Suisse
Le PDC Suisse changera de nom et s'appellera "Le Centre"

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Le PDC Suisse devrait s'appeler à l'avenir Le Centre. Il souhaite continuer à jouer un rôle de rassembleur, au moment "où les extrêmes prennent toujours plus de poids", a-t-il souligné vendredi. Le dernier mot reviendra à la base.
"Le Centre" marque à la fois un positionnement et un profil clair, a expliqué devant les médias le président du PDC Suisse Gerhard Pfister. Il entend s'ouvrir à des électeurs qui privilégient le consensus et la recherche de solutions concrètes et pragmatiques plutôt que des positions dogmatiques,
Le nouveau logo du parti s'accompagne d'une parenthèse orange et des valeurs qu'il porte: "liberté, solidarité, responsabilité". En cette période de crise sociale, ces valeurs sont importantes pour la Suisse, a souligné le conseiller aux Etats jurassien Charles Juillard, vice-président du parti.
Rôle de rassembleur
Gerhard Pfister a rappelé qu'en mathématiques comme en politique la parenthèse sert à "rassembler ce qui a du sens", elle ne se fixe pas sur un contenu établi, mais "reste ouverte aux différents contenus et opinions". Un rôle que veut jouer le PDC.
Quant à la couleur orange, elle a fait ses preuves, c'est une marque forte du parti et elle permet de se distinguer des autres formations politiques.
Dans ce contexte, les deux hommes ont insisté sur le fait que le PDC peut attirer plus que les 11% de voix recueillies lors des dernières élections fédérales. Un sondage publié à la fin juin montrait que son potentiel était de 20%.
Le même sondage montrait que le nom "Le Centre" était jugé comme étant le plus attrayant. Et que 53% des membres du parti estimaient que la référence chrétienne empêche d'attirer de nouveaux électeurs.
Votation interne
Le nouveau nom doit maintenant être soumis aux membres du PDC Suisse. Cette votation interne, la première votation jamais organisée par le parti, se déroulera par courrier jusqu'à la fin octobre. Si le changement de nom est approuvé, la décision devra être avalisée par l'assemblée des délégués le 14 novembre à la majorité des deux tiers.
La direction du parti est consciente qu'il y a des voix critiques. En juin, le conseiller aux Etats Beat Rieder (PDC/VS) estimait ainsi dans une interview que changer de nom serait "la ruine du parti" et que celui-ci n'avait pas d'avenir sans son "C".
Sections libres
La seconde vice-présidente du parti, Ida Glanzmann (LU), estime toutefois que la solution trouvée peut réunir la base. La direction souligne par ailleurs que le nouveau nom ne s'appliquera qu'au parti national. Les sections cantonales auront le choix d'adopter le nouveau nom ou de garder l'actuel. Elles ont jusqu'en 2025 pour faire leur choix.
"Nous sommes un parti fédéraliste", a souligné M. Pfister. Pour le conseiller national zougois, "un rebranding de A à Z peut fonctionner" dans le domaine de l'économie, mais pas en politique.
Le PDC assure par ailleurs avoir tenu compte des "sensibilités de chaque langue" pour présenter "la meilleure variante" possible: Die Mitte en allemand, Le Centre en français, mais Alleanza del Centro (alliance du centre) en italien et Allianza del Center en romanche.
Genève
Comptes 2024: un excédent de 9,8 millions pour la Ville de Genève
Les comptes 2024 de la Ville de Genève affichent un excédent de 9,8 millions de francs alors qu'un déficit de 15,8 millions était prévu dans le budget. Après plusieurs années mirobolantes, il s'agit d'un retour à la normale.
"Les comptes sont bons, mais des inquiétudes se font jour", a indiqué jeudi devant la presse Alfonso Gomez, conseiller administratif à la tête du département des finances (DFEL). Le magistrat écologiste, qui a été réélu dimanche pour un deuxième mandat, craint notamment les effets de la baisse d'impôts approuvée en votation cantonale en novembre dernier.
"L'équilibre est comme toujours précaire et le contexte international nous préoccupe", a ajouté le conseiller administratif. Et de citer la réduction des soutiens à la Genève internationale et l'incertitude liée aux taxes douanières américaines qui auront des incidences sur l'économie genevoise. M.Gomez a aussi mis en garde contre le paquet d'économie que veut faire passer le Conseil fédéral.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
François Moubandje met fin à sa carrière
L'ancien international suisse François Moubandje tire sa révérence, à l'âge de 34 ans. Le défenseur genevois a annoncé sa décision sur les médias sociaux.
"J'ai douté, j'ai gagné et j'ai perdu, mais je n'ai jamais cessé de me battre pour le maillot et pour l'honneur", écrit François Moubandje, qui était sans club depuis l'été dernier.
Passé par Meyrin et Servette, le latéral a rejoint en 2013 Toulouse, où il a connu jusqu'en 2019 sa période la plus faste, avant de tenter sa chance en Croatie et en Turquie. Il était revenu en Suisse en 2022, passant deux saisons au FC Sion.
