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Lausanne

Plateforme 10 tient sa rampe et ouvre son quartier

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La rampe inaugurée aujourd'hui relie l'Avenue Marc-Dufour au quartier des Arts et à la gare de Lausanne (© Robin Jaunin)

Si l'inauguration finale du volet culturel se déroulera mi-juin, Plateforme 10 continue son implantation proche de la gare de Lausanne. Ce matin, c'est une rampe reliant Marc-Dufour au quartier des Arts qui a été inaugurée.

Le quartier de Plateforme 10 se laisse un peu plus approcher. Avant l’inauguration du pôle muséal dans son ensemble mi-juin, ce sont les accès pédestres qui sont fin prêts. Dernière en date, la passerelle qui relie la Place de la Gare au Rond-Point de Marc Dufour, inaugurée aujourd’hui. Une rampe de faible pente, 5% en moyenne, de 250 mètres de long et de 4,5 mètres de large, qui vise la cohabitation entre piétons et vélos, tout en étant un accès en cas d’urgence.

Pour embellir cette rampe, et sur proposition d'un mécène, de nombreux végétaux ont été intégré grâce à la collaboration des Jardins botaniques cantonaux. Les Musées et Jardins botaniques, non loin de Plateforme 10, intègrent donc le pôle muséal. Une belle vitrine pour ces collections végétales, comme le confirme François Felber, il est directeur des Musées et Jardins botaniques cantonaux.

Nouvelle politique tarifaire

Ce nouveau lieu de passage est également une aubaine pour Plateforme 10. Il faudra pouvoir attirer la curiosité des passants.

Outre l’inauguration de cette rampe, le pôle muséal vaudois proposera dès le 17 mai prochain une nouvelle politique tarifaire. Un billet pour les trois musées sera ainsi proposé, transmissible et valable trois mois pour une visite de chacune des institutions.

On rappelle que le volet culturel de Plateforme 10 sera officiellement et totalement inauguré le week-end du 18 juin prochain. Un nouveau site internet est également prévu, pour le 1er juin.

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Hockey

Luc Tardif et l'IIHF défendent les intérêts du hockey mondial

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Président de l'IIHF, Luc Tardif a plusieurs dossiers à régler (© KEYSTONE/PETER SCHNEIDER)

Successeur de René Fasel à la tête de l'IIHF depuis septembre 2021, Luc Tardif a plusieurs défis face à lui.

Le Franco-Canadien, qui fêtera ses 72 ans samedi, les a expliqués à l'agence Keystone-ATS lors de son passage à Lausanne sur le plateau de l'émission "Les Puckalistes".

En prenant la tête de la fédération internationale, Luc Tardif savait bien qu'il allait avoir une sacrée pile de dossiers sur son bureau. Celui qui fut trésorier de l'IIHF pendant dix ans a donc repris ce que le Fribourgeois René Fasel appelait son bâton de pèlerin. Calendrier international, envies d'Europe de la NHL, présence des joueurs de la NHL aux JO, absence prolongée de la Russie et de la Biélorussie, Luc Tardif a suffisamment de pain sur la planche. Interview.

-Monsieur le Président, de nombreuses voix se demandent si le Championnat du monde ne devrait pas se tenir tous les deux ans. Mais René Fasel avait expliqué que cette compétition était nécessaire à la fédération pour financer d'autres projets. Où en sommes-nous?

"Nous avons un engagement jusqu'en 2033. Donc si on change les fréquences du Mondial, on doit revoir ce contrat qui a été signé avant le covid et la guerre en Ukraine, dans des bonnes conditions pour nous. L'idée serait de changer les séquences, mais on ne peut pas faire ça tout d'un coup. On doit envisager un calendrier général et avant tout régionaliser les compétitions. D'avoir la Nouvelle-Zélande qui se déplace à Mexico pour un tournoi, par les temps qui courent, ce n'est pas raisonnable."

-On sait que la NHL veut relancer la Coupe du monde et qu'elle a récemment organisé un tournoi en février avec le Canada, les Etats-Unis, la Finlande et la Suède. Comment voyez-vous cela?

