Suisse
Les grandes entreprises paieront davantage d'impôts dès 2024

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L'imposition minimale de 15% pour les grandes entreprises devrait entrer en vigueur le 1er janvier 2024. Le Conseil fédéral a mis vendredi en consultation jusqu'au 20 avril 2022 le projet de réforme de l'OCDE et du G20.
Cette réforme représente de grands défis pour la Suisse. L'avantage concurrentiel d'une faible fiscalité perdra en importance. La Suisse doit préserver sa compétitivité et créer les conditions nécessaires pour maintenir les emplois et les recettes fiscales.
Imposé à 15%
Le projet de l'OCDE prévoit une imposition minimale de 15% pour les entreprises dont le chiffre d'affaires dépasse les 750 millions d’euros. Les Etats sont libres d'introduire ce taux minimal ou non.
La Suisse, connue pour avoir des taux d'imposition des entreprises particulièrement favorables, entend s'aligner. Un impôt complémentaire est prévu. Celui-ci permettra de combler, pour les grandes entreprises uniquement, l'écart entre le taux d'imposition effectif et le taux minimal de 15%. Les groupes touchés ne devront pas supporter des procédures fiscales supplémentaires à l'étranger.
Si la Suisse ne le fait pas, les pays où se trouve une filiale de la société-mère pourront exiger les impôts manquants. L'argent quitterait alors la Suisse. De même, la Suisse pourra demander le solde aux pays qui n'imposent pas suffisamment les grandes multinationales.
Le projet devrait permettre à la Suisse d'encaisser des recettes fiscales supplémentaires. L'impôt supplémentaire pourrait rapporter entre 1 et 2,5 milliards de francs.
La part encaissée sur les entreprises qui ne sont pas suffisamment imposées à l'étranger devrait se situer entre 0 et 3 milliards par année. A condition toutefois que les pays étrangers ne mettent pas en oeuvre les recommandations de l'OCDE, précise l'administration fédérale des contributions.
PME épargnées
L'imposition à 15% ne doit toutefois toucher que les entreprises qui remplissent les conditions fixées par l'OCDE et le G20. Entre 200 et 300 entreprises helvétiques et 2000 à 2500 filiales de groupes étrangers seraient concernées. Les entreprises opérant uniquement en Suisse et les PME ne seront pas touchées.
L'ensemble de ces recettes supplémentaires ira aux cantons. Elles devraient être réinvesties pour soutenir la concurrentialité de la Suisse. Différentes mesures sont possibles afin d'éviter un exode des grands groupes.
Toutefois, toutes les entreprises devraient en profiter. Y compris donc celles qui ne sont pas touchées par l'imposition minimale.
Des mesures sont aussi envisageables au niveau des personnes physiques. Une imposition plus faible des revenus élevés a été mise sur le tapis au cours des dernières semaines. Les derniers projets qui prévoyaient des allègements pour les entreprises et les riches ont échoué devant le peuple.
Votation en juin 2022
Une modification de la Constitution est nécessaire pour appliquer cette imposition différenciée. Elle devra être soumise au peuple et aux cantons le 18 juin 2023 afin que le projet puisse entrer en vigueur le 1er janvier 2024. Les Chambres fédérales devront avoir adopté le projet au plus tard en décembre 2022.
Une ordonnance transitoire devrait alors permettre au Conseil fédéral de régler cette imposition minimale. Elle doit habiliter le gouvernement à soumettre les entreprises à des taux d'imposition différents. La loi correspondante sera adoptée ultérieurement par la voie ordinaire.
Un "non" n'est pas envisageable, avait annoncé Ueli Maurer en janvier. Trop d'entreprises quitteraient le sol helvétique. Les pertes fiscales se monteraient à plusieurs millions de francs et des dizaines de milliers de places de travail passeraient à la trappe.
Penser aux pays pauvres
Alliance Sud demande dans un communiqué au Conseil fédéral et au Parlement de veiller à ce que la Suisse reverse une partie des recettes issues de l'imposition minimale fixée par l'OCDE aux pays producteurs pauvres où opèrent ces multinationales.
Alliance Sud rappelle que les pays producteurs de matières premières du Sud global appliquent des taux d'imposition des bénéfices compris entre 25% et 35%, soit près de deux fois plus que 15%. Cette différence va inciter les multinationales à déclarer leurs bénéfices dans les cantons suisses à faible imposition au détriment des pays où elles extraient leur nickel ou produisent leur huile de palme.
Le PS exige lui une mise en œuvre équitable de la réforme fiscale. Il juge inacceptable que les milliards de recettes fiscales supplémentaires soient immédiatement reversés aux cantons à faible fiscalité et aux sièges des multinationales par le biais de nouvelles incitations et d'allègements fiscaux. Pour les Verts, les recettes supplémentaires doivent revenir à la Confédération.
