Suisse
Sunrise UPC a vu ses recettes stagner au deuxième trimestre
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Le câblo-opérateur Sunrise UPC au deuxième trimestre a constaté une stagnation de ses recettes comme de son excédent brut d'exploitation.
La société zurichoise a vu ses recettes stagner à 739,1 millions de francs, indique un communiqué diffusé vendredi. Dans le détail, elles ont crû pour les clients mobile à 295,5 millions (+3,6%) et dans l'activité entreprises B2B à 136,4 millions (+1,8%), mais reculé de 4,6% pour le réseau fixe à 304,2 millions.
Le résultat opérationnel brut (Ebitda) ajusté par segment s'est stabilisé à 266,8 millions.
Sunrise UPC revendique une croissance nette des clients mobile de 47'300 abonnements, mais un recul de 2000 dans l'internet haut débit "principalement dû au démantèlement progressif de la marque UPC". En tout, elle atteint 57'800 souscriptions supplémentaires pour internet, la TV et le mobile.
Sur les six premiers mois, les ventes ont stagné à 1,49 milliard, pénalisées par le réseau fixe, quand l'Ebitda a pris 5% à 545 millions.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
La Bourse suisse attendue en net repli à l'ouverture
Le rebond mardi de la Bourse suisse aura fait long feu, un nouveau repli étant attendu mercredi à l'ouverture, alors que les droits de douane supplémentaires US sur les importations de près de 60 pays, dont celles de la Suisse à hauteur de 31%, sont entrés en vigueur.
Du côté de Wall Street, le Dow Jones s'est essoufflé en fin de séance mardi, cédant 0,8%, alors qu'il avait décollé de près de 4% à l'ouverture. Le Nasdaq, indice des valeurs technologiques, a abandonné 2,15% et le S&P 500 1,57%. En Asie, à la Bourse de Tokyo le Nikkei plongeait de 5%, les autres places d'Extrême-Orient fléchissant aussi fortement.
Dès 06h00, le 2e volet des droits de douane supplémentaires décidés par Donald Trump est entré en vigueur et les pays avec lesquels les Etats-Unis affichent un déficit commercial particulièrement élevé selon Washington sont soumis à des taxes punitives. La Chine, qui a elle-même pris des mesures de rétorsion, est particulièrement touchée, les marchandises arrivant au Pays de l'Oncle Sam étant désormais taxées à hauteur de 104%.
Evoquant la déroute des marchés d'actions depuis mercredi dernier et la déclaration de guerre commerciale de Donald Trump, John Plassard, de Mirabaud Banque, ne cède pas pour autant à la panique. L'expert observe qu'historiquement "la plupart des corrections à deux chiffres ne se transforment pas en bear markets". Toutefois, le contexte actuel est sans précédent en raison de l'ampleur de la guerre commerciale et de l'imprévisibilité de Donald Trump.
Les décisions de politique commerciale du président américain Trump pèsent sur le dollar américain, "alors que les paris de récession sont en hausse, la récession la plus stupide de l'histoire du monde, probablement" observe pour sa part Ipek Ozkardeskaya, de Swissquote Bank. Et les investisseurs devront encore attendre pour un éventuel soutien de la Réserve fédérale américaine, ses responsables affirment que la politique monétaire est bien placée pour faire face aux perturbations tarifaires. Mais un effondrement plus important pourrait les faire changer d'avis.
Vers 08h05, le SMI ne notait plus qu'à une dizaine de points au-dessus de la barre des 11'000 points, soit 11'010,24 points, en chute de 3,07%, selon les calculs avant Bourse de la banque Julius Bär. L'indice phare avait clôturé la veille sur un bond de 2,82%, reprenant près de 300 points, alors qu'il s'était délesté de plus de 1500 points depuis mercredi et l'annonce des nouveaux droits de douane américains, dont un taux de 31% frappant les exportations helvétiques vers les Etats-Unis.
