Suisse
Pierre-Yves Maillard, un homme fidèle à ses engagements
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Socialiste aux fortes convictions, Pierre-Yves Maillard peut s'enorgueillir de réalisations concrètes. A l'USS, il pourra s'appuyer sur son passé syndical et son expérience politique, après quatorze ans passés au gouvernement vaudois.
Le Lausannois constitue une figure politique de poids en Suisse romande, incontournable sur les questions de santé et d'assurance maladie. En 2011, ce grand partisan de la caisse unique avait échoué à entrer au Conseil fédéral. Le Parlement avait alors choisi Alain Berset.
Au Conseil d'Etat vaudois, c'est un parcours presque sans faute pour ce fils de garagiste, aux origines plutôt modestes. Le stratège a présidé le gouvernement durant cinq ans et a été l'un des principaux artisans du basculement à gauche du Conseil d'Etat vaudois en 2011.
Il a incarné, avec le PLR Pascal Broulis, le fameux "compromis dynamique" qui lui a permis de concrétiser plusieurs avancées sociales. Il a renforcé le filet social pour les travailleurs âgés et pour les familles qui n'arrivent pas à joindre les deux bouts.
Cerise sur le gâteau, juste avant son départ, le chef du Département de la santé et de l'action sociale a pu présenter l'un de ses projets phares: le plafonnement des primes maladie en fonction du revenu. Un aboutissement pour celui qui s'est battu pour limiter l'impact des primes sur le budget des ménages.
Un pragmatique
Pierre-Yves Maillard est un pragmatique qui demande à être jugé sur ses actes, sur ses réalisations. Mais ce redoutable tribun n'a pas que des amis. Dans son propre parti, où il est omnipotent. Et à la gauche de la gauche, qui ne lui pardonne pas son soutien à la réforme vaudoise de la fiscalité des entreprises (RIE III).
A 50 ans, une page se tourne pour le ténor socialiste. Ou plutôt un retour aux sources se dessine: de 2000 à 2004, Pierre-Yves Maillard était secrétaire régional de la FTMH, l'ancêtre d'Unia. "J'ai tenu un piquet de grève, j'ai affronté des licenciements collectifs, une vingtaine en quatre ans. Je sais ce que c'est", rappelle-t-il.
L'universitaire - il a étudié la philosophie, l'histoire et le français - y a appris à négocier et à tisser des liens avec le patronat. Né le 16 mars 1968 à Lausanne, ce passionné de football a parcouru à grandes foulées tous les échelons politiques.
Défenseur des services publics
Au début des années 1990, il entre au législatif communal et se fait connaître comme secrétaire de la Fédération des étudiants de l'Université de Lausanne. A 27 ans, il devient conseiller personnel du conseiller d'Etat Jean-Jacques Schwaab, en charge de l'école. Déterminé, il claque la porte quatre mois plus tard, ne voulant pas cautionner le plan d'économies de l'époque, Orchidée II.
Deux ans plus tard, le Lausannois aux convictions bien trempées se fait un nom en se présentant, comme candidat socialiste de combat, à une élection complémentaire au Conseil d'Etat. Bon débatteur, il surprend en mettant en ballottage la favorite radicale.
Il enchaîne ensuite les casquettes: tour à tour président du parti lausannois, puis vaudois, député au Grand Conseil, puis conseiller national. A Berne, il s'affirme comme un défenseur des services publics et gagne le référendum contre la libéralisation du marché de l'électricité. En 2003, désormais locomotive électorale, il est le mieux élu des conseillers nationaux vaudois. Il quittera Berne fin 2004 pour le Conseil d'Etat vaudois.
(KEYSTONE-ATS)
Genève
Genève: l'alma mater dissout le Centre universitaire d'informatique
Le Centre universitaire d’informatique de l'Université de Genève (GE) sera dissous et ses activités réintégrées dans les facultés. Dans le même temps, une plateforme de recherche en intelligence artificielle verra le jour.
Cette décision du rectorat marque une étape importante dans l’adaptation de l’institution aux nouveaux besoins des facultés et de la société, relève l'UNIGE jeudi dans un communiqué. Les compétences, les programmes d’enseignement et l’essentiel des activités seront préservés, permettant au personnel comme aux étudiants de poursuivre leur travail et leur formation dans un cadre pérenne, assure-t-elle.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
Euro 2024: les fan zones vaudoises ne seront pas indemnisées
L'Etat de Vaud n'indemnisera pas les organisateurs des fan zones vaudoises qui, le 29 juin 2024, avaient dû annuler la retransmission du match de football Suisse-Italie en raison du risque d'orage. La loi ne prévoit pas une telle responsabilité pour le canton pour ce type d'annulation.
