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Économie

La Poste augmente sa masse salariale de 1,7%

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Les mesures salariales doivent bénéficier plus particulièrement aux collaborateurs "qui se situent en bas de la fourchette salariale", selon les partenaire sociaux (image d'illustration). (© KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

Les employés de La Poste auront droit à une augmentation de salaire de 1,7%. Le géant jaune et les syndicats transfair et syndicom ont trouvé un accord qui favorise notamment le pouvoir d'achat des collaborateurs aux revenus les plus bas, indiquent-ils mardi.

Cette mesure entrera en vigueur avec effet rétroactif au 1er avril 2024. L'accord prévoit aussi d'augmenter le salaire minimum à environ 4100 francs par mois. Ces mesures concernent les 25'500 employés de La Poste et les 2800 employés de PostFinance soumis aux conventions collectives de travail (CCT) des deux entreprises.

Le résultat des négociations tient compte de la situation économique de la Poste et de PostFinance ainsi que de l'évolution du coût de la vie et des salaires moyens dans la branche, précise le communiqué.

Cette année, 1,7% de la masse salariale sera disponible pour des mesures salariales générales et individuelles, ajoute le texte. Les limites supérieure et inférieure des fourchettes salariales de la CCT sont relevées de 1,7%, souligne la Poste dans son communiqué.

Les négociations salariales se poursuivent de manière séparée pour le personnel soumis aux CCT chez Poste Immobilier, PostLogistics, notime et CarPostal. Parallèlement, les partenaires sociaux continuent leurs discussions sur de nouvelles CCT pour La Poste et Postfinance.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

L'aéroport de Milan prend le nom de Silvio Berlusconi

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l'aéroport de Milan Malpensa est désormais baptisé Aéroport international Milan Malpensa- Silvio Berlusconi. (© KEYSTONE/AP/GREGORIO BORGIA)

Le principal aéroport de Milan porte désormais le nom du controversé ex-Premier ministre et milliardaire Silvio Berlusconi, décédé en 2023, a annoncé jeudi le ministère italien des Transports.

L'aéroport de Milan-Malpensa, deuxième aéroport italien le plus fréquenté après celui de Fiumicino-Léonard de Vinci à Rome, s'appelle désormais officiellement "Aéroport international Milan Malpensa - Silvio Berlusconi". Malpensa a accueilli en 2023 quelque 25,9 millions de passagers.

Matteo Salvini, vice-Premier ministre également en charge du portefeuille des Transports dans le gouvernement de Giorgia Meloni, avait annoncé cette décision surprise vendredi en faveur de son "ami Silvio, grand entrepreneur, grand Milanais et grand Italien".

M. Salvini, lui-même originaire de Milan et chef de la Ligue souverainiste, a exprimé jeudi sa "grande satisfaction".

Le maire de gauche de la métropole lombarde, Giuseppe Sala, avait reproché mardi à M. Salvini d'avoir pris cette décision en solitaire. "C'est une décision importante, pourquoi n'en a-t-il pas discuté avec Sea (la société de gestion des aéroports de Milan, où est représentée la municipalité, NDLR)?", s'était insurgé l'édile.

Valeurs

Au-delà du mode de prise de décision, c'est la personnalité clivante de Berlusconi, décédé en 2023 à 86 ans, qui fait débat, même si ses liens avec Milan sont indiscutables: c'est là qu'il a bâti son immense fortune et présidé pendant 31 ans le club de football de l'AC Milan, qui a remporté cinq fois la Ligue des champions sous son ère.

Aussi célèbre pour ses manoeuvres politiques que pour ses démêlés judiciaires et frasques sexuelles, cet amateur assumé de femmes beaucoup plus jeunes que lui, y compris des call-girls, a été impliqué dans une myriade de procès liés à des réceptions controversées.

Le Parti démocrate (PD, gauche), principal parti d'opposition, avait lancé une récolte de noms alternatifs, arguant que "la biographie de Berlusconi ne représente pas ceux qui comme nous combattent les valeurs que cette période a représentées". Mais Berlusconi aura eu le dernier mot.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Économie

L'inflation continue de ralentir en juin aux Etats-Unis à 3%

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Les prévisions des analystes tablaient plutôt sur une légère hausse de 0,1% de l'inflation sur un mois, et 3,1% sur un an (archives). (© KEYSTONE/EPA/JIM LO SCALZO)

L'inflation aux Etats-Unis a continué à ralentir au mois de juin à 3,0% sur un an contre 3,3% le mois précédant, les prix connaissant même un léger recul sur un mois, à revers des attentes du marché, selon l'indice CPI publié jeudi.

Selon les données du département du Travail, les prix sur un mois ont reculé de 0,1%, alors qu'ils étaient encore en légère croissance en mai.

