Vaud
Confrérie plus conviviale grâce aux femmes
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Encore impensable il y a deux éditions en arrière, une petite révolution s'est produite en 2008 avec l'admission des femmes dans les rangs de la Confrérie des Vignerons. Aujourd'hui évidente, elle a mis du temps à s'imposer. Ultime bastion à conquérir: la couronne.
Si pour le metteur en scène Daniele Finzi Pasca, il est tellement normal et évident d'intégrer les femmes, il n'en a pas toujours été ainsi. "Les mentalités ont bien changé", relève Sabine Carruzzo, première femme secrétaire générale de la Confrérie des Vignerons, à Keystone-ATS.
La première fois que la discussion sur l'admission des femmes dans la Confrérie a eu lieu, en 1976, la commission a ouvert la séance, posé la question et clos la séance. Lors de l'assemblée générale de 2008, après un préavis positif de la commission ad hoc, cela n'a pas fait un pli: sur les 200 voix, seules une dizaine se sont opposées lors du vote, raconte l'historienne.
Poids de la tradition
"Une ouverture aussi tardive, cela peut surprendre, mais la tradition existe depuis la nuit des temps, depuis la fin du Moyen Age. Les choses méritaient une certaine attention avant d'être modifiées", explique l'ethnologue Isabelle Raboud, directrice du Musée gruérien de Bulle.
Acceptées depuis 2009, les consoeurs constituent dix ans plus tard 27% des 1770 membres. Depuis le changement de statut, une procédure simplifiée permet aux "filles et soeurs de" d'être reconnues et acceptées sans autre. Quant au Conseil, il compte deux femmes sur 24 membres depuis 2015, dont Isabelle Raboud.
"Il y a une marge de progression", sourit Sabine Carruzzo. "La situation peut se modifier rapidement. Bon nombre de conseillers approchent de la limite d'âge de 70 ans. Le renouvellement va se faire petit à petit".
Bien intégrées
Les femmes ont amené beaucoup de convivialité dans la Confrérie, estime la secrétaire générale. "Auparavant, les biennales (les assemblées générales qui ont lieu tous les deux ans et qui élisent le Conseil) étaient très strictes. L'assemblée écoutait religieusement l'abbé-président. Cela restait formel".
"Aujourd'hui, on y vient en famille, le grand-père avec sa petite fille. Les femmes se sont magnifiquement bien intégrées", se réjouit-elle.
Des expertes
La féminisation progresse aussi dans les activités viticoles de Confrérie. Celle-ci mandate des experts, tous vignerons professionnels, pour contrôler la bien facture des travaux effectués dans les vignes. Anne-Catherine Ruchonnet est la première femme à effectuer ce travail pour la Confrérie aux côtés de six confrères.
Lors de chaque Fête, les meilleurs vignerons tâcherons sont récompensés. Cette année, trois vigneronnes-tâcheronnes figurent parmi les 74 participants (représentant communes, canton et particuliers).
A ce concours, des femmes ont déjà été primées, mais seuls des hommes ont obtenu le titre de "Roi de la Fête", note Mme Carruzzo. Un bastion qui pourrait tomber le 18 juillet, jour du couronnement.
Petites mains
Quant au monde de la vigne, les femmes en ont toujours fait partie, mais comme petites mains. Si aujourd'hui elles reprennent des domaines familiaux, le savoir-faire des pères n'a été pendant bien longtemps transmis qu'aux seuls garçons, rappelle Isabelle Raboud. La gent féminine était cantonnée à l'effeuillage et aux vendanges.
"On disait même que les femmes ne devaient pas entrer dans une cave, sans quoi le vin allait tourner", narrait la vigneronne valaisanne Marie-Thérèse Chappaz, lors d'une table ronde en février sur la féminisation du monde viticole à Vevey. "Il n'y a pas si longtemps que les femmes taillent, sulfatent font tous les travaux. C'est en partie grâce à l'arrivée des machines", ajoutait-elle.
Figurantes et effeuilleuses
Pour la Fête elle-même, les femmes sont accueillies sans restriction depuis 1905. Notamment dans les rôles de figurantes et celui des effeuilleuses. "Aujourd'hui la parité est très importante pour Daniele Finzi Pasca", souligne Sabine Carruzzo.
Le metteur en scène tient beaucoup à une représentation équivalente des rôles, comme le montre notamment la troupe des Cent Suisses et des Cent Suissesses. Il a lui-même conçu le spectacle en duo avec son épouse Julie, disparue en 2016. Ils l'ont rêvé et conçu ensemble, il doit aujourd'hui le réaliser seul."
