Suisse
Nouvelle initiative pour un revenu de base inconditionnel
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Cinq ans après un "non" net dans les urnes, un comité non partisan a lancé mardi une deuxième initiative populaire pour un revenu de base inconditionnel. La crise du coronavirus a changé la donne, estiment les initiants.
L'objectif de l'initiative "Vivre avec dignité - Pour un revenu de base inconditionnel finançable" est de garantir des moyens de subsistance pour toutes les personnes établies en Suisse et de respecter le droit humain fondamental de pouvoir mener une existence digne et autodéterminée, ainsi que de valoriser le travail non rémunéré, indique mardi le comité d'initiative.
Cet objectif doit être atteint en modifiant l'article 110 de la Constitution fédérale. Une loi doit réglementer le montant et la perception du revenu de base, ainsi que son financement.
L'initiative permet de mettre en avant la dignité de l'être humain plutôt que seulement l'argent, a relevé devant les médias l'ancien vice-chancelier de la Confédération Oswald Sigg, membre du comité d'initiative. "Une vie digne est caractérisée par la raison. La pauvreté et la richesse excessives sont déraisonnables".
"En ces temps de coronavirus et de crise climatique, une approche responsable des personnes et de la nature est essentielle. Pour cela, il faut une économie au service des personnes et non pas le contraire", a-t-il ajouté.
Reconnaître le travail de "care"
Un revenu de base inconditionnel permettrait de reconnaître à sa juste valeur le travail indispensable à notre société comme les soins familiaux et extrafamiliaux ("care") ainsi que le bénévolat, estime le comité d'initiative. La plupart de ces tâches sont assumées par des femmes et ne sont pas comprises dans le produit national brut.
L'initiative n'aurait pas vocation à remplacer les assurances sociales, mais à les développer davantage. "Elles seraient adaptées ou légèrement changées en fonction de l'introduction du revenu de base. Cela serait décidé dans le délai transitoire de cinq ans", a expliqué Kalina Anguelova, membre du comité.
Ne plus craindre la numérisation
L'introduction d'un revenu de base garantirait à tous le minimum vital, même sans activité lucrative. La numérisation et l'automatisation ne seraient ainsi plus perçues comme une menace, mais comme une opportunité. La peur constante de la perte d'emploi, mais aussi de la dépendance et de la pauvreté, serait éliminée.
Un revenu de base permettrait également de travailler à mi-temps, de faire une pause nécessaire, ou de se réorienter professionnellement, ce que seule une minorité peut se permettre actuellement. Selon les initiants, la mesure permettrait en outre d'éviter les maladies dues au stress en entreprise ou à l'angoisse de ne pas trouver de travail.
Faire payer les GAFAM
La majorité des coûts d'un revenu de base pourrait être couverte par les recettes fiscales et les assurances sociales. Pour financer le reste, l'initiative exige également que toutes les branches de l'économie paient leur juste part d'impôts, en particulier le secteur financier, les entreprises technologiques et les plateformes numériques comme Google, Apple, Facebook ou Amazon.
Par rapport à la première initiative il y a cinq ans, les initiants soulignent avoir clarifié la question du financement. "Nous intégrons aussi dans la Constitution que nous ne voulons pas abolir les assurances sociales existantes, ce qui devrait rassurer la population", estime Thomas Produit, membre du comité.
En juin 2016, les Suisses avaient refusé à 76,9% une première initiative visant à instaurer un revenu de base inconditionnel. Le texte avait été lancé par un comité de citoyens sans appartenance politique, dont déjà Oswald Sigg.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
La confiance dans l'économie suisse stagne, selon une étude
La confiance dans la Suisse en tant que place économique n'a guère changé sur les trois premiers mois de 2025, selon une étude. Le nouveaux droits de douane américains agissent cependant comme un facteur négatif pour la réputation du pays.
Publié vendredi, le Swiss Economy Reputation Index (SERX), qui mesure la perception du public à l'égard des entreprises suisses, se maintient au premier trimestre au niveau de fin 2024 et reste inchangé à 94,5 points. Cet indice est calculé tous les trois mois par le cabinet de conseils bâlois commsLAB en collaboration avec l'Université de Zurich.
Les résultats annuels 2024 des entreprises présentés au cours du trimestre ont été accueillis positivement, notamment dans les secteurs bancaires, du commerce de détail, de l'alimentation et des assurances. Cependant, avec l'imposition des nouveaux droits de douane américains, la dynamique a considérablement changé. Dans l'opinion publique, l'industrie pharmaceutique est de loin la plus touchée. L'industrie des machines et le secteur du luxe sont également impactés négativement dans une mesure supérieure à la moyenne.
