Lausanne
La Ville de Lausanne adapte l'aménagement de la Place de l’Europe
La Ville de Lausanne ajuste le projet de réaménagement de la Place de l'Europe en raison de l’abandon de la station du métro m3 au Flon. Les travaux devront être achevés dans le courant du second trimestre 2026 avant la mise en service du tram.
Les travaux de réaménagement ne visent plus la coordination avec l’arrivée du m3. Compte tenu de ce nouveau calendrier, la stratégie d’un aménagement en deux temps initialement prévue n’est plus envisageable et doit être abandonnée au profit d’une réalisation plus pérenne, explique la Ville mardi dans un communiqué.
L’avant-projet s’appuie sur les orientations du concours d’idées organisé en 2022. Il vise à intégrer harmonieusement la nouvelle interface du tram tout en optimisant la gestion des flux des usagers.
"La mise en service du tram en 2026 représente une avancée majeure pour l’accessibilité au centre-ville. En intégrant plus de végétation et en repensant les espaces publics de la place de l’Europe, nous offrons aux usagères et usagers un lieu plus agréable et adapté aux défis de demain, tout en garantissant une interface de mobilité fluide et efficace", explique Florence Germond, conseillère municipale en charge des finances et de la mobilité, citée dans le communiqué.
L’aménagement privilégie un équilibre entre convivialité, accessibilité, fonctionnalité et végétalisation, offrant ainsi une place plus agréable et respectueuse de l’environnement. L’extension des talus verts existants donnera naissance à un vaste espace paysager semblable à un "jardin urbain".
À proximité de la station du tram, trois pins sylvestres rappelleront l’architecture végétale de la ligne. Des assises supplémentaires seront installées afin de créer des espaces de détente pour les utilisateurs des transports publics. Enfin, un revêtement de sol adapté permettra de garantir la durabilité de l’ensemble.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Valérie Dittli "absente pour cause de maladie"
"Absente pour une maladie de courte durée", Valérie Dittli, cheffe du Département des finances et de l'agriculture n'a pas participé mardi à la séance du Grand Conseil vaudois. Son collègue suppléant Frédéric Borloz l'a remplacée "au pied levé.
Mme Dittli sera absente quelques jours, a précisé Frédéric Borloz devant le plénum. Cette absence intervient alors qu'un rapport sur d'éventuels dysfonctionnements au DFA a été commandé par le Conseil d'Etat à Jean Studer, ancien conseiller d’Etat neuchâtelois. Son contenu qui doit bientôt être publié fait l'objet de spéculations.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Alain Jaccard élu à la présidence de l'ADCV
L'Association de communes vaudoise (ADCV), réunie en assemblée générale à Lutry, a nommé à sa présidence Alain Jaccard, vice-président depuis 2021. Succédant à Michel Buttin, il sera accompagné par Pierre-Alain Lunardi, nouveau vice-président.
Les élections complémentaires se sont déroulées jeudi dernier, a indiqué l'ADCV lundi dans un communiqué. Alain Jaccard avait déjà assuré la présidence ad intérim depuis le 1er janvier.
M. Jaccard est un expert reconnu de la gestion communale, dont il connaît tous les rouages à la fois en tant que vice-syndic de Denens et ancien chef de service, souligne l'ADCV, l'une des deux faîtières des communes vaudoises (avec l'Union des communes vaudoises - UCV). Municipal de Montagny-près-Yverdon et membre du comité depuis 2021, M. Lunardi est pour sa part un spécialiste des thématiques liées à la sécurité et au scolaire.
Michel Buttin avait quitté en fin d'année la présidence de l'ADCV. L'ancien syndic de Mex avait rejoint le comité de l'ADCV en 2016, avant d'en devenir le président en 2020. Il avait notamment été l'un des principaux artisans de l'accord Canton-Communes de 2023.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Lausanne fait la fête à la forêt samedi prochain à Sauvabelin
La forêt sera en fête samedi prochain à Sauvabelin, sur les hauts de Lausanne. Cette 13e édition se focalisera sur les qualités des forêts urbaines et le précieux travail des forestiers pour les maintenir en pleine santé. Des stands d'information, des animations forestières et musicales ainsi qu'une offre de restauration seront proposées au public.
Les forêts jouent un rôle protecteur essentiel et constituent la colonne vertébrale de la canopée urbaine et foraine, avec une fonction-clé dans la régulation climatique, la filtration d'eau, la préservation de la biodiversité et la protection contre les dangers naturels, rappelle la Ville dans un communiqué. Leur entretien et leur maintien sont donc des priorités absolues, ajoute-t-elle.
