Suisse
Dominic Stricker perpétue une belle tradition
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Un peu contre toute attente, Dominic Stricker (ATP 96) a perpétué une belle tradition à Bâle : la présence depuis 2006 d’un joueur suisse au rendez-vous des quarts de finale des Swiss Indoors.
Le Bernois a atteint ce stade de la compétition à la faveur de son succès 6-4 3-6 7-6 (7/1) devant Casper Ruud (ATP 8). Il a, ainsi, cueilli la deuxième victoire de sa carrière contre un joueur du top-ten après celle obtenue à l’US Open il y a un mois et demi face à Stefanos Tsitsipas.
Comme le Grec à Fllushing Meadows, le Norvégien a pu mesurer toute la force de frappe du Bernois. Casper Ruud n’a, en effet, fait que subir dans cette rencontre. Le trou d’air étonnant accusé par Dominic Stricker au huitième jeu du deuxième set ne devait lui offrir qu’un sursis. Si un homme méritait de gagner cette rencontre, c’était bien Dominic Stricker.
Le Bernois a toutefois marché sur un fil à l’entame du troisième set. Pas encore vraiment remis de la perte de la deuxième manche, il a été mené 0-40 au premier jeu. Au bord du gouffre, il devait enlever cinq points consécutifs pour fermer définitivement la porte à Casper Ruud. S’il évolue dans le même registre vendredi, tous les espoirs lui seront permis face à Ugo Humbert (ATP 28).
Ce duel inédit entre deux gauchers s’annonce, en effet, très ouvert. Impitoyable devant Stan Wawrinka en Coupe Davis puis victorieux notamment d’Andrey Rublev et de Stefanos Tsitsipas lors de la récente tournée asiatique, le Lorrain traverse l’une des plus belles périodes de sa carrière. Jeudi, il a laissé une très belle impression pour battre 7-6 (7/3) 7-6 (7/4) le vainqueur du Geneva Open Nicolas Jarry (ATP 20). Mais avec Dominic Stricker, Ugo Humbert sait qu’il s’attaquera à un joueur pétri de talent et qui a retrouvé cette semaine la lumière à Bâle après une série noire de six défaites de rang.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Vaud: les députés écartent l'idée d'une stratégie égalité cantonale
Le Grand Conseil vaudois ne veut pas d'une stratégie cantonale en matière d'égalité. Un postulat de la gauche a été classé mardi par la majorité de droite, laquelle estime que les mesures actuelles suffisent.
Pour la postulante Muriel Thalmann, il n'est "pas suffisant" de s'appuyer sur la stratégie fédérale sur l'égalité. Et comme de "très nombreux cantons ou villes", Vaud devrait aussi élaborer sa propre stratégie. Celle-ci permettrait d'avoir une "vision d'ensemble" et de ne plus agir "au coup par coup", a relevé la socialiste.
Des objectifs cantonaux pourraient ainsi être fixés et faire l'objet de bilan. Une telle stratégie permettrait encore de "garantir l'ancrage institutionnel au sein de l'administration", a-t-elle ajouté.
Plus autres membres dans la gauche ont abondé dans le même sens, affirmant qu'il était "honteux" que le Canton de Vaud ne dispose pas d'une telle stratégie. "Beaucoup de choses ont déjà été réalisées, mais ces mesures sont dispersées. Il faudrait les réunir et leur donner un cap", a indiqué Céline Misiego (Ensemble à gauche - POP).
Plusieurs références
Pour les opposants en revanche, une telle stratégie cantonale serait redondante avec ce qui se fait déjà. Et notamment avec les objectifs figurant dans le Programme de législature du Conseil d'Etat.
Le Canton peut aussi s'appuyer sur le travail du Bureau de l'égalité entre les femmes et les hommes (BEFH), la stratégie fédérale en matière d'égalité ou encore la Charte romande de l'égalité, signée en 2023. Par ailleurs, la mise en place d'une telle stratégie cantonale aurait un coût financier pour l'Etat de Vaud.
Au vote, le postulat a été refusé par 77 députés, contre 57 avis favorables et quatre abstentions.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Perspectives amères pour le chocolat suisse
Les ventes de chocolat suisse ont stagné l'an dernier, avec une évolution des exportations jugée "alarmante" par la branche. D'autant plus que la flambée des prix du cacao et la pression réglementaire assombrissent les perspectives.