L'ensemble des vingt valeurs constitutives du SMI s'affichaient dans le rouge, la défensive Swisscom (-1,9%) jouant son rôle en se montrant la plus solide, alors qu'à l'image des séances de jeudi, vendredi et lundi, le fabricant valdo-californien d'accessoires et périphériques informatiques Logitech (-5,8%) héritait de la lanterne rouge.
Les trois poids lourds de la cote, le bon Roche ainsi que les nominatives Novartis et Nestlé (tous trois -2,4%) faisaient mieux que la moyenne, tout comme le sous-traitant pharma Lonza (-2,4% aussi).
En queue de classement, le géant genevois du luxe Richemont (-5,3%) précédait Logitech. Les financières étaient aussi en souffrance, UBS plongeant de 5,2%, Partners Group de 4,0%, Zurich Insurance de 3,7%, Swiss Re de -3,6% et Swiss Life de 3%.
Parallèlement, les investisseurs se tournent à nouveau vers les valeurs refuges comme le franc et l'or. Ainsi, le franc gagne du terrain face au dollar américain mercredi matin, le billet vert valant 0,8407 franc.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
Les droits de douane américains supplémentaires entrent en vigueur
Le président des Etats-Unis Donald Trump impose depuis mercredi matin à des dizaines de partenaires commerciaux une nouvelle salve de droits de douane à l'importation, dont un taux monumental de plus de 100% à la Chine,
Cette surtaxe à l'importation provoque une forte poussée de fièvre entre les deux premières puissances mondiales. Celle frappant la Suisse se monte à 31%.
Ces nouvelles barrières commerciales - par exemple de 20% pour l'Union européenne - a fait replonger les Bourses en Asie. Pour la Chine, la Maison Blanche a rendu public un décret présidentiel "amendé" faisant grimper de "34%" à "84%" la taxation qui sera perçue par Washington sur les importations en provenance de Pékin. Si on y ajoute les 20% déjà en vigueur, cela porte à 104% le taux imposé à l'Empire du Milieu depuis 06h00.
Un niveau totalement prohibitif. "La Chine n'acceptera jamais cela", avait menacé mardi un porte-parole du ministère du Commerce, après que la deuxième puissance mondiale eut répliqué par une hausse de 34 points de ses droits de douane sur les produits importés des Etats-Unis à compter de jeudi.
Affolement
Malgré un léger rebond mardi soir, les marchés boursiers sur toute la planète sont affolés par la guerre commerciale mondiale que Donald Trump a déclenchée. Vers 04h30 à la Bourse de Tokyo, l'indice vedette Nikkei s'est enfonçait de 2,62%, après avoir lâché jusqu'à 3,5%. A Séoul, l'indice Kospi a reculé de 0,6%. La Bourse de Sydney a baissé de 0,84%, celle de Taipei de 2%. Les places chinoises souffrent également: -2% à Hong Kong, -0,86% à Shanghai et -1% à Shenzhen.
Le pétrole a accéléré son plongeon - au plus bas depuis quatre ans autour de 60 dollars le baril - et le won sud-coréen a glissé jusqu'à un niveau jamais atteint depuis 2009. La Corée du Sud est très dépendante de ses exportations, surtout pour ses automobiles qui se vendent énormément sur l'immense marché de son allié américain.
En urgence, Séoul a annoncé mercredi une aide de deux milliards de dollars pour soutenir ses constructeurs, à la suite de l'imposition d'une taxation américaine supplémentaire de 25%. Première banque centrale à agir contre les droits de douane, l'institution de la Nouvelle-Zélande a réduit ses taux d'intérêt de 25 points de base à 3,5%
A l'échelle mondiale, une première salve de droits de douane supplémentaires de 10% est entrée en vigueur samedi sur l'ensemble des importations des Etats-Unis. A l'exception des 104% contre la Chine, les nouveaux droits d'entrée américains frappent depuis 06h00 quelque 60 partenaires commerciaux avec un taux allant de 11% à 50%, comme l'UE à 20% ou le Vietnam à 46%.
