Rejoignez-nous

Lausanne

Ville de Lausanne: quatre candidats à la candidature au PLR

Publié

,

le

Florence Bettschart-Narbel, présidente du PLR Vaud, est candidate à la candidature pour l'élection à la Municipalité de Lausanne de 2026. Mathilde Maillard, Marlène Bérard ainsi le que sortant Pierre-Antoine Hildbrand sont également en lice (archives). (© KEYSTONE/CYRIL ZINGARO)

Quatre candidats à la candidature se sont déclarés au PLR pour l'élection à la Municipalité de Lausanne de 2026. Le sortant Pierre-Antoine Hildbrand, la députée Florence Bettschart-Narbel et les conseillères communales Mathilde Maillard et Marlène Bérard sont en lice.

L'assemblée générale qui aura lieu le 24 février définira la composition finale du ticket, indique samedi le PLR Lausanne dans un communiqué. Il s'agira de déterminer qui accompagnera Pierre-Antoine Hildbrand pour défendre les couleurs du parti lors de cette élection, précise le PLR Lausanne.

La députée Florence Bettschart-Narbel est aussi présidente du PLR Vaud et vice-présidente du PLR au niveau suisse. Mathilde Maillard est quant à elle présidente du PLR Lausanne alors que Marlène Bérard assume la fonction de cheffe de groupe.

Pierre-Antoine Hildbrand, actuellement en charge de l'économie et de la sécurité, souhaite poursuivre son action. Il siège à l'exécutif de Lausanne depuis 2016.

Alors que les prochaines élections communales vaudoises sont programmées en mars 2026, la socialiste Florence Germond et le popiste David Payot ont déjà annoncé leur départ. Depuis plusieurs années, l'Exécutif lausannois est largement dominé par la gauche (3 PS, 2 Vert-e-s, 1 POP et 1 PLR).

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture
1 commentaire

1 commentaire

  1. Lolo

    2 février 2025 à 14:14

    Ce serait bien, pour les Lausannois, que la gauche laisse enfin la place à d'autres idées

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Lausanne

Recours partiellement admis au TF pour un ex-armateur bernois

Publié

le

L'ex-armateur suisse Hans-Jürg Grunder obtient partiellement gain de cause devant le Tribunal fédéral (image d'illustration). (© KEYSTONE/DPA/MARCUS BRANDT)

Le Tribunal fédéral admet partiellement un recours de l'ancien armateur bernois Hans-Jürg Grunder condamné pour diverses malversations. La justice bernoise doit se prononcer à nouveau sur les prétentions de la Confédération et sur la sanction.

La 2e Cour de droit pénal a annulé la condamnation du recourant pour escroquerie en matière de prestations prononcée en 2022 par la Cour suprême du canton de Berne. Elle a en revanche confirmé la condamnation pour gestion déloyale, faux dans les titres et obtention frauduleuse d'une constatation fausse.

Le Tribunal fédéral a estimé qu'il n'y a pas eu escroquerie pour une partie des cautionnements de la Confédération sur les navires de Hans-Jürg Grunder. En effet, le droit pénal administratif prévoit que l'opposition frauduleuse au retrait d'une prestation s'applique uniquement aux concessions, aux autorisations ou aux contingents, mais pas aux cautionnements.

Hans-Jürg Grunder avait été condamné à une peine privative de liberté de 5 ans et 5 mois.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Culture

Des Rencontres du 7ème art sous le signe de l'amour

Publié

le

Vincent Perez, acteur, réalisation et fondateur des Rencontres du 7ème art, va ouvrir la huitième édition de la manifestation cette semaine (archives). (KEYSTONE/Jean-Christophe Bott)

Pamela Anderson, David Barras et Jean Dujardin ont un point commun: tous feront une halte aux Rencontres du 7ème art, soit pour une masterclass ou pour rencontrer le public. Le désormais traditionnel rendez-vous lausannois se tiendra du 7 au 16 mars. Au programme : des rencontres donc, des évènements originaux comme un bal « rouge », mais surtout près d’une 50aine de films projetés.

Célébrer l’amour en mangeant du pop-corn… C’est un peu ce qui va être proposé ces prochains jours à Lausanne puisque les Rencontres du 7ème art sous placées sous l’étoile du « Love ». Une quinzaine de la cinquantaine de films projetés permettront de faire une rétrospective de l’amour. Le public pourra notamment se replonger dans « Moulin Rouge », « Casablanca » ou « Les parapluies de Cherbourg ». Vincent Perez, fondateur du festival revient sur le thème de cette 8ème édition.

Comme à son habitude, le festival proposera aussi de rencontrer des grands noms du cinéma comme Josiane Balasco ou Jean Dujardin. Jean Dujardin qui sera présent pour rendre hommage à Bertrand Blier, réalisateur incontournable du cinéma français décédé en janvier. Il présentera « Le Bruit des glaçons », une comédie noire sortie en 2009. Pour Vincent Perez, cet hommage était un indispensable.

Les Rencontres du 7ème art vont donc vivre leur 8ème édition cette année. Leur fondateur estime qu’elles ont désormais conquis le cœur du public.

Toute la programmation des Rencontres du 7ème art sont à retrouver sur le site internet de la manifestation.

Continuer la lecture

Lausanne

Violence entre supporters: le LS convoqué par les autorités

Publié

le

© KEYSTONE/Jean-Christophe Bott

Le Conseil d'Etat vaudois et la Municipalité de Lausanne ont décidé de convoquer la direction du FC Lausanne-Sport après les incidents qui sont survenus samedi lors du match contre le Servette FC. Les autorités appellent à des actions sur plusieurs plans.

