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Vaud

La droite vaudoise s'unit "pour le pouvoir d'achat"

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Yvan Pahud (UDC), Marc-Olivier Buffat (PLR), Pauline Blanc et Maxime Meier (JPLR), Gauthier Dorthe (jeunes Vert'Libéraux) et Adytia Yellepeddi (Le Centre).

Le parti du Centre, les Vert’Libéraux, le PLR et l’UDC lancent une initiative pour déduire la prime moyenne d’assurance maladie de base des impôts.

"Davantage de pouvoir d'achat pour la population vaudoise." C’est l’intitulé pour le moins vendeur de l’initiative présentée ce matin par les Jeunes Libéraux-Radicaux jeudi matin à Lausanne.

Le but est de permettre la déduction de la prime moyenne d’assurance maladie de base des impôts. Cela représente 4800 francs pour une personne seule et 9600 francs pour les couples mariés.

Les jeunes PLR Vaudois avaient déjà lancé une première initiative en 2017 pour relever le seuil des déductions.

Le coprésident du comité d’initiative Maxime Meier explique pour quelles raisons l’accent est à nouveau mis sur ces primes.

Pour le canton, les charges potentielles se chiffrent à une cinquantaine de millions de francs.

Pour le coprésident du comité d’initiative, l’état des caisses cantonales autorisent une telle démarche.

Cette proposition intervient quelques mois après une remise en question du système actuel dans l’hémicycle vaudois.

En février dernier, une courte majorité de députés emmenés par la gauche avait alors pris une décision symboliquement forte: demander à l'Assemblée fédérale la possibilité de créer une caisse maladie cantonale.

De l'autre côté de l'échiquier politique, l'opération séduction est lancée, à quelques mois des élections cantonales du printemps 2022.

Une période qui fera d’ailleurs office d’échéance pour le comité d’initiative. Celui-ci doit récolter au minimum 12 000 signatures d’ici au 7 mars.

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Vaud

Les rose-verts d'Ecublens disent non à la jonction autoroutière

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Les conseillers communaux du PSIG et des Vert-e-s d'Ecublens s’opposent au projet de nouvelle jonction autoroutière sur le territoire communal (photo d'illustration). (© KEYSTONE/VALENTIN FLAURAUD)

Les conseillers communaux du PSIG et des Vert-e-s d'Ecublens (VD) s’opposent fermement au projet de nouvelle jonction autoroutière sur le territoire communal. Ce projet, hérité d’une vision dépassée de la mobilité, est "inefficace et nuisible", estiment-ils.

Dans leur communiqué publié mercredi, les élus communaux du Parti socialiste et indépendant-e-s de Gauche (PSIG) et des Vert-e-s rappellent que la commune de Chavannes-près-Renens a récemment dénoncé la convention passée avec l’OFROU pour la création d’une nouvelle sortie autoroutière afin de protéger la qualité de vie de ses habitants.

Le 27 février 2025, la Municipalité d'Ecublens a confirmé son soutien au projet de jonction, tout en réaffirmant l'exigence que cette jonction ne voie le jour qu'en parallèle avec celle de Chavannes-près-Renens. Ce positionnement est censé éviter que le trafic de Chavannes se reporte intégralement sur Écublens.

Or, la dénonciation unilatérale de la convention par Chavannes rend cette simultanéité hautement incertaine, estiment les roses-verts. Cette situation met en lumière le risque réel que la commune se retrouve seule à gérer les conséquences d'un projet imposé, tant sur le plan financier que sur celui du trafic.

Des solutions alternatives existent, estiment les conseillers communaux: baisse des vitesses, transformation de l'A1 en boulevard urbain, report modal vers les transports publics et la mobilité active. Et de rappeler que le 24 novembre 2024, les citoyens suisses ont dit non aux extensions autoroutières incluant des jonctions, à 59% à Ecublens, à 61% dans tout le district de l'Ouest lausannois et à 58% dans le canton de Vaud.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Lausanne

Helvetia Nostra marque un point sur l'aménagement de Montreux

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Le Tribunal fédéral reconnaît la qualité pour recourir à Helvetia Nostra contre le plan de zones réservées de la commune de Montreux. (archives) (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

La fondation Helvetia Nostra est habilitée à recourir contre le plan de zones réservées adopté par Montreux. Dans la mesure où ce plan vise à empêcher toute construction au sein des périmètres touchés dans l'attente de la réduction de la zone à bâtir, la commune exécute une tâche fédérale soumise au contrôle des associations environnementales.