Les prévisions des analystes tablaient plutôt sur une légère hausse de 0,1% sur un mois, et 3,1% sur un an, selon le consensus publié par MarketWatch.

En excluant les prix de l'énergie et de l'alimentation, par nature plus volatiles, l'inflation dite sous-jacente est en légère hausse sur un mois, à 0,1%, mais il s'agit de la plus faible enregistrée depuis août 2021.

C'est, là encore, mieux que les attentes des marchés, qui étaient plutôt sur l'idée d'une hausse de 0,2%, toujours selon MarketWatch.

La baisse concerne en premier lieu les prix de l'énergie, qui ont reculé sur un mois de 2%, et tout particulièrement l'essence, en repli de 3,8%, après une baisse de 3,6% en mai.

Il s'agit du deuxième mois de baisse, alors qu'en avril l'inflation était repartie à la hausse, et également un des signes longtemps attendus par les marchés que l'inflation a repris sa marche vers la cible de 2%, visée par la Réserve fédérale (Fed).

L'indice CPI est important pour le pouvoir d'achat des Américains car c'est celui sur lequel les retraites sont indexées mais la Fed privilégie un autre indice, le PCE, pour mener sa politique monétaire et qui sera publié le 26 juillet.

"Les mesures privilégiées par la Fed sont encore plus proches de la cible de 2% actuellement. Ces données augmentent la confiance au sein de la Fed que l'inflation revient vers les 2% à un rythme régulier", a déclaré dans une note la cheffe économiste de HFE, Rubeela Farooqi dans une note.

La Fed a refusé jusqu'ici d'abaisser ses taux, estimant qu'elle manquait de données soulignant de manière suffisante que l'inflation était bien orientée vers un retour durable vers sa cible de 2%.

L'inflation aux Etats-Unis avait connu un pic dans la foulée de la réouverture de l'économie mondiale, après la pandémie de Covid-19, atteignant jusqu'à 9,5% en rythme annuel en juin 2022.

Dans la foulée, la Fed avait remonté résolument ses taux, jusqu'à les amener à une fourchette comprise entre 5,25% et 5,50%, à leur niveau le plus élevé depuis le début du siècle.

L'inflation a depuis connu un fort ralentissement, retombant autour de 2,6% en moyenne ces derniers mois, selon l'indice PCE, mais après une baisse rapide durant la seconde moitié de 2023, elle a eu tendance à se stabiliser entre 2,5% et 3% depuis le début de l'année.

La prochaine réunion de la Fed est prévue les 30 et 31 juillet mais la première baisse des taux ne devrait intervenir qu'à la suivante, lors de la réunion de mi-septembre, la dernière avant la tenue des élections présidentielles, le 5 novembre.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Économie

Evolution contrastée des prix sur le marché immobilier suisse

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Les prix des logements en propriété ont augmenté de 4,5% au cours des douze derniers mois (archives). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Le marché immobilier suisse a connu des évolutions contrastées au deuxième trimestre 2024. Les prix des logements en propriété ont progressé, tandis que ceux des immeubles de rendement sont restés pratiquement inchangés.

C'est ce qui ressort d'une statistique diffusée jeudi par Cifi. "Si une accalmie semblait encore se dessiner dans le segment des logements en propriété en début d'année, elle n'est absolument plus perceptible à la fin du deuxième trimestre", écrit le cabinet de conseil immobilier en publiant son indice Private Real Estate Price. Les prix des transactions effectives sur le marché ont augmenté de 1,1% entre début avril et fin juin, ce qui a entraîné une "hausse considérable" des valeurs des logements en propriété de 4,5% au cours de douze derniers mois.

La hausse de prix concerne tant les villas (+1,2%) que les appartements en PPE (+1,1%). Ces derniers connaissent cependant une augmentation plus marquée sur le long terme. Et sur le plan géographique, les progressions les plus fortes concernant la Suisse centrales et les régions touristiques comme les Alpes.

Et en dépit de ces prix élevés, le marché ne montre aucun signe de fléchissement, en raison d'une pénurie constante de l'offre doublée d'un environnement de taux d'intérêts favorables soutenu par les récentes baisses des taux directeurs par la Banque nationale suisse (BNS). La BNS pourrait même procéder à une nouvelle baisse à l'automne. Le coût des hypothèques à taux fixe a lui aussi baissé.

Le tableau est tout différent sur le marché des immeubles de rendement, où les prix ont stagné (+0,2%) et ce pour le deuxième trimestre consécutif. Appréhendés sur les douze derniers mois, ils ont progressé de 1,8%. La tendance devrait cependant prochainement s'inverser, estime Cifi.