L'Etat de Vaud n'a pas "l'obligation générale d'indemniser tout préjudice qui découlerait de ses activités (ou de son inactivité), sa responsabilité ne pouvant être mise en cause que dans certaines circonstances prévues par la loi", écrit jeudi le Conseil d'Etat en réponse à une interpellation du député UDC Cédric Weissert.
Le gouvernement relève qu'il revient aux organisateurs "de se prémunir contre les conséquences liées aux risques météorologiques".
Le 29 juin 2024, alors que la Suisse s'apprêtait à affronter l'Italie en 8e de finale de l'Euro, les autorités vaudoises avaient interdit les manifestations en plein air, notamment les fan zones, en raison d'un risque d'orage violent annoncé par MétéoSuisse. Mais finalement, aucune tempête n'avait déferlé sur le canton durant les heures du match.
"Moins d'une dizaine d'associations" se sont renseignées sur la possibilité d'obtenir un soutien financier, ajoute le Conseil d'Etat. Il précise que cinq organisateurs de manifestation touchés par cette annulation, dont quatre fan zones, ont déposé un recours auprès de la Cour de droit administratif et public. Deux recours ont été rejetés et trois autres ont été retirés.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Alain Barbey à la présidence du conseil d'administration des tl
Alain Barbey devient dès janvier le président du conseil d'administration des Transports publics de la région lausannoise (tl). Il est nommé pour une période provisoire de six mois, jusqu'à la prochaine assemblée générale ordinaire du 30 juin 2026.
Cette mesure de transition fait suite au souhait de l'actuelle présidente, Tinetta Maystre, de ne pas prolonger son mandat au-delà du 31 décembre, annonce jeudi l'Etat de Vaud dans un communiqué.
Alain Barbey, qui faisait déjà partie du conseil d'administration en qualité de représentant du canton depuis trois ans, voit son mandat renouvelé pour trois ans, du 20 mars 2026 au 19 mars 2029. Conformément aux statuts des tl, le Conseil d'Etat désigne trois membres du conseil et en choisit la présidence parmi ces personnes.
Ex-directeur CFF pour la Romandie
Alain Barbey, né en 1957, met au service des tl une expérience de direction reconnue dans le domaine des transports publics et de la mobilité. Son parcours comprend notamment des fonctions dirigeantes aux CFF - où il a oeuvré comme directeur pour la Suisse romande -, chez Lyria ou dans le secteur du transport aérien.
La continuité de gouvernance assurée par M. Barbey constitue un élément-clé pour accompagner la société et préparer la désignation d'une nouvelle présidence durable, souligne le communiqué. Les tl se préparent à des enjeux importants, notamment le développement de leur offre et des nouveaux projets (tramway, m3) et la maîtrise des défis organisationnels. La société a atteint un nouveau record de fréquentation en 2024, avec plus de 131 millions de voyageurs.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Climat
Le décret en faveur de Blatten et du Lötschental va entrer en force
Les députés valaisans ont accepté jeudi, en une seule lecture, le décret urgent lié à la gestion des conséquences des événements naturels ayant frappé le Lötschental en mai. Au vote, le texte final a été accepté par 112 voix contre 0 et 16 abstentions vertes et PLR.
L'analyse des 43 amendements proposés n'a débouché que sur une modification significative du projet du Conseil d'Etat. Les deux tiers du Parlement ont accepté une proposition de l'UDC du Valais romand de doter les services de la mobilité, du développement territorial et des dangers naturels d'un poste à durée déterminée supplémentaire chacun, dès 2026.
Le décret d’une durée maximale de cinq ans vise à alléger, à simplifier et à accélérer les procédures liées à la reconstruction de Blatten, afin d’aboutir à un rétablissement de la situation d’ici à 2030. Les coûts de reconstruction sont estimés pour l'Etat du Valais à quelque 100 millions de francs.
Les travaux ne seront pas soumis à l'accord intercantonal sur les marchés publics. Le délai des mises à l'enquête sera de 20 jours au maximum.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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