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International

Une 43e demi-finale majeure pour Djokovic

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Djokovic disputera vendredi sa 43e demi-finale de Grand Chelem (© KEYSTONE/EPA/TOLGA AKMEN)

Novak Djokovic (no 1) disputera vendredi sa 43e demi-finale de Grand Chelem, la 11e à Wimbledon.

Vainqueur 5-7 2-6 6-3 6-2 6-2 de Jannik Sinner (no 10) en 3h35' mardi en quart de finale, le Serbe se frottera à Cameron Norrie (no 9) ou à David Goffin (ATP 58) pour une place en finale sur le gazon de Church Road.

Le triple tenant du titre et sextuple lauréat du tournoi n'est ainsi plus qu'à trois longueurs du record de Roger Federer, qui a disputé sa 46e demi-finale majeure début 2020 à Melbourne où il s'était incliné devant... Novak Djokovic. Celui-ci vise une 32e participation à une finale de Grand Chelem, qui lui permettrait de devenir seul détenteur d'un record qu'il partage avec le Bâlois.

Mais, après son exclusion du territoire australien en janvier et un Roland-Garros manqué (défaite en quart de finale face à Rafael Nadal), Novak Djokovic n'a qu'un seul objectif cette semaine: conquérir un 21e trophée majeur pour revenir à une longueur du record le plus marquant, celui du nombre de titres du Grand Chelem détenu par le champion d'Australie et de Roland-Garros Rafael Nadal.

Un autre match à l'entame du 3e set

Dix mois après avoir échoué à une marche du Grand Chelem calendaire avec ce lourd échec en finale de l'US Open face à Daniil Medvedev, le Serbe de 35 ans retrouve donc un dernier carré majeur dans la peau du grand favori. Mais il a souffert sur le Centre Court pour barrer la route à Jannik Sinner (20 ans) et cueillir son 26e succès consécutif à Wimbledon - et sur herbe d'ailleurs.

Novak Djokovic s'est ainsi retrouvé en toute logique mené deux manches à zéro. Malmené par la force de frappe d'un joueur qui a gagné son premier match dans un tableau final sur gazon au 1er tour face à Stan Wawrinka, le Serbe a su attendre son heure. Il a élevé son niveau de jeu dès l'entame du troisième set, se montrant plus régulier à l'échange tout en mettant plus d'intensité dans ses coups.

Jannik Sinner a, dans le même temps, vu son taux de réussite baisser drastiquement sur ses coups d'attaque. Novak Djokovic n'a laissé aucune chance à l'Italien dans les trois dernières manches, où il n'a pas concédé le moindre break. Il est ainsi parvenu à remonter un handicap de deux sets à zéro pour la sixième fois de sa carrière, la troisième à Wimbledon.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Jonathan Anderson, le nouveau monsieur Dior homme

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Jonathan Anderson dirigeait précédemment la marque madrilène Loewe (archives). (© KEYSTONE/EPA/ANDRE PAIN)

Considéré comme un des enfants prodiges de la mode, le Nord-Irlandais Jonathan Anderson confirme son irrésistible ascension, en prenant les rênes des collections Dior Homme, un des postes les plus convoités du monde de la mode.

Le discret quadra succède à Kim Jones et présentera son premier défilé le 27 juin, a annoncé jeudi la maison de couture dans un communiqué.

Anderson, dont le nom revenait depuis des mois, avait annoncé mi-mars son départ de Loewe, à qui il a donné un coup de fouet pendant les onze années à sa tête, au point d'en faire une des marques préférées des célébrités.

"Sous sa direction, Loewe a connu une croissance exceptionnelle", s'était félicitée la marque espagnole, appartenant au groupe LVMH (comme Dior), saluant notamment le succès du sac Puzzle caractérisé par ses lignes géométriques et devenu un "it bag".

Chez Loewe, Anderson s'est forgé la réputation de créateur de mode luxueuse, aux coupes impeccables, avec une utilisation généreuse de matériaux comme le cuir et le métal. Ses vêtements sont amples et très souvent unisexe, les pulls en laine épaisse, les pantalons larges, la palette de couleurs généreuse.

Parmi ses créations phare, figurent plusieurs tenues de scène pour la tournée Renaissance de Beyoncé, dont des bodys pailletés avec des mains en trompe-l'oeil stratégiquement placées. Il a aussi créé la combinaison rouge de Rihanna au Super Bowl 2023, qui en avait profité pour dévoiler son ventre rond et annoncer sa grossesse.