La fin des taux négatifs en juin 2022 laissait en effet attendre une accalmie, du moins temporaire, sur le marché immobilier, favorisant d'autres classes d'actifs. Mais cette pause ne devrait être que de courte durée, prévoit le cabinet de conseil, étant donné le besoin toujours important en main d'oeuvre des entreprises locales et l'évolution démographique soutenue. La demande de logements et de surfaces commerciales ou de bureau demeure ainsi particulièrement forte, se répercutant sur les prix des nouveaux loyers qui tendent à augmenter.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Économie

Le Royaume-Uni retrouve la croissance en mai

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Le nouveau gouvernement travailliste a déclaré avoir pour "mission nationale" d'assurer la croissance au Royaume-Uni. (archive) (© KEYSTONE/EPA/TOLGA AKMEN)

Après avoir stagné en avril, l'économie du Royaume-Uni a renoué avec la croissance en mai, une nouvelle bienvenue pour le nouveau gouvernement travailliste qui a fait de la relance de la croissance l'une de ses priorités.

Le produit intérieur brut (PIB) a "progressé de 0,4% en mai", a indiqué jeudi l'Office national des statistiques (ONS) dans son rapport mensuel. La hausse est plus marquée que les prévisions des économistes, qui tablaient généralement sur une progression de 0,2%.

"L'économie a fortement progressé en mai" alors que "de nombreux détaillants et grossistes ont (...) rebondi après un mois d'avril médiocre", a relevé sur le réseau social X Liz McKeown, directrice des statistiques économiques de l'ONS, ajoutant que le secteur de la construction a quant à lui "connu sa croissance la plus rapide en près d'un an".

"Assurer la croissance économique est notre mission nationale, et nous n'avons pas une minute à perdre", a réagi dans un communiqué la ministre des Finances Rachel Reeves, membre du nouveau gouvernement travailliste de Keir Starmer, arrivé au pouvoir la semaine dernière.

Mme Reeves a notamment assuré ces derniers jours que le pays doit se remettre à construire et a annoncé la création prochaine d'un "fonds souverain national", qui sera abondé de 7,3 milliards de livres (8,6 milliards d'euros) sur cinq ans, pour doper l'investissement dans le pays.

Le parti travailliste a remporté largement il y a une semaine les élections législatives au Royaume-Uni, après 14 années de gouvernements conservateurs.

Mais avec des finances publiques extrêmement serrées et notamment une dette publique qui flirte depuis plusieurs mois avec les 100% du PIB, la marge de manoeuvre budgétaire du nouveau gouvernement est étroite pour apporter le changement promis.

Météo humide

"L'amélioration des perspectives économiques suggère que le gouvernement pourrait bénéficier d'une reprise économique plus forte que ne le prévoient la plupart" des économistes, selon Ashley Webb, analyste chez Capital Economics.

Le PIB avait été plombé au mois d'avril par une météo inhabituellement humide qui avait pénalisé les secteurs de la construction et de la vente de détail (notamment en dissuadant nombre de clients de se rendre en magasins).

L'indice PMI Flash publié le mois dernier par S&P Global, indicateur avancé de croissance, a quant à lui montré que l'activité du secteur privé a ralenti en juin, alors que de nombreuses entreprises ont mis "entre parenthèses leur prise de décision en attendant" d'en savoir davantage sur les politiques du nouveau gouvernement.

Mais le Royaume-Uni était sorti au premier trimestre de la récession dans laquelle il était tombé fin 2023 et avait vu son activité économique repartir plus vite que prévu en début d'année.

Le PIB du Royaume-Uni a ainsi progressé de 0,7% entre janvier et mars, selon un chiffre révisé à la hausse fin juin.

Cet indicateur avait reculé de 0,3% au quatrième trimestre 2023, après avoir baissé de 0,1% au troisième. Or deux trimestres de contraction économique d'affilée sont généralement considérés par les économistes comme la définition d'une récession dite "technique".

La relance de l'économie bénéficie notamment de la baisse de l'inflation au Royaume-Uni, qui a ralenti à 2% sur un an en mai, après avoir grimpé jusqu'à plus de 11% fin 2022.

Mais si cela "a donné un coup de pouce à la confiance des consommateurs" qui par leurs achats dopent la croissance de l'économie, "tout indique que les factures d'énergie de l'hiver prendront une plus grande part des budgets des ménages", a prévenu Danni Hewson, analyste chez AJ Bell.

Et une croissance plus forte que prévu pourrait aussi contribuer à ce que la Banque d'Angleterre réduise moins vite son taux directeur, actuellement plus haut niveau depuis 2008, pesant sur les particuliers comme sur les entreprises en tirant vers le haut les coûts du crédit.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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