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Vaud

Le Vacherin nouveau est arrivé

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La saison du Vacherin Mont-d'Or s'étend de septembre à avril. (Photo : capture d'écran/myvalleedejoux.ch)

C’est l’un des événements de l’année à la Vallée de Joux : la Fête du Vacherin Mont-d’Or. La 23ème édition aura lieu ce samedi 21 septembre 2019, dès 9 heures, aux Charbonnières, berceau de ce fromage emblématique.

La manifestation marque le lancement du produit pour la saison 2019-2020. Elle coïncide aussi avec la désalpe des troupeaux.

De quoi en faire une grande fête avec un programme copieux.

Cédric Paillard, Directeur de l’Office du Tourisme de la Vallée de Joux :

Premier fromage à avoir obtenu le label AOP en Suisse, le Vacherin Mont-d’Or est un fromage à pâte molle de production saisonnière. Il est toujours accompagné de sa boîte en épicéa. On le mange cru ou cuit au four. Selon les documents d’archives, les premiers Vacherins Mont-d’Or ont été produits aux Charbonnières autour de 1845.

Quoi qu’il en soit, aujourd’hui, c’est un moteur économique pour la Vallée de Joux et sa région.

Cédric Paillard :

Au total, 9 fromagers produisent du Vacherin Mont-d’Or labellisé. Et 3 les affinent. À la Vallée de Joux, mais pas que…

Cédric Paillard, Directeur de l’Office du Tourisme de la Vallée de Joux :

Et l’interprofession du Vacherin Mont-d’Or confirme : près de 600 tonnes sont produites chaque année.

La Fête du Vacherin Mont-d’Or, 23ème édition, c’est ce samedi dès 09h00 à la Vallée de Joux, aux Charbonnières.

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Lausanne

Loi vaudoise sur la mendicité: recours au Tribunal fédéral

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La nouvelle loi vaudoise sur la mendicité sera examinée par le Tribunal fédéral (photo d'illustration). (© KEYSTONE/DOMINIC FAVRE)

Déboutés par la Cour constitutionnelle vaudoise, les opposants à la nouvelle loi cantonale sur la mendicité vont saisir le Tribunal fédéral. Ils estiment que cette loi ne respecte pas les droits fondamentaux.

"Les recourants regrettent la décision de la Cour constitutionnelle", même si elle ne constitue pas "une grande surprise", a indiqué mardi leur avocat Xavier Rubli à Keystone-ATS. "Un recours au Tribunal fédéral sera déposé dans les délais impartis", ajoute-t-il.

Dans son arrêt daté du 3 avril, la Cour constitutionnelle estime que la nouvelle loi constitue "une atteinte admissible à la liberté personnelle (...) dans la mesure où elle n'empêche pas la pratique de la mendicité". Elle se contente de la limiter "dans une mesure adéquate et nécessaire à la préservation de l'ordre public au sens large, en ménageant le droit de mendier aux personnes pauvres."

De plus, selon les juges cantonaux, la loi n'impacte pas la liberté économique des personnes tendant la main, ni celle des requérants invoquant leur volonté de payer les mendiants. La liberté d'opinion et d'expression n'est pas non plus violée, a conclu la Cour constitutionnelle.

"Nous espérons que les juges fédéraux apprécieront la situation différemment et sauront eux reconnaître que la nouvelle mouture de la loi pénale vaudoise ne respecte pas les droits fondamentaux", affirme Xavier Rubli.

Pour mémoire, la nouvelle loi, adoptée en octobre dernier par le Grand Conseil, durcit le ton face à la mendicité avec une liste allongée des lieux où elle doit être interdite. Ce texte a toutefois été attaqué par cinq mendiants (un Suisse et quatre Roumains) au motif qu'il restreignait leur droit de mendier. Quatre autres personnes se sont associées à leur recours au nom du droit de faire l'aumône, dont Luc Recordon, ancien conseiller aux Etats vaudois.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Lausanne

Comptes lausannois 2024: résultat meilleur que prévu au budget

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Florence Germond (à gauche), municipale en charge des finances, et Gregoire Junod (à droite), syndic de Lausanne, ont présenté comme à chaque fois ensemble les comptes de la Ville (archives). (© Keystone/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Les comptes 2024 de la Ville de Lausanne présentent un résultat meilleur que prévu au budget. Le déficit est finalement de 19,4 millions de francs, en amélioration de 61,4 millions. Si les investissements restent ambitieux, la marge d'autofinancement est insuffisante.

"L'année 2024 ressemble aux dix années précédentes", a d'emblée résumé mercredi devant les médias le syndic Grégoire Junod. "Nous faisons une nouvelle fois mieux que ce qui avait été budgétisé. La croissance des revenus est soutenue grâce aux recettes fiscales et nous avons une bonne maîtrise des charges, leur hausse étant ainsi limitée. Au final, nous sommes proches de l'équilibre financier", a-t-il commenté.