Moubandje a disputé 21 matches avec l'équipe de Suisse. Il faisait partie de la sélection pour l'Euro 2016 et la Coupe du monde 2018, mais n'a pas été aligné durant ces deux tournois majeurs.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Un froid entre les comités opposés à l'e-ID suisse
Le dépôt jeudi des signatures contre la nouvelle identité électronique (e-ID) a jeté un froid entre les trois comités référendaires. Une partie des signatures ont été déposées à la Chancellerie, manifestement sans le consentement des autres organisations.
Un comité composé des Amis de la Constitution, de Aufrecht Schweiz et de Verfassungsbündniss Schweiz a déposé 26'000 signatures à la Chancellerie. Il a également déposé 20'000 paraphes du Parti pirate, respectivement de l'association "Référendum e-ID 2.0".
"Appropriation des signatures"
Contacté par Keystone-ATS, le président du Parti pirate Jorgo Ananiadis a indiqué ne pas être au courant de ce dépôt. Il a parlé "d'appropriation des signatures" par d'autres cercles.
Selon un document en possession de Keystone-ATS, les deux membres du parti responsables du référendum, Nicole Rüegger et Jonas Sulzer, ont été démis de leurs fonctions il y a deux semaines. Les deux membres ont informé de manière incomplète ou pas du tout des activités du comité principal, indique le Parti pirate.
Selon les informations actuelles, Mme Rüegger et M. Sulzer ont déposé jeudi les 20'000 signatures du Parti pirate à la Chancellerie fédérale. Mais sans que le comité directeur ne soit au courant, explique le Parti pirate dans un communiqué.
Parole contre parole
Ce n'est pas tout. Le mouvement Mass-Voll se sent également floué. Il a exigé de la Chancellerie fédérale qu'elle lui rende immédiatement ses signatures. Pour son président Nicolas Rimoldi, des formulaires récoltés par Mass-Voll ont été déposés sans son accord. "C'est illégal", a-t-il indiqué à Keystone-ATS. Ses juristes étudient une plainte pénale contre les Amis de la Constitution.
Interrogé par l'agence de presse, Remko Leimbach, président de Aufrecht Schweiz, a contredit cette version. Les 20'000 signatures récoltées par Mass-Voll et envoyées à son comité pour être certifiées en paquet n'ont pas encore été déposées.
Pas de consensus sur la forme de dépôt
La situation est confuse. Il semble clair que plus de 40'000 signatures contre la loi e-ID ont été déposées à la Chancellerie fédérale. Pour que le référendum soit valable, il faut 50'000 signatures certifiées qui, dans le cas présent, doivent être déposées jusqu'à mardi prochain à la Chancellerie fédérale à Berne.
Selon les indications écrites des Amis de la Constitution, plus de 63'000 signatures ont pu être récoltées jusqu'à présent dans toute la Suisse. "Un dépôt commun des signatures était prévu pour mardi prochain", a déclaré M. Rimoldi à l'agence de presse. Les 20'000 signatures manquantes seront déposées mardi prochain.
Deuxième votation possible
Les arguments avancés par les divers opposants contre l'e-ID sont quelque peu relégués au second plan en raison des désaccords autour du dépôt des signatures. Plusieurs organisations revendiquent le référendum.
Reste à savoir si la lutte contre l'e-ID sera couronnée de succès une deuxième fois. Dès la semaine prochaine, la Chancellerie fédérale vérifiera les signatures et indiquera si le référendum a formellement abouti. Dans l'affirmative, le Conseil fédéral fixera ensuite la date de la votation.
La première tentative d'introduction de l'e-ID avait échoué dans les urnes en mars 2021. Le projet prévoyait de confier l'établissement de documents d'identité électroniques à des privés. Les préoccupations liées à la protection des données ont fait pencher la balance en faveur du non.
En décembre dernier, le Parlement a approuvé la nouvelle loi sur l'identité électronique et a stipulé que la Confédération introduirait la preuve d'identité électronique reconnue par l'Etat. Sous réserve du référendum, cela devrait être le cas au plus tôt au troisième trimestre 2026.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse Romande
Tribunal cantonal: ex-enseignant jugé pour des actes d'ordre sexuel
Un ancien enseignant a comparu jeudi en appel devant le Tribunal cantonal valaisan. Il avait été condamné en première instance à trois ans de prison, dont 18 mois avec sursis, pour avoir commis des actes d'ordre sexuel avec des enfants.
L'homme de 39 ans a aussi dû répondre de pornographie et de violation du domaine secret et du domaine privé au moyen d'un appareil de prise de vues. En 2024, le Tribunal de Sierre avait prononcé une interdiction d'exercer une activité, professionnelle ou non avec mineurs durant dix ans.
L'homme est notamment accusé d'avoir touché une élève, âgée entre 10 et 12 ans lors des faits, et d'avoir eu des relations sexuelles avec une fille de 15 ans avec laquelle il est resté longtemps en couple.
Son avocat a demandé, en vain, le renvoi du procès pour permettre à la cour de réauditionner plusieurs protagonistes, puis a plaidé l'acquittement. Le procureur Olivier Vergères et l'avocat de la principale plaignante Jean-Luc Addor ont demandé la confirmation de la peine de première instance.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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