Suisse
Plaintes des consommateurs: les assurances maladie en tête
Le secteur des caisses maladie est celui qui le plus irrité les consommateurs suisses en 2024. Les organisations de défense des consommateurs ont totalisé 1200 demandes de conseil ou de soutien "rien que ces dernières semaines", annoncent-elles jeudi.
Les primes deviennent une charge difficilement supportable pour de nombreux ménages, écrivent la Fédération romande des consommateurs (FRC) et ses consoeurs alémanique Konsumentenschutz et tessinoise ACSI dans un communiqué commun. Les questions relatives aux décomptes de prestations sont elles aussi importantes.
A la deuxième place figurent les prix. Les consommateurs critiquent les indications qui induisent les clients en erreur, les emballages dont la quantité baisse et le prix reste stable ("shrinkflation") ou encore le géoblocage.
Viennent ensuite les problèmes de garantie, à savoir les refus du droit à la garantie. Ce dossier est particulièrement pointé du doigt en Suisse romande. Les consommateurs sont souvent dans l'impossibilité de prouver qu'ils sont dans leur bon droit. Pour la FRC, le fardeau de la preuve devrait être imputable aux vendeurs.
Les abonnements de téléphonie fixe et mobile se classent en quatrième position, alors qu'ils figuraient à la première place l'an dernier. La cinquième place revient aux répercussions liées à des retards de paiement de la part des clients, à savoir l'attitude "agressive" des maisons de recouvrement et leur tendance à facturer des frais injustifiés.
L'Alliance des organisations de défense des consommateurs relève des différences régionales. En Suisse alémanique, les achats en ligne ont la part belle. Au Tessin, où la hausse des primes d'assurance maladie était "particulièrement marquée", de très nombreuses demandes ont concerné les caisses maladie.
La FRC, le Konsumentenschutz et l'ASCI publient chaque année leur classement des plaintes traitées. L'édition 2024 était la huitième du genre.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Valérie Dittli hérite de la durabilité, du climat et du numérique
La réorganisation du Conseil d'Etat vaudois à la suite de l'audit sur le département des finances de Valérie Dittli a trouvé son épilogue. Délestée des finances et de la fiscalité, la ministre centriste se voit attribuer la durabilité, le climat et le numérique.
Le Conseil d'Etat a annoncé mercredi dans un communiqué en fin de matinée après sa séance hebdomadaire les changements d'organisation pour la fin de la législatures 2022-2027. La nouvelle composition prendra effet dès le 1er juin, précise-t-il.
La présidente Christelle Luisier dirigera le département en charge des finances, du territoire et du sport. Valérie Dittli prend la tête du département en charge de l'agriculture, de la durabilité et du climat et du numérique. Nuria Gorrite sera à la tête du département des institutions, de la culture, des infrastructures et des ressources humaines. Frédéric Borloz sera en charge de l'enseignement, de la formation professionnelle et des relations avec les communes.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
La Suisse et l'UE paraphent les premiers accords
Le processus de ratification des accords avec l'UE se met en place. Le négociateur en chef pour la Suisse, Patric Franzen, a provisoirement signé mercredi à Bruxelles avec son homologue européen l'accord sur la participation de la Suisse aux programmes de l'UE.
L'accord sur les programmes de l'UE règle la participation de la Suisse aux programmes de l'UE, à savoir Horizon Europe, Euratom, ITER, Digital Europe, Erasmus+ et EU4Health. Il n'entrera en vigueur qu'après la ratification du paquet global Suisse-UE, a indiqué mercredi le Département fédéral des affaires étrangères (DFAE).
Il pourra toutefois être appliqué de manière anticipée, permettant ainsi une association provisoire de la Suisse à Horizon Europe, au programme Euratom et au programme Digital Europe avec effet rétroactif à partir de 2025, ainsi qu'à ITER à partir de 2026 et à Erasmus+ à partir de 2027.
La participation au programme EU4Health est prévue avec l'entrée en vigueur de l'accord sur la santé dans le cadre du paquet global.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Les TIC résistent à la morosité ambiante avec une croissance stable
Le secteur des technologies de l'information et de la communication (TIC) montre sa résilience dans un contexte économique marqué par l'incertitude et la faiblesse au niveau mondial. La branche continue de croître, selon l'association Swico.
L'indice compilé par la faitière Swico a grimpé de 1,4 point à 108,6 points, signalant un optimisme continu dans l'industrie suisse des TIC, selon un communiqué publié mercredi.
La numérisation reste le moteur de la branche, qui démontre sa résilience même dans le contexte économique actuel, explique Swico. Alors que le Secrétariat d'Etat à l'économie (Seco) a revu ses prévisions à la baisse et n'attend pas de reprise économique avant 2026, l'indice TIC de Swico montre une nette tendance à la hausse.
Le domaine du logiciel en particulier est optimiste quant au trimestre à venir. "Les entreprises et les administrations suisses investissent de plus en plus dans la modernisation de leurs systèmes existants et dans le renforcement de leur infrastructure numérique", observe Giancarlo Palmisani, responsable des prestations chez Swico. L'attention croissante portée à la cybersécurité pourrait constituer un moteur de croissance supplémentaire.
Cette évolution positive est d'autant plus remarquable compte tenu des incertitudes croissantes qui pèsent sur la politique économique et commerciale à l'échelle internationale, relève Swico. L'escalade du conflit commercial entre les États-Unis et la Chine et la faiblesse persistante de l'économie allemande mettent à rude épreuve le commerce mondial.
L'électronique grand public devrait continuer de croître au deuxième trimestre. L'indice sectoriel a augmenté de 2,3 points pour atteindre 108,9 points. Les évolutions technologiques stimulent la demande, les consommateurs en particulier investissant de plus en plus dans du matériel plus puissant, toujours selon le communiqué.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
Un taux de logements vacants exceptionnellement bas menace en 2025
La Société suisse des entrepreneurs (SSE) tire la sonnette d'alarme. Un taux de logements vacants inférieur à 1% sur l'ensemble du territoire menace déjà cette année.
L'hypothèse de la SSE repose sur le fait que l'on construit beaucoup moins d'appartements que nécessaire. Il faudra probablement un certain temps avant que l'activité de construction ne se redresse de manière significative. "Les baisses des taux d'intérêt ont besoin de temps pour prendre effet", a déclaré le président central de la faîtière du secteur de la construction, Gian-Luca Lardi, lors d'une conférence de presse mercredi.
Concrètement, selon l'indice de la construction, la SSE s'attend à une augmentation des recettes de 0,2% en 2025. Bien que l'activité de construction devrait se redresser quelque peu au deuxième trimestre, elle restera à un niveau relativement bas.
Afin de stimuler la construction de logements à long terme, le SSE réclame des procédures de planification et d'autorisation plus rapides, un ajustement des bases légales en matière d'aménagement du territoire et un meilleur équilibre entre les intérêts de la construction de logements et de la protection des monuments.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
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