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Économie

CarPostal annonce une fréquentation record pour 2024

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De plus en plus de cars postaux électriques circuleront en Suisse romande cette année (image prétexte). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Pas moins de 183 millions de personnes ont utilisé les cars postaux en 2024, soit près de 50 millions de plus que l'année précédente. CarPostal parle mercredi d'une fréquentation record, quelques mois après l'annonce de licenciements dans son administration.

L'équivalent d'un demi-million de personnes sont montées dans les cars jaunes l'année dernière, indique CarPostal dans un communiqué. Une forte hausse de fréquentation a été constatée dans le domaine des loisirs.

L'entreprise a en outre avancé sur l'électrification de ses véhicules en 2024. Elle comptait à la fin de l'année 42 cars électriques sur un total de 2300.

De plus en plus de véhicules électriques seront présents en Suisse romande cette année, écrit CarPostal. Une trentaine de cars seront mis en service à Sion (VS), Moudon (VD) et Gland (VD).

L'année 2024 a été marquée par des coupes. Jusqu'à 70 licenciements dans l'administration de CarPostal ont été annoncés en octobre. Les conducteurs ne sont pas concernés et les horaires inchangés, avait indiqué La Poste.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

UBS: Ethos s'oppose aux rémunérations et au rachat d'actions

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Sergio Ermotti, le directeur général d'UBS, a touché près de 15 millions de francs l'année dernière (archives). (© KEYSTONE/URS FLUEELER)

Ethos estime qu'UBS serait plus inspirée de constituer des fonds propres plutôt que verser des salaires trop élevés à ses dirigeants ou procéder à des rachats d'actions. La fondation va s'opposer à ces points lors de l'assemblée générale de la banque du 10 avril 2025.

Les rémunérations des instances dirigeantes d'UBS sont trop généreuses, surtout lorsqu'on les compare à celles de responsables de banques européennes de taille similaire, affirme jeudi la société de conseil aux caisses de pension Ethos.

Le salaire global du directeur général (CEO) a certes reculé depuis 2023, mais le montant perçu par Sergio Ermotti pour 2024 reste l'un des plus élevés de Suisse et d'Europe. Sa rémunération est supérieure de 52% à la médiane de celle des CEO d'autres grandes entreprises cotées en Suisse, voire même de 139% si on la compare aux émoluments des patrons des 12 plus grandes sociétés financières de l'indice MSCI Europe, selon le communiqué.

Ethos émet par ailleurs des réserves quant à la possibilité de porter la part variable touchée par les membres de la direction à sept fois le salaire de base. Un tel dispositif pourrait déboucher sur des rémunérations "largement excessives", avertit la société genevoise.

"Des paiements aussi élevés et des leviers très importants pour la rémunération variable peuvent inciter les dirigeants à une prise de risque excessive comme l'a montré la crise financière de 2008 ou plus récemment la chute de Credit Suisse", affirme Vincent Kaufmann, directeur d'Ethos, cité dans le communiqué.

Lors de l'assemblée générale, Ethos va ainsi s'opposer aux émoluments prévus pour la direction générale et le conseil d'administration, pour lesquels le vote de l'assemblée est contraignant, mais aussi au rapport de rémunération (vote consultatif).

La fondation recommande également de rejeter le lancement d'un programme de rachat d'actions, soulignant que l'heure est au renforcement des fonds propres. "La taille d'UBS depuis l'acquisition de Credit Suisse rend un nouveau sauvetage par la Confédération très compliqué", argumente Ethos.

L'organisation regrette par ailleurs la revue à la baisse des ambitions d'UBS en termes de "changement climatique, de diversité et d'égalité ainsi que ses critères d'exclusion dans ses investissements". Elle recommande de rejeter un rapport de durabilité présentant des "lacunes importantes".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Économie

Droits de douane US: Tokyo envisage des mesures de rétorsion

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Le Premier ministre japonais Shigeru Ishiba promet des mesures après l'annonce par Trump de 25% de droits de douane supplémentaires sur les voitures (archives). (© KEYSTONE/AP)

Le Japon envisage "des mesures appropriées" en réponse aux droits de douane supplémentaires sur l'automobile annoncés par les Etats-Unis, et considérera "toutes les options", a déclaré jeudi le Premier ministre Shigeru Ishiba.

"Nous devons réfléchir à des mesures appropriées suite à cette annonce. Naturellement, nous examinerons toutes les options", a indiqué M. Ishiba devant les parlementaires japonais. L'automobile représente près d'un tiers des exportations nippones vers les Etats-Unis.

Les droits de douane supplémentaires de 25% imposés par Washington sur les voitures importées aux Etats-Unis sont "extrêmement regrettables", a déploré jeudi le porte-parole du gouvernement japonais, cette offensive commerciale affectant particulièrement l'industrie automobile nippone.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Économie

Trump annonce des taxes supplémentaires de 25% sur les voitures

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Les constructeurs automobiles sont déjà concernés par les droits de douane sur l'aluminium et l'acier, effectifs depuis mi-mars, qui ajoutent 25% de taxes sur ces deux métaux entrant aux Etats-Unis (image d'illustration). (© KEYSTONE/AP/Ahn Young-joon)

Après l'acier et l'aluminium, et en attendant le bois de construction ou le cuivre, le président américain, Donald Trump, a ajouté mercredi un nouveau secteur d'activité à sa liste, en annonçant 25% de droits de douane supplémentaires sur le secteur automobile.

