Rejoignez-nous

Émissions

Côté Vacances, photos souvenirs de Prangins

Publié

,

le

Continuer la lecture
Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Double Face

Double Face : Valérie Lemercier à l'affiche d'"Aimons-nous vivants"

Publié

le

Valérie Lemercier et Gérard Darmon dans le dernier film de Jean-Pierre Améris : "Aimons-nous vivants". / @Pathé

Valérie Lemercier et Jean-Pierre Améris étaient les invités de Valérie Ogier dans Double Face à l'occasion de la sortie du film "Aimons-nous vivants". Rencontre avec le réalisateur et l'actrice principale de cette comédie romantique tournée en partie à Genève.

Lors de la tournée promotionnelle du film "Aimons-nous vivants", Valérie Ogier a eu l'opportunité de rencontrer Valérie Lemercier et le réalisateur Jean-Pierre Améris. Le film, actuellement à l'affiche, est une comédie abordant des thématiques profondes telles que la vie, la mort, la vieillesse et le déclassement social, tout en offrant une belle dose d'humour.

Valérie Lemercier a partagé avec enthousiasme, au micro LFM, qu'elle se reconnaît dans son personnage, notamment par son optimisme et sa capacité à s'intéresser aux autres. Cependant, elle a souligné deux différences notables : contrairement à son personnage, quand elle dit non, c'est un non définitif. Elle apprécie la joie de vivre que son rôle dégage, de cette femme s'émerveillant de tout, tout le temps, même si, parfois, dans sa propre vie elle nous confie être habitée par des moments de hauts mais aussi de bas. Un film qui se déroule principalement à Genève, dans un cadre à la fois exotique et familier pour Valérie Lemercier. Exotique car à l'étranger et en des lieux dans lesquels elle n'avait pas eu l'occasion de tourner et familier puisque connaissant déjà Genève et sa région.  Un film dans lequel les rebondissements sont nombreux ce qui a aussi beaucoup plus à l'actrice.

Valérie Lemercier, actuellement à l'affiche du film "Aimons-nous vivants", n'en garde pas moins le désir ardent de remonter sur scène. Passionnée par l'écriture, elle souhaite créer des rôles qu'elle pourra interpréter, tout en se laissant également tenter, dans le même temps, par la danse et le chant. Au micro de Valérie Ogier, elle a partagé que plusieurs de ses projets, initiés avant le film de Jean-Pierre Améris, sont sur le point de voir le jour. Elle évoque notamment son prochain spectacle.

Dans "Aimons-nous vivants", Valérie Lemercier incarne Victoire, une femme pleine de vie et avide de liberté. Un personnage flamboyant qui croise le chemin d'Antoine Toussaint, interprété par Gérard Darmon, un chanteur célèbre en quête de rédemption après un AVC. Leur rencontre inattendue révèle à Antoine qu'il peut être aimé pour ce qu'il est, et non pour son statut.

Valérie Lemercier se réjouit de son rôle dans ce film, affirmant qu'elle se laisse porter par la direction du metteur en scène, se concentrant uniquement sur son jeu. Elle nous confie avoir particulièrement apprécié sa collaboration avec Jean-Pierre Améris, qui puise dans son vécu pour nourrir ses créations. Ce film, coécrit avec Marion Michaud se veut une comédie romantique touchante et authentique.

Dans le film "Aimons-nous vivants", le statut de l'artiste et la solitude sont notamment abordés. Valérie Lemercier nous confie être aussi sujette à cette solitude. Elle la ressent particulièrement lorsqu'elle sort de scène. Un sujet traité dans son film "Aline". Contrairement à Antoine Toussaint, interprété par Gérard Darmon, dans le film, qui semble prisonnier de son succès, Valérie Lemercier aborde la célébrité avec légèreté. Elle la décrit comme agréable, jamais intrusive, mais plutôt sympathique, et si un jour elle ne peut plus jouer, elle ne se sentirai pas dépossédée d'elle-même, elle saurai trouver du plaisir, de la joie dans d'autres activités.