"Avec la NHL qui veut venir en Europe, on va devoir changer les fréquences et le calendrier à moyen terme. Vous savez, c'est avant tout une opération commerciale. Il y a une tendance. La NBA veut créer une ligue en Europe, les clubs de foot avaient parlé de la Super Ligue, on voit que les organismes privés sont en train de prendre le pas sur les fédérations ou les organisations comme la nôtre. Mais si l'IIHF ne finance plus en totalité les opérations qui ne sont pas rentables, ce sera difficile de les maintenir. On a fait beaucoup de progrès sur le sport féminin, mais on ne peut pas capitaliser là-dessus aujourd'hui."

-L'IIHF doit donc se battre pour son sport?

"Nous comptons 84 pays membres et quatre divisions. Personne à part l'IIHF ne va financer ces manifestations. En tous les cas pas des ligues privées avec des actionnaires à contenter. Ce sont les enjeux d'aujourd'hui. Mais on n'est pas les seuls. Je parlais récemment avec le président de la fédération de triathlon qui doit lutter contre des entreprises privées qui mettent sur pied des compétitions avec des prize money intéressants. On est à la croisée des chemins."

-Cela ne doit pas être simple de négocier avec la NHL?

"On essaie de faire de la pédagogie, mais ce ne sont pas des gens qui comprennent trop la pédagogie. On a un peu le sentiment d'être comme le Groenland, mais on va défendre au mieux nos intérêts. On le voit avec les velléités d'expansion de la NBA et de la NFL avec des matches dans le monde entier. Alors lorsque l'on discute avec la NHL et la NHLPA (réd: l'association des joueurs), on doit expliquer que quand on arrive en février, des ligues comme la National League ou la DEL allemande savent que les play-off approchent et qu'un gros tournoi est difficile à mettre sur pied. Les budgets TV ne sont pas extensibles et ils vont en prendre une partie."

-Pourtant l'Europe fournit de plus en plus de joueurs à la NHL!

"Absolument, mais la NHL ne s'intéresse pas au développement des jeunes comme les clubs en Europe. En 1976, j'ai fait le camp de développement des Toronto Maple Leafs et il n'y avait que deux Européens. Aujourd'hui, 33% des joueurs en NHL viennent d'ailleurs que d'Amérique du Nord et ça va aller en grandissant."

-Qu'en est-il de la présence des joueurs de NHL aux JO? C'est tout bon pour l'année prochaine à Milan?

"On devrait y arriver. J'attends de signer avec la NHL. C'est l'IIHF qui décide si les conditions sont remplies pour la présence des joueurs de la NHL, parce qu'il y a des assurances de plusieurs millions à signer. La signature doit se faire entre nous, le CIO, le comité d'organisation de Milan-Cortina, la NHL et la NHLPA. L'idée est de signer pour deux JO, mais on est sur la réserve pour 2030. Et on discute aussi de la Coupe du monde en 2028. On a un comité qui réunit les clubs, les ligues, les fédérations et l'IIHF et on a répondu à la NHL qu'on n'était pas contre un tournoi en février 2028, mais pas en Europe, en Amérique du Nord. Ou si c'est en Europe, alors en septembre."

-Dernier point chaud pour vous, le cas de la Russie et de la Biélorussie toujours exclus à la suite de l'invasion russe en Ukraine. Où en est-on?

"On ne peut pas être à la tête d'une fédération et ne pas s'inquiéter de ça. Même s'il faut rester loin de la politique, tout est politique. En ce qui concerne l'exclusion de la Russie, c'est avant tout pour des questions de sécurité et de protection de nos compétitions. Chaque année on a essayé de revoir l'histoire. On espère retrouver le plus vite possible le Championnat du monde tel qu'il était avant, parce que cela signifierait que la guerre est terminée et que ça va mieux. On a pris une décision en février, parce que ce n'est pas simple de réintégrer la Russie et la Biélorussie, étant donné que cela impacte les promotions et relégations de quatre divisions. Il faut avoir plusieurs mois d'avance. Et si on prend le cas de la Suisse en 2026, l'organisateur a besoin de savoir dès la fin du précédent Mondial qui joue dans quelle poule pour organiser la vente des billets. On essaie d'attendre le plus longtemps possible. En février 2026, on prendra la décision concernant 2027."

