Football
"On se fait avoir tout le temps": le SLO doit changer sa tactique
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Stade Lausanne Ouchy s’incline une fois de plus. À la Pontaise jeudi soir, les hommes de Ricardo Dionisio ont été battus 0-3 par le FC Lucerne.
Les stadistes avaient pourtant bien démarré. On peut même dire qu'ils ont dominé les 10 premières minutes du match. Les deux équipes se sont ensuite équitablement partagé le terrain pendant quelques minutes. Et puis c'est Lucerne qui a repris les rênes de la partie. Une situation que l'on observe souvent. L'analyse de Ricardo Dionisio, entraîneur du SLO, pointe les problèmes qu'ont ses joueurs à gagner des duels.
Cette question des espaces sera un point central du travail des joueurs. "Il faut qu'on arrête de prendre des buts en transition. On se fait avoir tout le temps, peste Ricardo Dionisio. Il faut qu'on soit plus équilibré, plus solide, derrière."
Des erreurs qui coûtent cher
Jérémy Vachoux, qui défendait la cage lausannoise, a souvent pris des risques en s'avançant fortement vers la ligne des 16m pour empêcher l’adversaire de cadrer. Ça a été concluant, jusqu'à ce que Lucerne ouvre le score. Thibault Klidje se retrouvant derrière le gardien, n'a pas eu la tâche difficile pour aller marquer (30e).
À peine le ballon remis en jeu, le SLO a réagi. Et c'est cette fois Liridon Mulaj qui s'est retrouvé seul face au gardien lucernois. C'est malheureusement ce dernier qui a gagné le duel. Ce ne sera pas la seule belle occasion des stadistes. Mais elles resteront toutes infructueuses.
Le 0-2 a de quoi frustrer. Déjà parce qu'il intervient quelques minutes seulement après le premier but. Mais aussi parce que Vachoux venait de réaliser une belle parade. Sauf qu'en le repoussant, le ballon s'est retrouvé dans les pieds d’Ardon Jashari, puis au fond des filets (34e).
Les visiteurs finiront d'enfoncer le clou à la 63e avec un but qui ressemble terriblement au premier. Vachoux, à nouveau très en avant du but, n'a pas pu bloquer la balle qu'avait aux pieds Pius Dorn. Le milieu de terrain s'est donc retrouvé en tête à tête avec la cage vide (63e). C'est 0-3 pour Lucerne.
Les erreurs, ça arrive, ça fait partie du sport. Ce qui questionne à l'issue du match, c'est l'attitude à certains moments. Des tribunes, on a parfois l'impression que les joueurs ne savent tout simplement pas ce qu'ils doivent faire. Ricardo Dionisio voit les choses un peu différemment.
Stade Lausanne Ouchy reste donc la lanterne rouge de Super League. Si les espoirs de remonter dans le classement s'éloignent de semaine en semaine, il faut garder le moral pour aller jusqu'au bout de la saison. Et ça, ça va passer par le travail. "Nous, on est obligés de faire plus que ce qu'on a fait jusqu'à maintenant, explique Ricardo Dionisio. Indépendamment du résultat. Alors avec des résultats négatifs, il faut donner 20, 30%, de plus. Même si les joueurs ou le staff, on pense qu'on a fait un bon job, on a pas fait un bon job parce qu'on gagne pas. Et dans ce cas là, il faut que tout le monde prenne ses responsabilités. Moi le premier parce que je suis le coach."
Football
François Moubandje met fin à sa carrière
L'ancien international suisse François Moubandje tire sa révérence, à l'âge de 34 ans. Le défenseur genevois a annoncé sa décision sur les médias sociaux.
"J'ai douté, j'ai gagné et j'ai perdu, mais je n'ai jamais cessé de me battre pour le maillot et pour l'honneur", écrit François Moubandje, qui était sans club depuis l'été dernier.
Passé par Meyrin et Servette, le latéral a rejoint en 2013 Toulouse, où il a connu jusqu'en 2019 sa période la plus faste, avant de tenter sa chance en Croatie et en Turquie. Il était revenu en Suisse en 2022, passant deux saisons au FC Sion.
Moubandje a disputé 21 matches avec l'équipe de Suisse. Il faisait partie de la sélection pour l'Euro 2016 et la Coupe du monde 2018, mais n'a pas été aligné durant ces deux tournois majeurs.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
"Cela m'est égal" de partir du Real Madrid, explique Ancelotti
Carlo Ancelotti s'est dit résigné à l'idée que le Real Madrid envisage de le remplacer en tant qu'entraîneur après l'élimination des tenants du titre en quarts de finale de la Ligue des champions.
L'Italien n'a pas su éviter une défaite 2-1 à domicile face à Arsenal, qui se qualifie sur le score total de 5-1.
Le Real Madrid a subi sa 12e défaite de la saison, alors qu'il n'en avait concédé que deux sur l'ensemble de la campagne précédente. "Il est possible que le club décide de changer (d'entraîneur), que ce soit cette année ou la suivante, lorsque mon contrat expirera, il n'y a pas de problème", a déclaré à la presse Ancelotti, en poste depuis 2021, après un premier passage entre 2013 et 2015.
A sept journées du terme de la Liga, le club madrilène pointe à quatre points de son grand rival du FC Barcelone.
Rumeurs
"Le jour où je partirai d'ici, je ne pourrai que remercier le club. Cela pourrait être demain, dans 10 jours, dans un mois ou dans un an, mais tout ce que je peux faire, c'est remercier le club, que mon contrat se termine ou non, cela m'est égal", a souligné le technicien de 65 ans, qui a notamment remporté deux championnats d'Espagne et trois Ligues des champions avec la "Maison Blanche".
