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Suisse Romande

Compagnie de navigation LNM: 249'000 passagers en 2022

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Jean-Luc Rouiller, directeur de la compagnie (LNM) a expliqué que la population apprécie l'offre proposée (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

La compagnie LNM, qui navigue sur les Trois-Lacs, a enregistré 249'000 passagers en 2022, la meilleure performance des dix dernières années. Le jubilé du 150e anniversaire et un retour à une exploitation normale ont attiré le public.

"Il s’en est fallu de deux coups de rames pour que la LNM atteigne son objectif de dépasser les 250'000 passagers pour la saison. Malheureusement, la confortable avance gagnée par la billetterie au cours de l’été s’est réduite au fil des week-ends relativement maussades de septembre et octobre", a indiqué mardi la compagnie.

La parade des bateaux, prévue début octobre dans le cadre du 150e anniversaire, a dû être annulée pour cause de vents forts. L'attraction-phare de ce jubilé fut le spectacle sur l’eau, joué à cinq reprises, assuré par la compagnie artistique Corona Events.

"Les spectacles ont rencontré le succès dans chaque ville portuaire touchée. C’est un honneur pour nous de constater que nous sommes suivis de Neuchâtel à Yverdon (VD), en passant par Estavayer-le-Lac (FR) et Morat (FR)", a noté le président de la LNM Frédéric Geissbuhler, cité dans le communiqué.

Hausse de la restauration

"Nous sommes dans le juste en valorisant l’expérience que nous proposons sur nos bateaux, en y incluant la gastronomie, l’événementiel et la valorisation de la région", a ajouté Jean-Luc Rouiller, directeur. Les activités de restauration de la LNM ont enregistré une hausse de près de 8% par rapport à 2019. Elles ont été poussées par la reprise des réservations de groupes après la pandémie et par le bouche-à-oreille favorable.

"Après plusieurs années d’incertitudes, la LNN met le cap sur l’avenir dans un climat serein", a-t-elle précisé. La compagnie avait été en 2017 au coeur d'une affaire impliquant l'ancien communal neuchâtelois Olivier Arni et l'ancien directeur Jean-Jacques Wenger.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Deux nouvelles préfètes à Sion et Sierre

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Deux nouvelles préfètes pour les districts de Sion et Sierre (photo d'illustration). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

A la suite de la démission des préfets de Sion et Sierre, le Conseil d'Etat valaisan a repourvu ces fonctions. Il a nommé les actuelles vice-préfètes Delphine Pannatier Kessler pour le district de Sion et Pauline Elsig pour celui de Sierre.

Delphine Pannatier Kessler et Pauline Elsig sont vice-préfètes depuis 2021. La première, exerçant actuellement en tant qu'avocate-notaire, elle est domiciliée à Sion. La seconde, également avocate, réside à Crans-Montana.

Dans son communiqué publié vendredi, le Conseil d'Etat annonce aussi avoir nommé Pierre-Yves Debons vice-préfet du district de Sion et Stéphane Clavien vice-préfet du district de Sierre.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Vers un coup de pouce pour la vitiviniculture valaisanne

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Le monde de la vitiviniculture traverse une période compliquée en Valais (photo d'illustration). (© KEYSTONE/ALESSANDRO DELLA VALLE)

Le Grand Conseil valaisan a accepté sans opposition vendredi un postulat interparti demandant des mesures d'urgence pour la vitiviniculture du Vieux Pays. L'objectif est de bénéficier rapidement d'un soutien financier du Canton.

Le texte demande, notamment, l’octroi "d’un crédit exceptionnel de 10,6 millions de francs pour soutenir une vendange en vert sur 400 hectares et assainir le marché."

Selon les postulants, "les banques ne prêteront plus d'argent pour financer la récolte 2026. De nombreux producteurs n'auront aucune autre alternative tant que les mesures fédérales ne seront pas mises en place et envisagent de laisser leurs vignes à l'abandon."

Situation connue du Conseil d'Etat

Pour les députés Mathias Delaloye (UDC du Valais romand), Vincent Roten (Le Centre), Christian Roduit (PS) et Léonard Dorsaz (Les Vert-e-s), une modification urgente de l’ordonnance sur la vigne et le vin s'avère nécessaire pour permettre l’arrachage de vigne non travaillée et éviter une catastrophe sanitaire dans le vignoble et la déclaration de l’état de crise vitivinicole.

"Le Conseil d’Etat est pleinement conscient de la situation très difficile que traverse actuellement la viticulture valaisanne et suisse", a précisé à la tribune le conseiller d'Etat Christophe Darbellay, en charge de l'économie.

