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Vaud

Pollution lumineuse: Lausanne va éteindre 120 lampadaires

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120 lampadaires vont être éteints à Lausanne d’ici fin mars en périphérie de la ville de Lausanne. (© KEYSTONE/Jean-Christophe Bott

Lausanne poursuit son plan d’action pour lutter contre la pollution lumineuse. D’ici fin mars, la ville éteindra 120 lampadaires dans 5 quartiers en périphérie. Cette première étape du Plan Lumière doit permettre de favoriser la biodiversité et la qualité du sommeil.

Éteindre l’éclairage public lorsqu’il n’est pas nécessaire...C’est le sort qui sera réservé à 120 lampadaires en périphérie de la ville de Lausanne d’ici fin mars. Ce test marque la première étape du Plan Lumière II, lancé par la Municipalité pour lutter contre la pollution lumineuse. Xavier Company, municipal chargé des Services industriels de Lausanne, explique les effets de l’éclairage public sur notre corps et celui des animaux.

Les quartiers de Vernand, Montheron, Chalet-à-Gobet, Montblesson et Vers-chez-les-Blancs sont concernés. Le municipal revient sur les raisons qui ont conduit la Municipalité à implanter ces premières actions dans ces zones foraines spécifiquement

Des ateliers avec quelques 200 habitants de ces quartiers ont permis de récolter les avis et les besoins en matière d’éclairage public. Les zones et les horaires d’extinctions ont ainsi été choisis pour éviter sentiment d’insécurité et accidents. On retrouve Xavier Company.

La deuxième étape prévoit le remplacement de 400 lampadaires LED, pour programmer des extinctions au cours de la nuit. D’ici 2033 ce sont 16'000 points qui seront équipés de LED afin de réaliser des économies d’énergie.

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Sport

Les pépites du kickboxing ont leur ring à Lausanne

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Le kickboxing s'invite à Lausanne ce samedi. Une dizaine de combats auront lieu à la Vallée de la Jeunesse. De quoi offrir une vitrine aux jeunes talents.

Une dizaine de combats aura lieu ce samedi à Lausanne. Ce sera à l'occasion du Gala de Kickboxing KOS (King of Switzerland). C'est la première fois que l'événement est organisé.

Une demi-finale européenne se jouera également. Si les organisateurs ont mis sur pied cet événement, c'est que le kickboxing est un sport en plein essor. Et la Suisse dans tout ça, où se situe-t-elle?

Une discipline qui, comme les sports de combat de manière générale, souffre d’une mauvaise connotation. Alors que l'envie de se battre ou la violence n'est pas du tout le moteur de celles et ceux qui les pratiquent.

Pour découvrir ce sport et les talents locaux, c'est donc samedi à la Vallée de la Jeunesse. Programme complet sur le site de l'événement.

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Économie

Stade de Coubertin à Lausanne: projet de transformation réajusté

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La Municipalité de Lausanne a ajusté son projet de transformation du stade Pierre-de-Coubertin (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

La transformation du stade Pierre-de-Coubertin à Lausanne peut aller de l'avant. Sans toucher au coeur du projet, lequel prévoit toujours une enceinte de 12'000 places, la Municipalité a apporté quelques précisions, notamment en matière de financement.

Une année après avoir retiré un premier préavis, à la suite des critiques de la commission du Conseil communal, la Municipalité a transmis jeudi une nouvelle mouture au législatif. "Le projet n'a pas été modifié, mais les explications qui avaient été jugées insuffisantes par la commission ont été complétées", explique vendredi le syndic Grégoire Junod, contacté par Keystone-ATS.

Le projet vise toujours à transformer le stade du bord du lac en une enceinte de 12'000 places fixes, dont 4000 couvertes. Il sera appelé à remplacer la vétuste Pontaise, et notamment à accueillir le meeting d'Athletissima. Il servira aussi à différents clubs et permettra aux sportifs amateurs "une pratique libre tout au long de l'année", affirme la Municipalité.

