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International

Tour de France: Jonas Vingegaard est bien le plus fort

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Jonas Vingegaard et Tadej Pogacar, un sacré duel sur les routes du Tour (© KEYSTONE/EPA/GUILLAUME HORCAJUELO)

Jonas Vingegaard (Jumbo-Visma) s'est imposé en solitaire à Hautacam au terme de la 19e étape du Tour de France, la dernière en montagne. Le Danois a ainsi fait un pas décisif pour la victoire finale.

Vingegaard a franchi la ligne dans la station pyrénéenne avec 1'04 d'avance sur Tadej Pogacar et 2'10 sur son épatant coéquipier belge Wout van Aert, qui a passé toute l'étape à l'avant. Pogacar a tenté plusieurs fois d'attaquer le maillot jaune dans le col des Spandelles, avant-dernière difficulté de la journée.

Chute de Pogacar

Le Slovène a ensuite chuté dans la descente et a été impuissant contre son rival et son impressionnante équipe dans la dernière montée. Avec le cuissard troué et des égratignures, Pogacar a craqué à un peu plus de 4 km de l'arrivée et lâché la roue du Danois. Après ses succès en 2020 et 2021, il va devoir cette fois se contenter de la deuxième place. Vingegaard était décidément trop fort.

Au général, le maillot jaune compte désormais 3'26 d'avance sur le double vainqueur sortant et 8'00 sur le Britannique Geraint Thomas. De quoi voir venir avec sérénité les trois dernières étapes avant les Champs-Elysées.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Venezuela: enquête sur un projet de "déstabilisation" de l'Etat

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Le Président Maduro (centre) a demandé publiquement à M. Saab de lancer des investigations. (© KEYSTONE/EPA/MIGUEL GUTIERREZ)

Le parquet vénézuélien a annoncé vendredi l'ouverture d'une enquête après les déclarations de paramilitaires colombiens affirmant avoir été sollicités pour "déstabiliser" le gouvernement du président Maduro, en quête d'une réélection le 28 juillet.

Dans une vidéo publiée sur les réseaux sociaux, le groupe baptisé "Autodéfenses conquérantes de la Sierra Nevada" assure avoir été contacté pour "déstabiliser le gouvernement de la République du Venezuela", "porter atteinte à l'infrastructure électrique, agir contre le président candidat Nicolas Maduro, agir s'il était réélu en nous infiltrant dans des manifestations et en créant le chaos dans les rues".

"Le ministère public a désigné le 83e parquet national pour enquêter sur et sanctionner les nouvelles menaces de magnicide à l'encontre du chef de l'Etat", a écrit sur X le procureur général Tarek William Saab.

M. Maduro avait quelques minutes avant cette déclaration demandé publiquement à M. Saab de lancer des investigations. "Ils ont été contactés par des membres de l'extrême droite vénézuélienne pour infiltrer un millier d'hommes afin de générer des violences dans les Etats frontaliers", a dit M. Maduro dans son émission radio.

Cette accusation s'inscrit aux côtés d'autres allégations formulées par le gouvernement depuis le début de l'année à propos de présumés plans conspiratoires de l'opposition, accusée de chercher à commettre des "fraudes" après le scrutin présidentiel.

M. Maduro a également accusé il y a deux semaines son principal rival à la présidentielle, Edmundo Gonzalez Urrutia, de fomenter un coup d'Etat après que ce dernier a refusé de signer un accord de respect du résultat de l'élection proposé par le pouvoir.

M. Gonzalez a été désigné candidat par la coalition d'opposition à la place de la leader Maria Corina Machado, déclarée inéligible.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Football

Le Canada écarte le Venezuela et retrouve l'Argentine en demies

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La joie des Canadiens, demi-finalistes de la Copa America (© KEYSTONE/AP/Richard Rodriguez)

Le Canada figure dans le dernier carré pour sa première participation à la Copa America.

Les hommes de Jesse Marsch sont venus à bout, dans le vacarme de l'enceinte d'Arlington au Texas, du Venezuela après une séance de tirs au but remportée 4-3. Ils avaient globalement dominé les 90 minutes d'un temps réglementaire animé (1-1).

Les joueurs à la feuille d'érable tenteront de prendre en demi-finale leur revanche sur l'Argentine de Lionel Messi, tenante du titre, qu'ils ont croisée en match d'ouverture (défaite 2-0).

L'entame des Rouges était idéale, avec l'ouverture du score à la 13e. Le joueur lillois Jonathan David a provoqué sur son côté droit, avant de glisser le ballon à Jacob Sheffelburg qui n'avait plus qu'à le glisser au fond des filets.

Le Canada a ensuite multiplié les occasions, dans une rencontre ultra-animée. A la 24e, Sheffelburg est ainsi passé près du doublé avec une frappe sauvée in extremis par le gardien vénézuélien. Mais les vénézuéliens ont poussé, avec une vague d'occasions en seconde période. Et à la 63e, la digue canadienne a cédé sur un lob du plat du pied de l'attaquant Salomon Rondon.

De quoi faire exulter les supporters vénézuéliens. Ceux-ci ont cependant été douchés en fin de soirée par une séance de tirs au but où les deux équipes se sont rendu coup pour coup. Le sixième tir a fait la différence: le Venezuela a raté mais le Canada pas, Ismael Kone envoyant son équipe dans le dernier carré.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Football

Nagelsmann: "Au final, ce sont eux les plus chanceux"

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L'Allemagne ne méritait pas de perdre vendredi, estime Nagelsmann (© KEYSTONE/EPA/RONALD WITTEK)

La déception est évidemment grande chez les Allemands après leur élimination en quart de finale de l'Euro. Battue en prolongation par l'Espagne, la Mannschaft a pourtant joué un bon tournoi.