Valérie Lemercier tout comme Gérard Darmon ont accepté avec enthousiasme d'interpréter leurs rôle dans le 7ème film de Jean-Pierre Améris, un choix qui a ravi le réalisateur. Des rôles sur mesure pour l'un et pour l'autre Lemercier. Il s'est réjoui de les voir jouer ensemble. Les deux comédiens avaient déjà partagé l'affiche dans "Bienvenue à bord" d'Éric Lavaine en 2011.

Jean-Pierre Améris, admiratif des parcours de Lemercier et Darmon, n'hésite pas à qualifier Valérie de "génie comique" et à souligner l'autodérision dont a pu faire preuve Gérard Darmon dans de précédents rôles. Le réalisateur, qui a parfois dû faire face à des refus de la part d'autres acteurs, comprend que chacun doit être en accord avec ses choix artistiques pour donner le meilleur de lui-même.

Jean-Pierre Améris s'est souvent impliqué personnellement dans ses films, comme dans "Les émotifs anonymes", ayant lui-même été l'un d'entre eux dans le passé. Il parvient à transcender ses peurs et ses inquiétudes à travers le rire, une approche qui se retrouve dans son dernier film, "Aimons-nous vivants". Un road movie qui se déroule principalement à Genève et dans ses environs, mettant en lumière des lieux familiers pour le réalisateur, originaire de Lyon. Un tournage qui outre certains décors suisses a vu la participation d'acteurs du cru, dont Jean-Pierre Gos, particulièrement apprécié par le réalisateur français.

Dans ce Double Face, avec en invités Valérie Lemercier et Jean-Pierre Améris, cette dernière partage quelques confidences sur sa vie dans cette dernière séquence. Elle avoue, entre autres, aimer rire, peu dormir la nuit d'où la nécessité de sieste quotidienne. Côté gastronomie, elle préfère les plats simples et chauds, savourés loin de la table. Passionnée de couture, elle en parle avec fierté, elle évoque pour nous ses créations et une autre facette de sa personnalité. Actuellement, son grand plaisir est de composer des chansons, un projet qui lui tient à cœur. Bien qu'elle ait déjà réalisé sept morceaux, elle précise qu'aucune date de sortie pour un éventuel album n'est encore à l'ordre du jour.

Continuer la lecture

Double Face

Double Face : Frédéric Borloz, un destin politique inattendu

Publié

le

Frédéric Borloz était l'invité de Double Face sur LFM. / @Keystone, Laurent Gillieron

Frédéric Borloz était l'invité de Double Face. Un portrait tracé entre carrière, expériences et défis pour le chef du département vaudois de l'enseignement et de la formation professionnelle.

Enfant, Frédéric Borloz se rêvait grutier, comme une suite logique aux activités familiales dans la construction. Puis avec les années comme nombre de ses camarades d'école : pilote de ligne. Un passage scolaire obligé dont il ne retiendra que les bons moments. Notre invité reprendra finalement, quelques années plus tard, la société fiduciaire fondée par son père, Guy Borloz. Rien, a priori, ne le prédestinait à une carrière politique mais le destin en a décidé autrement.

Bien qu’il n’ait pas grandi dans un environnement profondément politisé, son père et un oncle s’y étaient brièvement frottés, mais pas son grand-père, il s'intéresse à la chose politique. Et c’est presque par accident qu’il entre au conseil communal d’Aigle, en cours de législature, à la faveur d’un appel de son entourage. Inscrit initialement sur une liste en tant que "cardinal", rôle souvent destiné à compléter la liste sans visée électorale, il se retrouve embarqué dans le jeu politique.

Un an plus tard, le PLR le sollicite à nouveau : il leur faut un jeune candidat à présenter à la municipalité. Le parti est clair avec lui : sa candidature est symbolique, sans objectif d’élection. Mais le sort en décide autrement. Élu contre toute attente, ce plébiscite bouleverse sa vie.

