International
Slalom de Killington: Rast et Meillard à la bagarre
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Camille Rast et Mélanie Meillard sont dans le coup lors de la première manche du slalom de Coupe du monde de Killington. Les deux Valaisannes sont 3e et 4e, alors que Lena Dürr mène.
Profiter au maximum de l'état de grâce et d'un matériel qui fonctionne bien. Sur le podium lors de ses deux dernières courses, Camille Rast se pose actuellement en leader technique des Suissesses.
Et sur la piste Superstar, la skieuse de Vétroz s'est aussi bien sentie que la veille en géant. Si elle parvient à gommer quelques petites erreurs sur le haut, Camille Rast peut même rêver à un troisième podium de suite.
En l'absence de Mikaela Shiffrin, blessée la veille en géant, et Petra Vlhova, pas encore remise de sa blessure de l'an dernier, Lena Dürr a profité pour virer en tête. Mais l'Allemande ne compte que 0''11 d'avance sur Anna Swenn Larsson et 0''12 sur Rast.
Si la 3e place de Rast ne surprend plus, la 4e provisoire de Meillard à 0''43 un peu plus. Même si la skieuse d'origine neuchâteloise a pris la 7e place à Levi et la 10e à Gurgl, la voir si proche de la tête renvoie à la saison 2017/18 juste avant qu'elle ne se blesse gravement au genou.
Performance correcte pour Wendy Holdener, 9e à 1''08. Sortie plus compliquée pour Michelle Gisin, seulement 24e à 2''03. Juste derrière l'Obwaldienne, on retrouve Aline Höpli qui pourrait bien marquer ses premiers points en Coupe du monde. Nicole Good, Aline Danioth et Elena Stoffel ont été éliminées.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
L'Ukraine dit avoir capturé deux Chinois combattant pour la Russie
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a annoncé mardi la capture de deux ressortissants chinois qui combattaient au sein de l'armée russe en Ukraine. Il a exhorté les Occidentaux à "réagir" face à "l'implication" de la Chine.
C'est la première fois que l'Ukraine affirme avoir découvert des Chinois participant aux hostilités sur son sol depuis le début de l'invasion russe il y a trois ans. Pékin n'a pas encore réagi à ces déclarations.
Selon des informations préliminaires, il s'agit de personnes qui ont signé "un contrat" avec l'armée russe plutôt que de l'envoi par Pékin de troupes régulières sur le front ukrainien, a dit à l'AFP un haut responsable ukrainien sous le couvert de l'anonymat.
Le chef de la diplomatie ukrainienne, Andriï Sybiga, a fait savoir sur X qu'il avait convoqué le chargé d'affaires chinois à Kiev pour "exiger des explications".
"Nous avons capturé deux citoyens chinois qui combattaient au sein de l'armée russe", avait juste avant déclaré M. Zelensky sur les réseaux sociaux.
Ces hommes ont été découverts près du village de Bilogorivka, dans la région de Donetsk, au cours d'un affrontement auquel ont pris part au total six militaires chinois.
"Nous avons des documents de ces prisonniers, des cartes bancaires, des données personnelles", a de son côté relevé M. Zelensky.
Confondus avec des Nord-Coréens
L'AFP a reçu du haut responsable ukrainien les copies de certains de ces documents présumés, sur lesquels il apparaît que l'un des "citoyens chinois" est âgé de 34 ans, appartient à l'ethnie Han, majoritaire en Chine, et est enregistré dans la ville de Xinzheng (centre).
Le président ukrainien a diffusé une courte vidéo censée montrer l'un de ces soldats chinois présumés.
Sur ces images, un jeune homme en treillis et aux mains liées tente de décrire à son interlocuteur hors champ ce qui semble être un combat auquel il a pris part. On l'entend prononcer le mot "commander" (commandant, en anglais).
"Nous avons des informations selon lesquelles il y aurait beaucoup plus de citoyens chinois dans les unités de l'occupant", a affirmé Volodymyr Zelensky.
Il a dénoncé "l'implication de la Chine dans cette guerre en Europe, directement ou indirectement", appelant en outre à une "réaction des Etats-Unis, de l'Europe et de tous ceux dans le monde qui veulent la paix."
La capture de militaires chinois présumés "remet en cause la position déclarée de la Chine en faveur de la paix", a renchéri son ministre des Affaires étrangères, Andriï Sybiga.
Ces hommes ont été faits prisonniers "il y a quelque jours", a raconté à l'AFP le haut responsable ukrainien. Plusieurs autres ont probablement été tués au combat, "des corps sont recherchés", a-t-il ajouté.
"Nous avons dans un premier temps pensé qu'ils étaient nord-coréens", a poursuivi ce responsable. "Il a fallu un certain temps pour déterminer quelle langue ils parlaient."
Selon des conclusions "préliminaires", "ce sont des citoyens chinois (qui ont été) séduits par des contrats" avec l'armée russe, a-t-il assuré. "Nous les considérons comme militaires car ce sont des soldats de l'armée de l'occupant", a-t-il ajouté.
