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Suisse

Sulzer entame un partenariat stratégique avec BASF

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L'accord entre Sulzer et BASF prévoit de développer leurs offres respectives de solutions durables. (archives) (© KEYSTONE/GEORGIOS KEFALAS)

Sulzer a annoncé mercredi la signature d'un protocole d'accord de sa division Chemtech (GTC Technology) avec l'allemand BASF pour promouvoir les technologies des carburants renouvelables et des plastiques recyclés.

Le partenariat a pour objectif d'associer les domaines de compétence des deux entreprises: technologies de processus sous licence et composants de Sulzer Chemtech, adsorbants et catalyseurs haute performance du géant de la chimie BASF.

"Le protocole d'accord avec BASF nous permet d'élargir notre portefeuille et conduira à des offres améliorées dans les chaînes de valeur des combustibles renouvelables et du recyclage des plastiques", s'est réjoui Torsten Wintergerste, directeur de la division Sulzer Chemtech, cité dans le communiqué.

"La pollution plastique mondiale et la mobilité durable sont des défis que nous ne pourrons relever que par un effort commun", a ajouté Detlef Ruff, en charge de l'unité Catalyseurs de BASF. Aucune mention n'est faite des contours financiers de la future collaboration.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Hockey

"Il viendront sûrement avec une petite attitude revancharde"

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La saison dernière, le LHC s'était imposé 1-4 dans la série face à Gottéron. Les Lions feront-il au moins aussi bien cette année? ©KEYSTONE/Valentin Flauraud

En hockey sur glace, c’est parti pour les demi-finales! Dès samedi soir, le LHC affronte Fribourg-Gottéron. Une série qui s’annonce palpitante.

Dans quelques heures, Lions et Dragons seront enfermés dans la même cage pendant au moins 60 minutes. Lausanne et Fribourg se retrouvent en demi-finale de playoffs. Une sorte de remake de la saison dernière où les deux clubs s’étaient opposés au même stade, avec une victoire lausannoise en cinq Actes. 

À quel point cette expérience joue-t-elle un rôle dans la préparation de cette série?

C’est la troisième fois dans l’histoire du club que le LHC atteint les demi-finales dans l’élite après la saison 18/19 et l’année passée. Une réussite qui reste en quelque sorte historique. Mais pas de quoi ajouter ou alléger la pression pour les Lausannois. 

"Jouer notre jeu"

Le LHC et Gottéron se sont qualifiés dans le dernier carré au terme de leurs séries respectives de quart de finale. Lausanne a peiné à retrouver de sa superbe de la saison régulière et a été poussé vers un Acte VII. “On savait que le premier tour allait être dur et le gagner comme ça en sept matchs, face à une équipe qui s’est accrochée à tous les matchs, qui nous a donné du fil à retordre, c’est une belle preuve de caractère”, commente Aurélien Marti. 

Les hommes de Geoff Ward ont tiré tout le profit de leur avantage de la glace. Avec le public comme 7e homme, ils se sont montrés imprenables. Même s’il y a encore quelques faiblesses à corriger. Le défenseur lausannois n’en dévoile cependant pas trop. 

L’ambiance, après un jour de repos, semble néanmoins studieuse. “On ne va pas prendre des jours de congé en plus parce qu’on a des jours de congé, lâche le n°9 des Lions. On a des choses à travailler et voilà, on s’entraîne.”

Car, si les rôles sont inversés cette saison et que Lausanne est leader, il ne va pas falloir prendre la série à la légère. Fribourg a en effet opéré une impressionnante remontada durant la saison régulière. Après un début d’exercice catastrophique, les Dragons ont connu un nouveau souffle en changeant d’entraîneur fin 2024. Dans la foulée, ils ont remporté la Coupe Spengler et continuent depuis lors leur montée en puissance. 

La série, qui ravira le public romand, promet bien des étincelles. Est-ce que sur la glace aussi, ces derbys sont joués avec plus de passion, plus d’émotions?

Et certains souvenirs de l’année dernière pourraient bien remonter. 

La série entre Lausanne et Fribourg démarrera ce samedi à 20h à la Vaudoise Aréna. L’autre demi-finale opposera au même moment Zurich et Davos.

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Suisse

Heure d'été: la nuit de samedi à dimanche sera plus courte

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Cette année, l'heure d'été durera jusqu'au 26 octobre (image d'illustration). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Les Suisses perdront à nouveau une heure de sommeil dans la nuit de samedi à dimanche, avec le passage à l'heure d'été. A 02h00, les horloges seront avancées d'une heure pour passer à 03h00. L'heure normale sera rétablie le 26 octobre.

Le changement s'effectue automatiquement pour la plupart des horloges des gares, des clochers, des écoles ou des feux rouges. C'est en général aussi le cas pour les téléphones portables, ordinateurs et autres appareils connectés.

Cette année, l'heure d'été durera du 30 mars au 26 octobre. Ce jour-là, les horloges seront ramenées de 03h00 à 02h00. L'heure normale s'appliquera donc à nouveau à partir de cette date.

