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"Tout peut se produire à l'Euro", estime Murat Yakin
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Murat Yakin a accordé une interview à Keystone-ATS à moins de deux semaines de l'entrée en lice de la Suisse à l'Euro. Le sélectionneur s'est livré sans détour.
Murat Yakin a tenu à rappeler qu’il demeurait bien le patron malgré les turbulences de l’automne dernier et l’incertitude liée à son avenir.
Les critiques très sévères auxquelles vous avez dû faire face l’automne dernier vous ont-elles blessé ?
"Ce qui s’est dit m’est égal. La pression des médias est normale. Je suis resté calme. Je connais le potentiel de mon équipe et je suis convaincu qu’elle possède toutes les qualités pour obtenir des résultats. Ces critiques sont survenues alors que je traversais des moments très durs avec le décès de ma mère. Mais le soutien de l’ASF et des joueurs a été très précieux."
Les propos tenus par Granit Xhaka et Pierluigi Tami pouvaient toutefois laisser penser à une certaine défiance à votre égard ?
"Certaines situations conduisent à un excès de nervosité. J’apprécie énormément Granit comme joueur et comme personne. Il s'est exprimé sous le coup de l’émotion. Je le comprends aisément. Nous nous sommes parlé et nous avons réglé cette question. Quant à Pierluigi, ses propos ont pu être surinterprétés. Nos discussions en tête à tête me conduisent à le penser, à avoir un autre ressenti."
Des moments très durs
Cette légèreté qui vous caractérise, cette insouciance qui est un peu votre marque de fabrique se sont-elles envolées ces derniers mois ?
"J’ai vécu des moments très durs avec l’état de santé de ma mère qui s’est dégradé. Comment peut-on sourire à la vie lorsque votre mère est en train de mourir ? Le jour de son enterrement, j’étais dans un avion, loin de ma famille. Mais je devais rester concentré sur mon travail. Rien n’a été simple lors de cette période..."
Auriez-vous souhaité avoir plus de temps pour faire votre deuil ?
"Nous sommes une famille de huit frères et s½urs et chacun l’a fait à sa manière. Ma mère m’a toujours conseillé de ne pas prendre les choses au tragique. C’est peut-être là d’où vient cette sorte de décontraction qui est la mienne. Il y a dans la vie des choses plus graves qu’une crise de résultats en football."
N'y-a-t-il toutefois pas eu un vent mauvais qui a soufflé sur l'équipe de Suisse ?
"Après les trois premiers matches du tour préliminaire, les attentes étaient, il est vrai, très élevées. Granit a alors évoqué la perspective d’un Grand Chelem avec dix victoires en dix rencontres. On lui a un peu forcé le trait pour qu’il s’exprime ainsi. Quant à moi, je me voulais plus mesuré."
Manque de rythme
La grande inconnue avant cet Euro réside dans le rôle que doit tenir Xherdan Shaqiri. Qu’attendez-vous de lui ?
"Nous savons ce que Shaq peut nous apporter. Il sait se montrer décisif et personne dans l’équipe ne possède un pied gauche aussi magique. Lors du rassemblement de mars, je ne l’ai pas titularisé au Danemark en raison de son manque de rythme. En MLS, l’intensité n’est pas celle de l’un des cinq grands championnats européens. A lui de tout faire maintenant pour être affûté, pour être au même niveau sur le plan physique que ses coéquipiers. Il me reviendra de décider au final si sa titularisation sera la meilleure option pour l'équipe."
Le 15 juin, la Suisse affrontera la Hongrie. Que vous inspire cet adversaire ?
"Un adversaire qui récite son système de jeu parfaitement. La Hongrie peut aussi s’appuyer sur plusieurs joueurs qui évoluent dans les cinq grands championnats."
Tous les adversaires se valent
Ensuite il y aura l’Ecosse. Les Ecossais ne sont-ils pas, sur le papier, l’équipe la plus faible du groupe ?
"L’Ecosse a battu l’Espagne lors du tour préliminaire. J’estime que tous les adversaires se valent dans une phase finale. La Suisse peut gagner les trois matches de sa phase de poules comme elle peut les perdre. La seule certitude avant cet Euro est bien que tout peut se produire."
Et l’Allemagne ? Les victoires acquises en mars contre la France et les Pays-Bas n’ont-elles pas pleinement relancé cette équipe ?
"Je n’accorde pas une immense importance aux résultats des matches amicaux. Dans de telles rencontres, on est tenté de donner 5% de moins et cela provoque bien des différences. Mais on devine aisément les qualités de l’Allemagne. Elle jouera chez elle. Elle monte en puissance."
Quel sera le résultat lors de cet Euro qui vous conduira à prolonger votre mandat à la tête de l’équipe nationale ?
