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Suisse

Situation partiellement rétablie à la radio valaisanne Rhône FM

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Rhône FM n'était pas en mesure de diffuser ses programmes mardi (image d'illustration). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

La radio valaisanne Rhône FM a été victime d'une panne informatique durant la nuit de lundi à mardi. Touchée par une panne générale, elle a pu reprendre après 08h00 la diffusion de ses programmes, "qui restent toutefois perturbés" indique-t-elle mardi sur son site internet.

"L'équipe technique travaille au rétablissement complet des émissions dans les plus brefs délais", ajoute la station basée à Sion.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Économie

Un fonds souverain est une "fausse bonne idée", selon la BNS

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La présidente du Conseil de banque a également mis en garde contre le risque "considérable" de politisation de ce fonds souverain, "ce qui n'est pas de bon augure". (© KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

La Banque nationale suisse (BNS) rejette l'idée d'un fonds souverain en charge de gérer les réserves de devises de l'institut d'émission. Une "fausse bonne idée", pour la présidente du Conseil de banque Barbara Janom Steiner lors de l'assemblée générale jeudi à Berne.

Les partisans d'un tel mécanisme font miroiter de juteux rendements, ce à quoi Mme Janom Steiner a rétorqué que la BNS gère déjà des manière très professionnelle ses devises et figure parmi les banques centrales les plus avancées en la matière. Et qui dit meilleurs rendements, dit également risques plus élevés encourus par la BNS, qui verrait les fluctuations de ses résultats s'accroître encore.

Souvent, les fonds souverains d'autres pays sont désignés comme référence, a noté la responsable. "Or ils ne sauraient être pris comme modèles pour la Suisse, car ils sont financés presque exclusivement par des revenus tirés de matières premières ou issus d'excédents budgétaires", a-t-elle averti.

Mme Barbara Janom Steiner a souligné que les réserves de devises ne représentent pas réellement de l'épargne, puisqu'elles servent la politique monétaire de la BNS. Si la situation venait à l'exiger, la banque centrale helvétique pourrait être amenée à les réduire, ce qui implique un accès "sans restrictions" à ces liquidités. Un fonds souverain placerait les réserves pour générer du rendement et l'argent ne serait ainsi plus disponible immédiatement.

Des marchés encore plus imprévisibles

L'indépendance dont jouit la BNS pour mener sa politique monétaire est garantie par la Constitution fédérale, a souligné la présidente. "Cela implique qu'elle décide librement du montant et de l'affectation des réserves de devises. La priver de l'accès aux réserves de devises serait en soi déjà une atteinte à son indépendance."

La création d'un fonds souverain poserait également un problème au niveau du bilan, puisque les réserves de devises ont pour contrepartie les engagements correspondants. Il faudrait donc bel et bien financer le transfert de ces réserves vers un véhicule d'investissement ou, plus prosaïquement, le propriétaire du fonds devrait racheter ces actifs à la BNS. La Confédération devrait ainsi s'endetter fortement pour réaliser ce projet, a averti Barbara Janom Steiner.

La présidente du Conseil de banque a également mis en garde contre le risque "considérable" de politisation de ce fonds souverain, "ce qui n'est pas de bon augure".

L'autre pression importante que subit la BNS concerne la distribution des excédents à la Confédération et aux cantons. Lorsque la banque centrale décide de ne rien verser, "ce n'est pas par manque de bonne volonté, mais en raison de sa situation financière".

L'institut d'émission continuera de privilégier la constitution de fonds propres, surtout dans le contexte actuel d'incertitudes, a rappelé Mme Janom Steiner. Les bénéfices de la BNS sont fortement liés aux marchés financiers, dont l'imprévisibilité s'est accentuée depuis que les Etats-Unis ont décidé de relever les droits de douane.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Vaud

Marché aux plantons dimanche prochain à Vevey

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La Ville de Vevey oeuvre depuis plusieurs années à la conservation des plantes anciennes et rares sur son territoire (photo symbolique). (© Keystone/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Des plantons d'espèces rares et anciennes seront mis en vente dimanche à Vevey. Le marché s'accompagnera de diverses animations et stands de 9h15 à 16h00 sur le quai Perdonnet. Cette année, les haricots Vigneronne, les laitues Vénitienne et les tomates Black Plum seront sur le devant de la scène.