Julian Nagelsmann s'est exprimé d'une voix calme, mais sur le plan émotionnel, l'entraîneur allemand semblait lourdement affecté. "Aujourd'hui (vendredi), ce n'était pas mérité", a déclaré le sélectionneur allemand sur MagentaTV. "Nous avons plus investi qu'eux, mais au final, ce sont eux les plus chanceux."

Dans le vestiaire, le désormais retraité Toni Kroos et Joshua Kimmich ont tenté de remonter le moral des troupes, comme l'a rapporté Nagelsmann. "Nous aurions aimé offrir à Toni des adieux plus beaux, parce qu'il le méritait", a lâché Nagelsmann. "C'est tout simplement un type formidable avec une carrière extraordinaire, un modèle pour beaucoup d'entre nous."

Les larmes ont coulé chez les dizaines de milliers de supporters présents dans les tribunes du stade de Stuttgart et dans les fan zones de tout le pays. Le rêve d'un quatrième titre européen s'est envolé à deux pas de la finale, après trois semaines exaltantes.

"La déception est énorme, un tel Euro à domicile n'arrive qu'une fois dans la vie", a déclaré Joshua Kimmich. "Nous n'avons pas grand-chose à nous reprocher, si ce n'est de ne pas avoir su saisir les occasions. C'est amer, très amer."

Un potentiel à exploiter

"Nous avons tous mis tout ce que nous avions pour ne pas perdre. Nous étions très près du but, c'est d'autant plus amer", a ajouté Kroos. "Pour l'instant, c'est la déception de l'élimination qui prédomine, car nous avions tous ensemble un grand objectif. Ce rêve s'est un peu effondré, même si nous allons réaliser dans les prochains jours que nous avons fait un bon tournoi."

Mais les performances de ces dernières semaines et de ces derniers mois vont forcément aider une Allemagne en reconquête. L'équipe de Nagelsmann a le potentiel, avec notamment son maître à jouer Jamal Musiala, pour une fois peu influent contre l'Espagne, ou Florian Wirtz, exceptionnel après son entrée en jeu, pour retrouver très vite les sommets. Dès la Coupe du monde 2026 ?

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / dpa

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Football

Euro 2024: Pays-Bas et Turquie pour une place dans le dernier carré

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Les fans turcs vont mettre une grosse ambiance (© KEYSTONE/EPA/CLEMENS BILAN)

Le stade olympique de Berlin accueille ce soir dès 21h00 le dernier quart de finale de l'Euro 2024. Il opposera les Pays-Bas à la Turquie dans un climat politique particulier.

Pas attendue à pareille fête au début du tournoi, la Turquie pourra compter non seulement sur le soutien populaire de sa très grande diaspora en Allemagne, mais aussi sur son président turc Recep Tayyip Erdogan qui sera dans les tribunes. Les relations avec l'Allemagne sont pourtant tout sauf idylliques depuis que le défenseur Merih Demiral, auteur d'un doublé qui a permis à son équipe de terrasser l'Autriche (2-1) en huitième, a célébré ses buts en faisant de la main le signe des "Loups Gris", une organisation d'extrême droite turque.

L'UEFA a ouvert une enquête qui a abouti à une suspension de deux matches pour Demiral. Le gouvernement allemand a dénoncé l'intrusion de la politique dans une compétition sportive, ce qui a débouché sur une convocation croisée des ambassadeurs allemand et turc par Ankara et Berlin.

Une ambiance électrique

Les matches de la Turquie ou de ses clubs en Allemagne n'ont pas besoin de cela pour être enflammés. Mais ce contexte et la divine surprise que constitue l'épopée des rouges à l'Euro promettent une ambiance électrique au coup d'envoi. Avec un contrat déjà bien rempli et la ferveur populaire pour les porter, les Turcs pourront sans complexe viser une troisième demi-finale en tournoi international majeur après le Mondial 2002 et l'Euro 2008.

Mais pour cela, il faudra écarter les Pays-Bas dont le dernier quart de finale à l'échelle continentale remonte également à 2008. Les Néerlandais, portés par une génération au talent indéniable, mais à la complémentarité parfois fragile, ont longtemps laissé les observateurs sur leur faim.

Passés au titre des meilleurs troisièmes, les Néerlandais ont cependant corrigé la Roumanie (3-0) en 8e de finale et peut-être enfin lancé vraiment leur Euro. Trouver l'équilibre entre discipline collective et la liberté créatrice des Cody Gakpo, Xavi Simons ou Memphis Depay sera l'une des clés majeures du match. L'autre sera la gestion émotionnelle.

Garder la tête froide

Les Pays-Bas ont encore en tête le quart de finale du dernier Mondial perdu aux tirs au but contre l'Argentine, après être revenu à la 11e minute du temps additionnel à 2-2. Le match avait été marqué par de nombreux incidents entre joueurs, y compris avec ceux sur le banc.

Face à une Turquie souvent à la limite dans l'engagement physique - les deux équipes ont le même nombre de fautes commises (40) mais les Néerlandais n'ont reçu que 4 cartons jaunes, contre 18 pour leurs adversaires, pire équipe du tournoi de ce point de vue -, l'équipe qui gardera le plus la tête froide sera peut-être celle qui l'emportera.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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