Face à la panique boursière, M. Trump se veut lui rassurant. Il a promis mardi soir "des accords sur mesure, pas du prêt-à-porter, mais de la haute couture", d'abord avec les alliés militaires de l'Amérique, Japon et Corée du Sud en tête. Lors d'un dîner avec des caciques du Parti républicain, le milliardaire conservateur qui bouleverse l'ordre économique libéral mondial s'est félicité que des dizaines d'Etats - y compris Pékin d'après lui - "fassent tout" pour trouver un accord Washington.
"Lécher le cul"
"Ces pays nous appellent pour nous lécher le cul", a-t-il plastronné. Pour l'UE, première partenaire commerciale des Etats-Unis, la présidente de la Commission Ursula von der Leyen a exhorté à "éviter l'escalade", lors d'un entretien téléphonique avec le Premier ministre chinois Li Qiang.
Tout en plaidant pour "une résolution négociée". L'UE devrait présenter sa réponse "en début de semaine prochaine", selon un porte-parole. Mais selon une liste consultée par l'AFP, le bourbon ne sera pas concerné par la surtaxe de 25% que Bruxelles propose d'imposer sur des produits américains.
Pour le président français Emmanuel Macron, "l'objectif est d'arriver à une situation où le président Trump revienne sur sa décision". Considérée comme plus proche de Donald Trump, la Première ministre italienne d'extrême droite Giorgia Meloni a annoncé mardi soir qu'elle se rendrait à Washington le 17 avril.
Après un rebond des places mondiales mardi, l'indice Dow Jones avait terminé en baisse de 0,84%. Paris avait auparavant regagné 2,50%, Londres 2,71% et Tokyo 6,02%. Alors que le yuan "offshore", la monnaie chinoise circulant hors du pays, est tombé à son plus bas niveau depuis 2010, la guerre commerciale pourrait saper l'économie mondiale, avec des risques d'inflation, de chômage et de baisse de croissance, avertissent des analystes.
Le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres s'est dit "particulièrement inquiet pour les pays en développement les plus vulnérables sur lesquels les impacts seront plus dévastateurs".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Suisse
Anouk et Zoé Vergé-Dépré enfin réunies
Anouk et Zoé Vergé-Dépré entament leur première saison ensemble en tant que joueuses de beachvolley. Le début d'une aventure qui comporte quelques défis pour les deux soeurs bernoises.
Jean-Charles Vergé-Dépré n'attendait que ça! Un sourire se dessine sur son visage quand il observe ses deux filles raconter les raisons derrière leur réunion. "Je rêvais depuis longtemps que mes filles jouent ensemble", avoue le Français de 69 ans.
Lorsque Joana Mäder, partenaire d'Anouk, et Esmée Böbner, coéquipière de Zoé, ont décidé d'arrêter, temporairement ou définitivement, leur activité de beachvolleyeuse, il s'est rapidement murmuré que le moment était le bon pour que les deux soeurs forment enfin un duo.
Le sujet était d'ailleurs abordé de temps en temps lors des dîners de famille. "On connaît deux joueuses qui n'ont pas encore de partenaire", glissaient les parents.
Le petit mot
Mais leurs filles ne se sont pas laissé influencer par l'extérieur. Elles ont pesé les avantages et les inconvénients, discuté de la forme concrète que pourrait prendre une collaboration sportive et réfléchi aux mesures concrètes qu'elles devraient prendre pour protéger leur étroite relation.
La décision prise, Zoé a déposé un message dans la boîte aux lettres de sa soeur où figurait la question: "Veux-tu être ma partenaire de beach? Oui, non, peut-être." Anouk a coché la case du "oui" avant de remettre la missive dans la boîte aux lettres, avec du chocolat.
Voici comment est née l'équipe "Zouk", nom né de la combinaison de leurs deux prénoms mais qui s'inspire aussi de leurs racines guadeloupéennes. En créole, "zouk" signifie joie et désigne aussi ce style de musique typiquement caribéen qui résonne souvent dans les enceintes des soeurs Vergé-Dépré.