Ses défilés pour Loewe se distinguaient chaque saison à Paris et sur d'autres podiums par leur audace et ses collaborations régulières avec des artistes contemporains. Anderson est aussi connu pour son discours très construit, truffé de références artistiques et littéraires.

Liens avec le 7e art

Né en 1984 à Magherafelt, une petite ville d'Irlande du Nord, il rêve de devenir acteur et se rend aux États-Unis à 18 ans pour s'inscrire dans une école d'art dramatique.

De cette passion, il a gardé un lien étroit avec le monde du cinéma, en particulier avec le réalisateur Luca Guadagnino, pour qui il a conçu les costumes de "Challengers", avec Zendaya, et "Queer", avec Daniel Craig.

Pendant des années, ses défilés ont été le point de rencontre des stars du 7e art, de Timothée Chamalet à Pedro Almodóvar en passant par Tilda Swinton. Et plusieurs d'entre elles ont été les ambassadrices de la marque.

Formé à la London School of Fashion, Anderson a débuté dans le département marketing de Prada, mais a rapidement créé sa propre marque en 2008, JW Anderson.

En 2023, il a fait sensation lors de la Fashion Week masculine de Paris en faisant défiler des mannequins portant d'imposantes pièces en cuivre ou en étain, ou en parchemin. "Je pense que nous sommes peut-être arrivés à un style excessif ces derniers temps", expliquait Anderson à la fin de ce défilé.

Jonathan Anderson "a révolutionné une marque avec des siècles d'histoire pour la rapprocher d'un nouveau consommateur, plus jeune, avec d'autres préoccupations sur la mode et le luxe", selon la blogueuse Mayte de la Iglesia, interrogée par l'AFP.

Loewe est née à Madrid en 1846, d'abord comme atelier de maroquinerie. Pendant des générations, elle a été une marque classique, dans le style du français Hermès (fondé en 1837).

"Beaucoup de gens pensent que la marque s'est éloignée de l'essence même de Loewe, une marque classique de sacs en cuir, de foulards en soie et de parfums denses, mais je pense que ce n'est pas le bon terme. Il ne s'agit pas d'un éloignement, mais d'une évolution", a-t-elle ajouté.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Économie

Xi Jinping au Cambodge pour resserrer les liens face à Trump

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Le président chinois Xi Jinping (à gauche) s'est rendu au Cambodge après avoir visité le Vietnam et la Malaisie. (© KEYSTONE/EPA/AGENCE KAMPUCHEA PRESS (AKP) / HANDOUT)

Le président chinois Xi Jinping a rencontré le Premier ministre cambodgien jeudi à Phnom Penh, pour la dernière étape d'une tournée destinée à resserrer les liens de Pékin avec ses partenaires en Asie du Sud-Est face à l'offensive douanière américaine.

M. Xi a d'abord visité le Vietnam puis la Malaisie, à un moment où la Chine cherche à contrebalancer l'explosion des droits de douane imposée par le président Donald Trump aux partenaires commerciaux des Etats-Unis.

Il a atterri jeudi à l'aéroport de Phnom Penh, où il a été accueilli par le roi Norodom Sihamoni lors d'une cérémonie militaire. Le numéro un chinois a rencontré le Premier ministre Hun Manet et son père, l'ancien dirigeant Hun Sen, selon les publications sur leurs comptes respectifs sur les réseaux sociaux, sans précision sur les accords attendus.

Selon un communiqué publié jeudi par le site officiel d'information cambodgien Fresh News, M. Xi a déclaré que la Chine soutenait le royaume "dans le choix d'une voie de développement qui convienne à la nation, en sauvegardant sa souveraineté nationale, son indépendance et son intégrité territoriale".

Il a ajouté que les deux pays devaient "s'opposer résolument aux forces extérieures qui s'ingèrent dans les affaires intérieures, sèment la discorde et sapent" les relations, dans une allusion transparente à la guerre commerciale déclenchée par le président américain.

Amitié "à toute épreuve"

Premier partenaire commercial du Cambodge, la Chine est le premier investisseur étranger dans le pays et détient plus du tiers de la dette extérieure du royaume, soit 11 milliards de dollars, selon le Fond monétaire international. Phnom Penh compte aussi parmi les soutiens les plus fiables de Pékin en Asie. Hun Manet a décrit mercredi la visite de M. Xi comme la démonstration d'une amitié "à toute épreuve".

