Suisse
Mercedes-Benz a moins vendu, mais plus cher au 1er trimestre
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Le constructeur automobile allemand Mercedes-Benz a continué de profiter au premier trimestre de ventes de voitures plus chères et rentables pour afficher une hausse de 3% du bénéfice net à 3,7 milliards de francs, malgré une baisse de 10% du nombre d'unités vendues.
Le bénéfice d'exploitation pour la période de janvier à mars atteint 5,2 milliards d'euros contre 4,7 milliards en 2021. Le résultat intègre un effet positif de 918 millions d'euros liée à des ventes d'actifs et des charges de 709 millions liées à l'arrêt de la production en Russie et des exportations vers le pays.
Le groupe a confirmé mercredi dans un communiqué ses objectifs d'un chiffre d'affaires "légèrement supérieur" en 2022 comparé à 2021 et d'un bénéfice d'exploitation stable. Mais Mercedes a mis en garde contre "l'incertitude extraordinairement grande" liée notamment à la guerre en Ukraine et l'évolution de la pandémie de Covid-19 en Chine.
"Une escalade au delà de la situation actuelle" du conflit "pourrait avoir d'importantes conséquences négatives pour l'activité", prévient le constructeur.
La pénurie qui frappe notamment les semi-conducteurs en raison de la pandémie de Covid-19 continuera de peser le reste de l'année tandis que "des mesures plus strictes" en Chine contre le virus créent une "incertitude concernant l'évolution du marché, l'approvisionnement et la production".
Pour autant, le constructeur compte toujours "compenser les risques" par la croissance rentable des ventes, avec une progression de plus de 10% des volumes attendue dans les voitures de très haute gamme.
Au premier trimestre déjà, la catégorie de luxe qui comprend notamment la Classe S et la marque AMG, atteint 16% du volume total après une hausse de 5% des ventes. Cela a fait grimper de 1,7 point à 16,4% la marge d'exploitation ajustée de la branche automobile, très observée par les analystes.
Cette activité principale a dégagé un bénéfice d'exploitation (EBIT) de 4,3 milliards d'euros, en hausse de 13%.
Les ventes d'utilitaires sous la marque Mercedes-Benz Vans sont restés stables et l'EBIT a atteint 348 millions d'euros (+20%).
Pionnier centenaire de l'automobile, le groupe s'est officiellement renommé le 1er février, ultime étape de sa mue après la mise en Bourse de sa filiale poids-lourds en vue de se concentrer sur les berlines de luxe.
Il avait aussi fait état en 2021 d'une progression du prix moyen de ses voitures vendues.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Suisse
Anouk et Zoé Vergé-Dépré enfin réunies
Anouk et Zoé Vergé-Dépré entament leur première saison ensemble en tant que joueuses de beachvolley. Le début d'une aventure qui comporte quelques défis pour les deux soeurs bernoises.
Jean-Charles Vergé-Dépré n'attendait que ça! Un sourire se dessine sur son visage quand il observe ses deux filles raconter les raisons derrière leur réunion. "Je rêvais depuis longtemps que mes filles jouent ensemble", avoue le Français de 69 ans.
Lorsque Joana Mäder, partenaire d'Anouk, et Esmée Böbner, coéquipière de Zoé, ont décidé d'arrêter, temporairement ou définitivement, leur activité de beachvolleyeuse, il s'est rapidement murmuré que le moment était le bon pour que les deux soeurs forment enfin un duo.
Le sujet était d'ailleurs abordé de temps en temps lors des dîners de famille. "On connaît deux joueuses qui n'ont pas encore de partenaire", glissaient les parents.
Le petit mot
Mais leurs filles ne se sont pas laissé influencer par l'extérieur. Elles ont pesé les avantages et les inconvénients, discuté de la forme concrète que pourrait prendre une collaboration sportive et réfléchi aux mesures concrètes qu'elles devraient prendre pour protéger leur étroite relation.
La décision prise, Zoé a déposé un message dans la boîte aux lettres de sa soeur où figurait la question: "Veux-tu être ma partenaire de beach? Oui, non, peut-être." Anouk a coché la case du "oui" avant de remettre la missive dans la boîte aux lettres, avec du chocolat.
Voici comment est née l'équipe "Zouk", nom né de la combinaison de leurs deux prénoms mais qui s'inspire aussi de leurs racines guadeloupéennes. En créole, "zouk" signifie joie et désigne aussi ce style de musique typiquement caribéen qui résonne souvent dans les enceintes des soeurs Vergé-Dépré.