Des rumeurs récurrentes ces derniers mois ont fait état en cas de départ précoce d'Ancelotti d'un intérêt des dirigeants du Real pour l'entraîneur du Bayer Leverkusen, Xabi Alonso, qui a joué pour les Merengue, et pour l'ancien manager de Liverpool, l'Allemand Jürgen Klopp.
"Cela n'a pas suffi"
Ancelotti, dont le nom a souvent été cité pour reprendre la sélection brésilienne, a lui rappelé que son équipe était toujours en lice pour la Liga, la Coupe du Roi puis la Coupe du monde des clubs cet été. "L'équipe a tout donné en termes d'attitude, mais nous n'avons pas pu le faire", a-t-il déploré mercredi.
"Pour être honnête, Arsenal a très bien défendu, nous avons eu du mal à trouver des espaces, en termes d'intensité nous avons été meilleurs mais cela n'a pas suffi", a-t-il ajouté.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Football
Yann Sommer tient sa demi-finale
Yann Sommer aura bien droit à sa demi-finale de la Ligue des Champions contre le FC Barcelone ! Le Bâlois et l’Inter n’ont pas failli à San Siro face au Bayern Munich.
Victorieux 2-1 huit jours plus tôt en Bavière, les Milanais ont obtenu un nul 2-2 qui a la saveur d'une victoire. Menés à la marque après une réussite de Harry Kane à la 52e, ils ont renversé la table en l’espace de trois minutes grâce à Lautaro Martinez (58e) et à Benjamin Pavard (61e). L’Argentin et le Français ont marqué après un corner. Cette efficacité clinique sur les balles arrêtées pourraient être également décisive face aux Catalans dans le remake de la demi-finale de 2010 qui avait souri à l’Inter de Jose Mourinho.
Impuissant sur la réussite de Harry Kane et sur la tête improbable d'Eric Dier pour le 2-2 de la 76e mais décisif au bout du temps additionnel sur une tête de Thomas Müller, Yann Sommer peut devenir une année après Gregor Kobel le deuxième portier suisse à disputer la finale de la Ligue des Champions. Même si le FC Barcelone peut se montrer irrésistible, le portier et ses coéquipiers ne doivent nourrir aucun complexe. Cette équipe de l’Inter, toujours en lice sur trois tableaux ce printemps, tient drôlement la route.
Le Real loin du compte
Le Real Madrid en revanche, est sorti de la piste. Il n’y a pas eu de remontada pour le détenteur du trophée. Malgré la ferveur de Bernabeu, les Madrilènes sont restés très loin du compte. Ils se sont incliné 2-1 devant Arsenal qui avait, faut-il le rappeler, gagner le match aller 3-0. Le soir où ils devaient toucher au sublime, Kylian Mabppé et ses coéquipiers n'ont pas pu masquer la faillite de leur jeu collectif. Battus sur des réussites de Buyako Saka (65e) et de Gabriel Martinelli (93e), les Madrilènes n'auraient jamais marqué sans une incroyable bévue de William Saliba pour le 1-1 de Vinicus Junior (68e).
Le seul moment où le public a pu croire au miracle fut lorsque Thibault Courtois a détourné à la 13e un penalty de Bukayo Saka qui a eu la mauvaise idée de tenter une Panenka. Après l’échec du no 7 des Gunners, le Real et son public ont sans doute pensé que tout pouvait leur sourire. Seulement, le football demeure un sport où le collectif prime sur les individualités, aussi brillantes qu’elles soient. Après cette élimination sans gloire, le procès de Carlo Ancelotti peut s’ouvrir. Le "Mister" n’a, pour une fois, pas trouvé la clé du succès. Quant à son homolgue Mikel Arteta, il a deux semaines devant lui pour imaginer le moyen de stopper le PSG dans une demi-finale qui s'annonce très indécise.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
Interdiction d'organiser des matches à risques en soirée en 2025/26
Les rencontres à risques du Championnat d'Italie n'auront plus lieu en soirée la saison prochaine.
Le ministère italien de l'Intérieur a pris cette décision en réaction aux violences qui ont précédé le derby de Rome dimanche.
"Lors de la saison 2025/26, il ne sera plus permis de donner en soirée le coup d'envoi des rencontres à risques, comme cela s'est passé pour le match entre la Lazio et la Roma", a indiqué mardi soir le ministère de l'Intérieur dans une communication à la Fédération italienne (FIGC).
Selon les agences italiennes ANSA et AGI, le ministère de l'Intérieur a également frappé les supporters de la Lazio et de l'AS Rome d'une interdiction de déplacement pour les trois prochains matches à l'extérieur des deux équipes.
Ces annonces font suite aux violents heurts entre ultras des clubs romains et la police, avant le "derby de la capitale", comptant pour la 32e journée de Serie A, qui s'est soldé par un nul (1-1). Avant le coup d'envoi donné à 20h45, environ 500 ultras de la Lazio et autant de la Roma ont voulu forcer les barrages de police mis en place dans les quartiers aux alentours du Stade olympique pour éviter que les supporters des deux équipes s'affrontent.
La police a fait reculer les ultras, dont certains étaient armés de barres de fer et de marteaux, en déployant des engins lanceurs d'eau. Vingt-quatre ont été blessés durant ces heurts, notamment aux jambes par des jets de pierre. La police a procédé à l'arrestation de six ultras, trois de la Lazio et trois de la Roma, qui, dans un premier temps, ont été frappés d'une interdiction de stade.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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