Genève
Les pompiers montrent les gestes qui sauvent
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2018/10/20181006173144646-1000x600.jpg&description=Les pompiers montrent les gestes qui sauvent', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
Une centaine de personnes ont pu participer, samedi, à des ateliers mis sur pied par les pompiers genevois. Elles ont pu apprendre comment éteindre une casserole qui prend feu, effectuer un massage cardiaque ou se familiariser avec le fonctionnement d'un extincteur.
Cette journée "des gestes qui sauvent" était organisée pour la première fois, à l'initiative de Miguel Kupper, sergent au Service d'incendie et de secours (SIS) de la Ville de Genève. "Nous avons limité volontairement le nombre d'inscriptions et avons privilégié la qualité des échanges", a souligné l'officier.
Un pari gagné. Les participants, jeunes et moins jeunes, ont été répartis en petits groupes, et se sont investis, posant beaucoup de questions. De leur côté, les pompiers et ambulanciers leur ont montré comment réagir au mieux en cas d'incendie ou devant une personne ayant perdu conscience.
La fumée redoutée
L'atelier soulignant les dangers de la fumée était l'un des plus impressionnants. Les visiteurs ont pu se rendre compte de la rapidité avec laquelle les volutes toxiques peuvent se propager, grâce à une simulation réalisée à l'aide d'une maquette d'un immeuble.
Lors d'un incendie, quatre décès sur cinq sont dus aux fumées, a relevé un pompier. Pour les hommes du feu, elles représentent la plus grande difficulté, les rendant aveugles et les obligeant à progresser à tâtons. Parfois, ils sont équipés d'une caméra infrarouge, leur permettant de déceler les sources de chaleur.
Les participants à ces journées ont pu vivre cette expérience dans leur chair. Ils ont été invités à parcourir un couloir rempli de fumée non nocive et à trouver la sortie du bâtiment. Par rapport à un pompier livré à lui-même, l'exercice était plus facile. Les gens étaient en groupe et avaient des repères grâce à leurs voisins.
M.Kupper compte bien renouveler cette journée "des gestes qui sauvent" l'an prochain. Le pompier professionnel estime qu'aujourd'hui la population n'est pas bien informée. A Genève, il n'existe qu'un cours sur les dangers du feu pour les enfants de 12 ans et des leçons de samaritain pour les apprentis conducteurs.
Genève
Musée des sciences à Genève: l'anatomie de ses débuts à aujourd'hui
La nouvelle exposition du Musée d'histoire des Sciences de Genève invite à un voyage à l'intérieur du corps humain. Dès mercredi prochain et jusqu'en avril 2026, le public pourra notamment découvrir des modèles anatomiques spectaculaires du 19e siècle et en savoir plus sur l'histologie, cette science dédiée à l'étude des tissus biologiques.
L'intérêt pour l'anatomie remonte à l'Antiquité et Genève n'a pas échappé à cette fascination, rappelle le musée genevois dans un communiqué.
L'exposition "Anatomie" propose "une plongée immersive dans l'histoire de cette discipline, avec une section consacrée à la représentation du corps humain au 19e siècle". Des moulages aux planches descriptives, jusqu'à des écorchés impressionnants, il y aura de tout pour assouvir la curiosité du public.
Dès la Renaissance, la dissection des corps a permis de mieux comprendre l'anatomie humaine. La transmission des connaissances se faisait à l'aide de modèles en cire, en bois et en plâtre. Au 19e siècle, la fabrication de ces modèles s'est industrialisée et ils sont devenus des objets de collection, note le musée.
L'exposition s'intéresse également à l'évolution de l'anatomie microscopique. Le père de cette discipline est le médecin italien Marcello Malpighi, qui au 17e siècle, en observant un coeur de boeuf dans le détail, a décrit les fibres qu'il y voyait et a conclu qu'il s'agissait d'un organe musculaire.
Aujourd'hui, relève le Musée d'histoire des sciences, l'imagerie médicale permet d'étudier le corps sans l'ouvrir, et des technologies innovantes, comme l'impression 3D, révolutionnent l'enseignement de l'anatomie.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Débat houleux au sujet des droits des personnes trans
Les débats ont été agités vendredi au Grand Conseil genevois au sujet d'une résolution de la gauche qui visait à garantir les droits des personnes trans. Le président du parlement a dû intervenir pour remettre à l'ordre des députés qui ont tenu des propos insultants et haineux.
Le texte avait pour but d'interpeller l'assemblée fédérale afin notamment d'inscrire dans la législation le droit de ne se définir ni homme ni femme à l'état civil. Le débat a commencé dans le calme, lorsque la rapporteure de majorité a expliqué que cette demande avait déjà été tranchée et rejetée à Berne.
La prise de parole de la députée PLR Céline Zuber-Roy a ensuite suscité une sonore désapprobation à gauche. Estimant que la résolution allait trop loin, la PLR a relevé qu'il y avait "une réalité biologique, avec des hommes et des femmes".
Fâché par ces propos, le socialiste Matthieu Jotterand a mis en garde contre la vague réactionnaire qui vient des Etats-Unis. Il a conclu son intervention en appelant la députée PLR "Céline Zuber-Trump". Des excuses ont été exigées par le président du Grand Conseil. Mais M.Jotterand a refusé de s'y plier et a quitté la salle.
