Suisse
Le National ne veut pas d'un congé prénatal
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Il n'y aura pas de congé prénatal en Suisse. Le Conseil national a refusé mercredi par 107 voix contre 73 une motion socialiste en ce sens.
Les femmes enceintes doivent interrompre leur activité professionnelle durant leur grossesse dans 80% des cas. Dans les deux semaines précédant l'accouchement, 70% des futures mères sont en congé maladie. Seule une femme sur six travaille jusqu'à l'accouchement. Et pourtant, contrairement à tous les pays européens, la Suisse ne connaît pas de droit à un congé prénatal, regrette la motionnaire Flavia Wasserfallen (PS/BE).
Sa motion demande l'instauration d'un congé prénatal de trois semaines, financé par le régime des allocations pour perte de gain (APG). Ce congé ne doit pas porter préjudice au congé maternité qui fait suite à l'accouchement.
Sur le plan de la santé, les spécialistes s'accordent pour dire qu'il est important pour le déroulement de la grossesse et la santé de la mère et de l'enfant que la femme enceinte puisse se préparer à l'arrivée du bébé dans le calme, avec le moins de stress possible.
Mais ce congé serait aussi bénéfique pour les employeurs, estime Mme Wasserfallen. Ceux-ci bénéficieraient ainsi d'une meilleure sécurité en matière de planification et verraient diminuer leurs risques financiers. Les incapacités de travail leur occasionnent des problèmes de personnel.
CF: non
Le Conseil fédéral n'en veut pas. Les interruptions de travail dues à la grossesse sont déjà suffisamment couvertes. Environ trois-quart des femmes concernées touchent 100% de leur salaire, tandis qu'avec la modification proposée, elles ne toucheraient plus que 80%, a précisé le ministre de la santé Alain Berset.
L'instauration d'un congé prénatal de trois semaines occasionnerait en outre des coûts supplémentaires pour le régime des APG de près de 250 millions de francs d'ici 2030, avec la nécessité de relever le taux de cotisation. La cotisation maximale de 0,5% prévue par la loi est déjà atteinte.
Ce congé serait en premier lieu utile pour les employeurs, estime au final le gouvernement. Il permettrait une meilleure planification ou une diminution des risques financiers pour l'entreprise, étant donné que le congé entraînerait la suppression de l'obligation de continuer à verser le salaire.
La grande majorité des mères interrogées serait favorable à l'instauration d'un congé prénatal pour des raisons organisationnelles principalement et non pas pour des motifs financiers. Elles préfèreraient toutefois utiliser les semaines supplémentaires qui leur seraient octroyées après l'accouchement et non pas de manière anticipée.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Une solide année boursière grâce à la tech et en dépit de Trump
L'année 2025 qui s'achève se présente sous de bons auspices pour la Bourse suisse, qui a affiché une solide progression dans un contexte d'envolée du secteur de la tech et de l'intelligence artificielle (IA), en dépit de la guerre commerciale américaine.
Mardi midi, dernier jour de cotation avant les fêtes de Noël, le SMI affichait une progression de 13,9% depuis début janvier, se payant même le luxe d'atteindre un plus haut annuel à 13'216 points. L'indice vedette de la place zurichoise faisant mieux son homologue français CAC 40 (+9,8%) et dépassait de peu le prestigieux indice Dow Jones (+13,7%) de Wall Street.
La partie était cependant loin d'être gagnée pour le Swiss Market Index, qui rassemble les 20 plus grandes capitalisations de la place zurichoise. Après avoir atteint début mars un plus haut historique à 13'199,05 points, l'indice a brutalement chuté mi-avril à 10'699,66 points sous les coups de boutoir du président américain Donald Trump et de son "Liberation day".
Le SMI s'est néanmoins rapidement repris pour reprendre progressivement le terrain perdu, franchissant à la hausse début décembre la barre des 13'000 points.
La Bourse helvétique a profité du moral positif des investisseurs et de l'entrain des autres places mondiales. Les droits de douane américains ont certes provoqué une onde de choc, mais le marché actions a rapidement rebondi, la plupart des sociétés cotées n'étant pas directement affectées par ces surtaxes de 39%, depuis ramenées à 15%.
Les autres principaux indices de la Bourse suisse SIX ont également bénéficié de l'intérêt des participants, le Swiss Leader Index (SLI) gagnant 11,5% et le Swiss Performance Index (SPI) 17,3%.
Perles et cailloux
Dans le détail, les grandes capitalisations Holcim (+68,5%), Galderma (+62,2%) et Sandoz (+56,1%) affichent à ce jour les meilleures performances, alors que Sonova (-30,1%), Sika (-24,4%) et Partners Group (-19,9%) ont été pénalisés par les investisseurs.
Sur l'indice global SPI, le laboratoire Idorsia sort du lot (+448%), tout comme le leader suisse de la construction Implenia (+142%) et le producteur de composants électroniques Cicor (+106%). Les investisseurs ont par contre boudé le titre du constructeur de métiers à tisser Rieter (-68%).
De nombreux titres ont affiché des résultats médiocres cette année, les investisseurs préférant se concentrer sur les placements dans l'IA et les valeurs technologiques. L'expert de Helvetische Bank, Remo Rosenau, a ainsi évoqué une performance inférieure à la moyenne des titres Nestlé, Sika, Straumann, Partners Group et Givaudan, "alors que la plupart de ces sociétés ont publié des résultats solide, voire bons".
