Suisse
Les délits économiques ont augmenté en 2022
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Les cas de criminalité économique portés devant la justice suisse ont augmenté en 2022 et le montant total de ces préjudices s'élève à 581 millions de francs, indique mardi le baromètre Forensic Fraud du cabinet de conseil KPMG.
Les tribunaux suisses ont jugé 78 cas de criminalité économique, dont sept liés au Covid-19, ce qui représente une augmentation de 15% sur un an. Les sommes en jeu se sont également étoffées: en 2021, elles s'élevaient encore à 567 millions.
"Les chiffres (réels) sont en réalité nettement supérieurs puisque de nombreux cas ne font pas l'objet de plainte pénale", soulignent les auteurs de l'étude.
"L'une des raisons de cette hausse est que les criminels en col blanc ont trouvé de nouveaux moyens de se livrer à des activités frauduleuses dans le sillage de la pandémie Covid-19 ", explique Bob Dillen, associé responsable du département Forensic chez KPMG.
Les personnes physiques ont été les principales victimes de ces délits, avec 40 cas contre 11 en 2021, et le montant du préjudice cumulé pour ce groupe a été multiplié par 20 à 120 millions.
Les institutions publiques, victimes de 19 des cas après 25 l'année précédente, ont subi des préjudices d'un montant total de 419 millions en 2022, soit près de trois quarts des sommes en jeu.
"Les raisons de l'attrait élevé du secteur public pour les fraudeurs sont, d'une part les ressources financières considérables qui y sont gérées et d'autre part, la structure souvent complexe des institutions publiques, qui peut conduire à des faiblesses du système de contrôle interne", fait remarquer Bob Dillen.
Les cinq délits les plus fréquents sont les détournements de fonds (14), l'escroquerie aux paiements anticipés (13), la fraude à l'assurance et à la sécurité sociale (12), la gestion déloyale (11) et le blanchiment d'argent (4).
Ce sont par ailleurs les personnes physiques qui représentent la catégorie la plus importante d'auteurs de délits et un tiers des cas ont été perpétrés sur le lieu de travail.
Au niveau des régions, c'est la Suisse centrale qui a été le plus touchée avec 21 des cas, devant la région Zurich (18) et lémanique (15). Le Tessin, en avant-dernière position, avec trois cas, figure parmi les cantons avec le moins de délits jugés.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Football
Equipe nationale féminine: Julia Simic désignée coach adjointe
L'ex-internationale allemande Julia Simic a été désignée entraineuse adjointe de l'équipe de Suisse dames, a annoncée mardi l'ASF. Elle travaillera de concert avec le sélectionneur Rafel Navarro.
Simic a joué de nombreuses années en Bundesliga, notamment au Bayern Munich, avant de terminer sa carrière à l'AC Milan. Elle était jusqu'à présent l'entraineuse des M20 à l'Eintracht Francfort.
Le nouveau sélectionneur de l'équipe de Suisse Rafel Navarro s'est réjoui de cette arrivée: "Julia dispose d'une grande expérience internationale et d'une compréhension contemporaine du jeu. Elle sera un atout précieux pour notre équipe, tant sur le plan sportif qu'humain, et nous nous réjouissons de franchir les prochaines étapes avec elle", a-t-il déclaré dans le communiqué de l'Association suisse de football.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Neuchâtel: le RHNe reprend l'entier du Groupe Santé Volta
Le Groupe Santé Volta (GSV) passe sous le contrôle complet du Réseau hospitalier neuchâtelois (RHNe) et devient Réso.ne. La reprise préserve tous les emplois et assure la continuité des soins ambulatoires de proximité pour plus de 8000 patients neuchâtelois.
Le RHNe, qui détenait jusqu’ici 30% du capital, reprend les activités du groupe de santé privé en situation d’insolvabilité et de surendettement, a-t-il fait savoir mardi. La transaction permet de poursuivre l’exploitation de quatre centres de santé, avec deux permanences médicales sous une nouvelle raison sociale.
Ces derniers sont les sites de Volta à La Chaux-de-Fonds, de Fleurier, des Cadolles, à Neuchâtel, et des Geneveys-sur-Coffrane. Le développement permet au RHNe de "consolider le déploiement d’un réseau cantonal de soins ambulatoires de proximité, au coeur de ses options stratégiques 2026-2030", précise le communiqué.
Soutien financier
L'évolution répond aussi au programme de législature 2026-2029 du Conseil d’Etat, qui entend instaurer "un réseau de soins accessible à toutes et tous". Depuis février 2024 et son entrée au capital du GSV, le RHNe a soutenu la société anonyme via des prêts et une caution solidaire pour un total de plus de 2,5 millions de francs.
L’assainissement de la situation financière du Groupe Santé Volta va garantir à la nouvelle entité de retrouver à terme les chiffres noirs, condition indispensable pour assurer sa pérennité, poursuit le communiqué. Avec Réso.ne, le RHNe résume la situation en évoquant un "nouvel élan pour les soins ambulatoires de proximité".
Pour rappel, les deux entités avaient annoncé en avril le transfert au 30 juin de l’activité opératoire de la clinique Volta vers le site RHNe-La Chaux-de-Fonds. La centralisation qui touchait alors la Métropole horlogère avait impliqué la mise en oeuvre d’un plan de licenciement collectif pour une vingtaine de collaborateurs.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Premier bilan positif des ventes de Noël, malgré la morosité
A l'approche des fêtes, la course aux cadeaux entre dans sa dernière ligne droite. A l'heure de tirer un premier bilan, sans être euphoriques, les détaillants sont plutôt optimistes malgré un climat de consommation plutôt morose.