La Ville rappelle dans un communiqué qu'elle s'investit dans la conservation des espèces en produisant notamment des plantons pour la fondation ProSpeciaRara. Environ 4000 de ces plantons seront mis en vente lors de ce marché annuel. Les plantons invendus seront ensuite proposés à la vente au sein du magasin libre-service du cimetière.

A noter également que d'autres plantons produits par la Ville de Vevey et labelisés ProSpecieRara seront plantés dans les arrangements floraux communaux. Ils seront distribués gratuitement à la population tout au long de la saison, comme les années précédentes. Les distributions seront annoncées sur les réseaux sociaux de la Ville.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Le Tessino-Neuchâtelois Luca Brunoni écrit désormais en français

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Le Tessinois Luca Brunoni a écrit son premier roman directement en italien (archives). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Le Tessinois Luca Brunoni continue sa route d'écrivain, même s'il est toujours professeur de droit à la HEG de Neuchâtel. Après le succès de "Les silences" paru en 2023 et traduit de l'italien, il vient de sortir "En surface", son premier roman rédigé directement en français.

"Mon premier jet était en italien. Ma langue maternelle permet à l'écriture de fuser et de donner un rythme et ensuite, lorsque l’histoire est en place, je retravaille le tout en français", a déclaré à Keystone-ATS Luca Brunoni.

Avec "En surface", son premier roman écrit directement en français le 2e publié par Finitude, Luca Brunoni décrit le réveil d'une femme endormie qui vivait en surface et qui se demande si elle doit livrer son fils à la justice. L'intrigue principale se passe autour du lac, non situé par l'auteur, mais qui pourrait correspondre à celui de la Vallée de Joux (VD).

Les traitements, infligés par le passé aux personnes déclassées par la société, hantent les romans du Tessinois. Dans "les silences", la thématique des enfants placés chez des paysans d'un village de montagne était mise en lumière et dans "En surface" est abordée la question des filles mères, dont on donnait les enfants à l'adoption.

Plusieurs solitaires ou marginaux gravitent dans le roman, dont certains logent dans un camping d'une petite station touristique hors saison. Le livre se lit facilement avec des dialogues bien menés, des personnages attachants et une intrigue qui donne envie au lecteur d'avancer dans l'histoire.

En lice pour plusieurs prix

Le roman a eu un bon accueil au Festival du livre de Paris. Il est en lice pour plusieurs prix littéraires.

Les livres de Luca Brunoni s’insèrent dans l’univers du roman noir, même si ce ne sont pas des thrillers et même s'ils ne sont pas forcément très sombres. Avant "En surface", l'écrivain a sorti "Indelebile", écrit en italien, qui évoque la situation de Lugano, au début des années 2000, où il y avait alors de gros problèmes de trafic de drogue.

La version originale de "Les silences", en italien, a gagné le prix Leggimontagna et a connu une certaine notoriété. Il a tapé dans l'oeil de l'écrivain Joseph Incardona, qui a proposé à sa maison d'édition Finitude, basée à Bordeaux (F), de le traduire en français.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Deux trottinettes à plus de 100 km/h séquestrées en Valais

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L:a police valaisanne a mis la main et séquestré deux trottinettes pouvant dépasser les 100 km/h (Photo prétexte). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

En l'espace d'une semaine ce mois d'avril, la police valaisanne a mis la main sur deux trottinettes électriques pouvant dépasser les 100 km/h. Les engins ont été séquestrés et leurs propriétaires dénoncés.

Les trottinettes ont été interceptées à Martigny et à Zermatt. La première, appartenant à un ressortissant ukrainien âgé de 24 ans, atteignait 113 km/h, tandis que la seconde, aux mains d'un Lituanien de 42 ans, pouvait rouler jusqu'à 126 km/h, a indiqué vendredi la police valaisanne.

A Martigny, l'engin a été intercepté dans le cadre d’un contrôle fixe de la circulation le 5 avril peu avant 06h30. Ne répondant manifestement pas aux exigences techniques légales, l’engin a été testé sur un rouleau de mesure.

A Zermatt 5 jours plus tard, la police régionale a procédé à une interception similaire sur la route cantonale à 19h30. L’affaire a été remise à la Police cantonale. L'engin a aussi été passé sur le rouleau de mesure.

La police rappelle que la vitesse maximale autorisée pour les trottinettes électriques est de 20 km/h. Leurs conducteurs doivent respecter les mêmes règles que les cyclomoteurs légers, notamment porter un casque.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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