Le Festival Histoire et Cité, qui aura lieu du 31 mars au 6 avril entre Genève et La Chaux-de-Fonds en passant par Lausanne, va explorer le rapport entre l'humain et l'animal. Près de 150 invités s'exprimeront sur le rôle central des animaux dans les sociétés à travers les âges.

Des mythologies anciennes et à la domestication en passant par la philosophie et la science, cette 10e édition du Festival Histoire et Cité se penchera sur les innombrables interactions entre êtres humains et animaux, qu'ils soient sauvages, sources de nourriture, compagnons, force de travail, symboles religieux ou figures artistiques. Une relation qui n'a cessé d'évoluer au fil des siècles.

Ce lien est plus que jamais au centre des discussions au regard des défis actuels, comme le bouleversement des écosystèmes, l'extinction des espèces, l'éthique alimentaire ou encore les sensibilités et droits des animaux. Gratuit, le festival abordera ces questions au travers de conférences, tables rondes, expositions, visites, ateliers et concerts.

Quiz sonore

L'historien des sciences Bruno Strasser parlera d'expérimentation animale, l'historienne de l'art Julie Enckell Julliard se penchera sur les perspectives antispécistes dans la représentation d'animaux dans la fiction et le spécialiste de l'histoire des animaux Eric Baratay reviendra sur l'histoire des chats. Loups, baleines, singes et oiseaux de toutes sortes seront aussi au centre des interventions.

Sur un mode plus ludique, le doctorant Paul Deshusses proposera un quiz sonore d'animaux insolites, tandis qu'un safari urbain emmènera les participants sur les traces de vie animale à Genève. Plusieurs films sont aussi programmés, l'occasion de revoir "La Planète des singes" ou "Le Règne animal" mais aussi de découvrir des courts métrages et des documentaires.

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Le Grand Prix de Genève du Festival du film et forum international sur les droits humains (FIFDH) a été décerné au documentaire égyptien, "Les Filles du Nil" de Nada Riyadh et Ayman El Amir. Il fait partie des 12 oeuvres "impactantes" récompensées samedi soir.

Le film lauréat dresse "le portrait saisissant de cinq Egyptiennes en quête d'émancipation dans une société traditionnelle et patriarcale", indique le FIFDH. Il remporte un prix doté de 10'000 francs, offert par la Ville et le Canton de Genève.

Parmi les autres récompenses décernées, le Prix Gilda Vieira de Mello a distingué "Khartoum". Ce long métrage aborde "la résistance de la société civile soudanaise dans un conflit internationalement ignoré."

Citées dans le communiqué, les co-directrices éditoriales Laila Alonso Huarte et Laura Longobardi se sont dites "fières de constater que les films récompensés ne sont pas seulement puissants et novateurs sur le plan cinématographique, mais qu'ils méritent également d'être soutenus à l'international, au regard de l'engagement et du courage des cinéastes face aux nombreux défis sociaux, politiques et économiques auxquels leurs pays sont confrontés".

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Pour la première fois, le Passeport-Vacances sera disponible pendant les vacances de Pâques à Genève. Les enfants de 10 à 15 ans pourront choisir une multitude d'activités sportives, artistiques, culturelles ou ludiques entre les 28 avril et le 2 mai. Les préinscriptions s'ouvrent lundi sur internet.

Parmi les activités proposées, un atelier autour du Japon, de la Capoeira, du stylisme ongulaire, du design de skateboard, du football freestyle, de l'initiation au crochet et au tricot, de la mécanique sur vélo ou une visite de la police de la navigation. La liste compte plus de 50 propositions: il y en a pour tous les goûts.

Chaque participant peut se concocter un programme sur mesure en fonction des places disponibles. Cette première édition pendant les congés de Pâques a été rendue possible grâce à une étroite collaboration avec le secteur public, les entreprises privées, les associations et les groupements locaux. Le prix du Passeport-Vacances est de 50 francs pour 7 activités maximum.

geneve.reseauvacances.projuventute.ch

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Une patrouille de la police municipale de la Ville de Genève a découvert fin février plusieurs machines à sous non autorisées et du matériel de poker dans un bistrot de Plainpalais. Cette opération a aussi permis de saisir du matériel destiné à la consommation de cocaïne.

Le contrôle effectué par les agents de la police municipale (APM) s'inscrivait dans le cadre de l'application de la loi sur la restauration, le débit de boissons, l'hébergement et le divertissement (LRDBHD), indique vendredi la Ville de Genève. Il a été mené en raison de soupçons relatifs à l’exploitation de machines à sous illégales.

Et les soupçons étaient fondés. En effet, lors de ce contrôle, une machine à sous, connectée et fonctionnelle sans autorisation, a été découverte. Souhaitant vérifier l'ensemble des installations, les APM ont approfondi leur contrôle, mais le responsable a refusé l'accès à la cave.

Une patrouille de la police cantonale est alors venue en renfort. La fouille du sous-sol a permis de découvrir du matériel destiné à la consommation de cocaïne ainsi que d’autres machines à sous et du matériel de poker. Les faits ont été dénoncés à la commission fédérale des maisons de jeux.

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