Vaud
Pascal Broulis livre sa version des faits
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Pascal Broulis est prêt à un contrôle fiscal. Le ministre vaudois des finances dit n'avoir jamais envisagé son organisation sous l'angle de l'optimisation fiscale.
Dans une interview accordée au Matin Dimanche, le chef du Département des finances et des relations extérieures (DFIRE) détaille son organisation familiale afin de répondre aux critiques sur la répartition de ses impôts: depuis 2011, deux tiers à Sainte-Croix et un tiers à Lausanne, auparavant uniquement dans la commune du Jura vaudois.
Selon lui, il ne s'agit pas d'optimisation fiscale. "Si j'avais fait l'inverse - m'acquitter de deux tiers de mes impôts à Lausanne et un tiers à Sainte-Croix -, j'aurai payé seulement quelques centaines de francs de plus par an", note-t-il.
Besoin de réponses
Le ministre concède "avoir peut-être manqué de sensibilité politique" en n'annonçant pas plus tôt être prêt à un contrôle fiscal. "Mais il m'a été difficile d'y voir clair. Cela partait dans tous les sens".
L'élu invoque aussi son respect pour le Parlement, "c'est à lui que je voulais répondre d'abord. Mais aujourd'hui il y a un emballement, un besoin de réponses."
Centré sur Sainte-Croix
Le grand argentier apporte ainsi des précisions sur sa domiciliation fiscale contestée depuis trois semaines suite à un article publié par le Tages-Anzeiger. "Depuis 2002, l'année de mon élection, je me suis toujours organisé pour que le lieu de ma vie et de ma famille soit Sainte-Croix", explique-t-il. Il se marie à fin 2002, un fils naît en 2003.
"La maternité, la petite enfance, tout se passe là-haut jusqu'en 2007", où il prend la présidence du Conseil d'Etat. Le couple demande la scolarisation du fils à Lausanne. L'administration répond qu'il faut l'inscrire en résidence secondaire.
Jusqu'en 2010, Pascal Broulis "pense être à moins de 90 jours à Lausanne". Ensuite, la répartition actuelle se met en place. En 2011, Florence Germond, cheffe des finances de la Ville de Lausanne, le contacte. "Elle m'a dit que mon enfant commençait à entrer dans la grande école et m'a demandé s'il n'y avait pas une répartition des impôts communaux à faire. J'ai dit oui".
Mobilité et tranports
Le conseiller d'Etat dit passer en gros à 240 jours par an à Sainte-Croix. Quant à sa déduction de frais de transport de 15'000 francs pour 2015, il explique faire beaucoup de trajets en raison de sa fonction et parfois plusieurs allers et retours dans la même journée. Sa vie, "oui, elle est folle, mais c'est mon rythme. Je l'assume et ma famille l'accepte, ce dont je la remercie".
Bonne foi plaidée
Quant au fait de ne pas être inscrit au Contrôle des habitants de Lausanne, le ministre le qualifie "d'oubli, mais en toute bonne foi. Et de préciser que "nous n'avons jamais rien caché et que les choses étaient identifiables".
Concernant l'aspect moral, l'élu dit le comprendre et "si je n'ai pas été assez clair, je m'en excuse. (...) "Nous devons être exemplaires, ni au-dessus des lois, ni au-dessous de lois, mais dans la loi", affirme le grand argentier qui dit "avoir la conscience tranquille".
"Je n'ai jamais cherché à obtenir des passe-droits. Le Conseil d'Etat a démontré qu'il n'y avait aucun passe-droit pour la scolarité de mon fils. Côté fiscalité, je suis contrôlé comme n'importe quel citoyen", ajoute-t-il.
Entretien de la maison
Samedi, dans une autre interview publiée par 24 heures et la Tribune de Genève, Pascal Broulis donnait des explications sur un revenu imposable 2015 de 172'700 francs, inférieur à ceux de ses collègues du gouvernement. Cette année-là, il avait entrepris des "travaux d'entretien relativement importants de la façade et du toit de mon domicile principal de Sainte-Croix.
Des frais d'entretien de 24'000 francs ont été déclarés pour l'année fiscale 2015", a-t-il détaillé. Ainsi que 15'000 francs de frais de transport.