Les tarifs douaniers décidés Donald Trump agissent actuellement comme un facteur négatif pour la réputation du pays, selon l'étude. Cependant, la chute de Credit Suisse, récemment alimentée par le rapport de la Commission d'enquête parlementaire (CEP), et le débat très médiatisé sur les salaires des dirigeants ont continué à avoir un impact encore plus négatif sur la réputation de l'économie suisse.
Dans l'ensemble, le climat perturbateur qui règne depuis l'entrée en fonction du président américain n'a pas encore entraîné de pertes de réputation significatives pour l'économie suisse dans son ensemble. Cependant, des changements importants ont été observés au sein des différents secteurs: la réputation de l'industrie des machines s'est à nouveau considérablement dégradée. Le secteur pharmaceutique, qui était encore leader du classement sectoriel fin 2024, a également perdu beaucoup de terrain, tombant à la quatrième place. En revanche, les banques sont revenues de la troisième place à la première place.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Suisse Romande
Alpes bernoises: deux blessés dans un accident d'hélicoptère
Deux personnes ont été grièvement blessées dans un accident d'hélicoptère il y a deux semaines au Petersgrat, une arête de montagne entre les cantons de Berne et du Valais. L'appareil a raté son atterrissage sur une place réservée à cet effet.
L'accident remonte au 10 avril, selon le premier rapport du Service suisse d'enquête de sécurité (SESE), qui a ouvert une enquête. L'appareil de type Bell 505 Jet Ranger était parti le matin de l'aéroport de Berne pour un vol de formation avec deux membres d'équipage et un passager.
Selon les premières constatations, l'hélicoptère s'est renversé sur le côté droit pour une raison encore inconnue lors de l'atterrissage sur le glacier. Les deux blessés sont l'un des membres de l'équipage et le passager. Le deuxième membre d'équipage s'en est sorti indemne. L'hélicoptère est lui fortement endommagé.
Accident grave il y a 8 ans
Ce n'est pas le premier accident d'hélicoptère sur cette place d'atterrissage en montagne. En 2017, un hélicoptère s'y était également renversé lors de l'atterrissage. Le pilote avait perdu la vie. Trois passagers avaient été légèrement blessés et deux autres s'en étaient tirés sains et saufs.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Vaud
Ils se présentaient comme policiers auprès de personnes âgées
Cinq personnes se faisant passer pour des policiers auprès de victimes âgées ont été interpellées dans le canton de Vaud, prises sur le fait. Le ministère public et le tribunal des mineurs ont ouvert des procédures, indique la police cantonale vaudoise, vendredi, dans un communiqué.
La police a été mise en alerte mercredi, lorsqu'elle a reçu ce jour-là une dizaine d'appels lui signalant des tentatives d'escroquerie aux faux policiers dans plusieurs communes du canton de Vaud, comme Pully, Lutry, Orbe, Founex, Lausanne, Cheseaux-sur-Lausanne et Saint-Prex.
A chaque fois, le même mode opératoire était utilisé par les malfrats. Les victimes étaient tout d'abord contactées par téléphone par des personnes parlant français qui leur annonçaient que des prélèvements suspects avaient été effectués sur leurs comptes en banque ou que leur carte de crédit avait été piratée.
Les escrocs envoyaient ensuite au domicile de leur victime un complice qui se faisait passer pour un faux policier ou un faux assureur. Sur place, celui-ci persuadait la personne âgée de lui confier ses cartes bancaires et de crédit ainsi que des objets de valeur pour les mettre en lieu sûr.
Selon la police cantonale vaudoise, certaines victimes se sont exécutées "et ont ainsi perdu d'importantes sommes d'argent". Les personnes escroquées étaient âgées entre 78 pour la plus jeune et 101 ans pour la plus âgée.
Cinq personnes ont été interpellées par les forces de l'ordre "sur place". A Pully, les trois suspects sont de nationalité congolaise et suisse et sont âgés de 18, 20 et 21 ans. A Saint-Prex, il s'agit d'un homme de nationalité française de 23 ans et d'une jeune femme de 17 ans, de nationalité espagnole.
La police cantonale vaudoise rappelle les précautions à prendre pour ne pas se retrouver victime d'une arnaque aux faux policiers. Il faut notamment ne jamais donner d'informations personnelles par téléphone, ne jamais remettre des cartes de crédit et leurs codes à un inconnu et appeler les forces de l'ordre au moindre doute.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Vaud
Belmont-sur-Lausanne: 162 km/h au lieu de 80 sur l'A9
Un conducteur a été flashé à 162 km/h sur l'autoroute A9 dans la zone de travaux entre Belmont-sur-Lausanne et Vennes, où la vitesse est limitée à 80 km/h. Cette infraction relevant du délit de chauffard, il a été dénoncé au Ministère public.
Le chauffard, un Suisse de 21 ans domicilié dans le canton, n'était pas titulaire d'un permis de conduire, ajoute la police vaudoise vendredi dans son communiqué.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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