International
Stevenson bat Conceiçao, mais perd ses ceintures car trop lourd
Shakur Stevenson a battu le Brésilien Robson Conceiçao par décision unanime, vendredi à Newark. Mais l'Américain ne peut pas conserver ses ceintures WBC, WBO et Ring Magazine des super-plumes.
Stevenson en a été déchu lors de la pesée. La balance a en effet affiché 59,692 kg, soit 725 grammes au-dessus de la limite de poids autorisée. Seul Robson Conceiçao pouvait s'en emparer en cas de victoire. Ce qu'il n'a pas réussi, concédant à 23 ans sa deuxième défaite en 19 affrontements (17 victoires).
"J'ai eu une longue semaine. Je me suis tué pour rentrer dans les limites de poids. Tout ce que je voulais, c'était être performant", a dit Stevenson, à qui il ne reste plus qu'à regagner ces ceintures devenues vacantes.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Le ski autrichien traverse sa période la plus sombre
A deux semaines des Championnats du monde de Saalbach, Kitzbühel sonnera-t-il le grand réveil d’un ski autrichien en crise ? Il est permis d’en douter.
L’équipe masculine de Marko Pfeifer aborde le rendez-vous du Hahnenkamm sans avoir remporté une seule des vingt épreuves disputées cet hiver. Les cinq places sur le podium obtenues lors de ces vingt courses ne peuvent pas occulter un terrible constat. L’équipe d’Autriche traverse bien la période la plus sombre de son histoire.
En descente, la discipline reine, les Autrichiens n’ont signé que trois places dans le top-10 en quatre courses, dont deux par Vincent Kriechmayr, le seul skieur autrichien classé parmi les 35 premiers du général de la Coupe du monde avec son neuvième rang. Comble de malchance pour les "Aigles", le double Champion du monde 2021 sera forfait ce week-end à Kitzbühel après sa chute à Wengen. Touché au genou droit, il a engagé une course contre la montre pour pouvoir disputer les Championnats du monde dont les trois coups seront donnés le 4 février.
"Je ne suis pas un magicien"
Vincent Kriechmayr sur le flanc, Marko Pfeifer guidera ce week-end à Kitzbühel des skieurs qui n’ont encore jamais gagné sur le front de la Coupe du monde malgré un vécu certain. "Une place dans les cinq premiers pour certains de nos descendeurs ne serait qu’un pur hasard", raille Hermann Maier, la légende du ski autrichien. "Je ne suis pas un magicien", concède quant à lui Marko Pfeifer pour souligner combien sa tâche est ardue.
A Wenger, Otmar Striedinger fut le meilleur Autrichien en descente avec un 17e rang à 2’’39 de Marco Odermatt. Après le week-end dans l’Oberland, Otmar Striedinger a affirmé qu’il serait judicieux de ne plus lire les journaux face aux torrents de critiques auxquels son équipe doit faire face...
Une lueur d'espoir
Il y a toutefois une lueur d’espoir dans cette équipe d’Autriche en la personne de Stefan Eichberger. Le skieur de 24 ans a pris la sixième place de la descente de Val Gardena avec le dossard 56. Mardi à Kitzbühel, il a signé le deuxième chrono de l’entraînement, le quatrième mercredi. Stefan Eichberger fait naître ainsi un fol espoir, démesuré presque, celui de battre la formidable armada suisse.
Mais pour Hermann Maier, le mal est incurable. En 2013 déjà, "Herminator" avait déploré la politique de sa fédération qui concentrait, à ses yeux, trop de moyens sur une individualité comme Marcel Hirscher. "Hirscher a réussi une carrière magnifique, mais il n’y a pas eu de transmission, explique-t-il. Aucun entraînement commun entre les jeunes et lui. Alors que la relève aurait eu beaucoup à apprendre d’un champion comme Marcel Hirscher."
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Grâce par Trump d'assaillants du Capitole condamnée par les juges
Trois juges ont condamné mercredi la grâce accordée par le président américain Donald Trump aux personnes jugées coupables pour l'assaut du Capitole, siège du Congrès, le 6 janvier 2021. "Aucune grâce ne peut changer la vérité tragique", a lancé l'une d'elles.
La décision prise lundi soir par le président Trump "ne peut pas effacer le sang, les excréments, la terreur que la foule a laissés derrière elle" ni "ne peut réparer la brèche dans la tradition sacrée américaine de transition pacifique du pouvoir", a ajouté dans un commentaire d'ordonnance d'abandon de poursuites contre un émeutier, la juge fédérale de la capitale des Etats-Unis, Tanya Chutkan.
A peine investi lundi, M. Trump a signé à la Maison-Blanche un décret graciant quelque 1270 personnes, qu'il a qualifiées d'"otages", reconnues coupables pour l'assaut du Capitole lors de la certification il y a quatre ans de la victoire de Joe Biden. S'y ajoutent 14 membres des mouvements d'extrême droite Oath Keepers et Proud Boys, dont la peine a été commuée en période de prison déjà purgée.
Depuis lors, des procureurs par intérim à Washington abandonnent par dizaines les poursuites contre les accusés encore en instance de jugement, ce que des policiers et des élus ont qualifié de "trahison".
"Impunité" dénoncée
Deux autres juges fédérales de Washington, qui avaient présidé des procès d'assaillants du Congrès, ont également dû valider mercredi l'abandon de poursuites, tout en condamnant vivement ces grâces.
La juge Beryl Howell a ainsi balayé toute base factuelle à l'abandon des poursuites, contestant ce que le président Trump a jugé être une "grave injustice nationale infligée au peuple américain". La magistrate a dénoncé une "impunité", une "perspective dangereuse" que des "comportements contraires à la loi se reproduisent à l'avenir" et une "atteinte à l'Etat de droit".
