Vaud
Violences à l'école: comment les futurs enseignants feront face?

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Menaces, insultes, attaques physique... Selon une étude, de nombreux enseignants se retrouvent confrontés à diverses agressions dans le cadre leur métier.
2 enseignants alémaniques sur 3 ont été victimes de violences au cours de leur carrière. C’est ce que révélait l’association faîtière des enseignantes et enseignants de Suisse alémanique le 16 janvier. En Suisse romande, le phénomène existe aussi, même s’il n’a pas encore été chiffré. Si ces agressions peuvent venir de différentes personnes, ce sont majoritairement les élèves et leurs parents qui sont en cause. Insultes, intimidations, voire attaques physiques, la liste est longue.
Mais dans ce cas, qu’en est-il des futurs professionnels? Les enseignants de demain sont-ils prêts à affronter cette nouvelle réalité?
Aude Müller est enseignante généraliste au primaire. Elle a obtenu son diplôme à la HEP Vaud l’année passée. Pour elle, la formation qu'elle a reçu autour de la violence en classe est largement insuffisante.
De son côté, la HEP Vaud rappelle qu'elle propose une formation continue sur la gestion de la violence en classe. Elle est disponible à tous les étudiants ayant obtenu leur Bachelor. Un complément de formation tout à fait normal pour Yves Froidevaux, secrétaire général de la Société pédagogique vaudoise.
La formation, c'est une chose, mais la réalité du terrain en est bien souvent une autre. Que faire si, malgré ce qui lui a été enseigné, un professeur novice se retrouve dans une situation impossible à maîtriser à lui seul?
Cyril Petitpierre est directeur de la formation à la HEP Vaud. Selon lui, le meilleur bouclier pour les jeunes enseignants, c’est l’entraide.
Si les violences en classe ont pu être chiffrées outre-Sarine, ce n'est pas encore le cas en Romandie. Une situation que regrette Yves Froidevaux. Un meilleur suivi des enseignants débutants est selon lui indispensable pour prévenir de ces dangers.
L’association à l'origine de l'étude rappelle qu'elle ne souhaite pas créer la panique. Selon elle, il n'y a pas encore de situation "à l'américaine". Les incidents graves comme les agressions sexuelles, armes ou blessures restent des cas isolés.
Lausanne
Lausanne inaugure une nouvelle zone de baignade à Ouchy
Après celle du Vieux-Port, Lausanne a inauguré mercredi une nouvelle zone de baignade à Ouchy. Pérenne et sur une distance d'environ 400 mètres, elle se situe le long du quai d'Ouchy, à la hauteur du Musée olympique. Elle est accessible depuis des escaliers déjà existants, désormais équipés de mains courantes, et offre plus de 40'000 m2 d'espace de baignade.
Il s'agit de la cinquième zone de baignade urbaine au bord du lac Léman. La Ville compte déjà la plage du Bourget, la plage publique de Bellerive et la Jetée de la Compagnie (2019) dans le secteur de Vidy ainsi que le Vieux-Port d'Ouchy (2021) et désormais le quai d'Ouchy.
Son plan d'eau est délimité par des bouées jaunes, y interdisant la navigation, indique la Ville dans un communiqué. Cet aménagement a nécessité toutefois de déplacer plus au large le plan d'eau attribué au Ski Nautique Club Lausanne (SNCL) pour ses activités de slalom. Une douche est aussi en cours d'installation.
La mise en oeuvre de ces aménagements a nécessité une collaboration étroite entre les services de la Ville, les autorités cantonales et les différents usagers. Des accords ont été conclus avec les pêcheurs et le SNCL afin de garantir une cohabitation harmonieuse des différentes activités, précise la Municipalité.
Répondre à la demande
Pilotés par le Service de l'économie de la Ville de Lausanne, ces projets répondent à une demande croissante de la population lausannoise ainsi que des touristes, selon les services de Pierre-Antoine Hildbrand, municipal en charge de l'économie et de la sécurité. "Ils viennent enrichir l'offre estivale, en complément des buvettes de bord de lac", explique-t-il, cité dans le communiqué.