Suisse Romande
Le Conseil fédéral tient sa séance hebdomadaire à Neuchâtel
Le Conseil fédéral tient ce mercredi matin sa séance hebdomadaire à Neuchâtel, une ville où la présidente de la Confédération Karin Keller-Sutter a étudié. C'est la 20e fois que le gouvernement organise une réunion extra-muros, la première dans le canton de Neuchâtel.
Le choix de Karin Keller-Sutter n'est pas fruit du hasard. Adolescente, la St-Gallois a étudié à l'Ecole supérieure de commerce de Neuchâtel, aujourd'hui Lycée Jean-Piaget. "J'ai un lien particulier avec le canton et la ville", a-t-elle noté lors d'un point presse dans la cour du Château de Neuchâtel.
La présidente de la Confédération ne s'est pas exprimée sur l'actualité. A propos du conflit commercial avec les Etats-Unis, elle a juste répété qu'il fallait garder la "tête froide" et chercher une solution, avec une "pensée pour l'industrie horlogère", dont Neuchâtel est le premier acteur en Suisse.
Au-delà, le Conseil fédéral doit aussi échanger avec le Conseil d'Etat neuchâtelois. Après sa séance hebdomadaire, les Sept Sages discuteront avec la population place des Halles dès 12h30.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Le SMI choit sous les 11'000 points dans les premiers échanges
Le rebond mardi de la Bourse suisse a fait long feu, alors que les droits de douane supplémentaires américains sur les importations de près de 60 pays, dont celles de la Suisse à hauteur de 31%, sont entrés en vigueur.
Du côté de Wall Street, le Dow Jones s'est essoufflé en fin de séance mardi, cédant 0,8%, alors qu'il avait décollé de près de 4% à l'ouverture. Le Nasdaq, indice des valeurs technologiques, a abandonné 2,15% et le S&P 500 1,57%. En Asie, à la Bourse de Tokyo le Nikkei plongeait de 5%, les autres places d'Extrême-Orient fléchissant aussi fortement.
Dès 06h00, le 2e volet des droits de douane supplémentaires décidés par Donald Trump est entré en vigueur et les pays avec lesquels les Etats-Unis affichent un déficit commercial particulièrement élevé selon Washington sont soumis à des taxes punitives. La Chine, qui a elle-même pris des mesures de rétorsion, est particulièrement touchée, les marchandises arrivant au Pays de l'Oncle Sam étant désormais taxées à hauteur de 104%.
Les décisions de politique commerciale du président américain Trump pèsent sur le dollar américain, "alors que les paris de récession sont en hausse, la récession la plus stupide de l'histoire du monde, probablement" observe pour sa part Ipek Ozkardeskaya, de Swissquote Bank. Et les investisseurs devront encore attendre pour un éventuel soutien de la Réserve fédérale américaine, ses responsables affirmant que la politique monétaire est bien placée pour faire face aux perturbations tarifaires. Mais un effondrement plus important pourrait les faire changer d'avis.
Après avoir ouvert en repli de 2,65%, le SMI creusait ses pertes dans les premiers échanges, notant vers 09h30 au-dessous de la barre des 11'000 points à 110'975,90 points, soit une chute de 3,4%. L'indice phare avait clôturé la veille sur un bond de 2,82%, reprenant près de 300 points, alors qu'il s'était délesté de plus de 1500 points depuis mercredi et l'annonce des nouveaux droits de douane américains, dont un taux de 31% frappant les exportations helvétiques vers les Etats-Unis.
En haut de tableau, le rouge était moins foncé pour le bon du chocolatier zurichois Lindt (-0,4%) et pour le spécialiste encore genevois de l'inspection et de la certification SGS (-0,6%) ainsi que le sous-traitant pharma bâlois Lonza et la défensive Swisscom (-1% tous deux).
Les trois poids lourds de la cote, le bon Roche ainsi que les nominatives Novartis et Nestlé étaient en revanche en souffrance. Le premier, lanterne rouge, dégringolait de 5,2%, le deuxième 5,1%, alors que Nestlé reculait de 2,2%. Le géant bâlois des génériques Sandoz Group perdait 4,3%, tout comme le fabricant valdo-californien des périphériques et accessoires informatiques Logitech.
Le géant genevois du luxe Richemont dévissait de 3,6% et le numéro un mondial de l'horlogerie, le biennois Swatch Group de 2,8%.