Son département "s’implique de manière forte pour trouver des solutions, notamment au niveau fédéral, afin de trouver des solutions sur la thématique des importations et des soutiens financiers possibles", a-t-il poursuivi. "Il examinera rapidement la forme d’une déclaration officielle d’état de crise et surtout les bénéfices réels que cette dernière pourrait amener à la profession."

Première décision annoncée

Le Conseil d’Etat a d'ores et déjà décidé de modifier début 2026 l’ordonnance sur la vigne et du vin. Il veut imposer l’arrachage dans les 30 jours des vignes à l’état d’abandon, soit non-taillée en date du 30 avril. Ce délai est d'un an aujourd'hui.

"Concernant, la question du crédit exceptionnel, le Conseil d’Etat transmettra en janvier 2026 un projet de message pour l’octroi du crédit", a poursuivi Christophe Darbellay. "Le but serait de traiter ce postulat urgent lors de la session de mars."

Selon Mathias Delaloye, également président de la Chambre valaisanne d’agriculture, "on buvait en Suisse 300 millions de litres de vin en 1992 contre 200 millions aujourd'hui. Si la viticulture suisse est en crise, c'est bel et bien pour des questions politiques. En 1992, on a décidé d'importer 170 millions de litres de vin. Cette situation perdure aujourd'hui alors que la consommation totale a baissé de 100 millions de litres, dans notre pays."

Action de promotion en 2026

Les députés ont par ailleurs accepté par 94 voix contre 30 et 3 abstentions un postulat urgent demandant de relancer en 2026 l'action "Valais 200 pour 1000" qui vise à promouvoir la vente des vins produits dans le canton, soit comme lors de la crise du Covid-19.

Le concept: les établissements publics suisses, hors canton du Valais, perçoivent 200 francs de la part de Swiss Wine Valais pour un achat de 1000 francs de vins labélisé AOC Valais, jusqu'à concurrence d'un montant global de 2 millions de francs. Le texte est transmis au Conseil d'Etat, favorable à la mesure, pour exécution.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Lausanne

Trois millions pour les scieries vaudoises

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L'Etat de Vaud propose des subventions aux scieries du canton (photo d'illustration). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

L'Etat de Vaud veut davantage aider les scieries du canton. Celles-ci peuvent bénéficier d'une enveloppe de trois millions de francs, comprise dans un crédit-cadre de 15 millions déjà en vigueur et consacré à l'ensemble de la filière bois.

Ces subventions doivent servir à l'achat, la rénovation et la transformation d'infrastructures et d'équipements des entreprises vaudoises de la première transformation du bois (scieries), indique vendredi l'Etat de Vaud.

Il précise que les subventions sont plafonnées à un million de francs par projet et par entreprise. Elles peuvent couvrir jusqu'à 35% des coûts éligibles.

Le nombre de scieries vaudoises a reculé d'une centaine à la fin des années 1980 à une vingtaine aujourd'hui. "En l'absence d'investissements ciblés, le risque est réel de voir disparaître les dernières scieries vaudoises à moyen terme, au détriment de l'emploi, des savoir-faire et de la valorisation locale d'une ressource durable", écrit le Canton dans son communiqué.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Fribourg: le 30 km/h restera l'exception sur le réseau cantonal

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L'introduction assez large du 30 km/h en ville de Fribourg en octobre 2023 suscite une vive discussion dans le canton depuis entre centre-droit et gauche (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Les députés fribourgeois ont voté vendredi une modification de la loi sur la mobilité (LMob) visant au maintien, "en principe", d'une vitesse minimale de 50 km/h sur les routes cantonales. L'adaptation concrétise une motion UDC acceptée par le Grand Conseil en 2023.

La modification, "plutôt symbolique", de l'article 98 alinéa 3 de la LMob a passé la rampe par 70 voix contre 34 et 1 abstention. Elle permet de "clarifier" le cadre juridique, ont dit le président de la commission ad hoc, le député PLR Savio Michellod, et le président du Conseil d'Etat Jean-François Steiert, chargé de la mobilité.

La révision partielle implique que désormais la vitesse maximale est, "en principe", maintenue à minimum 50 km/h sur les routes cantonales et que des dérogations ne sont possibles que dans des cas particuliers prévus par la législation fédérale, notamment en lien avec le bruit ou la sécurité.

La Confédération est elle-même en train de modifier son ordonnance sur la question du 30 km/ sur les routes principales des communes, a rappelé Jean-François Steiert.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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