L'agitation est encore montée d'un cran quand le député UDC Marc Falquet a pris la parole. "Si on change de sexe, ça sera des malades à vie", a-t-il asséné. "Les jeunes ont besoin de valeurs, pas de changements de sexe", a-t-il ajouté. Ces déclarations ont fait hurler la gauche. Un député socialiste a demandé des excuses pour ces propos haineux.
Au final, tous les amendements ainsi que la résolution dans son ensemble ont été rejetés par la majorité de droite du Grand Conseil. La présidente du Conseil d'Etat Nathalie Fontanet a pour sa part rappelé l'attachement du canton à l'égalité. Genève a été pionnier en Suisse en adoptant en 2023 une loi contre les discriminations liées au sexe et au genre.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
Matchs à Genève: 1000 billets gratuits pour les jeunes
Le Grand Conseil genevois veut valoriser le sport féminin auprès des jeunes. Il a ainsi voté vendredi à l'unanimité une motion afin de distribuer 1000 billets gratuits aux clubs sportifs qui accompagneront des jeunes de moins de 18 ans aux matchs de l'Euro féminin qui se joueront à Genève.
"Le football est un magnifique vecteur d'intégration, mais les femmes restent encore sous-représentées dans ce sport", a relevé Thierry Arn, député du Centre. La proportion des joueuses licenciées à Genève est seulement de 10%, ont relevé plusieurs élus.
Les socialistes ont souligné l'importance du sport comme vecteur de cohésion sociale. Si cette initiative peut permettre d'encourager des vocations, "le jeu en vaut la chandelle", a relevé Romain de Sainte Marie. Les billets coûtent en moyenne 35 francs, ce qui fait un investissement de 35'000 francs environ.
"L'Euro féminin est une opportunité précieuse pour sensibiliser les jeunes au foot féminin", selon la Verte Céline Bartolomucci. L'UDC et le MCG étaient sur la même longueur d'onde. Seul le PLR a émis quelques doutes sur l'"impact limité" de cette motion. Mais le parti a tout de même apporté son soutien à ce texte issu des rangs de Libertés et justice sociale (LJS).
Le conseiller d'Etat en charge des sports, Thierry Apothéloz, est favorable à cette initiative. Les députés avaient déjà au printemps dernier fait distribuer 1000 billets gratuits pour que les enfants puissent assister à la finale de la Coupe de Suisse de football à Berne. Le Servette FC avait alors remporté le titre au bout du suspense.
Genève accueillera cinq matchs de l'Euro féminin, dont un quart de finale et une demi-finale. L'association WEURO Genève 2025, qui rassemble les collectivités publiques, veut que cette manifestation soit un moteur de changement durable pour les femmes. Des actions ont notamment été organisées dans les écoles avec les joueuses du Servette FC Chênois Féminin.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Un nouveau calendrier scolaire en vigueur dès 2026 à Genève
Dès 2026, sauf obstacle inattendu, le calendrier scolaire genevois changera. Le département de l'instruction publique (DIP) va rétablir l'ancien calendrier d'avant 2022 avec quelques aménagements afin d'intégrer les ponts de l'Ascension et du Jeûne genevois, a-t-il indiqué vendredi.
Cette décision a été arrêtée après que le DIP a pris connaissance d'un sondage réalisé auprès des parents d'élèves, des directions d'écoles, du personnel enseignant et des élèves du secondaire 2. En tout, 47'000 personnes ont donné leur avis. La solution retenue pour la rentrée 2026 a recueilli les faveurs du plus grand nombre.
Les sondés avaient le choix entre le statu quo, le retour à la situation en vigueur avant 2022, un rééquilibrage entre les vacances de Pâques et d'automne, un décalage du début des vacances d'été et, enfin, un retour à l'ancien calendrier avec des ajustements à l'Ascension et au Jeûne genevois, couplés à une rentrée avancée de deux jours.
C'est cette dernière option qui a récolté le plus de suffrages. La conseillère d'Etat Anne Hiltpold avait décidé de donner la parole aux personnes concernées par les vacances scolaires après avoir constaté que l'actuel calendrier "continuait de susciter de nombreux débats".
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
-
LausanneIl y a 3 jours
Lausanne inaugure une nouvelle zone de baignade à Ouchy
-
InternationalIl y a 3 jours
Londres perd des millionnaires, selon une étude
-
CultureIl y a 2 jours
Discothèque effondrée à Saint-Domingue: le bilan monte à 184 morts
-
FootballIl y a 3 jours
A la découverte des métiers du sport avec le FC Lausanne-Sport
-
InternationalIl y a 2 jours
Donald Trump signe un décret libéralisant le débit des douches
-
HockeyIl y a 2 jours
Dario Rohrbach: un premier but qui tombe à pic
-
VaudIl y a 3 jours
Place d'Armes d'Yverdon: la Municipalité défend son contre-projet
-
InternationalIl y a 3 jours
La vie du prince britannique Harry est en jeu, prévient son avocate