"Le bon moment"
"C'est le bon moment pour se mettre ensemble", déclare Anouk, de six ans l'aînée de Zoé (33 et 27). Les deux n'ont jamais vraiment eu la chance de jouer ensemble, Anouk étant déjà sur le World Tour à une époque où sa soeur ne savait pas encore si elle allait faire du beachvolley son métier.
Ces dernières années, Anouk a remarqué que Zoé était tout aussi passionnée qu'elle par ce sport et a pu constater les progrès réalisés par sa soeur. Particulièrement lorsqu'elles se sont soudainement retrouvées en concurrence pour le deuxième billet pour les Jeux olympiques de Paris 2024.
Zoé a finalement eu le dernier mot avec Esmée Böbner, et le duo a pris la 5e place du tournoi disputé au pied de la Tour Eiffel. La médaille de bronze décrochée aux championnats d'Europe aux Pays-Bas a été une autre preuve que la cadette faisait désormais partie de l'élite mondiale.
Pas la première fois
"Je pense que si nous avions fait équipe plus tôt, il nous aurait manqué encore la maturité", suppose Anouk Vergé-Dépré, qui se souvient des Européens de 2018. Les deux soeurs s'étaient retrouvées sur le sable de manière imprévue lorsque Joana Mäder (alors Heidrich) avait déclaré forfait au dernier moment et avaient été éliminées en huitièmes de finale.
"Il y avait une tout autre dynamique à l'époque", explique Zoé, qui vivait à cette occasion-là son baptême du feu à ce niveau. "A l'époque, j'étais la petite junior inexpérimentée. Maintenant, j'ai beaucoup plus de bagage."
Leur préparation a toutefois été ternie par la blessure à un orteil d'Anouk lors d'un entraînement à Rio. Les deux soeurs ont dû donc faire l'impasse sur les premiers tournois disputés au Mexique.
LA 2028 comme but ultime
La médaillée de bronze olympique de Tokyo doit en outre s'adapter à sa nouvelle coéquipière. Alors qu'elle jouait en défense aux côtés de Joana Mäder, elle retrouve désormais le bloc. "Je vais devoir sprinter vers l'avant à chaque service. C'est déjà un changement sur le plan physique, mais je m'en réjouis", explique-t-elle.
Le tout jeune team "Zouk" ne s'attend donc pas à tout rafler dès sa première compétition, dès jeudi au tournoi Elite16 de Saquarema au Brésil. Le plus important est bien la perspective à long terme avec une éventuelle participation aux Jeux olympiques de Los Angeles 2028, un autre rêve pour leur père Jean-Charles.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Hockey
Patients comme des lions en chasse, les Lausannois s'imposent
Le LHC est toujours dans la course! Les Lausannois ont décroché la victoire 2-1 dans l’Acte V face à Fribourg-Gottéron dans les demi-finales de playoffs et reviennent à 2-3 dans la série. Un match qui s’est joué entre la 41e et la 44e minute.
La victoire ou les vacances. Le Lausanne Hockey Club n’avait plus le choix ce mardi dans cet Acte V de la demi-finale. Et c’est peut-être dans cette situation, dos au mur, que l’équipe est la plus efficace.
On a senti dès le coup d'envoi que les Lions avaient besoin de gagner ce match. Ils sont entrés dans la partie sur le même rythme que la (très bonne) première prolongation de samedi à Fribourg. Combatifs, laissant peu de place à leurs adversaires. Mais voilà, ils ont été confrontés à un vieux démon: un manque de réussite dans le dernier geste. Lauri Pajuniemi nous a gratifié d'un joli shoot sur une bonne passe de Dominik Kahun, mais Reto Berra a fait valser le puck au-dessus de la cage (2e). Après une passe ratée de Dave Sutter, Kahun a trouvé le puck tout seul devant la cage, mais son tir a fini dans la mitaine du gardien fribourgeois (5e). Antti Suomela s'est par deux fois trouvé en excellente position, sans succès (11e et 18e). Et Damien Riat a heurté l'extérieur du poteau (13e).
Pendant ce temps-là, Gottéron a fait son petit bonhomme de chemin. Jakob Lilja, après s'être joué de Nathan Vouardoux, a pu aller au duel avec Kevin Pasche (4e). Sandro Schmid a essayé de tromper le portier lausannois, sur ses appuis droits, en allant chercher l'espace de l’autre côté de la cage, mais il a manqué (8e). Et puis c'était l'ouverture du score. Après un accrochage au centre de la glace, les Dragons ont récupéré le puck. Jan Dorthe a pu entrer en zone et tirer une première fois. Pasche a repoussé et Samuel Walser a profité du rebond (14e, assist: Dorthe).