SOURCE ATS
PHOTO KEYSTONE/VALENTIN FLAURAUD
Culture
La Tour-de-Peilz: le Musée Suisse du Jeu présente "Planète Jeux"
Le Musée suisse du jeu à la Tour-de-Peilz (VD) propose une nouvelle exposition consacrée aux liens entre le jeu et la nature. Intitulée "Planète Jeux" et à voir jusqu'au 1er mars 2026, elle invite à découvrir "la diversité des imaginaires environnementaux" à travers un panorama de plus de 150 jeux de plateau et une sélection de 25 jeux vidéo.
Cette nouvelle exposition questionne "notre rapport à l'environnement et les visions du monde que le jeu façonne: doit-on accumuler des ressources pour gagner ou collaborer pour préserver la planète ?", soulignent les responsables du musée.
"Planète Jeux" s'intéresse aussi à l'impact écologique du jeu, entre production industrielle massive, extraction de métaux rares ou dépendance aux chaînes d'approvisionnement mondiales. "Comment mesurer son empreinte écologique et imaginer des alternatives plus durables ?", questionne le musée vaudois.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Hockey
Pour l'acte VII, savoir adopter la mentalité du "reset"
Comme en quarts, Lausanne et Fribourg vont devoir passer par un 7e match afin de savoir qui aura le droit de défier Zurich pour le titre. Le vainqueur sera le plus opportuniste et le moins fatigué.
Il est temps de parler du "Great Reset". Pas celui de Klaus Schwab lors du WEF pour évoquer l'économie post-covid, mais bien celui des acteurs de cette demi-finale. Cette réinitialisation nécessaire à tout sportif professionnel connaît une amplification en play-off, particulièrement au moment d'aborder une rencontre décisive ou ce que les Alémaniques nomment avec précision la Finalissima. "A quoi je pense, s'interroge Jason Fuchs après le match de jeudi soir devant la presse. A samedi. Jusqu'à preuve du contraire, il y a 0-0 et les six parties que l'on vient de disputer ne veulent plus rien dire."
Oublier le passé, ne penser qu'à l'instant présent et pas au futur, voilà ce qui attend les deux équipes samedi à Lausanne pour le 50e match VII de l'histoire de la première division helvétique.
Fribourg peut s'inspirer de Davos
Sur les 49 matches VII depuis l'introduction du best of 7 en play-off en Suisse lors de la saison 1997/98, le club à domicile compte 40 succès. Tout le monde comprend aisément pourquoi les acteurs parlent toujours de 50/50 dans ce type de rencontres, mais la froide réalité des chiffres penche en faveur d'un 80/20.
Mais cette saison, c'est bien du 50/50 dans les matches couperet! Et cela concerne les deux équipes romandes. Si Lausanne est venu à bout de Langnau lors d'un acte VII à sens unique (6-2), Fribourg avait livré une performance majuscule pour battre Berne dans son antre (4-1).
Par ailleurs revenu de 1-3 à 3-3 dans cet affrontement, Lausanne semble avoir une petite longueur d'avance. Seulement Fribourg peut s'inspirer de Davos en 2009. A cette époque, la troupe d'Arno del Curto - avec Andres Ambühl - avait réussi l'exploit de devenir champion en enlevant toutes ses séries en sept matches, soit un total record de 21 parties pour soulever le vase. Les Grisons étaient même parvenus à remporter trois manches à l'extérieur en finale, un record.
Jeter le passé par la fenêtre
Mais tant dans le camp fribourgeois qu'au sein du vestiaire vaudois, ces chiffres ne sont bons que pour les journalistes. Pétri d'expérience, le coach des Lions Geoff Ward n'accorde absolument aucune importance à l'Histoire: "On doit conserver notre identité, on a suivi le processus toute la saison et je crois que les gars ont confiance et croient en ce que l'on fait depuis le début. Ce match sera fun à jouer, la série a été serrée, on sait qu'on aura une véritable opposition de leur part et on se doit d'être préparé en conséquence. Il faut vraiment prendre tout ce qui a été fait par le passé et le jeter par la fenêtre. On se retrouve pour un dernier duel, homme à homme, alors allons-y!"