Après l'annulation de son nouveau plan général d'affectation par le Tribunal fédéral en 2020, Montreux a adopté un plan de zones réservées. Son but est de geler les constructions jusqu'à ce qu'un nouveau plan d'affectation soit défini. Estimant qu'un arrêt limité à certains périmètres n'était pas suffisant, Helvetia Nostra a contesté ce document.

La fondation a été déboutée tant par la commune que par le canton qui ont estimé qu'elle n'avait pas la qualité pour agir. En effet, l'aménagement du territoire est une tâche cantonale. En outre, la création d'une zone réservée ne constitue pas un classement et ne porte pas sur des mesures de protection de la nature, des biotopes,, du paysage ou des sites construits.

Zone à bâtir surdimensionnée

Dans un arrêt publié mercredi, le Tribunal fédéral s'écarte de cette opinion. Si l'aménagement du territoire incombe en premier lieu aux cantons, cela n'exclut pas que la Confédération puisse légiférer sur des questions particulièrement importantes à l'échelle nationale.

Il en va ainsi du classement en zone à bâtir et en particulier de la réduction des zones à bâtir imposée par la loi fédérale sur l'aménagement du territoire (LAT), précise la 1ère Cour de droit public. La création de zones réservées, lorsqu'elles gèlent les constructions pour une durée limitée jusqu'à l'adoption d'une nouvelle planification, s'inscrit dans ce cadre.

Les juges de Mon Repos constatent que la zone à bâtir de Montreux est largement surdimensionnée. Une zone réservée limitée à certains secteurs risque d'entraver la marge de manoeuvre de la commune lors de l'élaboration du plan d'affectation puisque les constructions resteront possibles ailleurs. L'existence d'une tâche fédérale doit être admise dans un tel cas: Une organisation comme Helvetia Nostra peut donc exercer le contrôle qui lui est accordé par la LAT. (arrêt 1C_58/2024 du 5 mars 2025)

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Vaud

Place d'Armes d'Yverdon: la Municipalité défend son contre-projet

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La Municipalité yverdonnoise au complet s'est présentée mercredi devant la presse pour défendre son contre-projet pour la place d'Armes. (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

La Municipalité d'Yverdon-les-Bains a lancé mercredi la campagne en vue de la votation "historique" du 18 mai sur le parking de la place d'Armes. A l'initiative populaire demandant 1000 places en souterrain, l'exécutif propose un contre-projet à 800 places, réparties sur l'ensemble du centre-ville et pas forcément en sous-sol.

Dans la première version de son contre-projet, présentée en juin dernier, la Municipalité proposait de construire un parking souterrain à la place d'Armes de 600 places, auxquelles s'ajouteraient 200 autres en surface. Le Conseil communal lui a toutefois demandé en février de revoir sa copie, et d'envisager un nombre restreint de places en sous-sol.

Combien en restera-t-il si le contre-projet est accepté le 18 mai ? La Municipalité a expliqué qu'elle ne le savait pas encore, que des études devraient être menées pour savoir comment répartir, entre surface et sous-sol, le total des 800 places qu'elle souhaite maintenir au centre-ville (il en existe aujourd'hui 1070).

Projet illégal

Une chose est certaine, la Municipalité rejette avec vigueur l'initiative populaire qui demande la construction d'un parking souterrain "de l'ordre de 1000 places" sous la place d'Armes.

