Suisse
Glencore veut fusionner avec le canadien Teck
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2023/04/a-lissue-de-la-transaction-les-actionnaires-de-glencore-detiendront-76-de-lentite-fusionnee-et-ceux-de-teck-24-archives-1000x600.jpg&description=Glencore veut fusionner avec le canadien Teck', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
Le géant des matières premières Glencore a annoncé son intention de fusionner avec l'entreprise minière canadienne Teck, tout en autonomisant parallèlement les activités réunies dans le charbon et les métaux.
Une proposition en ce sens a été soumise au conseil d'administration de Teck Resources, selon un communiqué publié lundi. Cette opération, si elle aboutit, dégagerait des synergies avant impôts entre 4,25 milliards et 5,25 milliards de dollars.
Cette transaction doit créer l'entité MetalsCo qui reprendra les actifs de Glencore et Teck dans les métaux et minéraux, ainsi que les activités de négoce dans les métaux et l'énergie (hors charbon) de la firme zougoise, les activités de recyclage et de distribution, ainsi que l'investissement dans Viterra. La nouvelle société aurait enregistré l'année dernière, sur une base pro forma, un résultat brut d'exploitation (Ebitda) de 16 milliards de dollars.
La nouvelle société CoalCo comprendra pour sa part les activités dans le charbon des deux groupes, les alliages ferreux de Glencore, ainsi que les activités de négoce dans ces domaines. L'ensemble aurait dégagé en 2022 un Ebitda de 26 milliards de dollars.
Dans le détail, la multinationale de Baar propose un rapport d'échange de 7,78 actions Glencore par titre B de Teck, ce qui représenterait une prime de 22% aux cours de clôture du 31 mars. Glencore offre également d'échanger 12,73 de ses propres actions pour chaque titre A de sa cible, équivalant également à une prime de 22%.
Avec ce ratio d'échange, les actionnaires de Glencore détiendront 76% de l'entité fusionnée et ceux de Teck 24%.
Cette annonce de fusion-désinvestissement doit encore recevoir l'aval du conseil d'administration de Teck, des actionnaires du groupe canadien et de autorités de la concurrence.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Suisse
Les laits végétaux pas nécessairement plus sains que celui animal
Les laits de substitution ne sont pas nécessairement plus sains que celui provenant d'animaux. Or, les labels qui figurent sur les briques de lait végétal prêtent à confusion, selon le Centre de recherche de la Confédération Agroscope.
Le label "sans sucre ajouté" pose particulièrement problème. Les substituts de lait portant cette mention ne présentent pas une teneur en sucre plus faible, indique Agroscope vendredi.
Bien que cette mention ne soit pas synonyme de faible teneur en sucre, elle pourrait induire les consommateurs à penser que ces produits contiennent moins de sucre, écrit le centre dans une étude sur les différents labels affichés sur les briques de lait végétal.
Agroscope estime en outre le nombre de labels trop important. La majorité des produits examinés en arboraient entre trois et six sur leur emballage, indique-t-il. L'étude de marché a été réalisée en ligne à partir de données recueillies dans trois supermarchés suisses.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Un fonds souverain est une "fausse bonne idée", selon la BNS
La Banque nationale suisse (BNS) rejette l'idée d'un fonds souverain en charge de gérer les réserves de devises de l'institut d'émission. Une "fausse bonne idée", pour la présidente du Conseil de banque Barbara Janom Steiner lors de l'assemblée générale jeudi à Berne.
Les partisans d'un tel mécanisme font miroiter de juteux rendements, ce à quoi Mme Janom Steiner a rétorqué que la BNS gère déjà des manière très professionnelle ses devises et figure parmi les banques centrales les plus avancées en la matière. Et qui dit meilleurs rendements, dit également risques plus élevés encourus par la BNS, qui verrait les fluctuations de ses résultats s'accroître encore.
Souvent, les fonds souverains d'autres pays sont désignés comme référence, a noté la responsable. "Or ils ne sauraient être pris comme modèles pour la Suisse, car ils sont financés presque exclusivement par des revenus tirés de matières premières ou issus d'excédents budgétaires", a-t-elle averti.
Mme Barbara Janom Steiner a souligné que les réserves de devises ne représentent pas réellement de l'épargne, puisqu'elles servent la politique monétaire de la BNS. Si la situation venait à l'exiger, la banque centrale helvétique pourrait être amenée à les réduire, ce qui implique un accès "sans restrictions" à ces liquidités. Un fonds souverain placerait les réserves pour générer du rendement et l'argent ne serait ainsi plus disponible immédiatement.
Des marchés encore plus imprévisibles
L'indépendance dont jouit la BNS pour mener sa politique monétaire est garantie par la Constitution fédérale, a souligné la présidente. "Cela implique qu'elle décide librement du montant et de l'affectation des réserves de devises. La priver de l'accès aux réserves de devises serait en soi déjà une atteinte à son indépendance."
