Économie
La Suisse reste numéro un mondial dans la gestion de fortune
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La Suisse conserve sa première place mondiale dans la gestion de fortune malgré le ralentissement de la croissance des actifs gérés, selon l'étude Deloitte International wealth management centre ranking (IWMCR) publiée jeudi.
"Les plus grands centres de gestion de fortune mondiaux semblent avoir tiré leur épingle du jeu pendant la pandémie de Covid-19", constate le cabinet de conseil et d'audit.
La Suisse a enregistré en 2020 une croissance de 7,3% des actifs sous gestion à 2624 milliards de dollars, devançant ainsi le Royaume-Uni et les Etats-Unis. La progression helvétique est cependant inférieure à celle du secteur qui a en moyenne avancé de 10,6%, un taux supérieure à celui dégagé sur les quatre dernières années (4,8%).
Le Luxembourg, les Etats-Unis et le Royaume-Uni ont observé les hausses les plus marquées et la Suisse s'est inscrit à la sixième place sur ce niveau, précise l'étude.
"L'écart avec le Royaume-Uni et les Etats-Unis se resserre. Néanmoins les gestionnaires de fortune suisses restent incontestablement les leaders mondiaux en terme de compétitivité", estime Deloitte qui affirme que ce positionnement offre aux gestionnaires les outils nécessaires pour prendre part à la transition numérique.
Le processus de consolidation à venir dans la branche devrait en outre intensifier la concurrence. "La pression règlementaire et la nécessité d'investir dans la numérisation impliquent des coûts plus élevés pouvant être difficiles à supporter pour les petites banques privées et les gestionnaires de fortune indépendants", relève Jean-François Lagassé, responsable de la division Gestion de fortune au niveau mondial chez Deloitte.
En termes de compétitivité, la Suisse, qui reste premier de classe, a cependant deux faiblesses: un marché intérieur réduit et une rentabilité relative plus faible des prestataires de services de gestions de fortune, pointe du doigt l'étude. La suspension des négociations entre la Suisse et l'UE sur l'accord-cadre affaiblit aussi le secteur financier.
Deloitte met en exergue que les gérants de fortune devraient notamment introduire de nouveaux espaces numériques avec les clients et améliorer leurs produits pour permettre à la clientèle d'accéder plus facilement aux marchés privés, aux crypto-monnaies et aux actifs tokénisés.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
L'Argentine annonce un accord pour un prêt du FMI de 20 milliards
L'Argentine a conclu un accord avec le Fonds monétaire international (FMI) pour un prêt de 20 milliards de dollars qui permettra la fin dès lundi du contrôle des changes en vigueur depuis 2019 dans le pays, a annoncé vendredi le ministre de l'Economie Luis Caputo.
"Nous sommes parvenus à un nouvel accord avec le Fonds monétaire international", qui permettra "de recapitaliser la Banque centrale pour une monnaie plus saine", a annoncé le ministre à la presse. Le peso argentin sera autorisé à flotter dans une bande d'entre 1000 et 1400 pesos pour un dollar, et la limite d'accès à 200 dollars par mois sera levée pour les Argentins, a annoncé simultanément la Banque centrale dans un communiqué.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
La BCE prête à agir si une guerre commerciale menace la stabilité
La Banque centrale européenne est "prête à intervenir" en cas de risque pour la stabilité financière en zone euro, a déclaré vendredi sa présidente, après une semaine de tempête sur les marchés financiers provoquée par la guerre commerciale déclenchée par Donal Trump.
L'institution monétaire "surveille la situation et est toujours prête à intervenir" en utilisant "les instruments dont elle dispose", a déclaré Christine Lagarde à Varsovie en marge d'une réunion informelle des ministres des Finances de la zone euro, sans donner plus de détails.
Ses propos interviennent à moins d'une semaine de la prochaine réunion de la BCE pour décider du cap monétaire, tandis que la plupart des marchés boursiers baissaient vendredi, avec un dollar qui ne cesse de s'enfoncer face à l'euro.
En cause, l'annonce de Pékin d'une nouvelle hausse de ses droits de douane sur les produits venant des Etats-Unis, illustrant l'escalade entre les deux puissances.
Des tensions commerciales supplémentaires pourraient entraîner de fortes turbulences sur les marchés où se négocient les actions, obligations et autres devises, avec le risque de déstabiliser le système financier de la zone euro.
Arsenal face aux crises
"Jusqu'à présent, nous ne voyons aucun signe de tension de liquidité sur les marchés", a tempéré Claudia Buch, présidente du superviseur bancaire au sein de la BCE, dans une interview donnée vendredi à Bloomberg.
La BCE redoute, de son côté, qu'une guerre commerciale freine les exportations et la croissance, l'obligeant à ajuster sa politique monétaire pour soutenir l'économie.