Présent in corpore devant les médias, l'exécutif yverdonnois a rappelé qu'un projet semblable avait été préavisé défavorablement en 2021 par le Canton de Vaud. Outre le fait qu'il serait "trop grand" pour une ville comme Yverdon, un parking de 1000 places serait "non conforme" aux législations cantonale et fédérale, en matière notamment de trafic, de bruit et d'impact sur l'environnement.

Les municipaux ont ainsi assuré que si l'initiative était acceptée, elle donnerait lieu à "une cascade" d'oppositions et de recours. Et qu'au final, le Tribunal fédéral s'opposerait au projet. Selon eux, leur variante à 800 places, dont une partie en souterrain, est la seule option qui serait "réalisable" et "acceptable".

Elle permettrait aussi d'imaginer "une desserte plus fine" du centre-ville, plutôt que d'avoir un seul grand parking à la place d'Armes.

Consensus municipal

Prenant la parole à tour de rôle, les sept élus ont souligné qu'ils s'exprimaient "d'une seule et même voix", que leur contre-projet était le fruit d'un compromis. L'intérêt de la Ville doit l'emporter sur les intérêts des partis et de leurs "dogmes" en matière de parking, ont-ils répété.

"Les discussions ont été intenses et chacun a dû mettre de l'eau dans son vin. Je dois saluer l'esprit de consensus de mes collègues", a affirmé le syndic Pierre Dessemontet, à la tête d'une Municipalité dominée par la gauche (3 PS, 2 Vert-e-s, 2 PLR).

Une première

Le 18 mai, le contre-projet de la Municipalité sera opposé à l'initiative du Collectif aménagement et parking de la place d'Armes (CAPPA), lequel tiendra prochainement sa propre conférence de presse pour présenter ses arguments. Fin 2023, le collectif avait facilement récolté plus de 4500 signatures pour son initiative, alors que 3060 étaient nécessaires.

A noter que les deux camps ne s'opposent pas sur le réaménagement en surface de la place d'Armes, où les quelque 350 places actuelles devraient être remplacées par des espaces de détente végétalisés.

Si le contre-projet et l'initiative sont acceptés par le peuple le 18 mai, c'est l'initiative qui l'emportera. En cas de double non, tout serait à refaire.

Quelle que soit l'issue du scrutin, cette votation s'annonce historique. En plus de 60 ans de débats conflictuels et de projets divers, c'est la première fois que la population yverdonnoise se prononcera sur l'avenir de la place d'Armes.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Hockey

Patients comme des lions en chasse, les Lausannois s'imposent

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Les supporters lausannois ont eu leur rôle dans cette victoire. ©KEYSTONE/Jean-Christophe Bott

Le LHC est toujours dans la course! Les Lausannois ont décroché la victoire 2-1 dans l’Acte V face à Fribourg-Gottéron dans les demi-finales de playoffs et reviennent à 2-3 dans la série. Un match qui s’est joué entre la 41e et la 44e minute.

La victoire ou les vacances. Le Lausanne Hockey Club n’avait plus le choix ce mardi dans cet Acte V de la demi-finale. Et c’est peut-être dans cette situation, dos au mur, que l’équipe est la plus efficace.

On a senti dès le coup d'envoi que les Lions avaient besoin de gagner ce match. Ils sont entrés dans la partie sur le même rythme que la (très bonne) première prolongation de samedi à Fribourg. Combatifs, laissant peu de place à leurs adversaires. Mais voilà, ils ont été confrontés à un vieux démon: un manque de réussite dans le dernier geste. Lauri Pajuniemi nous a gratifié d'un joli shoot sur une bonne passe de Dominik Kahun, mais Reto Berra a fait valser le puck au-dessus de la cage (2e). Après une passe ratée de Dave Sutter, Kahun a trouvé le puck tout seul devant la cage, mais son tir a fini dans la mitaine du gardien fribourgeois (5e). Antti Suomela s'est par deux fois trouvé en excellente position, sans succès (11e et 18e). Et Damien Riat a heurté l'extérieur du poteau (13e).

