Suisse
La loi sur les denrées alimentaires doit mieux protéger la santé des consommateurs
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2023/01/lalliance-demande-notamment-une-revision-des-quantites-maximales-autorisees-pour-les-additifs-nitres-principalement-utilises-dans-la-fabrication-de-produits-carnes-saumures-saucisses-jambon-charc-1000x600.jpg&description=La loi sur les denrées alimentaires doit mieux protéger la santé des consommateurs', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
La santé de la population, notamment celle des enfants, doit être mieux protégée dans la loi sur les denrées alimentaires, actuellement en révision. C'est l'avis des alliances de consommateurs des trois régions linguistiques.
La Fédération romande des consommateurs (FRC) et ses pendants alémaniques de Konsumentenschutz et tessinois de ACSI ont participé au projet de révision de 23 ordonnances relatives à la loi sur les denrées alimentaires, actuellement en consultation, indiquent-elles mardi.
Si ce projet propose des améliorations en termes de transparence et d'information, des corrections sont encore nécessaires pour protéger la santé des consommateurs, considèrent-elles.
Allergènes et produits ultra transformés
Ainsi, le projet prévoit des allégements en matière de déclaration des allergènes. L'Alliance demande que des solutions soient trouvées pour que les personnes souffrant d'allergies soient correctement informées et, s'agissant des produits de boulangerie, puissent profiter aussi du pain le moins cher lorsque c'est possible.
La FRC constate par ailleurs qu'un nombre conséquent d'enzymes élaborés à l'aide de microorganismes génétiquement modifiés sont désormais autorisés pour la fabrication du pain. Elle déplore que ce produit "naturel" puisse contenir autant de substances qui ne sont en plus pas indiquées dans la liste des ingrédients.
Elaborés de cette manière, ces pains deviennent ainsi des aliments ultra transformés et cette information échappe totalement au consommateur au moment de l'achat, note-t-elle.
En outre, si la FRC est satisfaite de la mise en place de critères quant aux mentions sur le chocolat permettant d'éviter des allégations trompeuses, elle demande une adaptation concernant l'ajout de substances aromatisantes dans les fromages. Cela afin de garantir des produits les plus naturels qui soient.
Produits destinés aux sportifs
L'Alliance salue la proposition d'extension de certaines déclarations aux articles destinés aux sportifs, mais déplore le fait que l'indication des valeurs nutritionnelles ne soit plus obligatoire.
Ces produits sont en effet achetés en quantités importantes par d'autres consommateurs, et il est essentiel que les valeurs nutritionnelles leur soient connues.
L'Alliance s'oppose également à la proposition de suppression des valeurs maximales de différents contaminants. Le principe de précaution n'est à son avis pas suffisamment pris en compte dans les cas de l'arsenic, du plomb, du cadmium et des substances indésirables qui peuvent se former lors de la production d'huiles et de graisses végétales.
Additifs cancérogènes dans la viande
L'Alliance demande aussi une révision des quantités maximales autorisées pour les additifs nitrés. Principalement utilisés dans la fabrication de produits carnés saumurés (saucisses, jambon, charcuterie, etc.), ceux-ci ont en effet un caractère génotoxique et cancérogène.
Chez certains enfants et adolescents, l'exposition aux nitrites notamment par les produits carnés dépassent la dose journalière admissible, souligne l'Alliance.
Points positifs
Parmi les points positifs, les associations de consommateurs saluent l'introduction de l'indication obligatoire de la teneur des apports en sucre et acides gras saturés. Cela d'autant que le sucre est désormais ajouté en quantité significative dans de très nombreux produits transformés.
L'obligation de déclaration du pays de fabrication des produits de boulangerie est aussi saluée, afin de distinguer les produits suisses des importés, généralement meilleur marché mais souvent acheminés sous forme congelée et/ou précuite. Les clients n'en sont pas forcément conscients. La déclaration proposée est aussi pertinente pour la branche des boulangers suisses.
Autre bon point, l'introduction d'une mesure contre le gaspillage alimentaire. Les produits de boulangerie sont parmi les premiers concernés, le pain étant la denrée la plus jetée.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Le bitcoin perd des plumes après une année 2025 difficile
Le bitcoin, principale cryptomonnaie, va finir une année 2025 mouvementée en repli après avoir tutoyé des sommets, rattrapé par les réalités politiques et économiques ainsi que les doutes entourant les valorisations dans l'intelligence artificielle.
Mercredi vers midi, le bitcoin progressait de 1,07% à 88'811 dollars. Sur un an, la devise électronique la plus connue a cependant reculé de 5,5%.
L'année a été mouvementée pour la cryptomonnaie. Après avoir démarré à 93'425 dollars début janvier, elle s'est effondrée début avril à 76'273 dollars après le choc du "Liberation day" américain qui avait affecté la plupart des marchés. Le bitcoin s'est par la suite ressaisi, grimpant continuellement jusqu'à atteindre un plus haut historique à 126'198 dollars début octobre. Cette envolée n'a cependant pas duré longtemps, le bitcoin reculant inexorablement jusqu'en fin d'année.
"Les doutes sur la durabilité des mouvements de cours et les incertitudes macroéconomiques ont rattrapé les investisseurs", a estimé Timo Emden. Selon l'analystes du cabinet de recherche éponyme, "les risques d'inflation, les tensions géopolitiques et les incertitudes au niveau de la politique monétaire ont calmé l'euphorie (des investisseurs) et augmenté la volatilité".
L'année 2025 a ainsi "confirmé le caractère spéculatif" du bitcoin, a souligné M. Emden.
Les experts de Trading Economics anticipent quant à eux un rebond de la devise numérique, qui devrait atteindre 98'179 dollars d'ici douze mois.