Ces taxes s'appliqueront à "toutes les voitures qui ne sont pas fabriquées aux Etats-Unis", a assuré le président américain depuis la Maison Blanche, ajoutant qu'elles entreront en vigueur "le 2 avril et nous commencerons à les collecter le 3".

"Nous allons faire payer les pays qui font des affaires dans notre pays et prennent notre richesse (...) Ce que nous allons faire, c'est des droits de douane de 25% sur toutes les voitures qui ne sont pas fabriquées aux Etats-Unis. Si elles sont fabriquées aux Etats-Unis, il n'y aura absolument pas de droits de douane", a déclaré M. Trump.

"Ceci vient s'ajouter aux droits de douane déjà existants sur ces biens", a précisé l'un de ses conseillers.

Le taux jusqu'ici appliqué était de 2,5%. Cela signifie que les voitures importées seront désormais taxées à 27,5% de leur valeur. Dans le cas des voitures électriques chinoises, déjà taxées à 100% depuis août 2024, cela amènera les droits de douane à 125%.

Il s'agit d'un nouveau coup dur pour le secteur de l'automobile, qui a déjà été secoué par les précédentes annonces en la matière.

"Aller plus vite"

Début février, l'annonce de 25% de droits de douane sur les produits canadiens et mexicains a fait trembler le secteur, alors que la chaîne de production des principaux constructeurs automobiles américains est largement intégrée entre les trois pays nord-américains.

Leur report, jusqu'au 2 avril, avait alors constitué un soulagement pour l'industrie, avant que ceux imposés cette fois sur l'acier et l'aluminium, effectifs depuis mi-mars, ne viennent la remettre sous tension.

Près de la moitié de l'acier et de l'aluminium consommés par les industries américaines est en effet importée.

S'il n'avait pas imposé de droits de douane sur l'automobile durant son premier mandat, M. Trump avait demandé au représentant de la Maison Blanche pour le Commerce (USTR) de lancer une enquête sur le sujet, qui a été finalisée en 2019.

Selon Ryan Majerus, un ancien responsable du ministère américain du Commerce, c'est sur la base de cette enquête que le président Trump a décidé la mise en place de cette nouvelle taxe sur les automobiles importées.

"L'avantage de l'automobile est qu'ils peuvent aller nettement plus vite s'ils le souhaitent, comparé à d'autres secteurs tels que le bois de construction ou le cuivre, où les enquêtes ont tout juste été lancées", a déclaré à l'AFP M. Majerus, désormais membre du cabinet King & Spalding.

La Maison Blanche souhaite en effet taxer ces deux autres secteurs d'activité, mais cela pourrait ne pas intervenir avant la fin de l'année.

Constructeurs américains touchés

Cette nouvelle taxe vient dans tous les cas s'inscrire dans un usage extensif des droits de douane par le président américain, alors que la prochaine étape, considérée comme la plus importante, devrait intervenir le 2 avril.

M. Trump devrait alors, dans ce qu'il décrit comme le "jour de la libération", annoncer la mise en place de droits de douane dits "réciproques", qui concerneront l'ensemble des produits importés aux Etats-Unis.

Le principe des droits de douane "réciproques" est que les produits provenant d'un pays et entrant aux Etats-Unis seront désormais taxés au même niveau que le sont les produits américains exportés vers ledit pays.

Mais s'il avait affirmé dans un premier temps qu'il n'y aurait "ni exemption, ni exception", M. Trump a assuré mercredi que ces nouvelles taxes seraient "très clémentes".

"Cela concernera tous les pays et on fera en sorte qu'elles soient très clémentes. Je pense que les gens vont être très surpris", a-t-il ajouté.

Les constructeurs américains ont des usines à l'étranger qui alimentent le marché américain, principalement au Canada et au Mexique. Ford, par exemple, importe l'une de ses camionnettes depuis la Turquie.

Selon le site de ce constructeur, environ 20% de ses véhicules vendus aux Etats-Unis sont importés, mais un certain nombre de pièces des véhicules assemblés aux Etats-Unis proviennent également du Canada ou du Mexique.

General Motors importe de son côté annuellement environ 750.000 véhicules depuis le Canada et le Mexique, ce qui en fait le premier importateur, tous constructeurs automobiles confondus.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Économie

Trafic des paiements d'UBS perturbé par une panne

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Le trafic des paiements d'UBS en Suisse a été perturbé mercredi par une panne. (image d'illustration). (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

La banque UBS a été confrontée mercredi en Suisse à un problème technique dans son trafic des paiements. Certains débits sur les comptes des clients sont affichés deux fois, a indiqué la banque Keystone-ATS, confirmant une information du site blick.ch.

Les clients ont été informés, précise UBS. La cause a été identifiée et les erreurs seront corrigées. La grande banque n'a pas donné d'informations sur le nombre de clients touchés ni sur la fin du problème.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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