Suisse
Rentes mensuelles de 30 ans décrochées au tout premier Eurodreams
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Deux heureux gagnants ont décroché le gros lot au premier tirage Eurodreams lundi soir. Ils ont gagné une rente mensuelle de 22'222 francs durant 30 ans, en cochant les six bons numéros 10, 13, 14, 25, 30, 35 ainsi que le numéro spécial "dream" 5.
Le tout premier tirage Eurodreams a fait deux grands vainqueurs dans les huit pays européens participants. Ils avaient tous les deux tenté leur chance en France.
Le deuxième rang de gain, obtenu avec six numéros gagnants mais sans le numéro "dream" a également fait deux gagnants, a annoncé la Loterie romande. Ils remportent une rente mensuelle de 2222 francs durant cinq ans.
Eurodreams est un nouveau jeu proposé dans huit pays européens. En Suisse, il est exploité par la Loterie romande et par Swisslos côté alémanique. Le tirage du jeu est effectué les lundis et jeudis soir.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse Romande
Valais: des vacances pour les femmes les plus vulnérables
Les Fondations Maurice Machoud et FXB Suisse (François-Xavier Bagnoud) ont choisi de lancer un projet visant à offrir des vacances à des femmes en situation de vulnérabilité. Cette opération "respiration" débutera le 2 juin.
"Ce nouveau projet vise à offrir un espace de répit, une pause salutaire dans un quotidien difficile, un espace de reconstruction et d’espoir à celles qui en ont besoin, souvent sans oser le demander", ont expliqué les deux partenaires à l'occasion d'une conférence de presse, lundi à Sion.
En Valais, environ 20'000 personnes vivent dans la pauvreté et 14'000 sont exposées au risque d’y tomber, selon des données statistiques d'octobre 2024 de la HES-SO. Ce sont surtout les personnes seules, surtout les femmes, les familles monoparentales et les retraités qui sont les plus touchés par cette précarité. Près d'un quart de cette population (23,4%) qui aurait le droit à l’aide sociale n’y font pas appel, souvent par honte ou méconnaissance de ses droits.
Au bord du Lac majeur
Partant de ce constat, la Fondation Maurice Machoud et FXB Suisse ont donc choisi d'unir leurs forces pour offrir une réponse concrète et innovante. Celle-ci se matérialise par un séjour de huit jours à Stresa, en Italie, dans une maison de vacances, pris en charge par la Fondation Maurice Machoud. Au bord du Lac majeur, les séjours seront proposés d’avril à octobre chaque année. Les premiers débuteront le 2 juin.
«J’ai racheté un appartement de onze pièces à Stresa et j’ai choisi d’en faire un projet social centrer sur le Valais», résume Maurice Machoud. Grâce à ces séjours, "nous voulons créer un environnement propice au ressourcement, favoriser les échanges et la solidarité, stimuler épanouissement et créativité et leur redonner confiance et espoir", précisent les partenaires.
Jusqu'à huit participants par semaine
Les bénéficiaires de ce projet sont: les femmes en situation de précarité, victimes de violences domestiques, les femmes seniors isolées, les mères seules ou en difficulté et les familles monoparentales. Tous doivent résider en Valais.
Pour mieux atteindre ce coeur de cible, des associations valaisannes travaillant avec ces femmes ont été intégrées au projet, afin de faciliter l’inscription des futures participantes. Il s'agit de la Croix-Rouge, de la FAVA (la Fondation Accompagnement Victime Accueil), de la Maisonnée à Sion et de Pro Senectute. La démarche est également ouverte à des personnes qui ne font pas partie de ces associations. Divers ateliers sont prévus sur place tel: cuisine, méditation, relaxation, yoga, tout comme la visite des Iles Borromées.
Jusqu’à huit participantes pourront participer chaque semaine à ce nouveau projet et profiter de vraies vacances, de manière autonome et indépendante, avec ou sans leurs enfants. Le coût total du projet se monte annuellement entre 100'000 et 200'000 francs. Une somme à 100% à la charge de la Fondation Maurice Machoud basée à Sion.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Etudiants et chercheurs s'unissent contre les mesures d'économie
Une coalition d'associations étudiantes, de syndicats et de partis gauche a présenté lundi une résolution commune destinée à combattre le programme d'allègement budgétaire 2027 de la Confédération. Elle prévoit des actions sur les campus romands et au niveau national.
Doublement voire quadruplement des taxes d'études, diminution des contributions au Fonds national pour la recherche, le projet du Conseil fédéral viendra "empirer une situation déjà insoutenable au vu de la précarité des personnes en formation et des chercheuses et chercheurs et de l'inégalité d'accès aux études supérieures préexistantes", a dénoncé Léa Ziegler, du syndicat SSP devant la presse réunie à Lausanne.
