Vaud
Nouvelle campagne de prévention de la Ligue vaudoise contre le cancer
Protégez votre peau du soleil et restez à l’ombre ! C’est le message de la Ligue vaudoise contre le cancer qui lance une campagne de prévention.
Il faut se protéger du soleil, même lorsqu'il y a des nuages. La Ligue vaudoise contre le cancer appelle la population à la prudence avec une nouvelle campagne. Elle se déroule sur les réseaux sociaux mais également dans les écoles : des animations éducatives sont proposées aux plus jeunes. Une campagne un peu différente cette année comme l’explique Isabelle Philipona, infirmière et responsable prévention à la Ligue vaudoise contre le cancer.
Préférer l’ombre aux crèmes solaires
Cette campagne s’adresse particulièrement aux enfants, qui sont plus fragiles et vulnérables face aux rayons UV. De plus, les bons gestes doivent être appris le plus tôt possible. On retrouve Isabelle Philipona
25 000 personnes en Suisse sont diagnostiquées chaque année avec un cancer de la peau. Le message de cette année est clair : fuyez le soleil.
La Ligue vaudoise contre le cancer recommande en été de privilégier les textiles synthétiques et de couleurs foncées. Pour les lunettes de soleil, choisissez des verres avec protection UV 100%. Même si le ciel est couvert, il est toujours important de se protéger et de mettre de la crème solaire. Toutes les informations sont sur le site de la Ligue vaudoise contre le cancer.
Jeux olympiques
Léonie Pointet: "On m'a toujours dit que je courais vite"
La nouvelle génération de sprinters suisses sera à Paris dans quelques jours. Léonie Pointet sera alignée sur le 200m. Rencontre après une matinée d'entraînement.
Sous un soleil de plomb, c’est sans surprise que je retrouve Léonie Pointet au stade de la Pontaise. Le terrain est en train d’être préparé pour un match de foot, mais pas de quoi nous faire oublier que c’est aussi une sorte de temple de l’athlétisme à Lausanne. Un lieu rempli de souvenirs pour la sprinteuse de 23 ans.
Cette séance de dédicace date un peu, difficile de se souvenir de qui était présent exactement. “Peut-être Fraser-Pryce?”, s’amuse la Vaudoise. Les noms lui échappent peut-être, mais on sent que ça lui rappelle de bons moments. Mais si la Vaudoise a commencé l’athlétisme, ce n’est pas à cause des stars du sprint de l’époque.
De quoi lui donner l’énergie pour se dépasser. “C’est une grande sœur, donc j’avais toujours envie d’être un peu meilleure qu’elle”, sourit Léonie Pointet. Lorsque je lui demande si elle se souvient de ses premiers tours de piste, c’est plutôt l’équipement qui a marqué la Vaudoise.
Une particularité de la famille Pointet, c’est que quasi tout le monde est engagé en politique. Un papa conseiller national, une maman municipale et une grande sœur députée au Grand Conseil. Alors, la sprinteuse compte-t-elle là aussi marcher dans les pas de sa sœur? “Ça ne m’intéresse pas trop, donc je ne pense pas que je vais me diriger là-dedans. Après, on ne sait jamais, peut-être que dans 10 ans ça m’intéressera”, rigole la sprinteuse sans grande conviction.
Dans la cour des grands
Sa passion pour l’athlétisme, elle, ne s’est pas fait prier. Léonie Pointet excelle donc dans le sprint, notamment sur 200m et sur le relais 4x100m. Et le choix de se diriger vers la course n’a pas été compliqué.
L’envie de devenir pro s’est aussi construite dans la foulée.
Depuis l’époque des “pointes de Bolt”, Léonie Pointet a décroché deux titres de championne de Suisse indoor, un autre en outdoor et une médaille de bronze aux championnats européens U23. Son plus beau souvenir? “Les Championnats du monde à Budapest l’année passée sur 200m, répond sans hésiter la Vaudoise. J’ai été appelée au dernier moment pour courir, donc c’était une grande surprise. Et j’ai réussi à battre mon record personnel, c’était une course incroyable.” Alors maintenant, elle court avec les athlètes qu’elle regardait à la télévision.
