Économie
Adecco rachète le français Qapa
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Le géant du travail intérimaire Adecco a annoncé mardi le rachat du français Qapa pour un montant initial de 65 millions d'euros (70,6 millions de francs). L'opération permet au groupe zurichois de se renforcer dans l'offre d'emploi numérique.
Hormis le montant initial, le contrat prévoit un complément de prix ("earn out") s'étalant jusqu'à fin 2023 et qui sera payé en quatre tranches en fonction d'objectifs de chiffre d'affaires et de rentabilité, a précisé le groupe zurichois dans un communiqué.
Pour le patron d'Adecco, Alain Dehaze, ce rachat représente "une étape importante" permettant au groupe suisse de renforcer son offre dans le placement de personnel sur internet. Selon Adecco, le marché français des offres d'emplois entièrement numérisées a été multiplié par huit ces dernières années à environ 350 millions d'euros.
Qapa se décrit comme une plateforme de mise en relation automatique et entièrement numérique entre candidats et recruteurs pour des postes d'intérimaires en France dans tous les secteurs économiques. L'entreprise parisienne revendique 4,5 millions de candidats inscrits sur son site internet et plus de 500 entreprises clientes.
Qapa, qui compte une soixantaine d'employés, a dégagé un chiffre d'affaires annuel de 45 millions d'euros sur son exercice clos fin juin.
L'opération doit être clôturée à la fin du troisième trimestre et la valeur économique ajoutée (Eva) doit être positive dès 2023, a précisé Adecco dans un communiqué. Les synergies dégagées par cette acquisition devraient être "importantes", notamment au niveau de la marge d'exploitation (Ebita) à partir de 2022.
Avec l'acquisition début août du français BPI Group et la vente des activités de conseil juridique aux Etats-Unis, Adecco table sur "un petit apport net de liquidités".
Dans l'immédiat, cette transaction n'avait que très peu d'impact sur l'action Adecco. A 09h36, la nominative faisait quasiment du surplace (-0,04%) à 51,36 francs alors que l'indice de référence SLI reculait de 0,21%.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
La BCE prête à agir si une guerre commerciale menace la stabilité
La Banque centrale européenne est "prête à intervenir" en cas de risque pour la stabilité financière en zone euro, a déclaré vendredi sa présidente, après une semaine de tempête sur les marchés financiers provoquée par la guerre commerciale déclenchée par Donal Trump.
L'institution monétaire "surveille la situation et est toujours prête à intervenir" en utilisant "les instruments dont elle dispose", a déclaré Christine Lagarde à Varsovie en marge d'une réunion informelle des ministres des Finances de la zone euro, sans donner plus de détails.
Ses propos interviennent à moins d'une semaine de la prochaine réunion de la BCE pour décider du cap monétaire, tandis que la plupart des marchés boursiers baissaient vendredi, avec un dollar qui ne cesse de s'enfoncer face à l'euro.
En cause, l'annonce de Pékin d'une nouvelle hausse de ses droits de douane sur les produits venant des Etats-Unis, illustrant l'escalade entre les deux puissances.
Des tensions commerciales supplémentaires pourraient entraîner de fortes turbulences sur les marchés où se négocient les actions, obligations et autres devises, avec le risque de déstabiliser le système financier de la zone euro.
Arsenal face aux crises
"Jusqu'à présent, nous ne voyons aucun signe de tension de liquidité sur les marchés", a tempéré Claudia Buch, présidente du superviseur bancaire au sein de la BCE, dans une interview donnée vendredi à Bloomberg.
La BCE redoute, de son côté, qu'une guerre commerciale freine les exportations et la croissance, l'obligeant à ajuster sa politique monétaire pour soutenir l'économie.
Des marchés volatils peuvent aussi nuire à l'efficacité des décisions de politique monétaire, par exemple si le taux bas ne se répercuterait pas correctement sur les prêts aux entreprises ou aux ménages.
Durant ses vingt premières années d'existence, la BCE a déjà dû déployer un arsenal de mesures pour calmer plusieurs crises.
Entre 2010 et 2012, plusieurs pays de la zone euro (Grèce, Portugal, Espagne, Italie) faisaient face à des taux d'intérêt très élevés sur leurs dettes, menaçant la stabilité de la zone euro.
En 2012, Mario Draghi, président de la BCE, prononçait son célèbre "Whatever it takes" (Quoi qu'il en coûte) pour sauver l'euro, via des rachats potentiellement illimités de dette, finalement jamais utilisés.
Lors de l'éclatement de la pandémie du Covid-19, l'institut a lancé un programme d'urgence (PEPP pour Pandemic Emergency Purchase Program) consistant en 1850 milliards d'euros de rachats de dette, pour soutenir Etats et entreprises.
Et face à la hausse rapide des taux d'intérêt et des tensions sur les dettes dans le contexte d'inflation record liée à la guerre en Ukraine, la BCE a créé un nouvel outil pour intervenir si des écarts de taux d'intérêt entre pays deviennent trop importants.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
Fribourg: étape majeure pour la couverture de l'autoroute A12
Le projet de couverture de l’autoroute A12 dans le secteur Chamblioux-Bertigny, dans le contournement de Fribourg, franchit une étape majeure. Des experts préconisent notamment le développement d’un pôle santé autour du site de l’actuel hôpital cantonal.