Dès lors, la politique ne le quitte plus. Il devient député au Grand Conseil vaudois en 2002, puis syndic d’Aigle en 2006. Il prend ensuite la tête du PLR vaudois et accède au Conseil national en 2015. Enfin en 2022, il est élu au Conseil d’État vaudois, où il prend les rênes du département de l’enseignement et de la formation professionnelle.

Un parcours hors du commun pour Frédéric Borloz qui n'était pas un élève studieux, de son propre aveu. Il garde néanmoins de bons souvenir de sa scolarité durant laquelle il a obtenu un CFC d'employé de commerce et un diplôme de commerce.

En parallèle de ses études, il nous rappelle avoir rejoint les Jeunesses radicales, à l'âge de 16 ans, marquant ainsi le début d'un engagement politique qui ne le quittera plus. Au fond de lui, il ressentait déjà un certain intérêt pour la chose publique, bien qu'il n'ait pas eu de modèle politique clair à suivre. Cependant, il nous confiera avoir été profondément marqué par la présidence de Ronald Reagan. En parallèle de son engagement, en tant que "comptable" pour les Jeunes radicaux, il s'est plongé dans la lecture d'ouvrages politiques, dont un en particulier sur John F. Kennedy, abordant la notion de vérité en politique. Au fil du temps, bien que s'interrogeant sur son engagement, il restera fidèle à la Jeunesse radicale, en affinité avec les idées de ce qui est aujourd'hui le Parti Libéral Radical (PLR).

La politique, depuis sa jeunesse jusqu'à aujourd'hui, accapare une bonne partie de son temps. Malgré un agenda bien fourni, Frédéric Borloz nous confie trouver toujours le moyen de se consacrer à ses passions. Amateur de vélo et amoureux de la montagne, il accorde également une place primordiale à sa famille.

Originaire d'Ormont-Dessous, Frédéric Borloz est un homme profondément attaché à sa région, le Chablais, et à sa ville d'Aigle. Entre lac et montagne, il a trouvé un équilibre qui lui est cher. Ancien syndic d'Aigle de 2006 à 2021, il a quitté ce poste, il y a quatre ans, sans aucun regret, savourant un temps libre retrouvé consacré notamment à sa famille. Le temps de quelques mois tout du moins avant de reprendre le chemin de l'engagement public, élu conseiller d'État vaudois en 2022, à la tête du département de l'enseignement et de la formation professionnelle. Une démarche entreprise avec le soutien de son épouse.

En politique, l'ouverture d'esprit est une qualité essentielle selon Frédéric Borloz. Accepter que chacun soit différent est fondamental.  L'ingratitude, en revanche, est une attitude qu'il n'apprécie guère. Dans un monde où les efforts et les sacrifices sont souvent invisibles, reconnaître le travail des autres est important selon notre invité.

Frédéric Borloz nous a confié également, au micro de Valérie Ogier et d'Isabelle Bertolini, se considérer comme un bon vivant aimant les petits plaisirs simples de la vie. Une qualité qui le sert dans son quotidien et dans les échanges qu'il entretient avec les autres notamment. Une certaine bonhommie qu'il aurait peut-être eu du mal à mettre en pratique si il avait été au Conseil des États ou au Conseil fédéral. Des emplois qui manquent à son palmarès mais cela ne l'affecte pas. Ce qui compte avant tout, pour lui, c'est de garder la maîtrise de son temps. Il apprécie cette liberté de pouvoir profiter de chaque instant sans être écrasé par le poids de la fonction et des obligations qui les accompagnent. Une liberté à laquelle il n'aurait pour rien au monde voulu renoncer.

Double Face se conclut toujours par notre séquence du "Tac-au-tac", auquel n'a pas échappé notre invité. Des questions en rafale qui nous ont appris, entre autres, que Frédéric Borloz apprécie particulièrement David Bowie.

La version intégrale du Double Face consacré à Frédéric Borloz est également disponible ici :

Double Face L'intégrale avec Frederic Borloz

Continuer la lecture

Ici c'est bien !

