Suisse
Une vache tuée par des loups, appel à prendre des mesures
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Plusieurs loups ont attaqué et tué une vache sur un alpage dans les Grisons, dans la nuit de vendredi à samedi. Selon les autorités grisonnes, c'est la première fois qu'une attaque de ce type contre un bovidé se produit dans le canton.
L'épisode dramatique a eu lieu sur l'alpage Nurdagn au Schamserberg, a indiqué le canton des Grisons dans un communiqué. L'animal de rente a été retrouvé en bonne partie déchiqueté sur la zone de passage de la meute dite de Beverin. "On a à faire aujourd'hui à un incident d'une tout autre dimension (que les précédents)", a déclaré à Keystone-ATS le directeur de l'Office cantonal de la chasse et de la pêche des Grisons Adrian Arquint.
La vache laitière de sept ans se trouvait en compagnie de congénères dans un endroit clôturé. Cette clôture n'est toutefois pas considérée comme une mesure de protection pour les animaux de rente de grande taille, a précisé le chef de l'office.
Les loups de la meute de Beverin se comportent de manière "très problématique" depuis plusieurs années, selon M. Arquint. En 2020, la meute a tué un âne, a-t-il rappelé. "Les prédateurs sont habitués à contourner les mesures de protection des troupeaux." La Confédération a rejeté jusqu'à maintenant une demande visant à abattre le mâle alpha de la meute, selon M. Arquint.
Prévenir
"Il est temps de réagir pour éviter que la situation s'aggrave encore", a déclaré dimanche soir le conseiller national Martin Candinas (Centre/GR) au Téléjournal alémanique. Il convient notamment de protéger l'agriculture de montagne.
Le politicien réclame une régulation "pro-active" de la population de loups, avant que les dégâts surviennent.
Il s'agit d'une espèce protégée, et les interventions doivent se faire en bonne intelligence. Parallèlement à la législation fédérale, les cantons disposent de certaines compétences.
Emetteur GPS
Les autorités ont indiqué d'ores et déjà vouloir équiper un des loups de la "meute de Beverin" d'un émetteur GPS pour mieux surveiller leur comportement. Les conditions permettant l'abattage de loups en Suisse sont strictement réglementées.
Dans la zone de passage de cette meute, le seuil fixé par la Confédération pour les tirs dits de régulation avait déjà été atteint avant l'incident sur l'alpage de Nurdagn. De tels tirs ne sont actuellement possibles que lorsque le nombre de louveteaux de la meute peut être établi.
Ces données pourraient être connues d'ici à la fin juillet, au plus tard au début septembre, a déclaré M. Arquint. La moitié des jeunes animaux sera alors probablement abattue, selon lui.
A la fin 2019, la Confédération avait autorisé les autorités grisonnes à abattre quatre jeunes loups de la meute de Calanda. Trois des quatre autorisations avaient abouti.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Jan Christen et Bissegger présents Tour de Romandie
Jan Christen et Stefan Bissegger seront les atouts suisses au Tour de Romandie, qui se déroulera du 29 avril au 4 mai. Les organisateurs ont confirmé la participation de l'Argovien et du Thurgovien.
Au sein de l'UAE Team Emirates, Jan Christen tentera, avec le Portugais Joao Almeida, de marquer de son empreinte la boucle romande. Ils défieront Remco Evenepoel, double champion olympique à Paris et 3e du dernier Tour de France. On sait depuis un certain temps que le Belge, qui a gravement chuté en décembre, sera le leader de l'équipe Soudal QuickStep.
Avec le prologue à Saint-Imier et le contre-la-montre final à Genève, Bissegger aura lui deux occasions de se mettre en évidence sur l'effort solitaire.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Climat
Avalanches: un hiver moins meurtrier que la moyenne en Suisse
Dix personnes ont perdu la vie dans des avalanches cet hiver, selon l'institut pour l'étude de la neige et des avalanches SLF à Davos. C'est moins que la moyenne des vingt dernières années. L'hiver a également été marqué par le manque de neige dans les Alpes suisses.
Au total, 216 personnes ont été touchées par une avalanche entre le 1er octobre 2024 et le 14 avril 2025, un nombre très légèrement supérieur à la moyenne des vingt dernières années (205), indique le SLF mardi.
Dix d'entre elles ont perdu la vie, contre 19 victimes en moyenne ces vingt dernières années. Cinq victimes ont été dénombrées dans les Grisons, quatre en Valais et une dans le canton d'Obwald, selon le SLF.