La direction du LS sera entendue lors d'un entretien avec le conseiller d’Etat vaudois en charge de la sécurité, Vassilis Venizelos, et le conseiller municipal lausannois en charge de la sécurité, Pierre-Antoine Hildbrand. Cette convocation fait suite aux débordements qui ont éclaté lors de la rencontre samedi entre le Lausanne-Sport le Servette FC au Stade de la Tuilière. Des engins pyrotechniques ont notamment été utilisés de façon répétée lors du match. En conséquence, les tribunes de supporters des clubs seront fermées pour une rencontre. Une sanction pas assez sévère, estime le conseiller communal Ilias Planchard. 

Les autorités ont également constaté des tags et des déprédations sur le trajet des supporters jusqu'au stade. Des heurts ont aussi éclaté avec les forces de l'ordre. Des sanctions similaires avaient déjà été appliquées après les débordements lors de précédents matchs entre les deux clubs. Celles-ci n’ont pas empêché une récidive des supporters. Il s'agit de sanctions de niveau trois selon le modèle en cascade "Progresso" utilisé par les autorités. Les tribunes de supporters seront vides, mais pas les tribunes principales.

Le Conseil d'Etat et la Ville de Lausanne demandent des actions sur trois plans: le renforcement des contrôles à l’entrée du stade en lien avec les fusées et la pyrotechnie, la question des infrastructures et de leur utilisation et enfin les déplacements des supporters et leur impact sur le voisinage ainsi que sur la mobilité de la population au centre-ville de Lausanne. Encadrer le trajet jusqu’au stade pour éviter tout débordement: un point sur lequel insiste Ilias Panchard pour diminuer les incidents. 

Continuer la lecture

Lausanne

Le cri d'alarme des maîtresses enfantines longuement débattu

Publié

le

La gestion des classes enfantines relève parfois de la mission impossible, a tenté d'alerter un collectif d'enseignantes de 1-2P (photo symbolique). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

La généralisation du co-enseignement dans les classes enfantines (1-2P) n'a de justesse pas convaincu le Grand Conseil vaudois. Au terme d'un débat tendu et d'un vote très serré, le Parlement a écarté une pétition en ce sens, non contraignante, déposée en août 2024 par un collectif d'enseignantes.

Crises à répétition, comportement ingérable ou violent, la situation "supportée depuis plusieurs années" par les maîtresses des classes enfantines est "devenue trop grave". La qualité de l'enseignement s'en ressent, si bien qu'un "changement de paradigme est nécessaire", selon les pétitionnaires, femmes dans leur écrasante majorité. Elles ont été entendues par la commission thématique des pétitions du Grand Conseil qui a présenté son rapport mardi.

La pétition, munie de 2225 signatures, préconisait plusieurs mesures, notamment un co-enseignement (soit deux enseignants par classe) les quatre matins où les 1-2P sont réunies ensemble. La mise en place de cette mesure était estimée à 64 millions de francs par an par la Direction générale de l'enseignement obligatoire (DGEO).

Pour les pétitionnaires, cette revendication n'était "pas idéaliste, puisqu'elle se met en place à Genève et va être envisagée dans d'autres cantons romands". Leurs arguments avaient convaincu la commission qui s'était prononcée en faveur d'un renvoi du texte au Conseil d'Etat par 7 voix pour, une voix contre et deux abstentions.

Message de soutien

Lors du débat en plénum, la gauche a plaidé en faveur de cette recommandation. "Il faut donner aux enseignants des petites classes le message qu'on les a entendus", a déclaré la députée Elodie Lopez (Ensemble à Gauche-POP). Un refus de les soutenir constituerait un "camouflet" à leur encontre, a surenchéri l'élu PS Julien Eggenberger.

"Ce texte est un cri d'alarme qui réclame des mesures concrètes et pragmatiques. Les mesures actuelles prévoyant une heure d'aide hebdomadaire supplémentaire dans les petites classes sont insuffisantes, elles sont comme un sparadrap sur une plaie plus profonde", a affirmé pour sa part l'écologiste Vincent Bonvin.

Parents pointés du doigt

La droite de l'hémicycle a plaidé pour l'abstention ou le refus du renvoi au Conseil d'Etat. Certains pour des raisons de coûts, d'autres parce que la problématique ne relève pas de l'Etat, mais de l'éducation familiale. "On parle d'enfants de quatre à six ans, où sont les parents?", s'est insurgé l'UDC Romain Belotti. "Il faut leur dire que quand leurs gamins seront mieux éduqués, on les prendra dans une institution publique", a renchéri le PLR Jean-Rémy Chevalley.

Le Vert libéral Jerome De Benedictis a pointé du doigt l'école inclusive et affirmé que "toutes les problématiques ne pouvaient pas être gérées dans les classes traditionnelles".

Des députés de gauche, à l'image de la Vert-e Sylvie Podio ont argumenté que les 64 millions du co-enseignement constitueraient "un investissement qui se répercutera sur l'économie à long terme".

"Laisser le gouvernement travailler"

Plusieurs députés PLR, à l'instar d'Alexandre Berthoud, ont invité le plénum à "faire confiance au département et au Conseil d'Etat" en classant la pétition. Sa collègue de parti, Florence Gross a estimé qu'une telle décision n'équivaut "aucunement à remettre en question le problème. Au contraire, c'est laisser le gouvernement travailler".

Le conseiller d'Etat en charge de l'enseignement, Frédéric Borloz, a pour sa part souligné que la pétition confirmait ce qui avait été identifié comme prioritaire par son département "et pas l'inverse". "Que vous renvoyiez ou non la pétition au Conseil d'Etat ne changera rien à ce que nous sommes en train de faire", a-t-il encore prévenu.

Lors du vote, les députés n'ont pas suivi les recommandations de la commission. Ils ont classé la pétition par 66 non contre 62 oui.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Les Sujets à la Une

X