La création d'un fonds souverain poserait également un problème au niveau du bilan, puisque les réserves de devises ont pour contrepartie les engagements correspondants. Il faudrait donc bel et bien financer le transfert de ces réserves vers un véhicule d'investissement ou, plus prosaïquement, le propriétaire du fonds devrait racheter ces actifs à la BNS. La Confédération devrait ainsi s'endetter fortement pour réaliser ce projet, a averti Barbara Janom Steiner.
La présidente du Conseil de banque a également mis en garde contre le risque "considérable" de politisation de ce fonds souverain, "ce qui n'est pas de bon augure".
L'autre pression importante que subit la BNS concerne la distribution des excédents à la Confédération et aux cantons. Lorsque la banque centrale décide de ne rien verser, "ce n'est pas par manque de bonne volonté, mais en raison de sa situation financière".
L'institut d'émission continuera de privilégier la constitution de fonds propres, surtout dans le contexte actuel d'incertitudes, a rappelé Mme Janom Steiner. Les bénéfices de la BNS sont fortement liés aux marchés financiers, dont l'imprévisibilité s'est accentuée depuis que les Etats-Unis ont décidé de relever les droits de douane.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Vaud
Marché aux plantons dimanche prochain à Vevey
Des plantons d'espèces rares et anciennes seront mis en vente dimanche à Vevey. Le marché s'accompagnera de diverses animations et stands de 9h15 à 16h00 sur le quai Perdonnet. Cette année, les haricots Vigneronne, les laitues Vénitienne et les tomates Black Plum seront sur le devant de la scène.
La Ville rappelle dans un communiqué qu'elle s'investit dans la conservation des espèces en produisant notamment des plantons pour la fondation ProSpeciaRara. Environ 4000 de ces plantons seront mis en vente lors de ce marché annuel. Les plantons invendus seront ensuite proposés à la vente au sein du magasin libre-service du cimetière.
A noter également que d'autres plantons produits par la Ville de Vevey et labelisés ProSpecieRara seront plantés dans les arrangements floraux communaux. Ils seront distribués gratuitement à la population tout au long de la saison, comme les années précédentes. Les distributions seront annoncées sur les réseaux sociaux de la Ville.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Le Tessino-Neuchâtelois Luca Brunoni écrit désormais en français
Le Tessinois Luca Brunoni continue sa route d'écrivain, même s'il est toujours professeur de droit à la HEG de Neuchâtel. Après le succès de "Les silences" paru en 2023 et traduit de l'italien, il vient de sortir "En surface", son premier roman rédigé directement en français.
"Mon premier jet était en italien. Ma langue maternelle permet à l'écriture de fuser et de donner un rythme et ensuite, lorsque l’histoire est en place, je retravaille le tout en français", a déclaré à Keystone-ATS Luca Brunoni.
Avec "En surface", son premier roman écrit directement en français le 2e publié par Finitude, Luca Brunoni décrit le réveil d'une femme endormie qui vivait en surface et qui se demande si elle doit livrer son fils à la justice. L'intrigue principale se passe autour du lac, non situé par l'auteur, mais qui pourrait correspondre à celui de la Vallée de Joux (VD).
Les traitements, infligés par le passé aux personnes déclassées par la société, hantent les romans du Tessinois. Dans "les silences", la thématique des enfants placés chez des paysans d'un village de montagne était mise en lumière et dans "En surface" est abordée la question des filles mères, dont on donnait les enfants à l'adoption.
Plusieurs solitaires ou marginaux gravitent dans le roman, dont certains logent dans un camping d'une petite station touristique hors saison. Le livre se lit facilement avec des dialogues bien menés, des personnages attachants et une intrigue qui donne envie au lecteur d'avancer dans l'histoire.
En lice pour plusieurs prix
Le roman a eu un bon accueil au Festival du livre de Paris. Il est en lice pour plusieurs prix littéraires.
Les livres de Luca Brunoni s’insèrent dans l’univers du roman noir, même si ce ne sont pas des thrillers et même s'ils ne sont pas forcément très sombres. Avant "En surface", l'écrivain a sorti "Indelebile", écrit en italien, qui évoque la situation de Lugano, au début des années 2000, où il y avait alors de gros problèmes de trafic de drogue.
La version originale de "Les silences", en italien, a gagné le prix Leggimontagna et a connu une certaine notoriété. Il a tapé dans l'oeil de l'écrivain Joseph Incardona, qui a proposé à sa maison d'édition Finitude, basée à Bordeaux (F), de le traduire en français.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
-
SuisseIl y a 3 jours
OMS: licenciements sur fond de réduction des financements US
-
HockeyIl y a 2 jours
Finale des play-off: Lausanne doit gagner trois matches de suite
-
InternationalIl y a 3 jours
La crise existentielle de Nissan exacerbée par les droits de douane
-
InternationalIl y a 2 jours
Afflux de fidèles à Saint-Pierre pour saluer la dépouille du pape
-
InternationalIl y a 3 jours
Musk consacrera moins de temps à l'administration Trump dès mai
-
LausanneIl y a 19 heures
Les enfants peuvent tester leurs mouvements au Musée Olympique
-
InternationalIl y a 3 jours
Kiev prêt à discuter directement avec Moscou mais après une trêve
-
InternationalIl y a 2 jours
Ukraine: Trump attaque à nouveau Zelensky