Ces aménagements s'inscrivent par ailleurs pleinement dans les objectifs du programme de législature. A savoir, valoriser les rives du Léman, favoriser les liens sociaux et continuer à faire rayonner Lausanne comme "la meilleure petite ville du monde", est-il rappelé.
Les rives de Lausanne s'étendent sur 5 km, de la Vuachère (limite avec Pully) à la Chamberonne (frontière avec Saint-Sulpice).
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Vaud
Place d'Armes d'Yverdon: la Municipalité défend son contre-projet
La Municipalité d'Yverdon-les-Bains a lancé mercredi la campagne en vue de la votation "historique" du 18 mai sur le parking de la place d'Armes. A l'initiative populaire demandant 1000 places en souterrain, l'exécutif propose un contre-projet à 800 places, réparties sur l'ensemble du centre-ville et pas forcément en sous-sol.
Dans la première version de son contre-projet, présentée en juin dernier, la Municipalité proposait de construire un parking souterrain à la place d'Armes de 600 places, auxquelles s'ajouteraient 200 autres en surface. Le Conseil communal lui a toutefois demandé en février de revoir sa copie, et d'envisager un nombre restreint de places en sous-sol.
Combien en restera-t-il si le contre-projet est accepté le 18 mai ? La Municipalité a expliqué qu'elle ne le savait pas encore, que des études devraient être menées pour savoir comment répartir, entre surface et sous-sol, le total des 800 places qu'elle souhaite maintenir au centre-ville (il en existe aujourd'hui 1070).
Projet illégal
Une chose est certaine, la Municipalité rejette avec vigueur l'initiative populaire qui demande la construction d'un parking souterrain "de l'ordre de 1000 places" sous la place d'Armes.
Présent in corpore devant les médias, l'exécutif yverdonnois a rappelé qu'un projet semblable avait été préavisé défavorablement en 2021 par le Canton de Vaud. Outre le fait qu'il serait "trop grand" pour une ville comme Yverdon, un parking de 1000 places serait "non conforme" aux législations cantonale et fédérale, en matière notamment de trafic, de bruit et d'impact sur l'environnement.
Les municipaux ont ainsi assuré que si l'initiative était acceptée, elle donnerait lieu à "une cascade" d'oppositions et de recours. Et qu'au final, le Tribunal fédéral s'opposerait au projet. Selon eux, leur variante à 800 places, dont une partie en souterrain, est la seule option qui serait "réalisable" et "acceptable" selon Christian Weiler, municipal chargé de la sécurité publique.
Elle permettrait aussi d'imaginer "une desserte plus fine" du centre-ville, plutôt que d'avoir un seul grand parking à la place d'Armes, comme l’explique Brenda Tuosto municipale chargée de la mobilité, de l’environnement, et des infrastructures.
Consensus municipal
Prenant la parole à tour de rôle, les sept élus ont souligné qu'ils s'exprimaient "d'une seule et même voix", que leur contre-projet était le fruit d'un compromis. L'intérêt de la Ville doit l'emporter sur les intérêts des partis et de leurs "dogmes" en matière de parking, ont-ils répété.
"Les discussions ont été intenses et chacun a dû mettre de l'eau dans son vin. Je dois saluer l'esprit de consensus de mes collègues", a affirmé le syndic Pierre Dessemontet, à la tête d'une Municipalité dominée par la gauche (3 PS, 2 Vert-e-s, 2 PLR).
Une première
Le 18 mai, le contre-projet de la Municipalité sera opposé à l'initiative du Collectif aménagement et parking de la place d'Armes (CAPPA), lequel tiendra prochainement sa propre conférence de presse pour présenter ses arguments. Fin 2023, le collectif avait facilement récolté plus de 4500 signatures pour son initiative, alors que 3060 étaient nécessaires.
A noter que les deux camps ne s'opposent pas sur le réaménagement en surface de la place d'Armes, où les quelque 350 places actuelles devraient être remplacées par des espaces de détente végétalisés.
Si le contre-projet et l'initiative sont acceptés par le peuple le 18 mai, c'est l'initiative qui l'emportera. En cas de double non, tout serait à refaire.