Dans une vidéo publiée mercredi, il explique que les deux pays ont "des intérêts communs fondés sur les principes du respect de la souveraineté, de l'égalité et de la non-ingérence dans les affaires intérieures", ajoutant que la Chine avait joué un "rôle central" dans le développement socio-économique du Cambodge.

La Chine et le Cambodge célèbrent les 67 ans de leurs relations diplomatiques et commémorent les 50 ans de la prise de Phnom Penh par les Khmers rouges - alors soutenus par Pékin -, le 17 avril 1975. Début avril, Donald Trump avait annoncé 49% de droits de douanes sur le Cambodge, un des taux les plus élevés qu'il a décrétés.

Le pays, qui compte de nombreuses usines à capitaux chinois, a finalement vu, comme le monde entier à l'exception de la Chine, ce taux ramené à 10% pendant 90 jours. Hun Manet a écrit une lettre à la Maison Blanche pour assurer celle-ci de "la bonne foi du Cambodge pour négocier une solution mutuelle", réduction des droits de douane sur 19 catégories de produits américains à la clé, selon le ministère du Commerce.

Pékin, qui reste taxé à 145%, a qualifié ce taux de "plaisanterie" et a imposé en représailles des droits de douane de 125% sur les produits américains.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Économie

La BCE abaisse son taux directeur de 25 points de base, à 2,25%

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Les perspectives pour l'économie européenne se sont détériorées du fait de l'intensification des tensions commerciales selon la BCE (archives). (© KEYSTONE/DPA/BORIS ROESSLER)

La Banque centrale européenne a abaissé ses taux jeudi pour la sixième fois d'affilée, espérant contrer l'effet des tensions commerciales exacerbées avec les États-Unis qui menacent la croissance en zone euro.

Le taux de dépôt, qui fait référence, a été abaissé de 25 points de base, à 2,25%, un niveau qui n'est plus jugé pénalisant pour l'économie, selon l'institution présidée par Christine Lagarde.

Cette septième baisse du loyer de l'argent depuis juin 2024 intervient après l'annonce de surtaxes "réciproques" début avril par Donald Trump qui a rendu la donne économique plus incertaine.

Si l'économie de la zone euro a développé "une certaine résilience face aux chocs mondiaux", les perspectives de croissance "se sont détériorées du fait de l'intensification des tensions commerciales", souligne le communiqué de la BCE.

Ces tensions et le caractère imprévisible des décisions de Donald Trump pourraient avoir des "sévères conséquences négatives", a averti mercredi la directrice de l'OMC, Ngozi Okonjo-Iweala.

Dans ce contexte incertain, l'institution se garde d'anticiper ses prochaines décisions: elle va continuer à s'appuyer sur les "données" pour "déterminer, réunion par réunion", l'orientation de la politique monétaire.

Si le ralentissement du commerce mondial se confirme, les observateurs parient sur d'autres baisses de taux à suivre, certains allant jusqu'à envisager un taux de dépôt ramené à 1,75 % dans les prochains mois.

Trump chamboule tout

Depuis juin 2024, la BCE a abaissé ses taux à sept reprises, inversant un cycle de resserrement monétaire amorcé deux ans plus tôt pour lutter contre l'inflation provoquée par la guerre russe en Ukraine et ses répercussions énergétiques.

Lors de leur dernière réunion en mars, les gardiens de l'euro laissaient entendre qu'ils n'excluaient pas une pause dans ce cycle de baisse des taux.

Les yeux étaient alors rivés sur l'annonce du plan de relance budgétaire massif en Allemagne et sur l'augmentation des budgets militaires en Europe, laissant entrevoir une croissance et une inflation plus élevée à moyen terme.

Mais le choc externe d'une guerre commerciale a rebattu les cartes, poussant la BCE à réagir sans attendre les prochaines prévisions macroéconomiques de juin.

Début avril, Donald Trump a imposé des droits de douane réciproques à tous les pays - 10 % universels et jusqu'à 145 % supplémentaires sur la Chine - assortis de quelques exemptions sectorielles.

Une pause de 90 jours a ensuite été décrétée pour les surtaxes supérieures à 10% sur les pays hors Chine, mais cela n'a pas suffi à rassurer les marchés.

L'Europe est directement visée: le secteur automobile subit une taxe de 25%, tandis que les semi-conducteurs et les produits pharmaceutiques sont désormais sous enquête.