"La légère croissance du marché intérieur (+1,7%) a été contrebalancée par le surplace des exportations (+0,2%)", note la faîtière Chocosuisse mardi dans un communiqué. Et au vu de la part de 72,1% de ces dernières dans les ventes totales, cela "sonne comme un signal d'alarme pour la branche".
Au final, le volume de chocolat suisse vendu n'a que légèrement augmenté de 0,6% par rapport à 2023, s'établissant à 209'096 tonnes.
Le prix du cacao a quadruplé l'an dernier, culminant à 10'888 dollars la tonne fin 2024 après s'être longtemps maintenu entre 2000 et 3000 dollars, conduisant les fabricants de chocolat à répercuter ces coûts sur leurs prix. Les recettes se sont de ce fait nettement enrobées, de 13,3% à 2,2 milliards de francs.
Ces hausses devraient se poursuivre cette année: "le prix fort du cacao ne se répercutera pleinement sur les prix de vente que cette année, car en 2024, de nombreux fabricants de chocolat avaient encore en stock du cacao meilleur marché", peut-on lire.
Dans le même temps, la consommation par habitant en Suisse s'amincit (-2,4% à 10,6 kilos), avertit Chocosuisse. Reste à voir comment les consommatrices et consommateurs réagiront aux nouvelles hausses de prix.
La branche relève aussi le tour de vis réglementaire à venir. Dès la fin de l'année, le règlement européen sur les chaînes d'approvisionnement (EUDR) deviendra obligatoire, avec des exigences accrues en matière de traçabilité, dont les effets pour les entreprises sont encore incertains.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Suisse
Première détection du nouveau variant de mpox en Suisse
Un premier cas du nouveau variant de mpox (anciennement variole du singe), a été détecté en Suisse. La personne concernée a été isolée, a annoncé mardi l'Office fédéral de la santé publique (OFSP). Il n'y a pas de risque de contagion pour l'entourage.
La personne touchée est un voyageur de retour d'Afrique. Selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS), le variant "clade Ib" est plus contagieux et plus dangereux que les précédents.
La maladie se propage depuis des mois dans plusieurs pays africains, ce qui a conduit l'OMS à déclarer une urgence de santé publique de portée internationale à la mi-août de l'année dernière.
Fin février, l'organisation a décidé de maintenir l'urgence de santé publique de portée internationale. Le nombre de cas augmente et le virus se propage, selon l'OMS. L'endiguement est entravé par les combats dans l'est de la République démocratique du Congo, d'où le clade Ib se propage depuis 2024.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Les Hayek rachètent des actions Swatch pour 10 millions de francs
La famille Hayek, dans la foulée de la baisse récente du cours de l'action Swatch Group, a racheté des titres de l'horloger biennois pour près de 10 millions de francs ces derniers jours.
Vendredi dernier, près de 170'000 nominatives ont changé de mains pour plus de 4,4 millions de francs, puis lundi ce fut au tour de 211'000 actions de connaître le même sort pour presque 5,4 millions de francs, selon une transaction de la transaction dévoilée par l'opérateur de la Bourse suisse SIX.
Trois personnes soumises à l'obligation de déclaration ont effectué ensemble la transaction, selon le communiqué. Il s'agit de la famille Hayek, a confirmé un porte-parole de Swatch Group auprès de l'agence de presse AWP mardi. En l'occurrence la présidente du conseil d'administration Nayla Hayek, le directeur général (CEO) et membre du conseil d'administration depuis 2010 Nick Hayek ainsi que son neveu Marc Hayek, membre du conseil d'administration depuis l'an dernier et qui dirige les marques Blancpain, Breguet, Jaquet Droz et Glashütte Original.
Les nominatives ont été achetées vendredi au prix de 26,19 francs par titre et lundi au prix de 25,46 francs par titre. Avant le coup de semonce des droits de douane du président américain Donald Trump mercredi, les actions valaient autour de 30 francs. Actuellement, elles s'échangent pour 25,82 francs.
A la fin 2024, le "pool Hayek" et ses sociétés, institutions et personnes proches contrôlaient 63,4 millions de nominatives et 836'044 actions au porteur, soit 44,1% de tous les droits de vote de l'horloger.
Bien que les nominatives ont une valeur nominale cinq fois moins élevée que la porteur recensée dans les trente principales actions de la Bourse suisse, dans l'indice SLI, leur propriétaire dispose des même droits de vote que pour une action au porteur. Ainsi la famille Hayek, peut, grâce à l'achat de nominatives, concentrer plus de 40% des voix avec un effort moindre en termes de capital.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
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