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Vaud

Le Grand Conseil s'attaque au budget 2019 de l'Etat

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Le Grand Conseil vaudois débute ce mardi l'examen du budget 2019 de l'Etat. (Photo : RB)

Le budget 2019 sur la table du Grand Conseil vaudois. L’examen du projet de comptes débute ce mardi après-midi.

Pour la 13e année consécutive, le budget du canton est à l'équilibre, avec un excédent de revenus de 110'500 francs. Et ce malgré l’entrée en force de RIE3 le 1er janvier prochain.

À relever que les charges brutes dans l'action sociale connaissent une hausse importante: 179 millions de plus, par rapport au budget 2018. La santé est aussi en hausse de 30 millions. En cause notamment : la hausse des subsides à l’assurance maladie, en lien avec la RIE3.

Ce budget 2019 va désormais passer l’étape des débats parlementaires. Des débats qui s’annoncent animés. Le Parti socialiste, par exemple, le juge « équilibré » et « au service de la population ». Pas question donc de toucher au projet du Conseil d’Etat.

Valérie Induni, Cheffe du Groupe socialiste au Grand Conseil :

Du côté des Verts, un regret : l’environnement. Malgré une hausse du budget à ce niveau-là, cela reste insuffisant selon le Chef du groupe écologique au Parlement vaudois, Vassilis Venizelos :

Du côté de la droite, on pointe l’augmentation, continue, de la facture sociale. 850 millions au total pour 2019. Une hausse « continue », année après année, qui fait notamment grimacer le Chef du groupe PLR au Grand Conseil, Grégory Devaud :

Même son de cloche à l'UDC. D’autres secteurs sont oubliés selon Philippe Jobin, Chef du groupe au Grand Conseil vaudois :

Début de l’examen du budget 2019 de l’Etat de Vaud, ce mardi après-midi, au Grand Conseil.

 

À lire : Un budget vaudois équilibré pour 2019

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Culture

L'Opéra de Lausanne dévoile une saison 2025/2026 éclectique

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Claude Cortese, directeur de l'Opéra de Lausanne, a présenté mercredi le programme de sa deuxième saison à la tête de l'institution (archives). (© Keystone/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

L'Opéra de Lausanne lèvera 43 fois le rideau pour sa saison 2025/2026. Le directeur Claude Cortese a dévoilé mercredi les contours de sa deuxième saison: dix productions, dont six opéras, un ballet, un concert, un récital et un spectacle pour jeune public.

"Ma deuxième saison est à nouveau marquée du sceau de l'éclectisme et de la curiosité. Je suis déterminé à faire découvrir des oeuvres lyriques qui n'ont encore jamais été jouées à Lausanne", a affirmé Claude Cortese, qui a succédé au règne de 20 ans d'Eric Vigié, devant un parterre d'invités et les médias à l'opéra même.

La programmation "voyagera dans les grandes pages de l'opéra, du baroque Georg Friedrich Haendel au post-romantique Alexander von Zemlinsky", a-t-il résumé. La saison ouvrira le 5 octobre avec "Don Quichotte" de Jules Massenet (1842-1912) et se terminera en juin 2026 avec un "grand tube" du répertoire, "Rigoletto" de Giuseppe Verdi (1813-1901).

A menu aussi, "Barbe-Bleue" d'Offenbach, "Dialogues des Carmélites" de Poulenc, "Orlando" de Haendel et "Le Nain" de Zemlinsky.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Hockey

Lausanne ou l'éloge de la patience

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Théo Rochette (90) et le LHC ont su se montrer patients mardi à Malley (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Lausanne a gagné mardi soir à Malley le droit de poursuivre sa saison en battant Fribourg 2-1 lors du 5e acte de leur demi-finale des play-off. Les Lions sont toutefois toujours dos au mur.

La patience est la mère de toutes les vertus, dit-on. Et si le LHC préfère utiliser "L'union fait la force" comme maxime cardinale, le club vaudois a su se montrer patient et ne pas céder à la panique mardi soir lorsque Fribourg menait encore 1-0 après quarante minutes.

En remportant ce cinquième duel face à Gottéron, le LHC n'a pas seulement conservé ses chances de se rendre à nouveau en finale. Le club vaudois a aussi infligé sa première défaite en soixante minutes à Lars Leuenberger depuis que ce dernier a repris les rênes de Fribourg fin décembre. Il a donc fallu attendre plus de trois mois avant de pouvoir réaliser cela.

Cette statistique en dit long sur la solidité mise en place par le coach bernois. Pour battre "son" Fribourg, il convient de ne rien laisser passer. Mardi à Malley, les Lions ont essayé de suivre ce précepte. Mais, mené dès la 14e sur un nouveau but de Samuel Walser, décidément intenable dans la capitale olympique avec sa troisième réussite en autant de matches, Lausanne a dû attendre le bon moment pour mordre.

Une première ligne plus percutante

A l'heure de l'interview, Théo Rochette a souhaité souligner la volonté de son équipe de ne pas se laisser aller: "On a montré du caractère et on ne s'est jamais découragé. Ils ont marqué les premiers, mais on n'a jamais arrêté. On aurait pu forcer des jeux, seulement on a su rester patient et structuré et ça a fini par payer."

Grâce à but sur son unique power-play et à une première ligne plus pesante dans le jeu, Lausanne a pu renverser la vapeur et se donner le droit de ne pas réserver ses vacances tout de suite. La triplette Riat-Suomela-Oksanen a retrouvé des couleurs, et c'est tout Lausanne qui en profite. Cela ne signifie pas pour autant que les Lions ont dégoté la formule magique et qu'ils filent vers la finale, bien loin de là.