Styleto à Lausanne

Publié

le

Styleto !

Phénomène fulgurant de la nouvelle génération pop française, l’artiste était de passage aux Docks à Lausanne. Elle nous a accordé quelques minutes précieuses dans sa tournée...

Continuer la lecture

Double Face

Double Face : Lionel Baier, le couteau suisse du cinéma

Publié

le

Lionel Baier a adapté "La Cache" au cinéma avec Michel Blanc. / @Keystone, Urs Flueeler

Le cinéaste vaudois Lionel Baier était l'invité de Double Face pour évoquer notamment son dernier film : "La Cache", un récit autobiographique de Christophe Boltanski.

Notre invité, Lionel Baier, est un véritable touche-à-tout du monde cinématographique. Réalisateur, scénariste, producteur, acteur, enseignant, et autrefois projectionniste. Un métier qu'il a exercé au cinéma Rex à Aubonne dès ses 17 ans. Avec un certificat validant ses compétences en la matière. C'est même le seul titre qu'il possède, a-t-il confié au micro de Valérie Ogier. Un cinéma, dans lequel il ne s'est pas contenté d'y projeter des films ; il en est devenu programmateur et co-gérant.

Il se considère bien moins titré que la plupart des étudiants à qui il remet des prix à la Fémis (Ecole nationale supérieure des métiers de l'image et du son de Paris) ou à l'Ecal (Ecole cantonale d'art de Lausanne), école au sein de laquelle il s'impliquera au sein de la direction du département cinéma. Des étudiants qu'ils envient, in fine, d'avoir la possibilité d'expérimenter les différentes facettes du 7ème art, à contrario de son parcours ou il a directement été jeté dans le bain et plongé dans la réalité notamment via sa société de production.

Dès l'âge de 9 ans, Lionel Baier a su qu'il voulait faire du cinéma. Le déclic s'est produit en visionnant un film d'Hitchcock. Il nous raconte les circonstances qui l'ont amené à s'intéresser à la profession de réalisateur, et l'évidence pour lui d'embrasser cette profession, soutenu par sa famille passionnée de culture. Une vocation qui l'amènera à réaliser son premier film : "Celui au pasteur (ma vision personnelle des choses)". Un documentaire sur son père, pasteur en terre vaudoise à la fin du XXème siècle.

Lionel Baier a récemment adapté au cinéma l'œuvre de Christophe Boltanski, "La Cache", actuellement à l'affiche. Ce film, qui explore les dynamiques familiales au sein d'une famille juive d'origine russe vivant à Paris dans l'après-guerre, est marqué par la présence de Michel Blanc, qui incarne le grand-père Etienne. Une apparition d'autant plus émotive qu'elle constitue la dernière de l'acteur, décédé en octobre dernier.

La disparition de Michel Blanc confère une résonance particulière à cette production. Selon Lionel Baier, malgré son départ, l'acteur reste vivant à l'écran, et ce jusqu'à la dernière scène du film ou l'on voit ce dernier chantonnant du Brahms, un clin d'œil à son rêve d'enfance de devenir pianiste classique. Un rêve qui a pris un tournant inattendu lorsqu'il a croisé le chemin de Gérard Jugnot au Lycée Pasteur, à Paris. Un moment qui a redéfini sa carrière et l'a conduit finalement à rejoindre notamment la célèbre troupe du Splendid.

"La Cache" n'est pas seulement un film sur la famille, mais aussi une réflexion sur les liens qui unissent et parfois étouffent. Un thème universel qui touche chacun d'entre nous.

"La Cache" est une œuvre qui nous plonge dans l'histoire d'un jeune garçon découvrant une cache secrète au sein de son appartement familial situé rue Grenelle à Paris. Cette découverte va le mener à explorer le passé de son aïeule juive et de son grand-père, contraint à la clandestinité durant le régime de Vichy. L'intrigue se déroule dans le contexte tumultueux de Mai 68, une période marquée par des bouleversements sociaux et politiques, dont les échos résonnent à travers la radio trônant sur la table de la cuisine.