"Le bon moment"
"C'est le bon moment pour se mettre ensemble", déclare Anouk, de six ans l'aînée de Zoé (33 et 27). Les deux n'ont jamais vraiment eu la chance de jouer ensemble, Anouk étant déjà sur le World Tour à une époque où sa soeur ne savait pas encore si elle allait faire du beachvolley son métier.
Ces dernières années, Anouk a remarqué que Zoé était tout aussi passionnée qu'elle par ce sport et a pu constater les progrès réalisés par sa soeur. Particulièrement lorsqu'elles se sont soudainement retrouvées en concurrence pour le deuxième billet pour les Jeux olympiques de Paris 2024.
Zoé a finalement eu le dernier mot avec Esmée Böbner, et le duo a pris la 5e place du tournoi disputé au pied de la Tour Eiffel. La médaille de bronze décrochée aux championnats d'Europe aux Pays-Bas a été une autre preuve que la cadette faisait désormais partie de l'élite mondiale.
Pas la première fois
"Je pense que si nous avions fait équipe plus tôt, il nous aurait manqué encore la maturité", suppose Anouk Vergé-Dépré, qui se souvient des Européens de 2018. Les deux soeurs s'étaient retrouvées sur le sable de manière imprévue lorsque Joana Mäder (alors Heidrich) avait déclaré forfait au dernier moment et avaient été éliminées en huitièmes de finale.
"Il y avait une tout autre dynamique à l'époque", explique Zoé, qui vivait à cette occasion-là son baptême du feu à ce niveau. "A l'époque, j'étais la petite junior inexpérimentée. Maintenant, j'ai beaucoup plus de bagage."
Leur préparation a toutefois été ternie par la blessure à un orteil d'Anouk lors d'un entraînement à Rio. Les deux soeurs ont dû donc faire l'impasse sur les premiers tournois disputés au Mexique.
LA 2028 comme but ultime
La médaillée de bronze olympique de Tokyo doit en outre s'adapter à sa nouvelle coéquipière. Alors qu'elle jouait en défense aux côtés de Joana Mäder, elle retrouve désormais le bloc. "Je vais devoir sprinter vers l'avant à chaque service. C'est déjà un changement sur le plan physique, mais je m'en réjouis", explique-t-elle.
Le tout jeune team "Zouk" ne s'attend donc pas à tout rafler dès sa première compétition, dès jeudi au tournoi Elite16 de Saquarema au Brésil. Le plus important est bien la perspective à long terme avec une éventuelle participation aux Jeux olympiques de Los Angeles 2028, un autre rêve pour leur père Jean-Charles.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Hockey
Patients comme des lions en chasse, les Lausannois s'imposent
Le LHC est toujours dans la course! Les Lausannois ont décroché la victoire 2-1 dans l’Acte V face à Fribourg-Gottéron dans les demi-finales de playoffs et reviennent à 2-3 dans la série. Un match qui s’est joué entre la 41e et la 44e minute.
La victoire ou les vacances. Le Lausanne Hockey Club n’avait plus le choix ce mardi dans cet Acte V de la demi-finale. Et c’est peut-être dans cette situation, dos au mur, que l’équipe est la plus efficace.
On a senti dès le coup d'envoi que les Lions avaient besoin de gagner ce match. Ils sont entrés dans la partie sur le même rythme que la (très bonne) première prolongation de samedi à Fribourg. Combatifs, laissant peu de place à leurs adversaires. Mais voilà, ils ont été confrontés à un vieux démon: un manque de réussite dans le dernier geste. Lauri Pajuniemi nous a gratifié d'un joli shoot sur une bonne passe de Dominik Kahun, mais Reto Berra a fait valser le puck au-dessus de la cage (2e). Après une passe ratée de Dave Sutter, Kahun a trouvé le puck tout seul devant la cage, mais son tir a fini dans la mitaine du gardien fribourgeois (5e). Antti Suomela s'est par deux fois trouvé en excellente position, sans succès (11e et 18e). Et Damien Riat a heurté l'extérieur du poteau (13e).
