Suisse
Lumières éteintes pour le climat samedi à 20h30
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Plus de 100 villes, communes, entreprises et individus de Suisse ont répondu présents pour participer samedi à l'initiative "Earth Hour", consistant à éteindre les lumières pendant une heure à 20h30, indique le WWF. Objectif: donner un signal clair pour le climat.
Cette action est lancée à l'échelle mondiale. Pendant cette "heure de la terre", des monuments célèbres comme l'Empire State Building à New York ou le Taj Mahal en Inde resteront plongés dans l'obscurité.
En Suisse, des villes comme Genève, Fribourg, Bâle, Berne, Lucerne, Delémont, Ecublens, Montreux, Morges, Locarno et Saint-Gall éteindront l'éclairage de leurs monuments emblématiques. Sur la Paradeplatz de Zurich, UBS éteindra les lumières durant une heure.
L'action bénéficie du soutien du secrétaire général des Nations unies Antonio Guterres. "Earth Hour nous rappelle que nous pouvons tous - à grande et à petite échelle - contribuer à protéger notre maison commune et à assurer notre avenir", déclare le Portugais, cité dans le communiqué du WWF.
Températures moyennes records
Les données récemment publiées par l'Organisation météorologique mondiale (OMM) montrent l'importance d'actions en faveur du climat. Les températures moyennes de l'air et des océans n'ont en effet jamais été aussi élevées qu'en 2023 depuis le début des mesures.
En Suisse, l'empreinte moyenne est d'environ 13 tonnes d'équivalent CO2 par personne et par an. "Nous devons et pouvons la réduire", affirme le WWF.
Cette empreinte carbone peut par exemple être réduite d'1,7 tonne d'équivalents-CO2 si l'on prend des vacances à proximité et si l'on vole en moyenne moins de 2 heures au lieu de 11 heures comme le Suisse moyen, image l'organisation de défense de l'environnement.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
PIB: perspectives assombries par la guerre commerciale
Le ciel se couvre sur les perspectives de l'économie vaudoise, son produit intérieur brut (PIB) et sa croissance, en raison des incertitudes liées à la guerre commerciale des tarifs douaniers. Si le rythme de croissance s'annonce faible, aucune récession ne semble en revanche pointer à l'horizon à ce jour.
La croissance devrait à nouveau s'inscrire cette année en dessous de la moyenne des quinze dernières années, vraisemblablement entre 1,2% et 1,7% pour 2025, ont indiqué mardi à Lausanne les partenaires de Conjoncture vaudoise, la Banque cantonale vaudoise (BCV), la Chambre vaudoise du commerce et de l'industrie (CVCI) et l'Etat de Vaud représenté par le Service de la promotion de l'économie et de l'innovation (SPEI) et Statistique Vaud.
L'accélération envisagée autour de 1,8% l'an dernier lors des dernières prévisions annuelles n'aura donc certainement pas lieu. Les nuages d'incertitudes ne devraient d'ailleurs pas se dissiper pour 2026, avec une fourchette encore assez prudente et large à la fois, entre 0,8% et 1,9% pour le canton de Vaud.
"Vents contraires très puissants"
"Cela fait deux ans que le rythme de croissance est faible, qu'il patine et manque d'élan", a commenté Jean-Pascal Baechler, conseiller économique à la BCV. "Nous faisons face à des vents contraires qui sont très puissants. Dans notre canton, on sait les affronter, mais cette fois-ci ce sera un peu plus dur de les affronter" ces deux prochaines années, a-t-il illustré.
Dans ces perspectives "assombries" par une "incertitude de plus en plus élevée" à la suite de la guerre commerciale mondiale et les annonces américaines sur les droits de douane, une récession n'est pas à l'ordre du jour, selon les partenaires de Conjoncture vaudoise. L'économie vaudoise peut en outre compter sur le soutien d'une demande intérieure solide, ont-ils expliqué.
Et difficile de dire si la fameuse robustesse de l'économie du canton risque d'atteindre ses limites avec cette nouvelle crise. La diversité et l'hétérogénéité des entreprises sur sol vaudois, dont le tissu économique s'est adapté, dynamisé et constamment régénéré depuis la crise des années 90 et celles des années 2000, restent malgré tout un atout.