(KEYSTONE-ATS)
Vaud
L'autoroute A1 est coupée entre Rolle et Gland
Un automobiliste a perdu la maitrise de son véhicule sur l'autoroute A1 entre Rolle et Gland, mardi en début de soirée. Sérieusement blessé, il a été conduit au CHUV, selon une information de la Police cantonale vaudoise,
L'accident s'est produit vers 17h20. Pour une raison que devra déterminer l'enquête, un véhicule a terminé sa course sur le toit, au milieu des deux chaussées, en direction de Genève.
Afin de pouvoir acheminer les secours et sécuriser l'endroit, l'autoroute a été fermée. Elle l'est toujours sur le coup de 19h30. L'heure de sa rouverture n'est pas connue.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Voyage au coeur des pôles à Aquatis
Dans le cadre de l'Année Internationale de la Préservation des Glaciers, l'aquarium-vivarium Aquatis présente une exposition sur les régions polaires. Celle-ci vise à mieux comprendre la diversité de leur écosystème et à sensibiliser aux enjeux environnementaux qui y sont liés.
Aquatis invite le public à découvrir les régions polaires. Sa nouvelle exposition "Mission Polaire" propose une expérience visuelle et scientifique sur les pôles de l'Arctique et de l'Antarctique. Celle-ci met en lumière la biodiversité de leur écosystème et leurs enjeux face au réchauffement climatique. L'aquarium-vivarium de Lausanne veut sensibiliser à l'urgence de protéger ces zones du globe, tout en se montrant optimiste.
L'exposition explore ces écosystèmes autour de trois thématiques clés: la culture des Inuits, les exploits de grands explorateurs polaires et l’immense biodiversité des deux pôles. L'objectif de la Fondation Aquatis consiste à illustrer l'importance de ce joyau essentiel pour la planète.
Si le réchauffement climatique est déjà bien ancré dans la conscience collective, certaines conséquences de la fonte des glaces dans les régions polaires peuvent être occultées.
L’exposition "Mission Polaire" a été réalisée par l’Institut Océanographique de Monaco. Elle est accessible à Aquatis jusqu'en mars 2026.
Hockey
Une moquerie à 2500 francs pour Andrea Glauser
Andrea Glauser a écopé de 2500 francs d'amende. Le défenseur lausannois est puni pour s'être moqué des officiels lors du match VII entre le LHC et Fribourg samedi dernier.
Après la charge de Walser sur Kevin Pasche en fin de deuxième tiers et alors que le score était de 3-0 en faveur des Vaudois, Glauser avait fini sur le banc des pénalités pour avoir participé à une bagarre.
Sur le banc, le Singinois s'était caché les yeux et avait mimé un arbitre donnant des pénalités au hasard avec son bras. Ce geste n'a donc pas été du goût des officiels qui ont sanctionné le numéro 96 lausannois. Le futur arrière de Fribourg pourra se consoler en se disant que son geste a fait le tour des réseaux sociaux et qu'il sera certainement réutilisé de nombreuses fois à l'avenir.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Crissier: la métamorphose urbaine vue par de jeunes photographes
Dix-huit nouveaux quartiers de la région lausannoise ont été immortalisés par des étudiants en photographie dans le cadre de l'exposition Horizon Ouest. Les panneaux grand format sont visibles dans l'espace public à Crissier (VD) jusqu'au 23 avril.
Des étudiants de l’Ecole cantonale d’art de Lausanne (ECAL) ont mis en lumière les premiers instants de 18 nouveaux quartiers de l'Ouest lausannois. Ils répondaient à l’initiative de l’association "Ouest lausannois: Prix Wakker 2011", indique un communiqué.
Chaque étudiant s’est vu attribuer un lieu spécifique: nouveau quartier, chantier ou bâtiment singulier, sur lequel il a travaillé durant l’année académique 2023-2024. Au-delà de devoir photographier des lieux parfois peu photogéniques, le défi était d'appréhender la dynamique particulière aux lieux en mutation.
Les photos exposées partagent ainsi des regards singuliers sur ces espaces de vie. Elles invitent tant les habitants de longue date que les nouveaux arrivants à parcourir ces quartiers, tout en s'interrogeant sur la façon dont on se les approprie.
L'exposition a d'abord été présentée à Bussigny. Après son passage à Crissier, elle fera halte à Ecublens, puis à Renens, jusqu’au 21 mai prochain.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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