"Pourquoi se préoccuper de l’avenir ? Je sais qui sera l’entraîneur de l’équipe de Suisse demain matin. Après-demain aussi. Ce printemps, je n’ai pas donné suite à la proposition d’un renouvellement de contrat. L’idée est de laisser passer cet Euro et de faire le point après. Je suis toujours extrêmement fier et heureux de diriger l’équipe de Suisse. Je l’ai dit à mes dirigeants. Mais en football, il faut toujours se remettre en question. On ne peut pas vivre sur ses acquis. Cela vaut pour les joueurs. Pour moi aussi. »
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
L'arbitre dénonce, en pleurs, les pressions de Real Madrid TV
Arbitre de la finale de la Coupe du Roi entre le FC Barcelone et Real Madrid samedi, Ricardo de Burgos Bengoechea a dénoncé vendredi, en pleurs, les pressions constantes de la part de Real Madrid TV.
L'arbitre espagnol est visé - comme avant chaque match - par une compilation des ses potentielles erreurs en défaveur du géant espagnol, publiée par la chaîne officielle de télévision du Real. Il n'a pas pu contenir son émotion en conférence de presse.
"Les vidéos de Real Madrid TV nous énervent tous. C'est ce qui a le plus de répercussions. Quand ton enfant rentre en pleurant du collège, parce qu'on lui dit que son père est un voleur, c'est vraiment dur", a déclaré Ricardo de Burgos Bengoechea.
"Moi j'essaie d'éduquer mon fils pour qu'il sache que son père est honnête. Qu'il se trompe, oui, comme tous les autres sportifs. Mais lorsque je m'en irais, je veux que mon fils puisse être fier de ce que son père a fait, et de ce que représente l'arbitrage", a-t-il ajouté.
Guerre institutionnelle
L'arbitre, en larmes, a estimé qu'il était temps d'avoir "une réflexion" sur la situation actuelle dans le football espagnol, assurant que plusieurs de ses collègues avaient décidé de descendre de niveau pour ne plus subir la pression du haut niveau.
La chaîne de télévision Real Madrid TV produit chaque semaine ce type de vidéos pour discréditer les arbitres de leurs prochaines rencontres. Mais la pression s'est accrue depuis le mois de février, lorsque le club s'est lancé dans une guerre institutionnelle contre un arbitrage "complètement discrédité" et un système "corrompu de l'intérieur", après des décisions en sa défaveur en Liga.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Football
Cömert et Valladolid relégués
L'international suisse Eray Cömert va connaître les affres d'une relégation en Liga avec le Real Valladolid.
Une défaite 5-1 jeudi sur la pelouse du Betis Séville a scellé le sort du club détenu majoritairement par l'ancienne star brésilienne Ronaldo.
Pour Valladolid, il s'agit de la troisième relégation en cinq ans. Et comme après les deux dernières promotions, le club du nord de l'Espagne doit retourner en deuxième division une année seulement après son ascension.
A cinq journées de la fin, Valladolid accuse18 points de retard sur Alaves, 17e du classement. L'équipe de l'entraîneur intérimaire Alvaro Rubio, qui a perdu 13 des 14 derniers matches de Liga, n'a fêté que quatre succès en 33 matches.
Cömert, qui évolue cette saison en prêt pour Valladolid, retournera cet été à Valence où il possède encore un contrat d'un an.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
Arda Güler maintient le Real dans la course au titre
Sans Kylian Mbappé qui se remet de sa blessure à une cheville, le Real Madrid s'est imposé sans briller mercredi chez son voisin Getafe (1-0).
Un but du jeune Turc Arda Güler lui permet de rester au contact du FC Barcelone, solide leader de la Liga.
Mis sous pression après le succès du Barça (1er, 76 points) la veille face à Majorque (1-0), le géant espagnol (2e, 72 points) accuse toujours quatre longueurs de retard sur son grand rival, qu'il affrontera samedi en finale de la Coupe du Roi.
Avec un onze largement remanié en vue de ce troisième Clasico de la saison, avant un quatrième le 11 mai prochain en championnat, le club madrilène a fait le travail, grâce à une frappe du droit d'Arda Güler (21e, 1-0), auteur seulement de son deuxième but de la saison, pour offrir un succès précieux aux Merengues.
Le gardien belge Thibaut Courtois, à nouveau impérial sur sa ligne, a encore sauvé les siens avec deux parades décisives aux 91e et 96e minute. La soirée des hommes de Carlo Ancelotti a aussi été gâchée en fin de partie par la sortie sur blessure du milieu français Eduardo Camavinga, visiblement touché à l'adducteur droit.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Football
Le Milan en finale
A la peine en championnat, le Milan AC peut encore viser un deuxième trophée après la Super Coupe. Il a éliminé l’Inter en demi-finale de la Coupe d’Italie.
Après le 1-1 du match aller, les Rossoneri se sont imposés 3-0 au retour grâce à un doublé du Serbe Luka Jovic et une réussite du Néerlandais Tijjani Reijnders. Sans Yann Sommer laissé au repos, l’Inter n’a jamais donné le sentiment de pouvoir remporter cette demi-finale. Son rêve de triplé - Ligue des Champions, Serie A et Coupe d'Italie - s'est envolé.
Le 14 mai à Rome, le Milan devrait selon toute vraisemblance affronter Bologna en finale. La formation de Dan Ndoye, de Remo Freuler et de Michel Aebischer reçoit Empoli ce jeudi dans une rencontre qui s’apparente à une formalité après leur victoire 3-0 à l’aller.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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