"Les fondamentaux sont là. Les finances publiques sont structurellement bonnes, elles sont saines, tout comme les bases économiques du canton", a rappelé Patrick Zurn, responsable économique à la Chambre vaudoise du commerce et de l'industrie. Le taux de chômage demeure peu élevé (4,5%) et l'inflation est faible, a-t-il aussi souligné.
Pessimisme dans l'industrie
En raison du degré d'incertitude, les prévisions par branche sont à considérer avec prudence, selon les spécialistes. Toutefois, certaines tendances se dégagent, qui pourraient continuer de se vérifier cette année. La marche des affaires dans le secteur de l'industrie devrait être la plus touchée.
Dans les branches manufacturières, l'industrie des machines, la fabrication d'instruments de précision et l'horlogerie faisaient en effet déjà face à des vents contraires en raison du manque d'élan de la conjoncture mondiale. De nouveaux droits de douane américains sont susceptibles de renforcer ces difficultés. C'est dans ces domaines que les entrepreneurs sont les plus pessimistes, selon M. Baechler.
En revanche, le fait que les médicaments en soient, en tout cas provisoirement, exemptés pourrait permettre à la chimie-pharma de continuer à "croître fortement" cette année. Le "med-tech" est "bien positionné" aussi. La construction bénéficie, elle, d'une demande "relativement solide".
Dans les services, l’hôtellerie-restauration pourrait voir son activité se "tasser" après le rebond suivant la crise du Covid-19 et les transports être "freinés par l'incertitude".
Les autres activités relevant du tertiaire, soit les services aux entreprises et les activités immobilières, les services financiers, les services publics et parapublics ainsi que le commerce devraient, eux, bénéficier d'une demande domestique "robuste".
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Gaz à effet de serre: légère baisse des émissions en 2023 en Suisse
La Suisse a émis 40,8 millions de tonnes d'équivalents CO2 en 2023, soit 1 million de moins que l'année précédente. Dans l'ensemble, les émissions étaient 26% inférieures à celles de 1990, indique mardi l'Office fédéral de l'environnement (OFEV).
La plus forte baisse a été enregistrée dans le secteur de l'industrie, suivi par celui du bâtiment. Ces deux secteurs représentent chacun quelque 22% des émissions de la Suisse.
L'industrie a émis 9,1 millions de tonnes équivalents CO2, soit 0,7 million de tonnes de moins qu'en 2022. Cette baisse s'explique notamment par une diminution de la production de ciment, précise l'OFEV. Par rapport à 1990, la baisse des émissions dans ce secteur s'élève à 32%.
Le secteur du bâtiment a aussi émis 9,1 millions de tonnes d'équivalents CO2 (-0,3 million de tonnes). Malgré un hiver plus frais, la consommation de gaz et d'huile de chauffage a diminué, relève l'OFEV, qui explique cela par la hausse du nombre de pompes à chaleur installées jusqu'en 2023. Depuis 1990, le secteur du bâtiment a baissé ses émissions de 46%.
Transports et agriculture stables
Dans les domaines des transports et de l'agriculture, les émissions sont restées les mêmes qu'en 2022. Les émissions du secteur des transports en 2023 (13,7 millions de tonnes équivalents CO2) étaient inférieures de 8% à celles de 1990.
Ces chiffres ne comprennent toutefois pas les émissions de gaz à effet de serre générées par le transport aérien et la navigation internationaux, qui sont présentées de manière distincte, précise l'OFEV sur son site. Et de préciser que les émissions supplémentaires engendrées par les vols internationaux en 2023 s'élevaient à 5,05 millions de tonnes d'équivalents CO2.
Les émissions dues à l’agriculture sont restées quasiment inchangées à 6,5 millions de tonnes d'équivalents CO2 en 2023. Les émissions de gaz à effet de serre synthétique, libérés par exemple par les fluides frigorigènes, étaient aussi similaires à celles de 2022.
Accord de Paris
L'OFEV remet en avril l'inventaire suisse des gaz à effet de serre au Secrétariat des Nations Unies sur les changements climatiques. Cet inventaire dresse un tableau complet des émissions de gaz à effet de serre couverts par l'Accord de Paris sur le climat.