Résolument tournée vers l'avenir, la Municipalité s'est donné les moyens de ses ambitions avec des investissements à hauteur de 176,2 millions de francs, a annoncé le syndic. Ils n'ont en revanche pu être financés qu'à 60%. La dette a ainsi légèrement augmenté, mais la tendance reste en diminution depuis 2012

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Vaud

Les députés rejettent une expérience pilote d'insertion des Roms

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Le postulat visait à fournir un logement simple mais correct pour une durée déterminée à 10 à 15 familles de Roms de Roumanie (illustration). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Le canton de Vaud ne tentera pas une expérience pilote d'insertion des Roms, qui devait consister à fournir un logement pour une durée limitée à une quinzaine de familles. Les députés du Grand Conseil ont classé mardi le postulat en ce sens du popiste Marc Vuilleumier.

"Croyez-moi, ces personnes sont comme tout le monde, elles aspirent à une vie normale avec un travail et un logement, pour elles-mêmes et leurs enfants", a plaidé Marc Vuilleumier. "Faisons preuve d'un peu de courage et sortons de nos préjugés pour aider ces familles à devenir autonomes."

Concrètement, le postulat consistait à "trouver un logement simple mais correct" pour une durée limitée à 10 à 15 familles de Roms venant dans le canton "de génération en génération". L'objectif était de permettre ainsi "une scolarisation des enfants, des démarches d'insertion, des recherches d'emploi et de soins".

Exemple français

La mesure s'inspirait d'une expérience tentée à Montpellier (F) où un bidonville habité par des Roms avait été remplacé par un "village de transition" de 55 logements spartiates mais salubres. Quelque 165 personnes, épaulées par une équipe socio-éducative, en avaient bénéficié pendant deux ans, jusqu'en avril 2024.

"Le bilan est très positif. Les 165 personnes ont quitté le village. Pas moins de 31 ménages ont emménagé dans des logements sociaux, plus d'une trentaine de personnes ont décroché un emploi à durée déterminée ou indéterminée, tandis que le taux de présence des enfants à l'école est de 80%", a détaillé la rapportrice de majorité, Claude Nicole Grin.

"Problème lausannois"

La gauche a soutenu le postulat. Les socialistes estimaient "judicieux de casser la spirale de la pauvreté" tandis que Les Verts trouvaient "intéressant d'agir en amont des difficultés".

La droite n'a pas été sensible à ces arguments. "Ce n'est pas au canton de résoudre un problème lausannois", a fait valoir le PLR Marc Morandi, ajoutant que "la spirale de la pauvreté [était] instituée par la politique sociale lausannoise".

Pour le Conseil d'Etat, le postulat contrevenait au principe d'égalité de traitement. La cheffe du Département de l'économie, Isabelle Moret, a rappelé que les Roms de Roumanie, comme le reste des Européens, étaient soumis aux accords de libre circulation et pouvaient bénéficier des programmes d'intégration, pour autant qu'ils possèdent "un permis de séjour, conditionné à la détention d'un travail et d'un logement". Elle craignait en outre que la création d'un "ghetto à Roms" n'empêche le principe de mixité sociale.

"Coup de pouce spécifique"

Marc Vuilleumier argumenté que les Roms de Roumanie avaient "besoin d'un coup de pouce spécifique" et qu'il n'était pas nécessaire que toutes les familles concernées habitent au même endroit. Des appartements mis à disposition dans différents bâtiments et différents lieux en ville étaient envisageables. "L'important étant d'avoir une coordination et un projet de suivi d'intégration", a-t-il souligné.

Ses arguments n'ont pas été entendus. Les députés ont classé le postulat par 77 Non, 57 Oui et 3 abstentions.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Hockey

Lausanne et Fribourg-Gottéron lancent un appel au calme

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Diverses altercations ont eu lieu entre les supporters lausannois et fribourgeois depuis le début de la demi-finale. (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Opposés en demi-finale des play-off de National League, Lausanne et Fribourg lancent un appel au calme. La série a été marquée par plusieurs altercations entre les supporters des deux équipes.

"Le hockey romand mérite une fête à la hauteur des passions", écrivent les deux clubs romands dans un communiqué publié sur leurs sites internet respectifs. "Prenons tous de la hauteur, encourageons nos couleurs mais respectons pleinement celles de l'adversaires. Oui à la rivalité, non aux débordements", peut-on encore lire dans ce texte commun.

Lors de l'acte III jeudi à Lausanne, des tensions ont éclaté entre des supporters du LHC et certains suiveurs des Dragons n'ayant pas pris place dans le secteur visiteur, a constaté Keystone-ATS. A l'issue du match, des ultras lausannois ont aussi brièvement fait face aux forces de l'ordre sur le parvis de la patinoire.

Les provocations entre les supporters des deux camps se sont poursuivies deux jours plus tard à Fribourg. Selon lematin.ch, les forces de l'ordre ont notamment fait l'usage de spray au poivre pour disperser des supporters du LHC à l'issue du match.ch

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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