Des marchés volatils peuvent aussi nuire à l'efficacité des décisions de politique monétaire, par exemple si le taux bas ne se répercuterait pas correctement sur les prêts aux entreprises ou aux ménages.
Durant ses vingt premières années d'existence, la BCE a déjà dû déployer un arsenal de mesures pour calmer plusieurs crises.
Entre 2010 et 2012, plusieurs pays de la zone euro (Grèce, Portugal, Espagne, Italie) faisaient face à des taux d'intérêt très élevés sur leurs dettes, menaçant la stabilité de la zone euro.
En 2012, Mario Draghi, président de la BCE, prononçait son célèbre "Whatever it takes" (Quoi qu'il en coûte) pour sauver l'euro, via des rachats potentiellement illimités de dette, finalement jamais utilisés.
Lors de l'éclatement de la pandémie du Covid-19, l'institut a lancé un programme d'urgence (PEPP pour Pandemic Emergency Purchase Program) consistant en 1850 milliards d'euros de rachats de dette, pour soutenir Etats et entreprises.
Et face à la hausse rapide des taux d'intérêt et des tensions sur les dettes dans le contexte d'inflation record liée à la guerre en Ukraine, la BCE a créé un nouvel outil pour intervenir si des écarts de taux d'intérêt entre pays deviennent trop importants.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
Fribourg: étape majeure pour la couverture de l'autoroute A12
Le projet de couverture de l’autoroute A12 dans le secteur Chamblioux-Bertigny, dans le contournement de Fribourg, franchit une étape majeure. Des experts préconisent notamment le développement d’un pôle santé autour du site de l’actuel hôpital cantonal.
La création d’une zone d’activité d’importance cantonale à proximité de la jonction autoroutière et le long de l’autoroute est également proposée. Les deux propositions émanent du rapport final d'un collège d’experts relatif au pôle santé et activités (PSA) et présenté vendredi par le Conseil d'Etat.
Le document inclut une vision urbanistique d’ensemble pour un "secteur stratégique" du canton. Il prévoit un nouvel hôpital de soins aigus, un campus de formation, un potentiel d’espace destiné à des logements dédiés notamment au personnel des soins et aux personnes avec besoins de soins et une zone d’activités économiques.
Il s'agit de quatre fonctionnalités indépendantes mais interconnectées. La réalisation du projet implique un coût de l'ordre de 200 millions.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Des salariés français de Tetra Pak manifestent à Pully (VD)
Le conflit social autour de la possible fermeture de l'usine française Tetra Pak de Longvic, près de Dijon, s'est délocalisé vendredi en terre vaudoise. Quelque 150 employés ont manifesté entre Lausanne et Pully, siège de la multinationale helvético-suédoise.
Le géant de l'emballage a annoncé en janvier son intention de fermer cette usine, fondée en 1971. Justifié par une baisse des volumes de production et une hausse des coûts, le projet de fermeture, s'il se confirme, laisserait 207 salariés sur le carreau.
Le déplacement de vendredi a été initié par plusieurs syndicats français, en collaboration avec leurs homologues suisses d'Unia. Trois cars ont notamment relié Dijon à Lausanne, où employés et syndicalistes ont défilé le long des quais à Ouchy pour rejoindre Pully.
Plusieurs personnes ont ensuite pris la parole devant le siège international de Tetra Pak. Ils ont dénoncé "une décision purement financière" d'une "société prospère", un "projet managérial qui ne répond à aucune nécessité économique."
Depuis l'annonce de la possible fermeture, plusieurs manifestations ont déjà été organisées en Bourgogne. Celle de Pully-Lausanne ne constitue "qu'une étape" avant d'autres rassemblements, les salariés n'allant "pas abdiquer le combat", a affirmé l'un de leurs représentants.
A noter qu'une délégation de manifestants devait être reçue à l'intérieur du siège. Les autres sont demeurés à l'extérieur, sans causer de débordements. Afin de respecter la "culture" syndicale suisse, les participants ont été priés de ne pas sortir leurs pétards et fumigènes et de "les garder pour une prochaine manifestation en France."
Le souvenir de Romont
Interrogé par Keystone-ATS, Arnaud Bouverat, secrétaire régional d'Unia Vaud, a expliqué que ce sont les syndicats français qui ont demandé à Unia d'organiser cette manifestation. S'il arrive que des délégations syndicales de plusieurs pays se retrouvent en Suisse devant le siège d'une multinationale, il est rare qu'autant de salariés impactés par une restructuration traversent la frontière, a-t-il ajouté.
Il a aussi rappelé qu'Unia avait lui-même lutté contre Tetra Pak lors de la fermeture de l'usine de Romont en 2015, laquelle s'était soldée par le licenciement d'environ 120 personnes.
Tetra Pak emploie près de 25'000 employés dans le monde entier, notamment dans une cinquantaine d'usines.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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