Les protagonistes sont confrontés à ce secret familial, les obligeant à faire face à un passé douloureux et à ses répercussions sur leur identité. Un récit qui aborde des thématiques universelles telles que la mémoire, la guerre et la déportation, tout en offrant une réflexion sur la transmission des histoires entre générations.

Le livre "La Cache" a été proposé à Lionel Baier par l'entremise de la distributrice de son film "La Vanité", sorti en 2015, avec l'intention de le porter à l'écran. Le cinéaste vaudois s'est lancé dans l'adaptation libre de cette œuvre via une comédie douce-amère réalisée avec le concours de Catherine Charrier, coscénariste du film.

Il est souvent dit que le documentaire est le genre maître du cinéma, et pour Lionel Baier, cela se traduit par une réalité complexe. En effet, il trouve plus difficile de réaliser un documentaire que de s'attaquer à la fiction. Cette distinction s'apparente à celle que notre invité établit entre le roman et la poésie : les deux relèvent de l'irréel, mais le roman, tout comme la fiction au cinéma, offre une liberté narrative plus vaste, tandis que la poésie, à l'instar du documentaire, se concentre sur la vérité et l'authenticité. En Suisse, cette flexibilité de passer d'un genre à l'autre est précieuse. Contrairement à d'autres pays où les étiquettes sont omniprésentes, les créateurs de notre pays peuvent explorer librement les frontières entre fiction et réalité.

L'idée d'un film peut surgir à tout moment, pour notre invité, souvent nourrie par un sens aiguisé de l'observation et le désir de raconter une histoire. Pour Lionel Baier, faire un film, c'est avant tout un processus de mise en forme d'une idée, de la coucher sur papier pour la partager avec le monde.

Toujours armé de son carnet, il consigne ses pensées, ses réflexions et ses inspirations. Ces carnets, véritables témoins de son parcours, lui permettent de revisiter ses pensées des années plus tard, offrant un regard décalé sur son passé. Actuellement, il parcourt les écrits des années 2010, comme un journal intime.

Double Face s'achève une fois de plus avec son rituel bien connu : la séquence "Tac-au-tac", où les questions fusent, posées par Valérie Ogier.

Au cours de cet échange, Lionel Baier partage un moment marquant de sa carrière : sa rencontre avec Jacqueline Veuve, une figure emblématique du documentaire et du cinéma, en 1996 à Soleure, avec laquelle il a eu l'opportunité de collaborer.

Lionel Baier se révèle également être un homme de nuances. Il admet ne pas être un optimiste forcené. Ses journées, dit-il, commencent avec un égo surdimensionné, mais se terminent souvent avec une sensation de fatigue, comme s'il avait vidé ses batteries.

Un des messages forts qu'il souhaite transmettre est de ne pas se laisser intimider par l'univers du cinéma. Il encourage les jeunes talents à oser, à se lancer, malgré les défis et les découragements que certains réalisateurs peuvent parfois imposer. "Le chemin pour faire un film est très long, il faut être un marathonien pour le faire", souligne-t-il, rappelant ainsi que la persévérance est essentielle dans ce milieu exigeant.

L'intégrale de Double Face est à retrouver ci-dessous :

Double Face Long Format Lionel Baier

"La Cache", de Lionel Baier, avec Michel Blanc, Dominique Reymond, William Lebghil, Liliane Rovère, Adrien Barazzone et Gilles Privat, actuellement dans vos salles de cinéma.

Continuer la lecture

Derniers titres

LIGHTOUT

ANTONY RAIJEKOV

23:58

Les 2 derniers titres

ANGELS OF MERCY

MIKE LINK/HARVEY TAYLOR

23:54

FAST AND HAPPY

JUANGA

23:51

Votre Horoscope

Sagittaire

En étant juste spectateur, vous ne pouvez pas vous impliquer dans les événements actuels… Vous devez clarifier votre rôle !

Les Sujets à la Une