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Lausanne

Lausanne: le syndic Grégoire Junod annonce vouloir se représenter

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Grégoire Junod, syndic de Lausanne, va se représenter pour les élections communales de 2026 (archives). (© Keystone/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Grégoire Junod briguera un quatrième mandat à la Municipalité de Lausanne lors des élections communales de 2026. Dans une interview vendredi au journal 24 Heures, il annonce déjà vouloir rempiler pour une troisième législature en tant que syndic de la Ville.

"Aujourd'hui, j'ai déposé ma candidature à mon parti pour la Municipalité de Lausanne. Mais si cela se passe bien, que le Parti socialiste reste en tête, effectivement je serais heureux de pouvoir continuer comme syndic. Mais ce sont évidemment les électrices et électeurs qui décideront", indique Grégoire Junod dans le média vaudois.

Le syndic de la Ville, en charge de la culture et du développement urbain, est en fonction depuis 2016. Il est entré à l'exécutif lausannois en 2011, comme directeur de la culture et du logement jusqu'en 2012, puis comme directeur du logement et de la sécurité publique jusqu'en 2016.

Conseiller communal de 1998 à 2007, président du Parti socialiste lausannois de 2004 à 2008, M. Junod a été député au Grand conseil vaudois de 2007 à 2012.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Lausanne

PCi vaudoise: pas d'accord entre le Canton et les communes

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Le Conseil d'Etat vaudois n'est pas parvenu à convaincre les communes sur une ligne de commandement unique à la Protection civile (photo d'illustration). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Il n'y aura pas de ligne de commandement unique à la Protection civile vaudoise (PCi). Cette réorganisation, souhaitée par le Conseil d'Etat, n'a pas convaincu les faîtières de communes. La phase de négociations, initiée en juin dernier, n'a pas permis d'aboutir à un accord, indique vendredi le Canton dans un communiqué.

Actuellement, la PCi vaudoise est composée de dix organisations régionales. Chacune est chapeautée par un comité de direction dans lequel siègent des représentants des communes. Le Conseil d'Etat aurait souhaité "une ligne de commandement unique". Dès le début des négociations toutefois, ces dix comités régionaux avaient dit s'opposer à cette "cantonalisation" qui, selon eux, ne tient pas compte des situations de crise, majoritairement locales.

Même si aucun accord n'a été trouvé, le Conseil d'Etat dit "remercier" les faîtières des communes pour les discussions menées. Celles-ci ont permis "d'approfondir les besoins en matière de protection civile et de protection de la population". Des éléments qui permettront "d'avancer dans la poursuite des travaux", notamment la révision de la loi sur la protection de la population.

Le gouvernement vaudois rappelle aussi le besoin de renforcer les effectifs de la PCi, lesquels ont chuté de près de moitié en passant de 7500 en 2020 à 4000 en 2024. Selon les estimations, ils devraient se stabiliser à l'horizon 2030 avec une baisse de 50% par rapport à 2020.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Clap de fin en septembre pour Frédéric Maire à la Cinémathèque

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Arrivé en 2009, Frédéric Maire quittera son poste de directeur de la Cinématheque suisse en septembre prochain (archives). (© Keystone/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Frédéric Maire quittera la direction de la Cinémathèque suisse le 30 septembre prochain. Sa décision a été prise d'entente avec le Conseil de Fondation de l'institution basée à Lausanne. Le processus de recrutement d'un nouveau directeur débutera prochainement.

"Après la mise en place d'une nouvelle gouvernance destinée à accompagner sa croissance, l'institution doit aujourd'hui consolider ses acquis dans un environnement complexe, marqué par les restrictions budgétaires. Dans ce contexte, l'arrivée d'une nouvelle directrice ou d'un nouveau directeur vise à donner un nouvel élan à l’institution pour affronter les défis actuels", écrit vendredi la Cinémathèque dans un communiqué.

Né en 1961 à Neuchâtel, Frédéric Maire a été directeur artistique du Festival international du Film de Locarno de 2005 à 2009. Il a été nommé à la tête de la Cinémathèque suisse en novembre 2009. Il avait succédé à Freddy Buache et à Hervé Dumont. En 2017, il a été élu par ses pairs, pendant six ans, président de la Fédération internationales des archives du film (FIAF).

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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