORMA a également franchi le pas vers l'humour, un domaine qu'elle a commencé, malgré elle, à explorer dès son plus jeune âge. Victime de harcèlement scolaire, elle a utilisé l'autodérision comme mécanisme de défense, transformant ainsi ses blessures en force créative.
FORMA est actuellement en tournée avec son 1er spectacle intitulé "Formats", créé en collaboration avec Sébastien Corthésy. Ce one woman show explore les différents "formats" dans lesquels elle a dû s'adapter tout au long de sa vie pour plaire aux autres. À travers ce spectacle, elle partage son parcours vers l'acceptation de soi et sa décision de se libérer du regard des autres.
Présenté pour la 1ère fois l'année dernière au Théâtre du Crochetan de Monthey, "Formats" a rassemblé 650 spectateurs, dont sa famille, venue l'encourager. Bien que le stress fût palpable, le soutien indéfectible de ses proches a été une source de réconfort. Des soutiens, dont elle a toujours bénéficier, notamment de ses parents. Des parents mis devant le fait accompli, il y a quelques années, du choix de leur fille d'arrêter ses études à l'Université à Genève, à l'origine en vue de devenir enseignante, afin de suivre les cours de la Haute École de Musique de Lausanne. Un choix déterminé et déterminant dans son parcours artistique.
Artiste hyperactive aux multiples facettes, FORMA s'est intiment livrée dans son spectacle, riche en anecdotes de vie, sur son besoin à être aimée, à tout prix, au point de s'oublier et ne pas s'aimer soi. Des sentiments exprimés sur scène à l'aide son piano qui occupe une place centrale dans "Formats", instrument qui fût autrefois un confident musical quand bien même son 1er instrument découvert fut le violon. Le son du piano, sur scène, qui la fait vibrer tout comme la chaleur et les rires des spectateurs. D'une certaine façon ce spectacle est une forme de thérapie pour FORMA et pour celles et ceux qui viennent l'applaudir également comme elle nous l'a confié dans Double Face.
Selon FORMA, réussir dans la vie passe par la liberté, la possibilité d'être soi, d'être à sa place. C'est exactement ce que l'on ressent lors du 1er spectacle de l'artiste intitulé "Formats", à voir le 9 février au Pavillon Naftule, parmi d'autres dates. À 33 ans, elle se montre enthousiaste à l'idée de s'impliquer dans de nouveaux projets, même si elle n'a pas encore défini lesquels. Elle fait confiance au destin et reste ouverte à toutes sortes de collaborations artistiques, tout en ayant une affection particulière pour l'écriture.
Enfin FORMA a participé, comme chacun de nos invités à la traditionnelle séquence du "Tac-au-tac". Elle nous a dévoilé notamment ne pas être régulièrement sur les réseaux sociaux, bien qu'incontournables avec son activité. Elle apprécie néanmoins recevoir de nombreux messages d'encouragement du public.
FORMA est à retrouver le 9 février à Lausanne-Bellerive au Pavillon Naftule. Plus d'infos sur les autres dates à venir : www.forma-officiel.com
Double Face
Double Face : Nathanaël Rochat ou le flegme helvétique
"Y a moyen ?" est le titre du dernier spectacle de Nathanaël Rochat. Un seul en scène, évoqué dans Double Face, à retrouver au Pavillon Naftule à Lausanne - Bellerive dès la fin de ce mois.
Nathanaël Rochat, humoriste nonchalant et décapant, a fait ses premiers pas sur scène en 2002, après avoir suivi un apprentissage d'employé de commerce. C'est au caveau de la Ville de Lausanne qu'il a commencé à se faire un nom, mais c'est véritablement à la fin des années 2000 qu'il a conquis le grand public grâce à l'émission de radio "La soupe". Né au Sentier, notre invité a été inspiré par des légendes de l'humour tels qu'Emil ou Coluche. Déjà farceur à l'école, il a su se distinguer par son esprit espiègle, même si cela ne lui a pas toujours valu les résultats scolaires escomptés, comme il l'a confié avec humour au micro de Valérie Ogier et d'Isabelle Bertolini.
Humoriste suisse romand, à l'ancrage vaudois, Nathanaël Rochat n'a jamais eu pour ambition de s'exporter à l'étranger a contrario de certains de ses confrères. Pour lui, le véritable succès réside dans la capacité à vivre de sa passion. Un objectif qu'il a pu atteindre grâce au soutien de Pierre Naftule à ses débuts. Pour autant, l'argent n'a jamais été un moteur pour celui qui se produira les 31 janvier et 1er février au Pavillon Naftule à Lausanne - Bellerive.