La résolution, votée par plus de 30 organisations, sera transmise au Conseil fédéral dans le cadre de la procédure de consultation. Elle servira aussi de base pour informer la communauté académique des mesures en cours de discussion à Berne et à mobiliser sur les campus et dans la rue, a précisé Léa Ziegler.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
La haute saison des allergies au pollen a débuté
La haute saison des allergies au pollen a débuté en Suisse, avec la floraison des graminées. Elle durera jusqu'à la fin de l'été, avec un pic en mai et juin, avertit lundi le Centre d'allergie suisse (aha!).
La saison du pollen de graminées "démarre tôt en raison de la douceur de l'hiver et du printemps. La végétation a une à deux semaines d'avance sur la moyenne à long terme", explique Regula Gehrig, biométéorologue à MétéoSuisse, citée dans un communiqué.
Une vague de froid en avril a "ralenti brièvement la croissance, mais avec la hausse des températures, on peut désormais s'attendre à une augmentation rapide du pollen de graminées", ajoute-t-elle. Parallèlement, le pollen de bouleau, très allergisant, continue de circuler.
Il est difficile de prédire l'évolution des concentrations de pollen dans les semaines à venir. Elle dépend de la météo, en particulier de la fréquence des pluies et de la durée des phases ensoleillées.
Pas une maladie anodine
En Suisse, environ une personne sur cinq réagit au pollen, explique Roxane Guillod, responsable des services spécialisés de aha!. Les adolescents et les jeunes adultes sont particulièrement touchés.
Le rhume des foins n'est toutefois pas anodin. S'il n'est pas traité, il peut évoluer vers de l'asthme. C'est pourquoi le Centre d'allergie suisse recommande de faire examiner les symptômes par un médecin - de préférence un allergologue.
"Souvent, des médicaments tels que des antihistaminiques - complétés selon les besoins par un spray nasal ou des gouttes pour les yeux avec de la cortisone - sont utiles", note Roxane Guillod. Une désensibilisation permet aussi de s'attaquer à la cause de l'allergie.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
C'est prouvé, les espaces verts urbains favorisent la détente
Cela ne surprendra personne, les espaces verts dans les villes bruyantes favorisent la détente. Une étude de l'Empa et du WSL montre cependant pour la première fois l'impact réel de ces espaces sur la gestion du stress physique et mental.
"Les citadins exposés au bruit peuvent nettement mieux se reposer lorsqu'ils vivent à proximité d'espaces verts ou dans des environnements végétalisés. Cet effet se manifeste aussi bien sur le plan physique que mental et il est même démontrable à long terme", indique Beat Schäffer, du Laboratoire fédéral d'essai des matériaux et de recherche (Empa), cité lundi dans un communiqué.
Les effets à court terme sur la gestion du stress ont été étudiés dans le laboratoire audiovisuel (AuraLab) de l'Empa. Les sujets ont d'abord été stressés: ils devaient résoudre des tâches en étant pressés par le temps, tout en étant exposés à trois niveaux sonores différents, comparables à l'ambiance d'une salle de lecture jusqu'à un trafic routier bruyant.
Après la phase de stress, ils ont été plongés dans un monde virtuel à l'aide de lunettes de réalité virtuelle (VR): soit dans un environnement urbain avec des bruits urbains faibles, soit dans un paysage rural proche de la ville avec un environnement sonore naturel.
Plus calmes et plus concentrés
Après s'être immergés dans l'espace vert virtuel, les sujets se sont sentis plus calmes, plus détendus et plus concentrés que dans le scénario urbain de comparaison. "Au début, un effet de récupération a été observé pendant les deux scénarios VR, mais finalement, le stress physique a diminué de manière nettement plus importante dans l'environnement végétal", explique Claudia Kawai, chercheuse à l'Empa.
Le niveau de stress physiologique a été mesuré par la production de sueur sur les doigts et la concentration de cortisol dans la salive. Ces symptômes ne sont toutefois apparus que lorsque les personnes testées étaient non seulement exposées au bruit dans la situation de stress, mais devaient également résoudre des tâches en même temps. En revanche, le bruit de la circulation a toujours été perçu comme gênant.
L'étude du potentiel de récupération a clairement montré que les forêts et les lacs avec un environnement sonore naturel ont l'effet le plus reposant. Cependant, si la part de bruits d'origine humaine augmente, cet effet diminue nettement. Il était le plus faible dans les espaces urbains où la nature n'était ni visible ni audible.
Base de décision
Les résultats du laboratoire ont été confirmés par une étude de terrain. Des scientifiques de l'Empa ont rendu visite en ville de Zurich à plus de 230 volontaires vivant dans divers environnements. Des échantillons de cheveux ont été prélevés pour mesurer le cortisol, l'hormone du stress.
Par ailleurs, une équipe de l'Institut fédéral de recherches sur la forêt, la neige et le paysage (WSL) a mené une enquête pour déterminer dans quelle mesure la population suisse peut se détendre dans les espaces verts de son voisinage et quel rôle joue la pollution sonore dans ce contexte.
Ces résultats font partie du projet RESTORE (Restorative green spaces in noise-polluted areas) qui vise à fournir une base de décision aux législateurs et aux responsables de l'aménagement du territoire. Ces travaux sont publiés dans le Journal of Environmental Psychology .
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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