"Les récentes corrections représentent un cycle naturel et sain", le marché des cryptomonnaies devant "poursuivre une croissance robuste en 2026", a ajouté Ignacio Aguirre Franco de la plateforme Bitget. Selon ce dernier, le bitcoin pourrait grimper jusqu'à 150'000 dollars.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Suisse
Jeunesse et collégialité pour la photo 2026 du Conseil fédéral
La photo officielle 2026 du Conseil fédéral symbolise la collégialité du gouvernement et la confiance accordée à la jeune génération. Elle a été réalisée par quatre étudiants en photographie.
Guy Parmelin voulait pour cette photo une perspective empreinte de fraîcheur, celle de la nouvelle génération, écrit mercredi le Conseil fédéral. Le président de la Confédération a chargé le Centre d’enseignement professionnel de Vevey (CEPV) de réaliser le projet avec des étudiants de la filière de formation en photographie.
Au sein de cette filière, quatre jeunes ont été sélectionnés, chacun d’entre eux disposant de compétences spécifiques qui ont été utiles à l’équipe et au projet. Ils ont été encadrés par des enseignants de la conception jusqu'à la réalisation.
Les sept conseillers fédéraux et le chancelier de la Confédération n'ont pas été photographiés séparément, mais ensemble lors d'un shooting dans le Salon de la présidence. Sur la photo finale - résultat d'une superposition d'images - on peut cependant aussi apercevoir les quatre étudiants.
"Ils rendent ainsi transparent le processus d’élaboration tout en illustrant les différents aspects de leur travail créatif", peut-on lire dans le communiqué.
D'autres jeunes ont été mobilisés pour le projet. Des apprentis de la Chancellerie fédérale et du DEFR ont fait office de figurants durant la phase préparatoire et c’est un apprenti médiamaticien de la Chancellerie qui a réalisé la vidéo donnant un aperçu des coulisses de la production.
La photo officielle du Conseil fédéral a été imprimée à 35'000 exemplaires. Elle peut être téléchargée ou commandée sur le site www.admin.ch, qui propose aussi la vidéo consacrée à sa création.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
La grippe continue de progresser en Suisse
La grippe saisonnière a continué de progresser en Suisse au cours de la semaine écoulée, qui coïncide avec la période des fêtes. Près d'un quart de cas en plus ont été signalés par rapport à la semaine précédente.
La semaine dernière, 31,90 cas confirmés en laboratoire pour 100'000 habitants ont été signalés en Suisse et au Liechtenstein, soit une hausse de 21,8% sur une semaine, indique mercredi l'Office fédéral de la santé publique (OFSP). Cela correspond à environ 2900 cas confirmés.
Les taux d'incidence les plus élevés se trouvent dans les cantons de Bâle-Ville (59,59), Jura (53,45) et Schaffhouse (51,88). A l'inverse, les régions les plus préservées sont Obwald (5,04), Appenzell Rhodes-Intérieures (5,98) et Appenzell Rhodes-Extérieures (12,34).
Une porte-parole des Hôpitaux universitaires genevois (HUG) a signalé à Keystone-ATS un "niveau élevé" de personnes atteintes de grippe "déjà avant les Fêtes", même si le pic n'est pas encore atteint. Elle rappelle que des lits supplémentaires ont été ouverts avant les Fêtes et que les masques sont obligatoires dans les zones de soins depuis le 9 décembre.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
La BNS a racheté des devises pour 75 millions au troisième partiel
Les interventions de la Banque nationale suisse (BNS) sur le marché des changes ont été limitées au troisième partiel 2025. Entre juillet et septembre, la BNS a racheté des devises pour un montant de 75 millions de francs afin de freiner la hausse du cours du franc.
La BNS a publié mercredi les données relatives à ses interventions sur le marché des devises. La publication intervient en fin de trimestre pour le trimestre précédent. Les statistiques ne sont pas commentées.
Dans sa dernière évaluation de la situation économique et monétaire, la BNS a simplement répété qu'elle restait disposée à intervenir sur le marché des changes en cas de nécessité.
Les interventions au troisième trimestre font suite à l'abaissement du taux directeur à 0% en juin, en baisse de 25 points de base. Elles ont également été menées dans le contexte de l'imposition par les Etats-Unis de droits de douane de 39% sur les produits helvétiques importés depuis le 1er août. Ces taxes d'importation n'avaient pas eu d'impact significatif sur le cours dollar/franc.
Lors du trimestre précédent, la BNS s'était montrée plus active sur le marché des changes. Elle avait acheté pour 5 milliards de francs de devises. La retenue avait toutefois prévalu pour les cinq trimestres précédents. Au premier trimestre 2025, il s'agissait de 49 millions, au dernier partiel 2024, de 103 millions. Sur l'ensemble de l'année 2024, les interventions avaient atteint 1,2 milliard seulement.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
-
InternationalIl y a 3 jours
Washington a proposé à Kiev des garanties de sécurité pour 15 ans
-
LausanneIl y a 1 jour
Record de fréquentation pour l'édition 2025 de Bô Noël Lausanne
-
ÉconomieIl y a 2 jours
La Poste distribue plus de 23 millions de colis
-
GenèveIl y a 2 jours
Un spectacle de patinage artistique contemporain aux Bastions
-
InternationalIl y a 2 jours
10 km classique à Dobbiaco: Nadine Fähndrich 17e
-
CultureIl y a 2 jours
Le projet d'un futur centre culturel à Verbier (VS) se dévoile
-
CultureIl y a 1 jour
Restauration ratée d'un tableau du Christ: décès de la peintre
-
ClimatIl y a 3 jours
Espagne: au moins un mort dans des inondations dans le sud


