Suisse
Les transports publics peinent à récupérer leur clientèle
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Les transports publics peinent à récupérer leur clientèle d'avant-Covid. Dans son bulletin paru jeudi, Monsieur Prix s'en inquiète. Il souligne que quasi aucune entreprise de transport n'envisage de proposer des abonnements plus souples, ne serait-ce qu'à l'essai.
Selon une étude consacrée aux conséquences du COVID-19 sur la demande dans les transports et à ses effets à long terme, la demande de transports publics (TP) ne se remettra pas complètement de la pandémie. Il se peut même que ce recul imputable à la crise sanitaire ne soit pas encore entièrement compensé en 2025.
L’étude, commandée par l’Office fédéral des transports et l'Office fédéral des routes parvient à la conclusion que, selon les scénarios, la prestation de transport dans les TP pourrait diminuer de 22% si on la compare avec le scénario de base des perspectives de trafic à l’horizon 2050.
Les auteurs avancent comme argument que "l’offre d’abonnements pourrait ne pas encore correspondre aux nouveaux comportements de travail et de voyage". Les "clients perdus ne pourront être regagnés que si de nouveaux abonnements tenant compte des nouveaux comportements de travail et de voyage (...) sont lancés".
Des exemples qui fonctionnent
Voilà des années que le Surveillant des prix exige que des abonnements de ce type soient proposés. C’est là qu’interviennent les abonnements Télétravail ou Temps partiel: les communautés tarifaires Mobilis et Frimobil réalisent depuis un an environ des projets pilotes concluants qui proposent des abonnements appelés "FlexiAbo", avec des jours au choix, rappelle le surveillant des prix.
Il ne faut cependant pas espérer voir bientôt une offre proposée partout en Suisse. Le Surveillant des prix a interrogé toutes les communautés tarifaires à ce sujet en août dernier. Hors des projets pilotes mentionnés et à l’exception d’Engadin mobil, aucune d’entre elles ne peut envisager de proposer un abonnement Télétravail ou Temps partiel, ne serait-ce qu’à titre d’essai, au prochain changement d’horaire, en décembre 2022.
Le temps de trajet et le prix sont pourtant déterminants dans le choix du moyen de transport. Une fois que le choix est fait, les pratiques modales quotidiennes sont une affaire de routine. La pandémie de Covid-19 en est un exemple parlant. Nombreux sont ceux en effet qui ont modifié leurs habitudes de travail et de mobilité durant cette période et qui les ont conservées.
Occasion à saisir
On peut donc dire que les moments dits d’inflexion sont plutôt de courte durée, tandis que les changements dans les TP sont généralement lents, compliqués et contraignants, ce qui réduit les chances de voir les TP profiter de ces possibilités très rapidement.
Or justement, les prix élevés de l’essence et du diesel en vigueur depuis le printemps 2022 fâchent nombre de conducteurs. Tant que ces prix se maintiendront à un niveau inhabituellement élevé, les usagers du trafic seront probablement plus enclins que d’habitude à changer de moyen de transport, constate Monsieur Prix.
Les TP pourraient en profiter, à condition de ne pas répercuter la hausse des prix de l’énergie sur leurs tarifs, mais d’adapter le plus rapidement possible leur offre d’abonnements aux nouveaux comportements de travail et de déplacement, assure le surveillant des prix.
A l'opposé
C'est plutôt le contraire qui se passe, se désole-t-il. De premiers acteurs semblent vouloir emprunter la voie de l’augmentation des tarifs: le canton de Zurich, plus précisément la communauté tarifaire des TP zurichois (ZVV), invoque déjà une augmentation de ses coûts, en précisant que la question du coût des billets revient sur le devant de la scène (le nombre des voyageurs ne repart pas suffisamment à la hausse).
Monsieur Prix s'en remet donc au politique. Plusieurs motions de même teneur déposées au Parlement à la fin 2019 ont été acceptées par les deux Chambres en décembre 2021. Leurs auteurs demandent une augmentation de la part des transports publics dans le trafic global. Un plan d’action doit maintenant être élaboré à la demande des responsables politiques.
Monsieur Prix relève que près de la moitié de la population a le choix entre les deux moyens de transport. Les autres sont soit privés de voiture par manque de moyen ou parce qu'ils n'ont pas le permis de conduire, soit tributaires de la voiture parce qu'habitant dans des endroits mal desservis ou ayant des horaires incompatibles avec les transports publics.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Une rente de cinq ans grâce à l'Eurodreams
Une personne chanceuse a décroché une rente mensuelle de 2222 francs durant cinq ans grâce à l'Eurodreams jeudi soir. Elle a coché les six bons numéros 2, 10, 14, 23, 30 et 32, a annoncé la Loterie romande.
Le pactole a été remporté dans l'un des huit pays européens proposant ce jeu. En Suisse, Eurodreams est exploité par la Loterie romande et par Swisslos côté alémanique.
Le gros lot est une rente mensuelle de 22'222 francs durant 30 ans. Il faut pour cela trouver les 6 bons numéros ainsi qu'un numéro spécial appelé "dream". Le tirage du jeu est effectué les lundis et jeudis soir.
https://jeux.loro.ch/games/eurodreams
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Comptes 2024: un excédent de 9,8 millions pour la Ville de Genève
Les comptes 2024 de la Ville de Genève affichent un excédent de 9,8 millions de francs alors qu'un déficit de 15,8 millions était prévu dans le budget. Après plusieurs années mirobolantes, il s'agit d'un retour à la normale.