Simple, basique

"Nous devons être plus constants, tempère Théo Rochette. Nous avons eu un moment un peu plus difficile lors du tiers médian, mais nous avons su rebondir en ayant la majorité des chances de but."

Comme bien souvent en pareille circonstance, la solution pour s'imposer à Fribourg jeudi et avoir le droit à un septième match à Malley samedi n'a rien de révolutionnaire. "Il nous faut amener plus de trafic dans le slot et chercher les rebonds qui traînent devant (Reto) Berra, ajoute Rochette. Cela fait deux matches que l'on joue du très bon hockey. A Fribourg, on a disputé un excellent match. On essaie d'avancer pas à pas."

Le fameux match après match prend ici tout son sens pour les Vaudois. Pas question de voir plus loin, sous peine de retomber de plusieurs étages. Contraint de se passer des services de Bozon, Raffl, Heldner et Hügli pour cette rencontre, Geoff Ward espère récupérer deux de ses soldats jeudi pour l'acte VI. Mais bien évidemment en période de play-off, le coach canadien du LHC est resté vague quant à la participation ou non de ses blessés.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Vaud

Les rose-verts d'Ecublens disent non à la jonction autoroutière

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Les conseillers communaux du PSIG et des Vert-e-s d'Ecublens s’opposent au projet de nouvelle jonction autoroutière sur le territoire communal (photo d'illustration). (© KEYSTONE/VALENTIN FLAURAUD)

Les conseillers communaux du PSIG et des Vert-e-s d'Ecublens (VD) s’opposent fermement au projet de nouvelle jonction autoroutière sur le territoire communal. Ce projet, hérité d’une vision dépassée de la mobilité, est "inefficace et nuisible", estiment-ils.

Dans leur communiqué publié mercredi, les élus communaux du Parti socialiste et indépendant-e-s de Gauche (PSIG) et des Vert-e-s rappellent que la commune de Chavannes-près-Renens a récemment dénoncé la convention passée avec l’OFROU pour la création d’une nouvelle sortie autoroutière afin de protéger la qualité de vie de ses habitants.

Le 27 février 2025, la Municipalité d'Ecublens a confirmé son soutien au projet de jonction, tout en réaffirmant l'exigence que cette jonction ne voie le jour qu'en parallèle avec celle de Chavannes-près-Renens. Ce positionnement est censé éviter que le trafic de Chavannes se reporte intégralement sur Écublens.

Or, la dénonciation unilatérale de la convention par Chavannes rend cette simultanéité hautement incertaine, estiment les roses-verts. Cette situation met en lumière le risque réel que la commune se retrouve seule à gérer les conséquences d'un projet imposé, tant sur le plan financier que sur celui du trafic.

Des solutions alternatives existent, estiment les conseillers communaux: baisse des vitesses, transformation de l'A1 en boulevard urbain, report modal vers les transports publics et la mobilité active. Et de rappeler que le 24 novembre 2024, les citoyens suisses ont dit non aux extensions autoroutières incluant des jonctions, à 59% à Ecublens, à 61% dans tout le district de l'Ouest lausannois et à 58% dans le canton de Vaud.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Lausanne

Helvetia Nostra marque un point sur l'aménagement de Montreux

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Le Tribunal fédéral reconnaît la qualité pour recourir à Helvetia Nostra contre le plan de zones réservées de la commune de Montreux. (archives) (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

La fondation Helvetia Nostra est habilitée à recourir contre le plan de zones réservées adopté par Montreux. Dans la mesure où ce plan vise à empêcher toute construction au sein des périmètres touchés dans l'attente de la réduction de la zone à bâtir, la commune exécute une tâche fédérale soumise au contrôle des associations environnementales.

Après l'annulation de son nouveau plan général d'affectation par le Tribunal fédéral en 2020, Montreux a adopté un plan de zones réservées. Son but est de geler les constructions jusqu'à ce qu'un nouveau plan d'affectation soit défini. Estimant qu'un arrêt limité à certains périmètres n'était pas suffisant, Helvetia Nostra a contesté ce document.

La fondation a été déboutée tant par la commune que par le canton qui ont estimé qu'elle n'avait pas la qualité pour agir. En effet, l'aménagement du territoire est une tâche cantonale. En outre, la création d'une zone réservée ne constitue pas un classement et ne porte pas sur des mesures de protection de la nature, des biotopes,, du paysage ou des sites construits.

Zone à bâtir surdimensionnée

Dans un arrêt publié mercredi, le Tribunal fédéral s'écarte de cette opinion. Si l'aménagement du territoire incombe en premier lieu aux cantons, cela n'exclut pas que la Confédération puisse légiférer sur des questions particulièrement importantes à l'échelle nationale.

Il en va ainsi du classement en zone à bâtir et en particulier de la réduction des zones à bâtir imposée par la loi fédérale sur l'aménagement du territoire (LAT), précise la 1ère Cour de droit public. La création de zones réservées, lorsqu'elles gèlent les constructions pour une durée limitée jusqu'à l'adoption d'une nouvelle planification, s'inscrit dans ce cadre.

Les juges de Mon Repos constatent que la zone à bâtir de Montreux est largement surdimensionnée. Une zone réservée limitée à certains secteurs risque d'entraver la marge de manoeuvre de la commune lors de l'élaboration du plan d'affectation puisque les constructions resteront possibles ailleurs. L'existence d'une tâche fédérale doit être admise dans un tel cas: Une organisation comme Helvetia Nostra peut donc exercer le contrôle qui lui est accordé par la LAT. (arrêt 1C_58/2024 du 5 mars 2025)

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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