Suisse Romande
Modernisée, la gare de Martigny (VS) a été inaugurée
Après plus de trois ans de travaux, et 65 millions de francs d'investissement, la gare de Martigny a terminé sa mue. La station pourra accueillir plus de monde et répond désormais aux normes d'accessibilité. Son inauguration officielle a eu lieu ce mercredi.
"Martigny est une ville de carrefour, un noeud ferroviaire", indique mercredi à Keystone-ATS David Fattebert, directeur régional des CFF. Cette modernisation était nécessaire notamment pour répondre à la hausse du nombre de personnes qui l'empreinte.
Les quais ont été rallongés à 400 mètres pour accueillir des trains de plus grande capacité. Les accès aux quais ont été "considérablement améliorés" avec notamment un passage sous-voie supplémentaire qui favorise et simplifie les correspondances entre les trains qui vont dans l'Entremont, le Val de Bagnes et l'arc lémanique, précise David Fattebert.
La gare de Martigny voit passer quelque 200 trains par jour et environ 10'000 personnes. Ce chiffre devrait grimper à 15'000 d'ici 2035, selon nos prévisions, souligne le directeur régional. La nouvelle infrastructure suffira amplement, ajoute-t-il.
Gare aux normes
Lors des travaux, les quais ont aussi été rehaussés de manière à ce que les personnes à mobilité réduite puissent rentrer de manière autonome dans les trains, comme l'exige la loi sur l’égalité pour les handicapés (LHand). Selon le texte, la compagnie ferroviaire devait mettre toutes ses gares aux normes d'ici fin 2023, mais elle a déjà annoncé fin 2022, qu'elle n'arriverait pas à tenir ce délai.
Les CFF poursuivent toutefois leurs efforts. "Nous allons faire toutes les gares à terme. Pour l’instant, nous avons priorisé les travaux par rapport à l’utilité et la proportionnalité et commencé par les gares où il y a le plus de trafic”, affirme David Fattebert. Des travaux similaires à ceux de Martigny sont actuellement en cours à Fribourg, complète-t-il.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Vaud
L'autoroute A1 est fermée en direction d'Yverdon-les-Bains
L'autoroute A1 est fermée depuis 14h45, dans le Nord-vaudois, en direction d'Yverdon-Sud. Un car en feu en est la cause.
Afin de permettre aux pompiers d'effectuer leur travail, l'autoroute est fermée jusqu'à nouvel avis entre l'échangeur d'Essert-Pittet et Yverdon-Sud, en direction de la cité thermale.
Selon la Police cantonale vaudoise, aucun blessé n'est à déplorer. L'incident s'est déroulé à la hauteur du village d'Ependes. Il n'est pas lié à un accident de la circulation, mais à un problème au niveau du véhicule lui-même.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse Romande
St-Gingolph: l'affaire des abus à l'Ecole des Missions s'amplifie
Une nouvelle affaire d'abus sexuels prend de l'ampleur en Valais. Elle est liée aux agissements d'un prêtre spiritain de l'Ecole des Missions située à Saint-Gingolph.
Révélée par la télévision locale Canal 9, le 21 mars, via le témoignage d'un ancien élève abusé en 1982, l'affaire se conjugue désormais au pluriel. Selon le quotidien Le Nouvelliste, 5 autres personnes ont dénoncé leur propre cas auprès du groupe de soutien aux personnes abusées dans une relation d'autorité religieuse (SAPEC). "Pour ma part, je vais entendre toute personne qui en éprouve le besoin", a précisé la Procureure générale, Beatrice Pilloud, à Keystone-ATS.
Comme elle s'y était engagée auprès de la SAPEC, mardi dernier, la Congrégation du Saint-Esprit a adressé un courriel à ses anciens élèves. "Nous reconnaissons qu’un prêtre spiritain, professeur de l’École des Missions en 1982 et aujourd’hui décédé, a agi de manière irresponsable et est accusé d’abus d’ordre sexuel", lit-on.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Johann Chapoutot donnera une conférence à Genève le 15 avril
Spécialiste reconnu du nazisme, Johann Chapoutot donnera une conférence le mardi 15 avril, à Genève. Invité par la Fondation Zoein, l'historien français donnera les raisons qui, selon lui, ont conduit, au début des années 30, à l'effondrement du régime démocratique de la République de Weimar et à la prise de pouvoir d'Adolf Hitler.
Le professeur d'histoire contemporaine à la Sorbonne s'exprimera dans le cadre d'un cycle de conférences intitulé "La démocratie en danger". Ce cycle de conférences a été lancé par la fondation Zoein en partenariat avec l'Université de Genève (UNIGE) et avec le soutien de l'Etat de Genève.
Johann Chapoutot expliquera comment l'alliance entre les partis conservateurs, nationalistes et libéraux avec l'extrême droite a porté les nazis à la tête de l'Allemagne. La conférence sera suivie d'une table ronde animée par le professeur Jean-François Bayard, du Graduate Institut et du professeur Ludovic Tournès, de l'UNIGE.
La Fondation Zoein a été créée en 2017 à Genève. Elle poursuit l'objectif "de promouvoir de nouveaux modèles socio-économiques et démocratiques, articulant enjeux écologiques et enjeux sociaux". Elle s'investit aussi dans la vulgarisation d'informations scientifiques au travers de vidéos, articles, podcasts.
La conférence se tiendra mardi 15 avril, à 20h00, dans la salle UniDufour.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse Romande
Un projet valaisano-valdôtin d'étude de la biodiversité est lancé
Un projet de ruches connectées voit le jour entre l'Entremont (Valais) et le Val d'Aoste. Il vise à étudier l'état de santé de la biodiversité dans ces deux contrées voisines.
Intitulé "Api-Alpes", ce projet est soutenu par le programme de coopération interreg financé par l'Union européenne. Il a été présenté à l'occasion d'une conférence de presse en ligne vendredi. Son objectif principal consiste à améliorer les connaissances sur l'évolution de la biodiversité. L'étude s'effectue grâce à des ruches connectées et des ruches sentinelles situées tant sur territoire italien que suisse.
Le choix d'étudier les abeilles entre l'Entremont et et le Val d'Aoste s'explique par des conditions climatiques et géographiques identiques et une apiculture similaire.
Créer une base de données
Concrètement, le projet vise à créer une base de données transfrontalières. Les ruches connectées ou sentinelles, situées des deux côtés de la frontière, doivent permettre de donner certaines informations comme le poids de la ruche, sa température ainsi que le nombre d'entrées et de sorties du rucher. Compilés, ces renseignements figureront ensuite dans une base de données.
Ces éléments doivent permettre de mieux lutter contre le varroa ou le frelon asiatique. L’intensification de l’agriculture, les parasites, la perte des habitats et les changements climatiques sont des facteurs qui tendent à réduire de plus en plus le nombre d'abeilles, tant en Valais que dans le nord de l'Italie.
Enfin, la démarche vise à informer le grand public et les professionnels sur les bonnes pratiques permettant de préserver la biodiversité.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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