Le système de l'heure d'été a été introduit en Suisse en 1981 pour s'aligner sur les pays voisins et sur fond d'économies d'énergie. Ce système ne fait toujours pas l'unanimité. Pour ses détracteurs, il perturberait l'horloge biologique des humains comme celle des animaux.

Aux Etats-Unis, le président élu Donald Trump avait déclaré en décembre qu'à son retour au pouvoir son parti s'attacherait à "éliminer l'heure d'été" dans le pays. "L'heure d'été est peu pratique et très onéreuse", avait-il écrit sur son réseau social Truth Social.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Hockey

Luc Tardif et l'IIHF défendent les intérêts du hockey mondial

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Président de l'IIHF, Luc Tardif a plusieurs dossiers à régler (© KEYSTONE/PETER SCHNEIDER)

Successeur de René Fasel à la tête de l'IIHF depuis septembre 2021, Luc Tardif a plusieurs défis face à lui.

Le Franco-Canadien, qui fêtera ses 72 ans samedi, les a expliqués à l'agence Keystone-ATS lors de son passage à Lausanne sur le plateau de l'émission "Les Puckalistes".

En prenant la tête de la fédération internationale, Luc Tardif savait bien qu'il allait avoir une sacrée pile de dossiers sur son bureau. Celui qui fut trésorier de l'IIHF pendant dix ans a donc repris ce que le Fribourgeois René Fasel appelait son bâton de pèlerin. Calendrier international, envies d'Europe de la NHL, présence des joueurs de la NHL aux JO, absence prolongée de la Russie et de la Biélorussie, Luc Tardif a suffisamment de pain sur la planche. Interview.

-Monsieur le Président, de nombreuses voix se demandent si le Championnat du monde ne devrait pas se tenir tous les deux ans. Mais René Fasel avait expliqué que cette compétition était nécessaire à la fédération pour financer d'autres projets. Où en sommes-nous?

"Nous avons un engagement jusqu'en 2033. Donc si on change les fréquences du Mondial, on doit revoir ce contrat qui a été signé avant le covid et la guerre en Ukraine, dans des bonnes conditions pour nous. L'idée serait de changer les séquences, mais on ne peut pas faire ça tout d'un coup. On doit envisager un calendrier général et avant tout régionaliser les compétitions. D'avoir la Nouvelle-Zélande qui se déplace à Mexico pour un tournoi, par les temps qui courent, ce n'est pas raisonnable."

-On sait que la NHL veut relancer la Coupe du monde et qu'elle a récemment organisé un tournoi en février avec le Canada, les Etats-Unis, la Finlande et la Suède. Comment voyez-vous cela?

"Avec la NHL qui veut venir en Europe, on va devoir changer les fréquences et le calendrier à moyen terme. Vous savez, c'est avant tout une opération commerciale. Il y a une tendance. La NBA veut créer une ligue en Europe, les clubs de foot avaient parlé de la Super Ligue, on voit que les organismes privés sont en train de prendre le pas sur les fédérations ou les organisations comme la nôtre. Mais si l'IIHF ne finance plus en totalité les opérations qui ne sont pas rentables, ce sera difficile de les maintenir. On a fait beaucoup de progrès sur le sport féminin, mais on ne peut pas capitaliser là-dessus aujourd'hui."

-L'IIHF doit donc se battre pour son sport?

"Nous comptons 84 pays membres et quatre divisions. Personne à part l'IIHF ne va financer ces manifestations. En tous les cas pas des ligues privées avec des actionnaires à contenter. Ce sont les enjeux d'aujourd'hui. Mais on n'est pas les seuls. Je parlais récemment avec le président de la fédération de triathlon qui doit lutter contre des entreprises privées qui mettent sur pied des compétitions avec des prize money intéressants. On est à la croisée des chemins."

-Cela ne doit pas être simple de négocier avec la NHL?

"On essaie de faire de la pédagogie, mais ce ne sont pas des gens qui comprennent trop la pédagogie. On a un peu le sentiment d'être comme le Groenland, mais on va défendre au mieux nos intérêts. On le voit avec les velléités d'expansion de la NBA et de la NFL avec des matches dans le monde entier. Alors lorsque l'on discute avec la NHL et la NHLPA (réd: l'association des joueurs), on doit expliquer que quand on arrive en février, des ligues comme la National League ou la DEL allemande savent que les play-off approchent et qu'un gros tournoi est difficile à mettre sur pied. Les budgets TV ne sont pas extensibles et ils vont en prendre une partie."

-Pourtant l'Europe fournit de plus en plus de joueurs à la NHL!

"Absolument, mais la NHL ne s'intéresse pas au développement des jeunes comme les clubs en Europe. En 1976, j'ai fait le camp de développement des Toronto Maple Leafs et il n'y avait que deux Européens. Aujourd'hui, 33% des joueurs en NHL viennent d'ailleurs que d'Amérique du Nord et ça va aller en grandissant."

-Qu'en est-il de la présence des joueurs de NHL aux JO? C'est tout bon pour l'année prochaine à Milan?

