International
Un 31e succès de rang pour Swiatek
Iga Swiatek (no 1) a cueilli samedi un 31e succès consécutif sur le circuit.
La Polonaise s'est qualifiée pour les 8es de finale à Roland-Garros en battant la Monténégrine Danka Kovinic (WTA 95) 6-3 7-5.
La lauréate de l'édition 2020 du tournoi parisien a, une fois n'est pas coutume, dû s'employer. Elle a en effet connu une grosse de baisse de régime alors qu'elle menait 6-3 4-1 service à suivre, concédant quatre jeux de suite. Mais elle a serré sa garde dans le "money time" pour s'éviter toute mauvaise surprise.
Iga Swiatek - qui reste aussi sur 20 sets gagnés consécutivement - n'a pas connu la défaite depuis le tournoi de Dubai mi-février. En cas de succès en 8e de finale face à Qinwen Zheng (WTA 74), elle ferait aussi bien que Justine Henin (32 victoires de suite en 2008). Seules Venus (35 succès de rang en 2000) et Serena Williams (34, en 2013) ont connu de plus longues séries d'invincibilité depuis l'an 2000 chez les dames.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Iran: un ressortissant suisse retrouvé mort en prison
La justice iranienne a annoncé jeudi qu'un ressortissant suisse accusé d'espionnage s'était suicidé dans la prison de Semnan, ville de l'est du pays. Le Département fédéral des affaires étrangères (DFAE) confirme le décès.
Le DFAE confirme le décès d'un citoyen suisse en Iran. L'ambassade de Suisse à Téhéran est en contact avec les autorités locales afin de clarifier les circonstances du décès dans une prison iranienne. Le DFAE assiste les proches dans le cadre de la protection consulaire, a indiqué jeudi le DFAE à Keystone-ATS. A l'heure actuelle, il ne peut donner davantage d’informations.
"Ce matin, un citoyen suisse s'est suicidé dans la prison de Semnan", a indiqué Mizan Online, l'organe de presse du pouvoir judiciaire, ajoutant que le détenu avait été "arrêté par les agences de sécurité pour espionnage et que son cas faisait l'objet d'une enquête".
Le ressortissant suisse, qui n'a pas été identifié, avait demandé à son compagnon de cellule de lui apporter de la nourriture de la cafétéria de la prison et "a profité de ce moment où il était seul pour se suicider", selon Mizan Online.
Les autorités pénitentiaires "sont immédiatement intervenues pour (tenter de) lui sauver la vie, mais leurs efforts ont été vains", a ajouté la même source.
Mizan n'a pas fourni de détails sur la date de l'arrestation du Suisse ou la manière dont il s'est suicidé.
Nombreux Européens détenus
Plusieurs citoyens européens, dont certains possèdent un passeport iranien, sont détenus en Iran. Les critiques reprochent à Téhéran de détenir des citoyens étrangers en otages politiques. L'Iran rejette ces accusations et justifie généralement les arrestations par l'accusation d'espionnage. Le nombre exact d'Européens détenus en Iran n'est pas connu.
En juin dernier, deux Suédois ont été libérés d'Iran à la faveur d'un échange de prisonniers, notamment un diplomate de l'Union européenne. En 2023, Oman a négocié la libération de six Européens parmi lesquels le travailleur humanitaire belge Olivier Vandecasteele, qui avait été condamné pour espionnage et avait passé plus d'un an en détention.
Et pas plus tard que cette semaine, la journaliste italienne Cecilia Sala, arrêtée le 19 décembre en Iran pour avoir "enfreint les lois" de la République islamique, a été libérée et est rentrée mercredi après-midi en Italie.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Volkswagen: recul des ventes en 2024, particulièrement en Chine
Les ventes de voitures du groupe Volkswagen ont diminué en 2024, avec un recul marqué en Chine, illustration de l'année noire vécue par le constructeur qui va fortement réduire sa production et sa masse salariale en Allemagne.
Le deuxième constructeur mondial, derrière Toyota, a livré 4,8 millions de véhicules dans le monde l'an dernier, soit 1,4% de moins qu'en 2023, indique jeudi un communiqué.
"2024 a été une année difficile dans le monde entier, avec une économie faible, des défis politiques et une forte concurrence, en particulier en Chine", premier marché automobile mondial, a déclaré Martin Sander, directeur des ventes de Volkswagen.