Les financières ne faisaient guère mieux, Julius Bär plongeant de 5,5%, le gestionnaire d'actifs zougois Partners Group de 3,3%) et UBS de 4,7%. Les assureurs Swiss Life (-2,3%), Zurich Insurance (-2,1%) et Swiss Re (-2,6%) peinaient aussi.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
Les droits de douane américains supplémentaires entrent en vigueur
Le président des Etats-Unis Donald Trump impose depuis mercredi matin à des dizaines de partenaires commerciaux une nouvelle salve de droits de douane à l'importation, dont un taux monumental de plus de 100% à la Chine,
Cette surtaxe à l'importation provoque une forte poussée de fièvre entre les deux premières puissances mondiales. Celle frappant la Suisse se monte à 31%.
Ces nouvelles barrières commerciales - par exemple de 20% pour l'Union européenne - a fait replonger les Bourses en Asie. Pour la Chine, la Maison Blanche a rendu public un décret présidentiel "amendé" faisant grimper de "34%" à "84%" la taxation qui sera perçue par Washington sur les importations en provenance de Pékin. Si on y ajoute les 20% déjà en vigueur, cela porte à 104% le taux imposé à l'Empire du Milieu depuis 06h00.
Un niveau totalement prohibitif. "La Chine n'acceptera jamais cela", avait menacé mardi un porte-parole du ministère du Commerce, après que la deuxième puissance mondiale eut répliqué par une hausse de 34 points de ses droits de douane sur les produits importés des Etats-Unis à compter de jeudi.
Affolement
Malgré un léger rebond mardi soir, les marchés boursiers sur toute la planète sont affolés par la guerre commerciale mondiale que Donald Trump a déclenchée. Vers 04h30 à la Bourse de Tokyo, l'indice vedette Nikkei s'est enfonçait de 2,62%, après avoir lâché jusqu'à 3,5%. A Séoul, l'indice Kospi a reculé de 0,6%. La Bourse de Sydney a baissé de 0,84%, celle de Taipei de 2%. Les places chinoises souffrent également: -2% à Hong Kong, -0,86% à Shanghai et -1% à Shenzhen.
Le pétrole a accéléré son plongeon - au plus bas depuis quatre ans autour de 60 dollars le baril - et le won sud-coréen a glissé jusqu'à un niveau jamais atteint depuis 2009. La Corée du Sud est très dépendante de ses exportations, surtout pour ses automobiles qui se vendent énormément sur l'immense marché de son allié américain.
En urgence, Séoul a annoncé mercredi une aide de deux milliards de dollars pour soutenir ses constructeurs, à la suite de l'imposition d'une taxation américaine supplémentaire de 25%. Première banque centrale à agir contre les droits de douane, l'institution de la Nouvelle-Zélande a réduit ses taux d'intérêt de 25 points de base à 3,5%
A l'échelle mondiale, une première salve de droits de douane supplémentaires de 10% est entrée en vigueur samedi sur l'ensemble des importations des Etats-Unis. A l'exception des 104% contre la Chine, les nouveaux droits d'entrée américains frappent depuis 06h00 quelque 60 partenaires commerciaux avec un taux allant de 11% à 50%, comme l'UE à 20% ou le Vietnam à 46%.
Face à la panique boursière, M. Trump se veut lui rassurant. Il a promis mardi soir "des accords sur mesure, pas du prêt-à-porter, mais de la haute couture", d'abord avec les alliés militaires de l'Amérique, Japon et Corée du Sud en tête. Lors d'un dîner avec des caciques du Parti républicain, le milliardaire conservateur qui bouleverse l'ordre économique libéral mondial s'est félicité que des dizaines d'Etats - y compris Pékin d'après lui - "fassent tout" pour trouver un accord Washington.
"Lécher le cul"
"Ces pays nous appellent pour nous lécher le cul", a-t-il plastronné. Pour l'UE, première partenaire commerciale des Etats-Unis, la présidente de la Commission Ursula von der Leyen a exhorté à "éviter l'escalade", lors d'un entretien téléphonique avec le Premier ministre chinois Li Qiang.
Tout en plaidant pour "une résolution négociée". L'UE devrait présenter sa réponse "en début de semaine prochaine", selon un porte-parole. Mais selon une liste consultée par l'AFP, le bourbon ne sera pas concerné par la surtaxe de 25% que Bruxelles propose d'imposer sur des produits américains.
Pour le président français Emmanuel Macron, "l'objectif est d'arriver à une situation où le président Trump revienne sur sa décision". Considérée comme plus proche de Donald Trump, la Première ministre italienne d'extrême droite Giorgia Meloni a annoncé mardi soir qu'elle se rendrait à Washington le 17 avril.
Après un rebond des places mondiales mardi, l'indice Dow Jones avait terminé en baisse de 0,84%. Paris avait auparavant regagné 2,50%, Londres 2,71% et Tokyo 6,02%. Alors que le yuan "offshore", la monnaie chinoise circulant hors du pays, est tombé à son plus bas niveau depuis 2010, la guerre commerciale pourrait saper l'économie mondiale, avec des risques d'inflation, de chômage et de baisse de croissance, avertissent des analystes.