"On devrait y arriver. J'attends de signer avec la NHL. C'est l'IIHF qui décide si les conditions sont remplies pour la présence des joueurs de la NHL, parce qu'il y a des assurances de plusieurs millions à signer. La signature doit se faire entre nous, le CIO, le comité d'organisation de Milan-Cortina, la NHL et la NHLPA. L'idée est de signer pour deux JO, mais on est sur la réserve pour 2030. Et on discute aussi de la Coupe du monde en 2028. On a un comité qui réunit les clubs, les ligues, les fédérations et l'IIHF et on a répondu à la NHL qu'on n'était pas contre un tournoi en février 2028, mais pas en Europe, en Amérique du Nord. Ou si c'est en Europe, alors en septembre."

-Dernier point chaud pour vous, le cas de la Russie et de la Biélorussie toujours exclus à la suite de l'invasion russe en Ukraine. Où en est-on?

"On ne peut pas être à la tête d'une fédération et ne pas s'inquiéter de ça. Même s'il faut rester loin de la politique, tout est politique. En ce qui concerne l'exclusion de la Russie, c'est avant tout pour des questions de sécurité et de protection de nos compétitions. Chaque année on a essayé de revoir l'histoire. On espère retrouver le plus vite possible le Championnat du monde tel qu'il était avant, parce que cela signifierait que la guerre est terminée et que ça va mieux. On a pris une décision en février, parce que ce n'est pas simple de réintégrer la Russie et la Biélorussie, étant donné que cela impacte les promotions et relégations de quatre divisions. Il faut avoir plusieurs mois d'avance. Et si on prend le cas de la Suisse en 2026, l'organisateur a besoin de savoir dès la fin du précédent Mondial qui joue dans quelle poule pour organiser la vente des billets. On essaie d'attendre le plus longtemps possible. En février 2026, on prendra la décision concernant 2027."

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Hockey

Lausanne-Fribourg, comme un air de revanche

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Lausanne espère bien la même issue que lors de la demi-finale de l'an dernier face à Fribourg (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

Les demi-finales des play-off de National League commencent samedi. Et les Romands se passionneront pour la série Lausanne-Fribourg, remake de la saison passée.

Il est l'heure de faire la belle. Pour la troisième fois en quatre saisons, Lausanne et Fribourg vont en découdre en play-off. Fribourg s'était imposé 4-1 en quarts de finale en 2022, alors que le LHC avait dominé les Dragons sur le même score l'an dernier.

Ce troisième affrontement verra donc l'une des deux équipes passer devant et mener 2-1. Et comme l'an dernier, les deux formations ont dû passer par sept manches pour s'extirper des quarts. L'an dernier, le LHC avait battu Davos en étant mené 3-2, alors que Gottéron s'était fait peur face à Lugano. Cette fois-ci, Lausanne s'est fait peur contre Langnau mais a fini par passer, tandis que Fribourg a réussi l'exploit d'éliminer Berne sur sa glace.

Berra face à Pasche

En saison régulière, les deux équipes ont enlevé chacune deux matches. Mais les deux derniers duels ont tourné à l'avantage de Fribourg avec Lars Leuenberger à la bande. Mieux structuré défensivement qu'en début de saison, Fribourg donne le sentiment d'être en mission. Vainqueur de la saison régulière, Lausanne n'a lui pas terminé la saison de la meilleure des manières et a dû cravacher contre un Langnau pugnace.

Est-ce que la démonstration de l'acte VII et ce succès 6-2 avec 56 tirs à 10 signifie que le LHC a enfin activé le mode play-off? Chaque série a son histoire et il y a fort à parier que les matches seront serrés. Dans les rangs fribourgeois, on peut s'appuyer sur un excellent Reto Berra dans les buts. A Lausanne, ce n'est plus Connor Hughes qui protège le filet mais le jeune Kevin Pasche, 22 ans. Brillant en saison régulière avec neuf blanchissages, le dernier rempart des Vaudois a vécu sa première série en tant que titulaire et il a parfois encaissé des buts évitables, mais le talent est là.

Kahun contre Sörensen

Les situations spéciales pourraient faire la différence et le power-play des Dragons est plus performant que celui des Lions (17,24% vs 9,52%). Mais le box-play vaudois tourne à 84% contre 76,47% pour les Fribourgeois. A noter que Gottéron a été plus discipliné que les Lausannois avec 29 pénalités mineures contre 34 pour les hommes de Geoff Ward.

L'arrivée de Dominik Kahun a permis de compenser la blessure de Janne Kuokkanen. L'Allemand partage la première place du classement des meilleurs compteurs avec Marcus Sörensen (10 points chacun). Le Suédois compose une première ligne redoutable avec Lucas Wallmark et Sandro Schmid. A Lausanne, Kahun joue avec Théo Rochette, 6 buts, et Jason Fuchs. Le LHC semble un tout petit mieux armé offensivement, mais la défense de Fribourg a montré contre Berne qu'elle savait prendre les choses en mains au besoin.

Le vainqueur de cette confrontation en découdra pour le titre avec le gagnant du duel entre Zurich et Davos. Champions en titre, les Lions ont écarté Kloten 4-1 tandis que Davos a surpris tout le monde en venant à bout de Zoug en seulement quatre parties.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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