Le premier constructeur européen va supprimer plus de 35'000 emplois d'ici 2030 et fortement réduire sa capacité de production en Allemagne, sans fermeture de sites ni licenciements contraints, après un accord conclu à l'arrachée en décembre avec le syndicat IG Metall.
Volkswagen a écoulé 2,2 millions de voitures en Chine, son premier marché, en 2024, soit une chute annuelle de 8,3% d'après le communiqué.
L'un des premiers constructeurs étrangers à pénétrer le marché chinois, Volkswagen ne tient plus la comparaison avec les concurrents locaux, moins chers et plus avancés dans la transition vers l'électrique.
Les ventes en Europe, deuxième marché de Volkswagen, ont aussi chuté de 1,7%, alors que la conjoncture ralentit dans la zone euro.
Le groupe a en revanche dépassé le million de ventes outre-Atlantique, avec une hausse de 21,1% de ses ventes en Amérique du Sud et de 18,4% en Amérique du Nord.
La demande pour ses voitures électriques dans le monde a également chuté de 394'000 à 383'100 unités, une chute de 2,8% après plusieurs années de croissance.
47% des véhicules vendus par Volkswagen sont des SUV, un segment qui continue de croître.
Avec une part de marché de 19,1% en Allemagne, le groupe qui produit 10 marques automobiles différentes se maintient en tête au pays de l'automobile.
Ce secteur pilier de l'économie allemande a connu une année noire en 2024, entre plans sociaux et repli des ventes particulièrement marqué dans l'électrique.
Les constructeurs devront aussi composer en 2025 avec des sanctions européennes plus sévères sur les seuils de pollution de ses véhicules thermiques.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
"Une nouvelle ère" au Liban avec l'élection d'un président
Le commandant en chef de l'armée libanaise, le général Joseph Aoun, a affirmé qu'une "nouvelle ère" s'ouvrait après son élection à la tête du pays, qui a mis fin à une vacance de plus de deux ans ayant aggravé les crises économique et politique.
"Aujourd'hui commence une nouvelle ère dans l'histoire du Liban", a déclaré M. Aoun après avoir prêté serment au Parlement, sous les applaudissements des députés.
M. Aoun, qui aura 61 ans vendredi, s'est engagé à des consultations rapides pour nommer un Premier ministre afin de sortir le pays de la paralysie politique.
Il a promis de respecter l'accord de trêve avec Israël, après la guerre meurtrière qui a opposé l'armée israélienne au Hezbollah pro-iranien jusqu'à fin novembre, et assuré que l'Etat aurait désormais "le monopole des armes".
Paris a félicité M. Aoun et souhaité que le Liban se dote d'un "gouvernement fort", tandis que l'ambassade américaine au Liban s'est dite engagée à travailler "en étroite collaboration" avec le nouveau président.
La représentante de l'ONU pour le Liban, Jeanine Hennis-Plasschaert, a estimé que cette élection était "un premier pas tant attendu pour surmonter le vide politique et institutionnel du Liban".
Le ministre israélien des Affaires étrangères, Gideon Saar, a émis l'espoir que l'élection de Joseph Aoun contribuerait à de "bonnes relations entre voisins".
Téhéran de son côté a salué l'élection du nouveau président, en espérant que les deux pays coopéreront pour servir leurs "intérêts communs", a indiqué l'ambassade de l'Iran au Liban sur le réseau social X.
99 voix
Joseph Aoun a recueilli 99 voix sur 128 au Parlement lors d'une deuxième session dans l'après-midi. Il n'avait obtenu que 71 voix au premier tour de scrutin dans la matinée, les 30 députés du Hezbollah pro-iranien et de son allié, le mouvement chiite Amal, ayant voté blanc.
Mais une rencontre au Parlement entre des représentants des deux formations et le commandant en chef de l'armée entre les deux tours, a changé la donne, lui assurant la majorité nécessaire pour l'emporter.
Le président élu, en tenue civile, est entré dans l'hémicycle sous les applaudissements pour prêter serment.
La candidature de M. Aoun, qui a une réputation de probité et d'impartialité, était appuyée par les Etats-Unis et l'Arabie saoudite, poids lourd régional, selon des responsables politiques libanais.
Des ambassadeurs de plusieurs pays ainsi que l'émissaire français pour le Liban, Jean-Yves Le Drian, ont assisté à la session parlementaire.