Les Lausannois n'ont pas été déconcentrés pour autant. Mais ils ne se sont pas mis dans les meilleures dispositions pour commencer le deuxième tiers puisqu'Andrea Glauser s'est vu pénalisé de 2 minutes à quelques secondes de la fin de la première période. Lausanne est donc revenu des vestiaires à 4 contre 5, sans conséquence pour cette fois.
Coup de mou
Dans le deuxième tiers, Lausanne a semblé peu à peu s'éteindre. Théo Rochette confirme.
Le jeu était plutôt équilibré mais Fribourg a fait le job pour protéger sa cage et son score. Et puis il y a deux deux minutes de folie juste avant la sirène. Les Lions se sont attaqués encore et encore sur Berra, sans relâche. Mais sans réussir à pénétrer sa forteresse. Résultat: toujours un but de retard à la pause.
Et la patinoire s’enflamme
Mais l’on n'abat pas un lion si facilement. Au coup d'envoi du troisième tiers, ce sont les Lausannois qui étaient en supériorité numérique. Et ils en ont pleinement tiré profit. Alors qu'ils avaient presque perdu le puck, les hommes de Geoff Ward se sont vite réorganisés et Ken Jäger a redonné l’espoir à toute la Vaudoise Aréna avec son puissant tir (41e, assists: Riat et Bayreuther).
Un but qui a eu l'effet d'une barre chocolatée dont on taira le nom sur les Lions puisque 2 minutes et 33 secondes plus tard, il y avait 2-1. Suomela se battait à la bande derrière la cage de Berra pour récupérer la rondelle. Puck qui est parti vers l’avant, en plein sur le pied d’Ahti Oksanen qui a simplement ajusté la trajectoire avec sa canne pour inscrire ce deuxième but et permettre aux Lausannois de reprendre les devants (44e, assist: Suomela). Et de redonner aussi confiance car l'attaquant, généralement posté juste devant la cage, était en cruel manque de réussite.
C'est là que le match est vraiment devenu tendu. D'autant plus lorsque Fribourg a eu droit à deux minutes en powerplay. Mais les Lions ont pu compter sur leur bonne défense, sur un très bon Kevin Pasche et sur un public qui a mis en œuvre tout ce qui lui était possible pour déstabiliser les Dragons.
Gottéron a décidé de tenter le tout pour le tout à un peu plus de 2 minutes de la fin de la rencontre en sortant son gardien. Un homme de plus donc face à Kevin Pasche. Mais 9’600 face aux Fribourgeois. Les supporters, debout, ont donné de la voix comme si leur vie en dépendait. Théo Rochette donne d’ailleurs du crédit à ce public.
Et Lausanne a tenu bon. Score final, 2-1 au bout de 60 minutes durant lesquelles les hommes de Geoff Ward ont semblé passer par toutes les émotions.
Les Lausannois ont su profiter du momentum ce mardi. Même s' ils ne font pas encore usage de tout son potentiel.
Geoff Ward de son côté estime que c’était le meilleur match de cette série pour ses joueurs. “Notre constance devient meilleure”, commente le coach du LHC.
Il va falloir continuer de bâtir là-dessus et garder cet état d’esprit dans le vestiaire lausannois. Car même s’ils reviennent à 2-3, les Lions n’ont toujours pas le droit à l’erreur. L’Acte VII se jouera jeudi à Fribourg. Qui l’emportera, l’équipe qui retrouve des couleurs et sera boostée à bloc? Ou celle qui a laissé passé une chance, mais qui est toujours à 60 minutes de la finale?
Football
Le bonjour de Yann Sommer
Le Bayern a le bonjour de Yann Sommer ! Deux ans après une brève expérience en Bavière que l’on peut qualifier de "malheureuse", le Bâlois a rappelé à Munich qu’il était un tout grand gardien.
Il a livré un match très propre pour s’avancer comme l’un des artisans du succès 2-1 de l’Inter Milan en match aller des quarts de finale de la Ligue des Champions. Avec ce résultat, les Italiens se retrouvent dans une position extrêmement favorable avant le match retour mercredi prochain à San Siro. La manière avec laquelle ils ont su rebondir après l’égalisation de Thomas Müller à la 85e témoigne de leur très grande force de caractère. Ils ont forcé la décision à la 88e grâce au joker Davide Frattesi qui a surgi sur un centre de Carlos Augusto pour infliger au Bayern une première défaite à domicile en Ligue des Champions depuis quatre ans.