L'humoriste vaudois célèbre ses 20 ans de stand-up. Sa carrière a pris son envol notamment lors de sa découverte du stand-up en Angleterre en 2005. C'est dans ce pays, où il a vécu avec son ex-femme, qu'il a trouvé l'inspiration avec ce nouveau format de 25 à 30 minutes, avant d'être remarqué du grand public grâce à son passage dans l'émission radio "La Soupe", quelques années plus tard avant de proposer un 1er spectacle en 2012. Pour lui, la clé de bonnes répliques réside dans la capacité à se surprendre soi-même et à se faire rire.
Nathanaël Rochat est un artiste qui puise une grande partie de son inspiration dans sa propre vie. Parfois, dans ses productions, il n'hésite pas à incarner également des éléments de vie fictifs, qu'il rend toujours crédibles aux yeux de son public. Son entourage lui fournit une multitude d'histoires qui nourrissent sa créativité. Bien qu'il aborde des sujets variés, il le fait avec une bienveillance réfléchie, veillant à ne pas blesser quiconque. Son objectif principal étant le divertissement, cherchant à toucher le plus grand nombre. Conscient de la nature de son humour, il sait qu'il peut susciter des réflexions sans pour autant en être impacter personnellement.
Pour conclure, Valérie Ogier et Isabelle Bertolini abordent la dernière séquence de l'émission : "du tac-au-tac". Nathanaël Rochat nous apprend notamment qu'il est bordélique, qu'il a besoin, au moins, de 8 heures de sommeil, qu'il est plutôt du genre introverti, qu'il est nostalgique des années 80, ou encore qu'il se verrait bien vivre au Canada.
Nathanaël Rochat est à voir les 31 janvier et 1er février au Pavillon Naftule avec son spectacle : "Y a moyen ?"
Double Face
Double Face : Alexandre Belet, 1er invité de 2025
Double Face reçoit en 1er invité de 2025 le président de GastroLausanne, également à la tête du Restaurant Populaire à Vers-chez-les-Blanc : Alexandre Belet.
Alexandre Belet, cuisinier de formation, a perfectionné son art à l’Ecole hôtelière de Lausanne. Fort d'une expérience en tant qu'assistant de direction à l’Eden Palace à Montreux et directeur de l’événementiel au Château Maison-Blanche à Yvorne, il est aujourd'hui le patron de son propre restaurant à Vers-chez-les-Blanc. Depuis 2022, il dirige également GastroLausanne. Son engagement dans la restauration est profondément ancré, ayant évolué dès son plus jeune âge au sein du restaurant familial, leur appartenant depuis 1936, dont il est la 4ème génération. Il s'est engagé en cuisine par mimétisme mais aussi par passion après différentes rencontres et expériences clés. En parallèle de sa carrière culinaire, Alexandre Belet est aussi capitaine des sapeurs-pompiers d'Epalinges.
Au fil des questions de Valérie Ogier et d'Isabelle Bertolini, Alexandre Belet nous a permis de nous plonger un peu plus dans les souvenirs culinaires de sa plus tendre enfance. Le premier qui lui vient à l'esprit remonte à l'âge de 8 ans. Il se rappelle s'être coupé en cuisinant des carottes, tout comme il se remémore, avec émotion, du plat emblématique qui le ramène à son plus jeune âge : la tarte aux pommes préparée par sa grand-maman. Des événements marquants, tant sur le plan personnel que professionnel, qui ont façonné son caractère et sa passion pour la gastronomie. Un parcours qui l'a amené à occuper la présidence de GastroLausanne depuis 2022.
Dans le monde de la restauration, chaque cuisinier nourrit une passion unique, une définition personnelle de son art. Pour notre invité, cette passion se manifeste avant tout à travers l'accueil chaleureux de sa clientèle. Il croit fermement que faire plaisir aux autres est au cœur de son métier. Alors que certains chefs choisissent de partager leur amour de la cuisine sur les réseaux sociaux, lui se considère comme un "homme de l'ombre". Il s'investit dans ses différentes activités, loin des projecteurs.
Dans la famille d'Alexandre Belet, la passion pour la gastronomie se transmet de génération en génération. Il nourrit l'espoir que ses enfants, issus de la 5ème génération, poursuivront la tradition au sein de son établissement, mais sans jamais les y contraindre. Alexandre Belet aspire également à voir les conditions de la branche s'améliorer, afin d'offrir de nouvelles perspectives aux restaurateurs. En tant que président de GastroLausanne, il participera le 24 janvier à la Journée du papet vaudois, un événement qui met à l'honneur les produits locaux et régionaux, auxquels il est attaché, ainsi que le "fait maison", qu'il pratique, même s'il ne détient pas le label correspondant.
Une interview d'Alexandre Belet qui s'est conclue par la traditionnelle séquence du "Tac-au-tac". On y apprend pèle mêle que Frédy Girardet est pour lui une référence, qu'il apprécie le curry ou encore que sa phrase préférée est inspirée de Churchill : "la victoire ne dure pas, l'échec ne tue pas, ce qui compte c'est le courage de continuer".
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