Les consommateurs font preuve d'une certaine retenue. Les commandes de moins de 50 francs sont en hausse chez le commerçant en ligne Brack. "Cela est aussi probablement dû au fait que nous avons réduit les frais de port pour les petits montants", tempère un porte-parole auprès de l'agence AWP.
Les ménages s'inquiètent des hausses de prix des biens de consommation courante, des primes d'assurance maladie et des loyers, comme le montre une enquête menée par la Swiss Retail Federation et le cabinet de conseil EY: 42% des personnes interrogées estiment que leur situation financière s'en trouve fortement affectée.
Pourtant, les Suisses prévoient de dépenser en moyenne 341 francs pour leurs cadeaux de Noël, soit 21% de plus que l'année dernière et presque autant que lors de l'année record 2022.
Même constat chez les grands détaillants. "Les clients sont davantage en quête de bonnes affaires. Dans le même temps, l'importance des cadeaux de Noël et des produits haut de gamme demeure élevée", observe une porte-parole de Coop.
iPhones et friteuses
Dans l'ensemble, le bilan intermédiaire est positif. "Les ventes de Noël sont toujours la période la plus prolifique pour nous et cette année ne fait pas exception", relève Digitec Galaxus. Les iPhones, friteuses à air et sets Lego sont parmi les plus recherchés sur la plateforme. Les parfums, les livres pour enfants et les écouteurs auront aussi leur place sous le sapin.
Côté alimentation, la demande reste marquée par la tradition. Chez Migros et Coop, la fondue chinoise, la raclette et les fruits tropicaux sont, sans surprise, en tête. "La seule tendance notable concerne le segment des vins mousseux, où les variantes sans alcool gagnent en importance", relève Coop.
L'autre tendance est le retour en force des achats dans les villes et les centres commerciaux, où la fréquentation est en hausse, selon l'étude de la Swiss Retail Federation et d'EY.
Mais il est encore prématuré de tirer un bilan définitif, la semaine en cours et les jours précédant le Nouvel an étant décisifs.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Suisse
Initiative populaire pour l'interdiction des armes nucléaires
La Suisse doit adhérer au Traité des Nations unies sur l'interdiction des armes nucléaires (TIAN). Un comité citoyen a déposé mardi auprès de la Chancellerie fédérale à Berne plus de 135'000 signatures dans ce but.
Le TIAN est entré en vigueur en 2021 et interdit les armes nucléaires en droit international. Il comble une lacune du droit international humanitaire: les armes nucléaires sont désormais explicitement interdites comme les autres armes de destruction massive.
La Suisse a participé aux négociations du traité, soutenu son adoption à l’ONU en 2017, et le Conseil national ainsi que le Conseil des Etats ont appelé le Conseil fédéral à y adhérer en 2018 par des majorités claires. Malgré cela, le Conseil fédéral refuse toujours d’y adhérer.
Sécurité en jeu
Le TIAN est l’instrument le plus pertinent pour garantir la sécurité à long terme, estime Annette Wildi, membre de l'Alliance suisse pour l'interdiction des armes nucléaires à l'origine de l'initiative et de la Campagne internationale pour l'abolition des armes nucléaires (ICAN).
Le traité correspond aux principes fondamentaux de la politique étrangère suisse et renforcerait la crédibilité de la Confédération dans le domaine de la diplomatie humanitaire. Cette initiative montre que le soutien pour l’interdiction des armes nucléaires est largement ancré dans la population.
La Suisse ne possède pas d’armes nucléaires, n'a pas l'intention d'en acquérir et n'est pas impliquée dans la dissuasion nucléaire; il n’existe donc aucune raison objective de rester à l’écart de cette interdiction, ajoute Joris Fricker du Groupe pour une Suisse sans Armée (GSsA).
Selon un récent sondage, 72% des citoyens interrogés se sont prononcés en faveur de l'adhésion au TIAN. Depuis son entrée en vigueur en 2021, près de cent pays ont adhéré à ce texte de l'Assemblée générale de l'ONU, dont 74 l'ont ratifié.
Le Conseil fédéral mise sur le TNP
Le Conseil fédéral a refusé une nouvelle fois de signer le traité en mars 2024, estimant que l'engagement de la Suisse en faveur d'un monde sans armes nucléaires dans le cadre du Traité de non-prolifération nucléaire (TNP) était plus conforme à ses objectifs.
Ce traité est en vigueur depuis 1977 et signé par 191 Etats membres, dont les puissances nucléaires que sont les Etats-Unis, la Russie, la Chine, la France et le Royaume-Uni. Le traité d'adhésion au TIAN lui n'est reconnu ni par les détenteurs d'armes nucléaires ni par la quasi-totalité des pays occidentaux et européens.
Selon le gouvernement, une adhésion au traité d'interdiction n'est en outre pas dans l'intérêt de la Suisse dans le contexte international actuel, où la sécurité est revenue au premier plan avec une nouvelle guerre en Europe.
Le comité d'initiative compte plusieurs personnalités comme l'ancienne conseillère fédérale Micheline Calmy-Rey ou le prix Nobel de chimie Jacques Dubochet. Des élus fédéraux y sont aussi actifs à l'image de la conseillère nationale Melanie Mettler (PVL/BE) ou du conseiller aux Etats Carlo Sommaruga (PS/GE).
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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