Inflation au second plan

Le président de la Réserve fédérale (Fed) américaine Jerome Powell a estimé mercredi que les droits de douane entraîneront "très certainement une hausse temporaire de l'inflation" aux Etats-Unis.

Donald Trump a quant à lui de nouveau critiqué le patron de la Fed jeudi, estimant qu'il aurait dû baisser les taux "depuis longtemps déjà, comme la BCE".

A Francfort, siège de la BCE, les inquiétudes concernant la hausse des prix sont passées au second plan: la désinflation est "en bonne voie", selon son communiqué, avec une inflation dans les 20 pays membres de la zone euro qui s'est établie à 2,2% en mars se rapprochant de la cible de 2%.

Dans un climat chahuté, la stabilité financière redevient une priorité: le dollar fléchit face à l'euro, les rendements des bons du Trésor américain grimpent, et les marchés financiers mondiaux restent sous tension.

"La BCE surveille la situation de près et reste prête à intervenir si nécessaire", a affirmé Christine Lagarde la semaine dernière depuis Varsovie, en marge d'une réunion des ministres des Finances de la zone euro.

Un système financier sous tension - banques fragilisées, marchés chahutés - peut rapidement enrayer l'investissement et la consommation, au risque de faire glisser l'économie vers la déflation

Un scénario qui rappelle 2008, lorsque la crise financière mondiale avait brutalement fait chuter l'inflation, entraînant ensuite la crise de la dette souveraine, et poussant la BCE à sortir son arsenal de mesures exceptionnelles.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

Lesia Tsurenko dit attaquer la WTA en justice

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Lesia Tsurenko annonce avoir attaqué la WTA en justice (© KEYSTONE/AP/ASANKA BRENDON RATNAYAKE)

Lesia Tsurenko a annoncé avoir attaqué en justice la WTA.

L'Ukrainienne estime que l'instance dirigeante du tennis féminin, et en particulier son patron à l'époque, ne l'avait pas assez soutenue face à ses difficultés psychologiques en 2023.

"Même dans mes pires cauchemars je n'aurais pu imaginer que le circuit professionnel, où je me considérais chez moi, pouvait devenir un endroit terrifiant et étranger dont le directeur général a consciemment commis un acte d'abus psychologique contre moi, qui a provoqué une crise de panique et une incapacité à faire mon boulot", écrit la joueuse dans un message posté mercredi soir sur les réseaux sociaux, sans nommer ce responsable.

Lesia Tsurenko fait référence à son forfait le 13 mars 2023 à Indian Wells avant un match contre la Bélarusse Aryna Sabalenka, plus d'un an après le début de l'invasion russe en Ukraine. A l'époque, elle avait raconté: "Il y a quelques jours, j'ai eu une conversation avec le directeur général de la WTA Steve Simon et j'ai été absolument choquée par ce que j'ai entendu. Il m'a dit que lui-même était contre la guerre, mais que si des joueurs russes ou bélarusses la soutenaient, c'était leur propre opinion, et que l'opinion des autres ne devrait pas me déranger".

"Dire la vérité"

En août 2024, Steve Simon a été remplacé à la tête de la WTA par une femme, Portia Archer. Contactée, l'instance mondiale n'a pas immédiatement commenté les nouvelles déclarations de Tsurenko.

Depuis le début de la guerre en Ukraine en 2022, aucun joueur russe ou bélarusse ne l'a officiellement soutenue, certains la dénonçant au contraire. Les joueuses ukrainiennes refusent, depuis, de serrer la main de leurs adversaires de nationalités russe ou bélarusse.

Mercredi, Lesia Tsurenko est revenue sur le sujet, estimant qu'il était "temps de dire la vérité" et annonçant avoir saisi la justice "en fin d'année dernière".

Pressions

"Douleur, peur, crises de panique, humiliation, informations cachées, pression sur mon équipe pour que je me taise... et ce n'est même pas la liste exhaustive de ce que j'ai enduré", développe la joueuse. "La WTA a refusé de protéger une femme, une joueuse, un être humain. A la place, elle a choisi de protéger une personne dépositaire du pouvoir", accuse-t-elle.

"Tout ce qu'il me reste pour me défendre, pour faire valoir mes droits, ma dignité, et pour empêcher de tels actes de violence dans le sport est de me tourner vers les tribunaux", écrit-elle sans préciser quelle cour elle avait saisie, ni sous quels motifs, ni les réparations concrètes qu'elle en attendait.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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