Si le nouveau préavis a été "enrichi", c'est surtout sur la question du financement. "La première version indiquait des financements privés et publics, mais aucun montant n'était consolidé", relève M. Junod.

Sur un coût total en phase d'avant-projet estimé à 68,3 millions de francs, le préavis mentionne désormais que la Ville de Lausanne s'engagera pour un maximum de 49,7 millions. S'y ajouteront des apports du Canton de Vaud et de la Confédération pour 17,5 millions. La Municipalité promet aussi qu'elle va "rechercher des contributions complémentaires auprès de sponsors ou mécènes".

Nouvelle Pontaise

Concernant l'impact environnemental, la construction de la tribune principale nécessitera toujours l'abattage de 286 arbres. Cette perte sera toutefois "surcompensée", sachant qu'il est prévu de planter 450 nouveaux arbres sur le site. Les emprises routières alentours seront diminuées et le stationnement situé au nord du stade supprimé, précise la Municipalité. Elle ajoute que "la taille de surfaces perméables sera maintenue malgré une augmentation des surfaces bâties".

Parmi les autres interrogations soulevées l'an dernier, l'avenir de la Pontaise est désormais plus clair. Comme déjà annoncé, le vénérable stade, inauguré en 1952, ne sera pas rasé, mais "reconverti" pour accueillir des logements, commerces, bureaux et diverses activités sportives, associatives ou culturelles.

"Le stade restera, mais des modifications pourraient être apportées pour l'adapter à ces nouveaux usages", indique Grégoire Junod. Et de préciser que le concours pour la reconversion de la Pontaise devrait être lancé d'ici 2026.

Pour le stade de Coubertin, le dossier retourne au Conseil communal, lequel devra se prononcer sur le nouveau rapport-préavis. Il lui est aussi demandé d'allouer un crédit de 4,4 millions pour la poursuite des études sur la transformation du stade.

Si le projet passe les prochains écueils, notamment d'éventuels recours, le nouveau stade de Coubertin pourrait être inauguré "à l'horizon 2029", estime le syndic de Lausanne.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

De Vuiteboeuf à Ste-Croix: début du chantier prévu sur quatre ans

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La route cantonale reliant les communes d'Yverdon-les-Bains et de Sainte-Croix (photo) constitue une liaison importante entre la Suisse et la France, avec une fréquentation moyenne de 6800 véhicules par jour (archives). (© Keystone/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Prévu sur quatre années, l'important chantier de réaménagement de la route cantonale entre Vuiteboeuf et Sainte-Croix a symboliquement démarré vendredi. La cérémonie du premier coup de pioche a eu lieu en matinée, en présence notamment de la ministre vaudoise des transports Nuria Goritte et des syndics Yvan Pahud (Sainte-Croix) et Maude Schreyer (Bullet).

Cette route cantonale reliant les communes d'Yverdon-les-Bains et de Sainte-Croix (RC254) constitue une liaison importante entre la Suisse et la France, avec une fréquentation moyenne de 6800 véhicules par jour, rappelle le Canton dans un communiqué.

"Actuellement, le tronçon concerné - entre le lieu-dit du "Grand Contour" et "Le Rocher", à l'entrée du village de Sainte-Croix - est à géométrie variable. La largeur de la route, parfois insuffisante et sans voie de dépassement, rend difficile le croisement des véhicules. De nombreux virages en épingle péjorent par ailleurs la visibilité du tracé", écrit-il.

Sur 3,7 kilomètres

"Ces travaux importants sur une longueur de 3,7 kilomètres permettront d'améliorer l'état général du tronçon et des ouvrages, fortement dégradés, ainsi que de garantir la sécurité et la fluidité du trafic dans ce secteur accidentogène et d'améliorer la qualité de vie des riveraines et riverains, notamment grâce à la création d'un tunnel", expliquent les autorités cantonales.