Le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres s'est dit "particulièrement inquiet pour les pays en développement les plus vulnérables sur lesquels les impacts seront plus dévastateurs".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Suisse
Anouk et Zoé Vergé-Dépré enfin réunies
Anouk et Zoé Vergé-Dépré entament leur première saison ensemble en tant que joueuses de beachvolley. Le début d'une aventure qui comporte quelques défis pour les deux soeurs bernoises.
Jean-Charles Vergé-Dépré n'attendait que ça! Un sourire se dessine sur son visage quand il observe ses deux filles raconter les raisons derrière leur réunion. "Je rêvais depuis longtemps que mes filles jouent ensemble", avoue le Français de 69 ans.
Lorsque Joana Mäder, partenaire d'Anouk, et Esmée Böbner, coéquipière de Zoé, ont décidé d'arrêter, temporairement ou définitivement, leur activité de beachvolleyeuse, il s'est rapidement murmuré que le moment était le bon pour que les deux soeurs forment enfin un duo.
Le sujet était d'ailleurs abordé de temps en temps lors des dîners de famille. "On connaît deux joueuses qui n'ont pas encore de partenaire", glissaient les parents.
Le petit mot
Mais leurs filles ne se sont pas laissé influencer par l'extérieur. Elles ont pesé les avantages et les inconvénients, discuté de la forme concrète que pourrait prendre une collaboration sportive et réfléchi aux mesures concrètes qu'elles devraient prendre pour protéger leur étroite relation.
La décision prise, Zoé a déposé un message dans la boîte aux lettres de sa soeur où figurait la question: "Veux-tu être ma partenaire de beach? Oui, non, peut-être." Anouk a coché la case du "oui" avant de remettre la missive dans la boîte aux lettres, avec du chocolat.
Voici comment est née l'équipe "Zouk", nom né de la combinaison de leurs deux prénoms mais qui s'inspire aussi de leurs racines guadeloupéennes. En créole, "zouk" signifie joie et désigne aussi ce style de musique typiquement caribéen qui résonne souvent dans les enceintes des soeurs Vergé-Dépré.
"Le bon moment"
"C'est le bon moment pour se mettre ensemble", déclare Anouk, de six ans l'aînée de Zoé (33 et 27). Les deux n'ont jamais vraiment eu la chance de jouer ensemble, Anouk étant déjà sur le World Tour à une époque où sa soeur ne savait pas encore si elle allait faire du beachvolley son métier.
Ces dernières années, Anouk a remarqué que Zoé était tout aussi passionnée qu'elle par ce sport et a pu constater les progrès réalisés par sa soeur. Particulièrement lorsqu'elles se sont soudainement retrouvées en concurrence pour le deuxième billet pour les Jeux olympiques de Paris 2024.
Zoé a finalement eu le dernier mot avec Esmée Böbner, et le duo a pris la 5e place du tournoi disputé au pied de la Tour Eiffel. La médaille de bronze décrochée aux championnats d'Europe aux Pays-Bas a été une autre preuve que la cadette faisait désormais partie de l'élite mondiale.
Pas la première fois
"Je pense que si nous avions fait équipe plus tôt, il nous aurait manqué encore la maturité", suppose Anouk Vergé-Dépré, qui se souvient des Européens de 2018. Les deux soeurs s'étaient retrouvées sur le sable de manière imprévue lorsque Joana Mäder (alors Heidrich) avait déclaré forfait au dernier moment et avaient été éliminées en huitièmes de finale.
"Il y avait une tout autre dynamique à l'époque", explique Zoé, qui vivait à cette occasion-là son baptême du feu à ce niveau. "A l'époque, j'étais la petite junior inexpérimentée. Maintenant, j'ai beaucoup plus de bagage."
Leur préparation a toutefois été ternie par la blessure à un orteil d'Anouk lors d'un entraînement à Rio. Les deux soeurs ont dû donc faire l'impasse sur les premiers tournois disputés au Mexique.
LA 2028 comme but ultime
La médaillée de bronze olympique de Tokyo doit en outre s'adapter à sa nouvelle coéquipière. Alors qu'elle jouait en défense aux côtés de Joana Mäder, elle retrouve désormais le bloc. "Je vais devoir sprinter vers l'avant à chaque service. C'est déjà un changement sur le plan physique, mais je m'en réjouis", explique-t-elle.
Le tout jeune team "Zouk" ne s'attend donc pas à tout rafler dès sa première compétition, dès jeudi au tournoi Elite16 de Saquarema au Brésil. Le plus important est bien la perspective à long terme avec une éventuelle participation aux Jeux olympiques de Los Angeles 2028, un autre rêve pour leur père Jean-Charles.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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