Forêts urbaines et gestion durable, prévention des risques naturels et réchauffement climatique seront des thèmes d'actualité. Des animations ludiques viendront compléter le programme, avec notamment une projection de film dans une roulotte pour mieux connaître le Parc naturel du Jorat ou encore une initiation à la grimpe sur arbres.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Recherche guides de ski pour aveugles et malvoyants
Le Groupement romand des skieurs aveugles et malvoyants (GRSA) lance un appel: il recherche une vingtaine de personnes désireuses d'entamer une formation de guide l'automne prochain. Objectif: permettre aux personnes perdant la vue de s'adonner aux joies de la glisse.
"Nous sommes à la recherche de volontaires", indique à Keystone-ATS Hervé Richoz, en charge de la communication au GRSA. Ce groupement organise chaque saison pour les personnes malvoyantes une cinquantaine de journées de ski de piste et de fond dans les stations suisses.
Les sorties se font en tandem. Un guide portant une veste rouge à bande noire accompagne une personne déficiente visuelle munie, elle, d'une veste jaune, également à bande noire.
Or, la recherche de la relève s'avère de plus en plus compliquée: bon nombre de guides arrêtent en raison de leur âge ou parce qu'ils ont fondé une famille. Certains effectuent une vingtaine de sorties par hiver, d'autres seulement trois ou quatre. D'où la nécessité de "regarnir les rangs", explique le responsable de la formation Claude Gut.
Le groupement compte environ 300 membres, dont 120 actifs, et dispose de 150 à 180 guides. La semaine dernière, 30 personnes ont participé à un camp à Grimentz (VS). "Nous avons eu besoin d'une trentaine de guides pour les encadrer, en gardant une marge de réserve pour maladie ou autre empêchement", illustre-t-il.
400'000 personnes touchées
Pour permettre aux personnes à la vue altérée de continuer, voire d'apprendre à skier, instruire de nouveaux guides s'avère d'autant plus indispensable que le nombre de personnes malvoyantes augmente. Il s'agit d'un grave problème de santé publique, souligne Hervé Richoz.
Si la Suisse ne dispose pas de chiffres précis sur les personnes malvoyantes ou aveugles, les "perdants de la vue" seraient environ 400'000, selon des estimations concordantes. Les causes principales: des pertes de vision progressives dues notamment à la dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA) ou à la rétinite pigmentaire, une maladie génétique dégénérative de l'oeil, explique-t-il.
Plaisir et sécurité
Le GRSA recherche des hommes et des femmes, âgés de 18 à 60 ans et doté d'un bon niveau de ski. "Pas besoin d'être un champion", note toutefois Claude Gut. S'ils satisfont aux exigences du guidage, leur préoccupation majeure sera d'offrir un maximum de plaisir à leur binôme tout en assurant la plus stricte sécurité sur les pistes.
La prochaine session de formation se déroulera en novembre 2025. Elle débutera par une journée de sensibilisation au handicap et un test de ski. Suivront deux week-ends de formation, avant de commencer le guidage proprement dit. Au total, l'investissement représente environ dix jours pour la première saison et six jours l'année suivante.
Dans la pratique, le guide skie derrière la personne aveugle alors qu'il précède généralement un ou une malvoyante. Le ski libre est aussi proposé lorsque les conditions sont bonnes.
Confiance aveugle
"En avant, droite, gauche, halte": le guidage se fait par la voix, de plus en plus avec des mini-oreillettes, explique Claude Gut. Mais l'apprentissage de base se fait uniquement avec la voix, une nécessité en cas de problème technique. Chaque mot est précis et réfléchi, permettant de réagir instantanément. La modulation est extrêmement importante, décrit-il.
"Le tandem est une entité fusionnelle, complice et qui s'éclate. Si le ski se fait un peu différemment, les sensations sont retrouvées", s'enthousiasme Hervé Richoz, lui-même malvoyant.
Pistes noires
"Cela peut paraître surprenant, mais les aveugles adorent les pistes noires et s'embêtent un peu sur les longueurs plates des pistes bleues. Notre mission, c'est de partager le plaisir du ski, mais également de faire progresser, d'augmenter le savoir et les compétences", souligne-t-il.
Le GRSA a été fondé en 1969 à Lausanne. A l'époque, la plupart des déficients visuels avaient tout à apprendre du ski. L'esprit des précurseurs a été préservé. Les membres sont avant tout des amis qui partagent la même envie: skier.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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