Le tunnel prévu de 180 mètres se situera sous le lieu-dit "Le Château-de-Sainte-Croix". Son objectif est d'éliminer le contour dangereux du Château, de diminuer le bruit routier et d'améliorer la qualité de l'air, selon le Canton. La création d'une voie de dépassement alternée est également prévue juste après le "Grand Contour".

A l'issue des travaux, la route de contournement actuelle du Château-de-Sainte-Croix sera remise à la commune et en partie réaménagée avec la création d'un itinéraire alternatif dédié aux cyclistes et aux piétons, est-il précisé.

Un chantier à plus de 35 mio

Afin de garantir la sécurité des usagers et des ouvriers, des fermetures de la route sont prévues: du 10 mars au 31 octobre entre l'entrée de Sainte-Croix et le carrefour avec la route cantonale (RC 259) menant à Bullet (avec ainsi une déviation par Bullet); du 23 juin au 24 août sur la quasi-totalité du tronçon, impliquant une déviation par Mauborget.

En dehors des fermetures de route prévues en 2025, la circulation sera maintenue via un trafic bidirectionnel géré par des feux et une gestion des travaux par tronçon.

Les travaux sont coordonnés avec la compagnie de transports publics Travys afin de pouvoir garantir en tout temps une alternative efficace et durable par le rail. Lors de la fermeture complète de la route, cet été, une offre tarifaire permettra de circuler en train à prix réduit du 23 juin au 24 août.

La fin des travaux est prévue pour l'automne 2028. La pose de la couche finale et du revêtement bitumeux se fera à l'été 2029. Leur coût se monte à plus 35 millions de francs.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

MCBA: installations spatiales et jeu de perception avec Sophie Thun

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L'Espace Projet du Musée cantonal des Beaux-Arts (MCBA) à Lausanne accueille la première exposition monographique de l'artiste germano-polonaise Sophie Thun en Suisse, "Wet Rooms". (© Keystone/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

L'Espace Projet du Musée cantonal des Beaux-Arts (MCBA) à Lausanne accueille la première exposition monographique de l'artiste germano-polonaise Sophie Thun en Suisse. Jouant avec les notions d'échelle et de trompe l'oeil, ses vastes installations photographiques prennent pour point de départ le lieu d'exposition.

Faisant référence à la chambre noire où Sophie Thun développe ses photographies argentiques, "Wet Rooms" rend visible "les modes de production et de manipulation des images à travers un procédé complexe de superposition qui remet en question toute notion fixe d'espace et de temps", indiquent les responsables du musée.

C'est dans cet espace de solitude et de silence que l'artiste, née en 1985 à Francfort, reconstruit sa vision du monde, notamment à travers le motif de la fenêtre qui revient sans cesse dans son travail. "Dans un savant jeu de collage où se mêlent photogrammes et tirages de grand format, elle vient superposer sa propre image aux lieux où elle a vécu, travaillé et exposé, à la manière d'une archive sans cesse réactualisée", est-il expliqué.

Autrice et objet

Se concentrant sur la question de l'auto-représentation, Sophie Thun est à la fois celle qui produit l'image et celle qui s'expose, et donc l'autrice et l'objet. Elle renverse ainsi la dynamique de pouvoir au coeur des stratégies de représentation qui ont longtemps alimenté l'histoire du nu féminin ou les codes de la pornographie, commentent les organisateurs.

"Mais cette affirmation s'accompagne aussi d'une forme de disparition. Son corps démultiplié, découpé et réagencé est à la fois partout et nulle part. L'exposition devient alors le lieu où coexistent les fragments d'une identité multiple, laissant entrevoir les contours d'une autofiction", écrivent-ils.

Après avoir grandi à Varsovie en Pologne, Sophie Thun a étudié les arts graphiques dans le même pays, à Cracovie, puis la peinture et la photographie à l'Académie des Beaux-Arts à Vienne en Autriche. Elle vit et travaille aujourd'hui entre Vienne et Berlin.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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