Le SLF avance plusieurs raisons à ce faible nombre de victimes: les avalanches de cet hiver étaient généralement peu épaisses, donc moins dangereuses que par le passé, aucune avalanche n'a fait de nombreuses victimes et il y a aussi le facteur chance, écrit-il. Une autre explication pourrait être que le sauvetage par les personnes accompagnant les victimes était bien effectué.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse Romande
Fribourg: le Centre suisse islam et société (CSIS) fête ses 10 ans
Le Centre suisse islam et société (CSIS) de l’Université de Fribourg fête ses 10 ans, un anniversaire qui sera marqué le 6 mai. L’utilité du centre n’est plus contestée, estiment ses codirecteurs Amir Dziri et Hansjörg Schmid, dans une interview à La Liberté.
Le CSIS, dont l'objectif vise à contribuer au vivre-ensemble dans une société plurielle, a su se faire une place. "La société attend de nous une expertise. Et de l’autre côté, il y a la logique de la recherche, qui implique d’éviter les positionnements politiques ou idéologiques", indique Amir Dziri. "C’est toujours un peu délicat."
Selon le codirecteur, l'existence du CSIS n'est plus combattue aujourd'hui. "En tout cas pas dans son essence", dit-il dans cette interview publiée mardi. "La plupart de nos interlocuteurs trouvent important d’avoir un centre de compétences qui facilite le débat et permet de créer une base d’expertise scientifique."
Démarrage difficile
Pour mémoire, en 2015, à son lancement, le CSIS s'était heurté à l’opposition de l’UDC. Cette dernière était allée jusqu’au Tribunal fédéral pour défendre son initiative demandant la fermeture de l'institut fribourgeois. "Oui, ça nous a beaucoup marqués", se souvient Hansjörg Schmid, l'autre codirecteur.
"Les deux premières années, nous devions souvent répondre à des critiques, mais ça nous a aussi amenés à communiquer de manière très claire et intense", indique-t-il ."Nous avons été immédiatement en contact avec beaucoup d’acteurs politiques, de la société civile et des médias. Au début, nous étions très prudents sur certains sujets".
"Parce qu’ils étaient source de malentendus", dit Hansjörg Schmid. "Concernant les imams, on nous voyait comme une sorte d’école religieuse, ce qui n’était pourtant pas dans nos intentions. Nous avons davantage axé notre formation continue sur la fonction des imams pour l’intégration ou en tant qu’interlocuteur des autorités."
Deuxième phase
"Il y a eu une deuxième phase de contestation, quand un conseiller national a lancé un postulat pour couper les subsides fédéraux", se rappelle Hansjörg Schmid. Une évaluation a été commandée. "Parue en août 2023, elle juge les critiques infondées et estime que le travail fourni par le CSIS est très utile pour la société."
Le centre estime avoir conservé un regard critique. "Nous avons par exemple mis en place des formations sur la radicalisation ou publié une étude sur l’antisémitisme en contexte musulman", explique Amir Dziri. "Notre rôle n’est pas d’être des avocats de l’islam", constate encore son collègue professeur Hansjörg Schmid.
A sa création, le CSIS était une toute petite structure. Il propose aujourd’hui 13 postes en équivalent plein temps (EPT), soit 4,5 inscrits au budget de l'université et 8,5 provenant de fonds tiers, comme le Fonds national suisse ou la Fondation Mercator, et mène une activité variée entre recherche, enseignement et formation continue.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
La Suisse comptera 10,5 millions d'habitants en 2055
La population de la Suisse passera de 9 millions d'habitants fin 2024 à 10,5 millions en 2055, une hausse principalement due aux migrations, selon le scénario de référence de l'Office fédéral de la statistique. Le vieillissement de la population va se poursuivre.
A partir de 2035, l'accroissement naturel de la population, soit la différence entre le nombre de naissances et de décès, sera négatif. La croissance proviendra donc exclusivement des migrations et dépendra de plus en plus de la conjoncture économique du pays, écrit mardi l'OFS dans un communiqué.
Le vieillissement de la population va se poursuivre, avec le passage à la retraite de nombreux baby-boomers et l'augmentation de l'espérance de vie. La population de 65 ans ou plus va augmenter d'environ 50% entre 2024 et 2055 pour atteindre environ un quart de la population.
Les cantons qui verront leur population le plus augmenter (plus de 20%) sont Genève, Vaud, Lucerne, Saint-Gall, Thurgovie et Argovie. A l'inverse, la croissance devrait être de moins de 2% dans le Jura, à Neuchâtel, Schaffhouse et Appenzell Rhodes-Extérieures.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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