Enfin, sa consoeur Colleen Kollar-Kotelly a aussi estimé qu'effacer une procédure judiciaire et gracier les assaillants "ne changera pas la vérité de ce qui s'est passé le 6 janvier 2021".
Elle s'est réjouie que "soient préservés pour l'avenir des milliers de vidéos, retranscriptions de procès, verdicts et commentaires judiciaires". Ce sont autant de données "immuables qui constituent la vérité", a-t-elle conclu.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Les enquêteurs recommandent d'inculper le président sud-coréen Yoon
Les enquêteurs ont recommandé jeudi que le président sud-coréen Yoon Suk-yeol, suspendu de ses fonctions, soit inculpé pour rébellion et abus de pouvoir. Ils ont remis leurs conclusions au parquet sur sa tentative ratée d'imposer la loi martiale.
Au terme de 51 jours d'enquête sur ce coup de force, le bureau d'enquête sur la corruption (CIO), l'agence anticorruption, qui centralise les investigations criminelles sur M. Yoon, demande "d'engager des poursuites contre le président en exercice, Yoon Suk-yeol, dans le cadre d'allégations portant notamment sur la conduite d'une rébellion".
Le parquet a désormais onze jours pour décider de lancer ou non des poursuites demandées. La rébellion est un crime passible de la peine de mort.
Le 3 décembre, le dirigeant conservateur a sidéré la Corée du Sud en imposant soudainement la loi martiale et en envoyant l'armée au Parlement pour tenter de le museler. Il a fait marche arrière quelques heures plus tard, à la suite d'un vote des députés réunis en urgence et sous la pression de manifestants.
Placé en détention
Onze jours plus tard, M. Yoon s'est vu confisquer le pouvoir par le Parlement, qui a adopté une motion de destitution contre lui, désormais examinée par la cour constitutionnelle.
Après avoir résisté à une première descente sur mandat des autorités, M. Yoon a été arrêté et placé en détention le 15 janvier. C'est un fait sans précédent pour un chef de l'Etat sud-coréen titulaire, qu'il reste officiellement jusqu'à la décision de la cour constitutionnelle.
Dans les conclusions de son enquête, le CIO a indiqué que M. Yoon avait "abusé de son autorité obligeant les policiers de l'unité de garde de l'Assemblée nationale et les forces de la loi martiale à accomplir des tâches qui dépassaient leurs obligations".
Dans la nuit du 3 décembre, M. Yoon aurait ordonné à l'armée de prendre d'assaut le Parlement et d'empêcher les députés de voter une résolution demandant la levée de la loi martiale. Selon les enquêteurs sud-coréens, M. Yoon a également "entravé l'exercice du droit des législateurs à exiger la levée de la loi martiale".
Se "battre jusqu'au bout"
M. Yoon, lui, dément avoir ordonné à l'armée de "faire sortir" les députés du Parlement pour les empêcher de voter contre la loi martiale.
Son équipe juridique tente de défendre l'idée, selon laquelle, la déclaration de la loi martiale était nécessaire face à une fraude électorale, l'opposition ayant remporté haut la main le scrutin législatif d'avril 2024, avec à la clef une majorité écrasante au Parlement.
En détention provisoire, M. Yoon ne reconnaît pas la légalité de l'enquête criminelle. Il a promis de se "battre jusqu'au bout", haranguant ses soutiens par le biais de lettres transmises via ses avocats.
De son côté, la cour constitutionnelle doit décider d'ici à la mi-juin si elle confirme la destitution du dirigeant conservateur ou si elle le rétablit dans ses fonctions. En cas de destitution, une nouvelle élection présidentielle devra être organisée dans les 60 jours.
La crise qui se prolonge a poussé la banque centrale à abaisser lundi ses prévisions de croissance économique pour 2025, à 1,6%-1,7%. Au quatrième trimestre 2024 déjà, la croissance du PIB de la quatrième économie d'Asie a ralenti à 0,1%, son taux le plus faible de l'année.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Trump envoie 1500 militaires de plus à la frontière avec le Mexique
Les Etats-Unis vont déployer "1500 militaires supplémentaires à la frontière" avec le Mexique pour lutter contre l'immigration illégale, a annoncé mercredi la Maison-Blanche. Le président américain Donald Trump avait décrété mardi l'état d'urgence à cette frontière.
Il avait fait de ce sujet un de ses thèmes de prédilection pendant sa campagne électorale. L'envoi de 1500 militaires de plus dans cette zone portera leur nombre autour de 4000.
"Le président Trump a signé un décret pour envoyer 1500 soldats supplémentaires à la frontière sud des Etats-Unis", a déclaré la porte-parole de la Maison-Blanche Karoline Leavitt.
"Ces renforts seront mobilisés pour mettre en place des barrières et pour d'autres missions à la frontière. Les premières opérations devraient commencer dans les 24 à 48 heures à venir", a fait savoir un haut responsable militaire sous le couvert de l'anonymat.
Moyens aériens
D'autres moyens de surveillance et de renseignement, notamment aériens, pourraient aussi être utilisés, a ajouté le responsable. L'armée américaine sera aussi mobilisée pour expulser des migrants par voie aérienne, a fait savoir le ministre de la défense Robert Salesses.
"Le ministère fournira des moyens de transport aérien militaires pour aider les vols d'expulsion menés par le DHS [le ministère de la sécurité intérieure, ndlr] de plus de 5000 étrangers en situation irrégulière des secteurs de San Diego, en Californie, et d'El Paso, au Texas", a informé le ministre dans un communiqué.
Donald Trump a aussi signé lundi un décret remettant en cause le droit du sol, pourtant garanti par la constitution.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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