En signant cet accord, la Suisse s'est engagée à réduire ses émissions de gaz à effet de serre de moitié par rapport à 1990 d'ici 2030. En outre, elle doit atteindre le zéro net d'ici 2050, après l'acceptation par le peuple de la loi sur la protection du climat en juin 2024.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Arrestation d'un mineur soupçonné d'avoir volé une septuagénaire
Une collaboration entre la police genevoise et la police municipale du Grand-Saconnex (GE), ainsi que le flair d'un chien policier et l'intervention d'un passant, ont permis à une dame de 74 ans de retrouver son sac à main qui venait de lui être arraché. Un mineur a été interpellé.
Les faits se sont produits le 10 avril. La victime revenait chez elle après avoir retiré de l'argent à sa banque. Bousculée devant son allée par un jeune homme qui a surgi dans son dos, la dame est tombée à terre, a indiqué mardi la police genevoise. Profitant de la confusion, le voleur s'est emparé de son sac à main et a pris la fuite. Un voisin a immédiatement donné l'alerte.
Les forces de l'ordre sont arrivées rapidement et plusieurs patrouilles ont quadrillé le quartier du Pommier, au Grand-Saconnex. Le chien de police Togo a été mis à contribution. L'animal a immédiatement "pris une piste" qui a mené vers un trousseau de clés que le voleur a laissé tomber dans sa fuite.
Des agents municipaux ont ensuite aperçu un individu qui traversait le parc Sarasin et dont le signalement correspondait à celui de l'agresseur. Malgré les injonctions des agents, le jeune homme ne s'est pas arrêté. Il a franchi une barrière, puis a disparu. Un passant l'a toutefois vu se réfugier dans le jardin d'une maison.
Grâce à cette information, les forces de l'ordre ont pu interpeller le mineur, caché sous la table d'une terrasse. L'intégralité du butin a été retrouvée grâce au chien policier à proximité du lieu de l'interpellation, a relevé la police genevoise. Le sac à main, lui, a été découvert dissimulé dans un buisson.
La septuagénaire a pu récupérer la totalité de son argent et tous les effets personnels qui se trouvaient dans son sac. L'auteur des faits bénéficie de la présomption d'innocence, a précisé la police genevoise. Aucune information sur son âge ni son origine n'a été donnée.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
E-trottinettes: nombreuses blessures à la tête dans des accidents
Les accidents de trottinettes électriques provoquent souvent des blessures à la tête, au visage ou au haut du corps. Les conducteurs de ces engins roulent souvent sans casque. L'alcool est la cause d'accident la plus fréquente, avertit mardi le bpa.
Entre 2019 et 2023, 400 usagers de trottinettes électriques ont été grièvement blessés et sept ont perdu la vie, selon le Bureau de prévention des accidents (bpa). Trois quarts des accidents sont des accidents individuels.
Quant aux collisions, elles sont dues le plus souvent à des refus de priorité. Dans près de la moitié de ces dernières, l’usager de la trottinette électrique n’a pas respecté les règles de priorité.
Plus de trois quarts (77%) des victimes d'accidents graves sont des hommes. En général, ce moyen de locomotion est utilisé surtout par des personnes jeunes et des hommes, relève le bpa.
Alcool et vitesse
Le bpa appelle les conducteurs de trottinettes électriques à renoncer à consommer de l’alcool avant d’utiliser un tel engin. Une faible quantité d’alcool suffit déjà à altérer la capacité de conduire, affirme-t-il.
La consommation d'alcool est en effet la cause de 39% des accidents individuels, selon l'étude du bpa. Viennent ensuite les catégories "inattention et distraction" (20%) et "vitesse" (9%).
Plus la vitesse de la trottinette est élevée, plus le risque de chute est grand et plus les blessures sont susceptibles d’être graves, ajoute le bpa. Les trottinettes électriques admises à la circulation permettent d’atteindre des vitesses pouvant aller jusqu’à 20 km/h.
Le bpa rappelle par ailleurs que les trottinettes électriques sont soumises aux mêmes règles que les vélos électriques lents, à savoir: éclairage allumé même de jour, obligation d’emprunter les pistes et bandes cyclables ainsi qu’autorisation de rouler sur les trottoirs uniquement si c’est également permis pour les vélos.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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