Quelle que soit l'issue du scrutin, cette votation s'annonce historique. En plus de 60 ans de débats conflictuels et de projets divers, c'est la première fois que la population yverdonnoise se prononcera sur l'avenir de la place d'Armes.
Sophie Vassutine & KEYSTONE ATS
Football
A la découverte des métiers du sport avec le FC Lausanne-Sport
Plus de 2600 élèves vaudois ont eu l'occasion mercredi de partir à la découverte des métiers du sport avec le FC Lausanne-Sport. L'évènement s'est déroulé dans les coulisses du football professionnel au stade de la Tuilière à Lausanne. Issus de 130 classes et de 19 communes, les enfants de la 9 à la 11P étaient encadrés par plus de 280 enseignants pour la journée.
Les jeunes ont pu explorer une large palette de professions liées au sport. Loin de se limiter au rôle de joueur, cette journée a mis en lumière des carrières variées: journalisme sportif, préparation physique, gestion d'un club, nutrition, arbitrage ou encore coordination sport-études.
"L'évènement va bien au-delà du football. Il s'agit d'inspirer et d'engager les générations futures tout en leur offrant une ouverture vers l'univers professionnel du sport. Nous sommes fiers de pouvoir connecter les élèves à nos valeurs de rigueur, de travail et de plaisir", affirme le président ad intérim du LS, Vincent Steinmann, cité dans un communiqué.
"Un des buts de l'école vaudoise est d'apprendre à vivre ensemble. Cela passe par des activités dans nos murs et en dehors. L'école valorise les actions qui permettent aux jeunes en fin de scolarité de s'immerger dans le monde professionnel et découvrir des métiers". complète Cédric Blanc, directeur de la Direction générale de l'enseignement obligatoire et de la pédagogie spécialisée (DGEO), co-organisatrice de la journée avec le LS.
A l'occasion de cette troisième édition, les élèves de la 9e à la 11e Harmos ont ainsi découvert les coulisses du football professionnel à travers des ateliers interactifs, des interviews de footballeurs et des rencontres avec des spécialistes. Une table ronde a également mis en avant le développement du football féminin et l'Euro 2025.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Vaud
La Municipalité de Payerne et la CICAD vont travailler ensemble
La Ville de Payerne et la CICAD souhaitent réunir leurs forces. Elles vont entreprendre une démarche conjointe portant sur le travail de mémoire et sur la lutte contre les discriminations.
En date du 1er avril 2025 à Genève, une délégation de la Municipalité de Payerne a rencontré la direction de la Coordination intercommunautaire contre l'antisémitisme et la diffamation (CICAD). Les participants ont posé les bases d’un dialogue constructif afin d’ouvrir la voie à une collaboration en matière de lutte contre les discriminations, annonce la Municipalité mercredi dans un communiqué.
Cette démarche s’inscrit dans le prolongement des actions menées par la Ville de Payerne dans la lutte contre les discriminations et dont l’importance a encore été soulignée par les événements survenus lors des Brandons de Payerne 2025.
Le travail de mémoire visera à favoriser la transmission d’évènements historiques s’étant déroulés durant la Seconde Guerre mondiale dans une approche éducative et pédagogique, précise la Municipalité. Les étapes de ces projets et leur mise en place seront définies lors des futures rencontres entre la Ville de Payerne et la CICAD.
Pour rappel, des tags aux relents racistes et "antisémites" ont été apposés sur les vitrines de commerçants payernois pendant les Brandons le week-end des 8 et 9 mars. Le Ministère public vaudois a ouvert une instruction, estimant qu'il existe "un soupçon" d'infraction pénale de discrimination et incitation à la haine.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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Carole Schmid
25 septembre 2023 à 20:23
En effet, un accompagnement et un soutien sur le terrain à nos côtés devient urgemment indispensabl.1 coatch ou 1 médiateur à cet effet et formé devient une réalité dans notre métier. Sans penser que notre poids et notre crédibilité ne sont plus d actualité,parents et élèves ont gagné trop de pouvoir à notre grand désarroi?!Il est temps que nous soyons soutenus....