Décisif en première période à quatre occasions et accompagné aussi par la chance avec un tir de Harry Kane sur le poteau, Yann Sommer a laissé une très grande impression. Il ne fut battu qu’à la 85e par une reprise à bout portant de Müller, curieusement "oublié" par Alessandro Bastoni.
Rassurés par le calme de leur gardien, les Milanais avaient sorti la tête de l’eau pour marquer un but superbe à la 38e minute, avec cette frappe de l’extérieur sans contrôle du capitaine Lautaro Martinez après une remise magnifique de Marcus Thuram. Cette action d’école avait trouvé son origine avec un long dégagement de Yann Sommer.
Le Real tombe de très haut
A Londres, le Real Madrid est tombé de très haut. Battus 3-0 par Arsenal, les tenants du titre ont besoin d’un miracle – la remontada du siècle sans doute - au match retour à Bernabeu pour poursuivre leur route dans cette Ligue des Champions. Après avoir tenu le choc en première période, le Real a été crucifié par deux coups francs de Declan Rice (58e et 70e) et une réussite de Mikel Merino (75e). Toujours placé mais jamais gagnant, Arsenal peut croire que cette année sera peut-être son année dix-neuf ans après la finale perdue à Paris contre le FC Barcelone.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Hockey
Lausanne renverse Fribourg en 3 minutes
Lausanne a remporté le 5e acte des demi-finales des play-off de National League. A Malley, les Lions ont pris le meilleur sur les Dragons 2-1 pour revenir à 2-3 dans la série.
Profiter du momentum, voilà ce que Lausanne a su faire dans cette cinquième partie. Enfin, pourraient soupirer les Vaudois. Car il est vrai que les joueurs de Geoff Ward n'ont pas su transformer leurs périodes de domination en buts lors de cette série contre Gottéron.
Si le LHC n'est pas parvenu à capitaliser sur ses temps forts au cours des quarante premières minutes, ce fameux momentum qui fait régulièrement la différence lorsque l'équipe avec le vent dans le dos trouve la faille lors des périodes de domination, les Vaudois se sont rattrapés dès l'entame du troisième tiers.
Sur leur premier power-play, ils ont pu égaliser par Jäger à la 41e. Puis à la 44e, à la suite d'un excellent travail de Suomela derrière la cage fribourgeoise, c'est Oksanen qui a pu donner les devants aux Lions. La fin de match fut à nouveau stressante pour le public avec un LHC incapable de mettre le 3-1 et des Fribourgeois qui ont sorti leur gardien pour jouer en supériorité numérique dans les deux dernières minutes. En vain.
Fribourg opportuniste
Dans un style assez typique depuis le début de ces play-off, Fribourg a été le plus opportuniste. Les Dragons ont ouvert le score à la 14e sur une action qui n'avait pas forcément le poids d'un but à la base. Jan Dorthe a pu tirer pour forcer Kevin Pasche à un rebond et derrière c'est Samuel Walser qui a été le plus prompt. Cette action fut comme un reflet de cette demi-finale avec un LHC qui manque parfois d'un tout petit peu de réaction face à des Fribourgeois qui savent capitaliser sur par grand-chose.
De leur côté, les Vaudois ont eu leurs chances. Après dix secondes (Riat), à la 2e (Pajuniemi), à la 5e (Kahun), puis deux fois Suomela (11e et 18e), mais Berra a dit non ou les Lions ont été peu adroits.
Le tiers médian a vu des Lausannois tenter d'aller chercher cette égalisation. Sans succès. Les Fribourgeois ont une fois encore affiché un état d'esprit remarquable en mettant tout en oeuvre pour rendre la vie de Berra plus facile. Et lorsque ses coéquipiers se sont fait battre, le portier zurichois des Dragons s'est montré intraitable. Surtout en fin de période lorsque le puck a circulé dangereusement devant ses cages. Mais les Vaudois ont finalement été récompensés de leurs efforts dans la troisième période.
Zurich prend les devants
Dans l'autre demi-finale, Zurich s'est adjugé un troisième succès. Imbattables chez eux, les Lions ont dominé Davos 3-0 pour mener 3-2 dans la série et avoir une balle de match jeudi dans les Grisons. Tout s'est joué à la mi-match avec deux réussites en 68 secondes (30e et 31e) par Riedi et l'inévitable Andrighetto. Les joueurs de Marco Bayer ont clairement dominé les tirs dans les deux derniers tiers.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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