"Les comptes sont bons, mais des inquiétudes se font jour", a indiqué jeudi devant la presse Alfonso Gomez, conseiller administratif à la tête du département des finances (DFEL). Le magistrat écologiste, qui a été réélu dimanche pour un deuxième mandat, craint notamment les effets de la baisse d'impôts approuvée en votation cantonale en novembre dernier.
"L'équilibre est comme toujours précaire et le contexte international nous préoccupe", a ajouté le conseiller administratif. Et de citer la réduction des soutiens à la Genève internationale et l'incertitude liée aux taxes douanières américaines qui auront des incidences sur l'économie genevoise. M.Gomez a aussi mis en garde contre le paquet d'économie que veut faire passer le Conseil fédéral.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
François Moubandje met fin à sa carrière
L'ancien international suisse François Moubandje tire sa révérence, à l'âge de 34 ans. Le défenseur genevois a annoncé sa décision sur les médias sociaux.
"J'ai douté, j'ai gagné et j'ai perdu, mais je n'ai jamais cessé de me battre pour le maillot et pour l'honneur", écrit François Moubandje, qui était sans club depuis l'été dernier.
Passé par Meyrin et Servette, le latéral a rejoint en 2013 Toulouse, où il a connu jusqu'en 2019 sa période la plus faste, avant de tenter sa chance en Croatie et en Turquie. Il était revenu en Suisse en 2022, passant deux saisons au FC Sion.
Moubandje a disputé 21 matches avec l'équipe de Suisse. Il faisait partie de la sélection pour l'Euro 2016 et la Coupe du monde 2018, mais n'a pas été aligné durant ces deux tournois majeurs.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Un froid entre les comités opposés à l'e-ID suisse
Le dépôt jeudi des signatures contre la nouvelle identité électronique (e-ID) a jeté un froid entre les trois comités référendaires. Une partie des signatures ont été déposées à la Chancellerie, manifestement sans le consentement des autres organisations.
Un comité composé des Amis de la Constitution, de Aufrecht Schweiz et de Verfassungsbündniss Schweiz a déposé 26'000 signatures à la Chancellerie. Il a également déposé 20'000 paraphes du Parti pirate, respectivement de l'association "Référendum e-ID 2.0".
"Appropriation des signatures"
Contacté par Keystone-ATS, le président du Parti pirate Jorgo Ananiadis a indiqué ne pas être au courant de ce dépôt. Il a parlé "d'appropriation des signatures" par d'autres cercles.
Selon un document en possession de Keystone-ATS, les deux membres du parti responsables du référendum, Nicole Rüegger et Jonas Sulzer, ont été démis de leurs fonctions il y a deux semaines. Les deux membres ont informé de manière incomplète ou pas du tout des activités du comité principal, indique le Parti pirate.
Selon les informations actuelles, Mme Rüegger et M. Sulzer ont déposé jeudi les 20'000 signatures du Parti pirate à la Chancellerie fédérale. Mais sans que le comité directeur ne soit au courant, explique le Parti pirate dans un communiqué.
Parole contre parole
Ce n'est pas tout. Le mouvement Mass-Voll se sent également floué. Il a exigé de la Chancellerie fédérale qu'elle lui rende immédiatement ses signatures. Pour son président Nicolas Rimoldi, des formulaires récoltés par Mass-Voll ont été déposés sans son accord. "C'est illégal", a-t-il indiqué à Keystone-ATS. Ses juristes étudient une plainte pénale contre les Amis de la Constitution.
Interrogé par l'agence de presse, Remko Leimbach, président de Aufrecht Schweiz, a contredit cette version. Les 20'000 signatures récoltées par Mass-Voll et envoyées à son comité pour être certifiées en paquet n'ont pas encore été déposées.
Pas de consensus sur la forme de dépôt
La situation est confuse. Il semble clair que plus de 40'000 signatures contre la loi e-ID ont été déposées à la Chancellerie fédérale. Pour que le référendum soit valable, il faut 50'000 signatures certifiées qui, dans le cas présent, doivent être déposées jusqu'à mardi prochain à la Chancellerie fédérale à Berne.
Selon les indications écrites des Amis de la Constitution, plus de 63'000 signatures ont pu être récoltées jusqu'à présent dans toute la Suisse. "Un dépôt commun des signatures était prévu pour mardi prochain", a déclaré M. Rimoldi à l'agence de presse. Les 20'000 signatures manquantes seront déposées mardi prochain.
Deuxième votation possible
Les arguments avancés par les divers opposants contre l'e-ID sont quelque peu relégués au second plan en raison des désaccords autour du dépôt des signatures. Plusieurs organisations revendiquent le référendum.
Reste à savoir si la lutte contre l'e-ID sera couronnée de succès une deuxième fois. Dès la semaine prochaine, la Chancellerie fédérale vérifiera les signatures et indiquera si le référendum a formellement abouti. Dans l'affirmative, le Conseil fédéral fixera ensuite la date de la votation.
La première tentative d'introduction de l'e-ID avait échoué dans les urnes en mars 2021. Le projet prévoyait de confier l'établissement de documents d'identité électroniques à des privés. Les préoccupations liées à la protection des données ont fait pencher la balance en faveur du non.
En décembre dernier, le Parlement a approuvé la nouvelle loi sur l'identité électronique et a stipulé que la Confédération introduirait la preuve d'identité électronique reconnue par l'Etat. Sous réserve du référendum, cela devrait être le cas au plus tôt au troisième trimestre 2026.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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