Les premières fois qu’elle a eu l’occasion de se retrouver à leurs côtés, dans la même compétition, quelles étaient les émotions? Un accomplissement, de la fierté?
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Pour arriver à ce niveau dans l’athlétisme, il faut du travail et de la persévérance. Le milieu est très compétitif et il faut se faire sa place. Un point que Léonie Pointet a appris à gérer avec le temps.
Autre point important à gérer: la vie professionnelle à côté de l’athlétisme. En ce moment, Léonie Pointet fait des études à l’école de physiothérapie à Lausanne. Heureusement, l’établissement permet un aménagement des cours assez flexible, ce qui a permis à la sprinteuse de libérer le temps nécessaire pour la qualification pour les JO cette année. Et cette autre voie, Léonie Pointet ne l’a pas choisie par hasard.
Un müesli au cas où
Au cours de la dernière année, la place était aux qualifications olympiques. Des courses que la sprinteuse a d’abord abordées sans pression.
Une fois la qualification en poche, fallait-il encore attendre la sélection officielle des athlètes. Comment a-t-elle appris qu’elle serait du voyage à Paris?
À Paris, elle sera alignée sur le 200m où elle vise d’atteindre la finale. Elle fait aussi partie des 6 filles présélectionnées pour le 4x100m. Un rêve qui se réalise.
La Vaudoise aborde cependant la compétition avec un certain calme. Et elle est prête à faire face aux petits tracas.
Vaud
L'ArchéoLab de Pully invite à remonter le temps
Depuis le mois d’avril, l’ArchéoBus propose aux écoliers de Pully-Paudex-Belmont un voyage dans la période romaine. Il s’agit d’un camion aménagé pour le transport et la mise en œuvre d’activités pédagogiques.
Se plonger dans l’époque romaine grâce à un jeu de rôle. C’est ce que propose l’ArchéoBus, le nouveau projet de l’ArchéoLab de Pully. Il présente au public les grandes périodes de l’histoire régionale et invite les curieux à découvrir le quotidien de la population de l’époque romaine. Un outil de médiation ludique, présenté par le conservateur en charge de l’ArchéoLab de Pully, Aurèle Cellérier
Ce bus permet de présenter l'histoire sous un nouveau jour.
Donner l'envie d'en savoir plus
Qu'est-ce que le jeu permet d'apporter ? On retrouve Aurèle Cellérier.
L’équipe de l’ArchéoLab souhaite faire voyager le bus dans les différentes écoles du canton de Vaud dès la rentrée prochaine. Il sera aussi présent lors de différents évènements : l’Archéobus sera ouvert au public ce week-end dans le cadre des Garden-Parties de Lausanne.
Vaud
Un jeune automobiliste perd la vie au Sepey (VD)
Un automobiliste de 25 ans a perdu la vie mardi en fin de soirée peu après le village du Sépey (VD), sur la route du Pillon. Le conducteur, qui était seul à bord, a dévié de sa trajectoire sur le pont d'Aigremont et a heurté un mur de soutènement.
Le jeune homme, domicilié dans la région, est décédé sur les lieux, indique mercredi la police vaudoise dans un communiqué. Une enquête a été ouverte et un appel à témoins est lancé pour déterminer les causes exactes de l'accident.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Jeux olympiques
Zoé Claessens: "Je me réjouis tellement d'aller aux Jeux Olympiques"
Zoé Claessens et le BMX, c’est plus qu’une passion. C’est une affaire de famille. Elle qui, petite, ne s’imaginait pas forcément devenir pro vivra à Paris ses seconds Jeux Olympiques. Rencontre.
Chez les Claessens, le BMX, c’est dans les veines. Presque toute la famille est adepte de ce petit vélo sur lequel on dévale les pistes à toute vitesse. Seules la maman et une des sœurs ne pédalent pas. “Mon père a commencé le BMX quand il était jeune et il a créé la piste d’Echichens, raconte la Vaudoise. Après, mes deux grands frères s’y sont mis et moi je les voyais au bord de la piste et j’ai naturellement commencé aussi. Et mes petites sœurs ont suivi.” Zoé était si jeune la première fois qu’elle s’y est essayée que sa mémoire seule ne suffit pas pour s’en souvenir.