Si le passé est à jeter par la fenêtre, Ward se souvient malgré tout du nombre de matches VII qu'il a disputés durant sa carrière. "Oh mon dieu, ça va faire 21, conclut-il. Ce n'est plus aussi stressant que par le passé parce que je connais cette sensation. Quand j'étais jeune, j'étais plus excité et parfois trop attaché émotionnellement. Avec le temps et l'expérience, tu apprends à être serein. Pour ce match à venir, je sais exactement où on veut aller et certainement que l'expérience acquise l'an dernier doit aider. Mais encore une fois, quand le puck est lancé cela ne signifie plus rien, on repart à zéro."
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Vaud
Speed Dating à 60 ans: "Si on n'essaie pas, on n'a rien"
Faire des rencontres après 60 ans et peut-être, trouver l’amour. C’est l’idée du nouveau Speed Dating organisé par Pro Senectute Vaud avec Cœur 65plus. Reportage.
Après le succès de sa première édition fin 2024, l’association vaudoise a remis le couvert le 29 mars 2025. Huit bénévoles étaient sur place pour accueillir les cinquante participants au MAD Club, à Lausanne. Les duos ont été formés, par tirage au sort avant le début de la soirée. Chaque participant a reçu un badge numéroté et une feuille pour noter leurs coups de cœur. Deux groupes ont été constitués : un pour les 60-69 ans et un pour les 70 ans et plus. Au total, chaque participant a pu faire sept rencontres. C’est parti.
On s’est aussi penché sur ce qui motive les participants à tenter l’expérience.
Depuis, Pro Senectute Vaud a dévoilé les résultats. Bilan de cette deuxième édition : 11 coups de cœur réciproques et, peut-être, autant de belles histoires en devenir.
Le prochain Speed Dating est déjà annoncé pour septembre 2025, les inscriptions sont ouvertes.
Lausanne
Lausanne lance deux actions en faveur de la faune ailée
La Ville de Lausanne s'engage pour la faune ailée. Elle lance deux actions en faveur des oiseaux et des chauves-souris. Un inventaire participatif invite la population à signaler la présence de nids ou de colonies sur leurs bâtiments ou ceux de leur voisinage. Un recensement participatif est aussi prévu, pour mieux connaître les oiseaux du territoire lausannois.
Ces initiatives menées en collaboration avec la Station ornithologique suisse et BirdLife Suisse s'inscrivent dans le Plan biodiversité de la Ville, et visent à mieux connaître, protéger et favoriser les oiseaux et chauves-souris qui peuplent Lausanne, a indiqué vendredi la Municipalité dans un communiqué.
La densification urbaine menace les populations de martinets, d'hirondelles et de chauves-souris, en premier lieu en raison de la disparition des lieux de reproduction sur des bâtiments lors de rénovations. Les nouveaux bâtiments manquent généralement d'anfractuosités et d'avant-toits protecteurs requis par ces espèces pour leur installation, explique la Ville.
Afin de préserver ces populations, il est essentiel de mettre en place des stratégies de conservation adaptées à l'environnement bâti. Cette démarche permettra de mieux cibler les mesures à mettre en place, comme la pose de nichoirs adaptés, et d'offrir des solutions pratiques aux propriétaires soucieux de concilier rénovation et préservation de la biodiversité, est-il souligné.
Une heure durant, observer
Du 15 avril au 15 septembre 2025, un inventaire participatif invite la population lausannoise à signaler la présence de nids ou de colonies sur leurs bâtiments ou ceux de leur voisinage. Des descriptifs, conçus avec la Station ornithologique suisse, disponibles sur la plateforme "Lausanne Participe", permettront d'aider à identifier l'espèce.
La Ville de Lausanne agit en faveur de ces espèces depuis plusieurs années déjà, rappelle-t-elle: plus d'une centaine de nichoirs ont été installés sur les bâtiments publics, notamment des écoles. Au printemps 2025, un projet scolaire verra l'installation de près de 60 nichoirs à martinets sur le collège de Prélaz.
La population est aussi invitée du 7 au 11 mai 2025 à participer à l'action "Oiseaux de nos jardins". L'objectif est simple: pendant une heure, observer et compter les oiseaux présents depuis une fenêtre, un balcon, un parc ou un jardin, puis transmettre ses observations.
Cette action a pour but de mieux comprendre l'évolution des populations d'oiseaux tout en sensibilisant et incitant chacun à agir pour préserver la biodiversité locale. Un dépliant présentant les espèces les plus fréquentes dans les jardins et parcs est disponible afin de faciliter la participation.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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