Les pressions diplomatiques se sont intensifiées sur les parlementaires pour les pousser à choisir le commandant en chef de l'armée.
Le Hezbollah, acteur incontournable de la scène politique, est sorti affaibli après deux mois de guerre avec Israël et la chute début décembre du président syrien, Bachar al-Assad, son allié.
En vertu du système confessionnel de partage du pouvoir, la présidence du Liban est réservée à un chrétien maronite.
Le Liban était doté d'un système présidentiel mais les pouvoirs du chef de l'Etat ont été largement diminués par l'accord de Taef ayant mis fin à la guerre civile (1975-1990) au profit du Conseil des ministres présidé par un musulman sunnite.
Rôle-clé
Depuis la fin du mandat du président sortant, Michel Aoun (sans lien de parenté avec le commandant en chef de l'armée), en octobre 2022, le Parlement n'est pas parvenu à élire un président.
Des analystes estiment que le rôle-clé de l'armée dans la mise en oeuvre du cessez-le-feu entre Israël et le Hezbollah, entré en vigueur le 27 novembre, a été un facteur déterminant pour l'ascension de Joseph Aoun vers la présidence.
Cette élection s'est tenue après un sérieux revers infligé par Israël au Hezbollah dans la guerre qui les a opposés, tuant notamment son chef, Hassan Nasrallah.
L'accord de cessez-le-feu prévoit le déploiement de l'armée libanaise dans les zones frontalières au fur et à mesure du retrait de l'armée israélienne des zones qu'elle a occupées pendant le conflit.
Le Hezbollah doit retirer ses troupes et démanteler toute infrastructure militaire dans la région.
Les Etats-Unis, la France et l'ONU supervisent le mécanisme de mise en oeuvre du cessez-le-feu.
Liesse
A Aïchiyé, village natal du commandant de l'armée dans le sud du Liban, les habitants ont laissé éclater leur joie, a constaté un correspondant de l'AFP.
Des portraits du général Aoun ornaient les rues, accompagnés de slogans de soutien.
"Nous nous attendions à sa victoire aux élections, car ce que nous savons du général suffit pour oeuvrer à la construction d'un État", a déclaré à l'AFP Anissa Aoun, depuis la place du village.
Le nouveau président a la lourde tâche de désigner un Premier ministre, à la tête d'un nouveau cabinet qui devra obtenir la confiance de la communauté internationale et mettre en oeuvre des réformes urgentes, pour relancer l'économie et reconstruire les zones dévastées dans le sud.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
L'UE prête à mener le soutien à Kiev si Washington ne le veut plus
L'UE est "prête à prendre le relais" pour mener le soutien militaire à l'Ukraine "si les Etats-Unis ne veulent pas le faire", a déclaré jeudi la cheffe de la diplomatie de l'UE Kaja Kallas. Celle-ci s'exprimait à 11 jours de l'investiture de Donald Trump.
Mme Kallas s'est dans le même temps dite "sûre" que Washington allait "poursuivre son soutien à l'Ukraine".
"Quel que soit le dirigeant des Etats-Unis, je pense qu'il n'est pas dans l'intérêt de l'Amérique que la Russie soit la plus forte puissance dans le monde", a-t-elle déclaré, avant une réunion du "groupe de contact" des partenaires de Kiev en Allemagne.
Encore une aide américaine
Le secrétaire à la Défense, Lloyd Austin, a annoncé dans ce contexte une nouvelle aide militaire américaine à l'Ukraine pour un montant d'environ 500 millions de dollars.
"Le combat de l'Ukraine nous concerne tous", a affirmé Lloyd Austin qui mène sa dernière réunion du "groupe de contact".
Soutien insuffisant jusqu'ici
Sous la présidence de Joe Biden, les Etats-Unis ont été le plus grand soutien de Kiev dans sa défense contre l'invasion russe, fournissant une aide militaire d'une valeur de plus de 65 milliards de dollars (63 milliards d'euros) depuis février 2022.
Insuffisant toutefois pour donner un avantage décisif à l'Ukraine, qui peine à repousser l'armée russe, notamment dans la partie orientale du pays.
Et la prochaine prise de fonction de Donald Trump fait craindre à l'Ukraine une réduction drastique du soutien des Etats-Unis et une pression du président américain élu pour que Kiev fasse des concessions face à Vladimir Poutine.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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