John Plassard, responsable de la stratégie d'investissement à Cité Gestion, se veut également prudent. "Les tensions commerciales et géopolitiques ne sont plus des accidents conjoncturels, mais bien la toile de fond d'un nouvel ordre économique". Pour l'associé de la banque genevoise, "la difficulté n'est plus seulement de prévoir la prochaine décision d'une banque centrale, mais d'anticiper l'imbrication de multiples chocs simultanés" qui provoquent volatilité et dispersion des performances.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Suisse
Le Père Noël file à vitesse supersonique à travers la Suisse
Le Père Noël sous pression: pour visiter tous les enfants de Suisse la veille de Noël, il doit livrer des cadeaux à 68 enfants chaque seconde.
Selon les données de l’Office fédéral de la statistique, 976’103 enfants âgés de moins de dix ans vivent en Suisse. Beaucoup attendent bien sûr le grand moment le 24 décembre: les clochettes sonnent, les portes s’ouvrent, les cadeaux sont là.
Heureusement, le moment de la remise des cadeaux n’est pas le même dans toutes les familles - sur une période d’environ quatre heures -, le Père Noël devra probablement livrer tous ces innombrables présents.
Pour cela, il devrait apporter des cadeaux à 68 enfants chaque seconde, selon les calculs de Keystone-ATS. Pas étonnant qu’on ne l’ait jamais vraiment vu – à une telle vitesse, impossible de poser pour des photos. Mais à quelle vitesse doit-il vraiment se déplacer ?
À vitesse supersonique
Pour le savoir, il faudrait connaître le nombre de kilomètres parcourus par le Père Noël. En réalité, il vole probablement en ligne droite de maison en maison. Comme on ne sait pas exactement combien d’enfants vivent à quel endroit, on peut faire une approximation, en se référant au réseau routier suisse - et ses 85’151 kilomètres. Ce dernier couvre le pays de manière dense, relie pratiquement toutes les zones habitées et constitue ainsi un indicateur réaliste des distances que le Père Noël devrait parcourir s’il allait de porte en porte.
En calculant cette distance sur la fenêtre de quatre heures disponible, on obtient une vitesse de déplacement d’environ 21’290 kilomètres par heure. Le Père Noël voyage ainsi environ 23 fois plus vite qu’un avion de ligne moderne et presque 17 fois plus vite que le son.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Pour le patron de Bell, les substituts de viande restent marginaux
La phase de forte croissance des substituts de viande est terminée, affirme le directeur de Bell Suisse, Marco Tschanz. Le chiffre d'affaires de l'assortiment de substituts de viande de Bell Food Group n'augmente plus que de 0 à 1% par an, note-t-il.
Ces produits ont connu un boom pendant le Covid-19, mais le soufflé est retombé, remarque M. Tschanz dans un entretien diffusé mercredi par la Neue Zürcher Zeitung. Ils sont "restés jusqu'à présent un produit de niche", notamment en raison de leur goût, qui n'est pas comparable à celui de la viande, ajoute-t-il. Et il s'agit souvent de "produits hautement transformés avec de nombreux additifs", relève-t-il encore.
Bell entend continuer à miser sur la viande conventionnelle. La consommation par habitant en Suisse est stable depuis de nombreuses années, explique le patron du groupe. Mais la consommation de viande de poulet, en particulier, a nettement augmenté ces derniers temps, ajoute-t-il.
Le fabricant de viande mise également sur la viande produite en laboratoire. En 2018, l'entreprise a pris une participation dans la start-up néerlandaise Mosa Meat. "Si une technique permettant de produire de la viande sans abattre ni découper un animal voit le jour, nous devons en être", déclare M. Tschanz.
Mais, précise-t-il, il faudra encore du temps avant qu'un produit à base de viande de culture n'atteigne le marché de masse. Le processus d'autorisation est "très coûteux et fortement réglementé", explique le responsable. Dans l'Union européenne (UE), les procédures d'examen durent deux à trois ans, puis la politique doit décider. "Cela va donc encore durer au moins cinq ans".
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Hockey
National League: Fribourg battu à Kloten, Ajoie gagne à Ambri
Fribourg Gottéron a vu sa belle série en National League prendre brutalement fin. Les Dragons se sont crashés dans la banlieue zurichoise, s'inclinant 4-3 contre Kloten.
Face à l'avant-dernier du classement, les Fribourgeois semblaient pourtant avoir les moyens de fêter un sixième succès consécutif. Mais il n'en a rien été. Leur entame de la partie a été catastrophique: Gottéron a encaissé trois buts - Profico (7e), Derungs (10e) et Diem (13e) - en un peu plus de six minutes, dont un à cinq contre quatre!
Les joueurs de Roger Rönnberg ne se sont jamais remis de ce départ raté malgré un sursaut en fin de rencontre. Mais le 4-3 signé De la Rose à 36 secondes de la fin a été trop tardif pour que les visiteurs évitent la défaite.
Ajoie s'impose
Pour sa part, la lanterne rouge Ajoie a fêté un joli succès 5-2 sur la glace d'Ambri-Piotta. Pedretti (5e), Sopa (13e), Honka (38e), Hazen (47e) et Turkulainen (52e) ont marqué pour les Jurassiens. Ils ont ainsi bien terminé leur périple tessinois, 24 heures après un net revers à Lugano. Les bianconeri ont eux enchaîné en allant gagner 4-2 à Langnau après avoir été menés 1-0 puis 2-1.
Bienne a confirmé ses difficultés récurrentes loin de sa glace. Les Seelandais ont perdu 4-2 dans l'antre des Zurich Lions. Alors qu'il y avait 1-1, un doublé de Grant (43e/50e), les deux fois en power-play, a fait la différence.
Comme ses dauphins fribourgeois et lausannois, le leader Davos a aussi perdu mardi soir. Les Grisons se sont inclinés 3-2 tab à Zoug. Ils passeront néanmoins Noël bien installés en tête avec 10 points d'avance sur Fribourg et 12 sur le LHC.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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