On l’a dit, la maman ne fait pas de BMX. Mais comment vit-elle le fait de voir son mari et ses enfants rouler à toute vitesse sur ces pistes bosselées? “Elle aime bien regarder les courses, mais elle a toujours un peu peur j’ai l’impression”, s’amuse Zoé Claessens.
Alors, lorsque 6 membres de la famille sur 8 sont pris de la même passion, à quoi ressemblaient les weekends chez les Claessens?
Une passion commune qui a de quoi souder les liens familiaux. “Surtout avec mes sœurs. On parle souvent de ça et maintenant j’en entraîne une. On adore et on s’entend super bien.” Est-ce que cela a aussi permis de développer leur compétitivité?
Cet amour du BMX ne sort pas de nulle part. Vincent, le papa, est un véritable pilier du sport en Suisse. “Il a créé le club d’Echichens avec des amis et là il s’occupe toujours beaucoup de la piste. Quand il pleut et qu’elle est en mauvais état, il va passer des heures sur le rouleau compresseur pour la remettre en état”, sourit la pilote.
Zoé a suivi et perpétue ce que son père a entamé. Elle est ainsi devenue la première Suissesse à gagner une Coupe du Monde et elle compte déjà une participation aux Jeux de Tokyo. Mais, même si elle est maintenant pleinement pro, son papa a toujours une place dans sa carrière.
Les courses, c’est maintenant son quotidien. Mais quel est le moment le plus jouissif lorsque l’on s’élance sur la piste?
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Les appels qui changent tout
C’est au Centre Mondial du Cyclisme à Aigle que Zoé Claessens m’a donné rendez-vous. C’est là qu’elle vit une bonne partie de la semaine. “C’est un peu l’endroit culte du vélo. Ça fait depuis 2019 que je m'entraîne ici donc c’est un peu ma deuxième maison. J’adore travailler ici parce que la piste, c’est ma favorite, mon entraîneur est là et aussi des super bons coéquipiers d’entraînement.”
Son arrivée dans cette structure a aussi rimé avec déménagement. Mais un déménagement qui en valait clairement la peine.
La pilote de 21 ans a accumulé une ribambelle de trophées. Sa voie semblait toute tracée pour parvenir à cela. Mais lorsque je lui demande à quel moment elle a décidé de devenir pro, la réponse est quelque peu surprenante.
Cette première qualification pour les JO, elle ne s’y attendait donc, dans un premier temps, pas vraiment. “Je n’ai pas vraiment réalisé que j’étais qualifiée. Et c’est au moment où je suis arrivée au village olympique que je me suis dit ‘wow c’est incroyable’, se souvient la Vaudoise. J’avais 18-19 ans donc c’était une super expérience pour moi.”
La compétition avait cependant été marquée par le Covid. “Il n’y avait pas de public. Je trouvais que c’était un peu triste parce que quand il y a du monde, ça motive et t’as envie d’aller encore plus vite”, se rappelle Zoé Claessens. Mais elle a tout de même pu en tirer des enseignements pour ses prochaines participations.
Pour Paris, c’est aisément que la Vaudoise a décroché son ticket olympique. Durant l’année, elle a signé deux victoires en Coupe du Monde, et obtenu les titres de vice-championne du monde et de championne d’Europe.
Pour sa préparation, elle était partie dans le sud de la France l’année dernière. Le plan de base était d’y rester jusqu’aux Jeux, mais elle a finalement décidé de revenir en Suisse. “C’était un peu dur pour moi d’être loin de ma famille, de mes amis. Je connaissais pas grand monde là-bas et au final, je faisais mes entraînements et je me retrouvais un peu toute seule dans mon appartement, confie la pilote. Pour moi c’est important d’être bien mentalement et être contente à côté de mon sport.” De retour à Aigle, elle est à nouveau proche de sa famille et dans un environnement qui lui convient pleinement.
La préparation s’est donc bien passée. Lors de la phase de qualification, la Suisse a décroché deux places. Et puis la Vaudoise a reçu l’appel lui annonçant qu’elle était sélectionnée pour représenter le pays à Paris. Comment a-t-elle vécu ce moment?
Et à quelques jours de la compétition, dans quel état d’esprit se trouve Zoé Claessens ?
Les épreuves de BMX Racing auront lieu les 1er et 2 août dans la soirée.
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