Pendant ce temps-là, Gottéron a fait son petit bonhomme de chemin. Jakob Lilja, après s'être joué de Nathan Vouardoux, a pu aller au duel avec Kevin Pasche (4e). Sandro Schmid a essayé de tromper le portier lausannois, sur ses appuis droits, en allant chercher l'espace de l’autre côté de la cage, mais il a manqué (8e). Et puis c'était l'ouverture du score. Après un accrochage au centre de la glace, les Dragons ont récupéré le puck. Jan Dorthe a pu entrer en zone et tirer une première fois. Pasche a repoussé et Samuel Walser a profité du rebond (14e, assist: Dorthe).

Les Lausannois n'ont pas été déconcentrés pour autant. Mais ils ne se sont pas mis dans les meilleures dispositions pour commencer le deuxième tiers puisqu'Andrea Glauser s'est vu pénalisé de 2 minutes à quelques secondes de la fin de la première période. Lausanne est donc revenu des vestiaires à 4 contre 5, sans conséquence pour cette fois.

Coup de mou

Dans le deuxième tiers, Lausanne a semblé peu à peu s'éteindre. Théo Rochette confirme.

Le jeu était plutôt équilibré mais Fribourg a fait le job pour protéger sa cage et son score. Et puis il y a deux deux minutes de folie juste avant la sirène. Les Lions se sont attaqués encore et encore sur Berra, sans relâche. Mais sans réussir à pénétrer sa forteresse. Résultat: toujours un but de retard à la pause.

Et la patinoire s’enflamme

Mais l’on n'abat pas un lion si facilement. Au coup d'envoi du troisième tiers, ce sont les Lausannois qui étaient en supériorité numérique. Et ils en ont pleinement tiré profit. Alors qu'ils avaient presque perdu le puck, les hommes de Geoff Ward se sont vite réorganisés et Ken Jäger a redonné l’espoir à toute la Vaudoise Aréna avec son puissant tir (41e, assists: Riat et Bayreuther).


Un but qui a eu l'effet d'une barre chocolatée dont on taira le nom sur les Lions puisque 2 minutes et 33 secondes plus tard, il y avait 2-1. Suomela se battait à la bande derrière la cage de Berra pour récupérer la rondelle. Puck qui est parti vers l’avant, en plein sur le pied d’Ahti Oksanen qui a simplement ajusté la trajectoire avec sa canne pour inscrire ce deuxième but et permettre aux Lausannois de reprendre les devants (44e, assist: Suomela). Et de redonner aussi confiance car l'attaquant, généralement posté juste devant la cage, était en cruel manque de réussite.

C'est là que le match est vraiment devenu tendu. D'autant plus lorsque Fribourg a eu droit à deux minutes en powerplay. Mais les Lions ont pu compter sur leur bonne défense, sur un très bon Kevin Pasche et sur un public qui a mis en œuvre tout ce qui lui était possible pour déstabiliser les Dragons.

Gottéron a décidé de tenter le tout pour le tout à un peu plus de 2 minutes de la fin de la rencontre en sortant son gardien. Un homme de plus donc face à Kevin Pasche. Mais 9’600 face aux Fribourgeois. Les supporters, debout, ont donné de la voix comme si leur vie en dépendait. Théo Rochette donne d’ailleurs du crédit à ce public.

Et Lausanne a tenu bon. Score final, 2-1 au bout de 60 minutes durant lesquelles les hommes de Geoff Ward ont semblé passer par toutes les émotions.

Les Lausannois ont su profiter du momentum ce mardi. Même s' ils ne font pas encore usage de tout son potentiel.

Geoff Ward de son côté estime que c’était le meilleur match de cette série pour ses joueurs. “Notre constance devient meilleure”, commente le coach du LHC.

Il va falloir continuer de bâtir là-dessus et garder cet état d’esprit dans le vestiaire lausannois. Car même s’ils reviennent à 2-3, les Lions n’ont toujours pas le droit à l’erreur. L’Acte VII se jouera jeudi à Fribourg. Qui l’emportera, l’équipe qui retrouve des couleurs et sera boostée à bloc? Ou celle qui a laissé passé une chance, mais qui est toujours à 60 minutes de la finale?

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