Pendant ce temps-là, Gottéron a fait son petit bonhomme de chemin. Jakob Lilja, après s'être joué de Nathan Vouardoux, a pu aller au duel avec Kevin Pasche (4e). Sandro Schmid a essayé de tromper le portier lausannois, sur ses appuis droits, en allant chercher l'espace de l’autre côté de la cage, mais il a manqué (8e). Et puis c'était l'ouverture du score. Après un accrochage au centre de la glace, les Dragons ont récupéré le puck. Jan Dorthe a pu entrer en zone et tirer une première fois. Pasche a repoussé et Samuel Walser a profité du rebond (14e, assist: Dorthe).
Les Lausannois n'ont pas été déconcentrés pour autant. Mais ils ne se sont pas mis dans les meilleures dispositions pour commencer le deuxième tiers puisqu'Andrea Glauser s'est vu pénalisé de 2 minutes à quelques secondes de la fin de la première période. Lausanne est donc revenu des vestiaires à 4 contre 5, sans conséquence pour cette fois.
Coup de mou
Dans le deuxième tiers, Lausanne a semblé peu à peu s'éteindre. Théo Rochette confirme.
Le jeu était plutôt équilibré mais Fribourg a fait le job pour protéger sa cage et son score. Et puis il y a deux deux minutes de folie juste avant la sirène. Les Lions se sont attaqués encore et encore sur Berra, sans relâche. Mais sans réussir à pénétrer sa forteresse. Résultat: toujours un but de retard à la pause.
Et la patinoire s’enflamme
Mais l’on n'abat pas un lion si facilement. Au coup d'envoi du troisième tiers, ce sont les Lausannois qui étaient en supériorité numérique. Et ils en ont pleinement tiré profit. Alors qu'ils avaient presque perdu le puck, les hommes de Geoff Ward se sont vite réorganisés et Ken Jäger a redonné l’espoir à toute la Vaudoise Aréna avec son puissant tir (41e, assists: Riat et Bayreuther).
Un but qui a eu l'effet d'une barre chocolatée dont on taira le nom sur les Lions puisque 2 minutes et 33 secondes plus tard, il y avait 2-1. Suomela se battait à la bande derrière la cage de Berra pour récupérer la rondelle. Puck qui est parti vers l’avant, en plein sur le pied d’Ahti Oksanen qui a simplement ajusté la trajectoire avec sa canne pour inscrire ce deuxième but et permettre aux Lausannois de reprendre les devants (44e, assist: Suomela). Et de redonner aussi confiance car l'attaquant, généralement posté juste devant la cage, était en cruel manque de réussite.
C'est là que le match est vraiment devenu tendu. D'autant plus lorsque Fribourg a eu droit à deux minutes en powerplay. Mais les Lions ont pu compter sur leur bonne défense, sur un très bon Kevin Pasche et sur un public qui a mis en œuvre tout ce qui lui était possible pour déstabiliser les Dragons.
Gottéron a décidé de tenter le tout pour le tout à un peu plus de 2 minutes de la fin de la rencontre en sortant son gardien. Un homme de plus donc face à Kevin Pasche. Mais 9’600 face aux Fribourgeois. Les supporters, debout, ont donné de la voix comme si leur vie en dépendait. Théo Rochette donne d’ailleurs du crédit à ce public.
Et Lausanne a tenu bon. Score final, 2-1 au bout de 60 minutes durant lesquelles les hommes de Geoff Ward ont semblé passer par toutes les émotions.
Les Lausannois ont su profiter du momentum ce mardi. Même s' ils ne font pas encore usage de tout son potentiel.
Geoff Ward de son côté estime que c’était le meilleur match de cette série pour ses joueurs. “Notre constance devient meilleure”, commente le coach du LHC.
Il va falloir continuer de bâtir là-dessus et garder cet état d’esprit dans le vestiaire lausannois. Car même s’ils reviennent à 2-3, les Lions n’ont toujours pas le droit à l’erreur. L’Acte VII se jouera jeudi à Fribourg. Qui l’emportera, l’équipe qui retrouve des couleurs et sera boostée à bloc? Ou celle qui a laissé passé une chance, mais qui est toujours à 60 minutes de la finale?
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