La création d’une zone d’activité d’importance cantonale à proximité de la jonction autoroutière et le long de l’autoroute est également proposée. Les deux propositions émanent du rapport final d'un collège d’experts relatif au pôle santé et activités (PSA) et présenté vendredi par le Conseil d'Etat.
Le document inclut une vision urbanistique d’ensemble pour un "secteur stratégique" du canton. Il prévoit un nouvel hôpital de soins aigus, un campus de formation, un potentiel d’espace destiné à des logements dédiés notamment au personnel des soins et aux personnes avec besoins de soins et une zone d’activités économiques.
Il s'agit de quatre fonctionnalités indépendantes mais interconnectées. La réalisation du projet implique un coût de l'ordre de 200 millions.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Des salariés français de Tetra Pak manifestent à Pully (VD)
Le conflit social autour de la possible fermeture de l'usine française Tetra Pak de Longvic, près de Dijon, s'est délocalisé vendredi en terre vaudoise. Quelque 150 employés ont manifesté entre Lausanne et Pully, siège de la multinationale helvético-suédoise.
Le géant de l'emballage a annoncé en janvier son intention de fermer cette usine, fondée en 1971. Justifié par une baisse des volumes de production et une hausse des coûts, le projet de fermeture, s'il se confirme, laisserait 207 salariés sur le carreau.
Le déplacement de vendredi a été initié par plusieurs syndicats français, en collaboration avec leurs homologues suisses d'Unia. Trois cars ont notamment relié Dijon à Lausanne, où employés et syndicalistes ont défilé le long des quais à Ouchy pour rejoindre Pully.
Plusieurs personnes ont ensuite pris la parole devant le siège international de Tetra Pak. Ils ont dénoncé "une décision purement financière" d'une "société prospère", un "projet managérial qui ne répond à aucune nécessité économique."
Depuis l'annonce de la possible fermeture, plusieurs manifestations ont déjà été organisées en Bourgogne. Celle de Pully-Lausanne ne constitue "qu'une étape" avant d'autres rassemblements, les salariés n'allant "pas abdiquer le combat", a affirmé l'un de leurs représentants.
A noter qu'une délégation de manifestants devait être reçue à l'intérieur du siège. Les autres sont demeurés à l'extérieur, sans causer de débordements. Afin de respecter la "culture" syndicale suisse, les participants ont été priés de ne pas sortir leurs pétards et fumigènes et de "les garder pour une prochaine manifestation en France."
Le souvenir de Romont
Interrogé par Keystone-ATS, Arnaud Bouverat, secrétaire régional d'Unia Vaud, a expliqué que ce sont les syndicats français qui ont demandé à Unia d'organiser cette manifestation. S'il arrive que des délégations syndicales de plusieurs pays se retrouvent en Suisse devant le siège d'une multinationale, il est rare qu'autant de salariés impactés par une restructuration traversent la frontière, a-t-il ajouté.
Il a aussi rappelé qu'Unia avait lui-même lutté contre Tetra Pak lors de la fermeture de l'usine de Romont en 2015, laquelle s'était soldée par le licenciement d'environ 120 personnes.
Tetra Pak emploie près de 25'000 employés dans le monde entier, notamment dans une cinquantaine d'usines.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
BP prévient d'un recul de sa production de gaz au premier trimestre
Le géant britannique des hydrocarbures BP a prévenu vendredi qu'il s'attendait à une production de gaz en recul au premier trimestre 2025 par rapport trimestre précédent, avec en outre des ventes "faibles" de cet hydrocarbure sur la période.
Le groupe a publié vendredi une mise à jour au marché en amont de la publication de ses résultats trimestriels prévue le 29 avril.
La production devrait globalement "être inférieure à celle du trimestre précédent, avec une production légèrement supérieure dans la production et les opérations pétrolières et inférieure dans le gaz et l'énergie à faible émission de carbone", détaille le groupe.
Par ailleurs "à la fin du premier trimestre, la dette nette devrait être supérieure d'environ 4 milliards de dollars à celle du quatrième trimestre" 2024, mais cela est principalement dû à des effets saisonniers et de calendrier, précise BP.
Le titre de BP reculait de 2,40% à 333,40 pence vendredi à la Bourse de Londres peu avant 08H00 GMT, dans un marché en petite hausse.
BP a renoncé en février à une stratégie climatique autrefois ambitieuse pour se recentrer sur le pétrole et le gaz, avec l'espoir de doper ses bénéfices en berne et ses redistributions aux actionnaires.
Le groupe, qui s'était distingué à partir de 2020 par un plan de neutralité carbone qui allait plus loin que ses principaux rivaux, était déjà largement revenu depuis deux ans sur ses objectifs climatiques.
BP, qui a publié un bénéfice net en chute de 97% pour l'an passé, a aussi annoncé en janvier 4.700 suppressions d'emplois en interne, soit plus de 5% de ses effectifs.
Le groupe britannique n'est pas le seul à faire machine arrière sur ses objectifs climatiques pour doper sa rentabilité: c'est aussi le cas de son compatriote Shell.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
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