Rôle de la Chine
"Nous sommes en train de clarifier s'ils ont une expérience militaire (en Chine) et ce que Pékin en pense", a encore dit ce responsable.
Des ressortissants de nombreux pays combattent dans les armées respectives des deux belligérants dans cette guerre, les Russes ayant déclaré avoir notamment mis la main ces dernières années sur des Colombiens, des Britanniques, des Américains et des Australiens.
En décembre, Kiev avait déjà annoncé la capture de Nord-Coréens qui luttaient contre les Ukrainiens dans la région russe de Koursk, dont les forces ukrainiennes occupent une partie - de plus en plus minime - depuis août 2024.
Selon l'Ukraine, la Corée du Sud et les Occidentaux, la Corée du Nord avait envoyé des milliers de ses soldats pour épauler l'armée russe dans ce territoire.
La Chine se présente comme une partie neutre et un médiateur potentiel dans ce conflit mais reste un allié politique et économique clé de la Russie, au point que les Occidentaux l'ont qualifiée de "facilitateur décisif" de l'invasion russe - qu'elle n'a jamais condamnée.
La Chine est cependant notamment accusée d'aider la Russie à contourner les sanctions occidentales, lui permettant d'acquérir les composants technologiques nécessaires à la production d'armements.
"Il s'agit d'un nouveau pays qui soutient militairement l'invasion de l'Ukraine par la Russie, aux côtés de la Russie, après l'Iran et l'armée nord-coréenne", a dénoncé M. Zelensky.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Une cinquantaine d'hippopotames victimes de la maladie du charbon en RDC
Une cinquantaine d'hippopotames sont morts, victimes de l'anthrax, la maladie du charbon, dans le parc national des Virunga dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC), a indiqué mardi à l'AFP le directeur de ce parc.
Les hippopotames ont été retrouvés flottant ces derniers jours dans une rivière au sud du lac Edouard, séparant la RDC de l'Ouganda, dans la province du Nord-Kivu, a ajouté Emmanuel de Merode.
La Direction provinciale de l'Institut congolais pour la conservation de la nature (ICCN) au Nord-Kivu a recommandé l'application de mesures de précautions à la suite de "l'apparition d'une épizootie dans les zones périphériques du Parc National des Virunga", dans un communiqué publié mardi.
"Bien qu'actuellement cette maladie affecte principalement la faune sauvage, elle présente un risque potentiel de transmission à l'homme (zoonose), ainsi qu'aux animaux domestiques", a précisé cette institution qui gère les parcs nationaux en RDC.
L'ICCN recommande notamment d'éviter tout contact avec des animaux morts ou de consommer de la viande de brousse.
Transmissible à l'homme
La bactérie Bacillus anthracis, qui survit des dizaines d'années sous forme de spores dans les terres où ont été enterrés par le passé des animaux morts de l'anthrax ou porteurs de la maladie, est transmissible à l'homme et potentiellement mortelle dans ses formes les plus rares.
Le parc des Virunga, plus vieille réserve naturelle d'Afrique, a été créé en 1925. Il est réputé pour sa faune, notamment ses gorilles de montagne, et ses paysages grandioses. Il est aussi au coeur des zones de conflits qui déchirent l'est congolais depuis 30 ans.
Des hippopotames et d'autres mammifères ont déjà été victimes de l'anthrax à plusieurs reprises dans le parc des Virunga, comme dans d'autres parcs naturels en Afrique.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Renvoi de la représentante militaire américaine à l'Otan confirmé
Le ministre américain de la Défense Pete Hegseth a limogé la représentante militaire des Etats-Unis auprès de l'Otan, a annoncé mardi le Pentagone. Son renvoi était dû à "une perte de confiance dans sa capacité à diriger", a-t-il expliqué.
Depuis son entrée en fonction, le président américain Donald Trump a lancé une vaste réorganisation pour aligner l'armée américaine sur ses priorités, limogeant des officiers supérieurs et cherchant à licencier des milliers de travailleurs civils.
Pete Hegseth a démis la vice-amirale Shoshana Chatfield de sa position "en raison d'une perte de confiance dans sa capacité à diriger", a déclaré le porte-parole Sean Parnell dans un communiqué. Cette pilote d'hélicoptère de formation occupait ce poste depuis 2023.
Inquiétude des démocrates
En février, Donald Trump avait brusquement congédié, sans explication, le chef d'état-major Charles Brown, également connu sous le nom de CQ Brown. Outre CQ Brown, l'amirale Lisa Franchetti, cheffe de la marine américaine, le vice-chef d'état-major de l'armée de l'air et trois avocats militaires de haut rang ont été limogés.
L'amirale Linda Fagan, nommée par Joe Biden à la tête des Gardes-côtes américains et première femme à diriger l'une des six branches de l'armée, a également été renvoyée. Pete Hegseth a justifié ces licenciements en expliquant que le président plaçait simplement les responsables qu'il souhaitait là où il le voulait, mais des parlementaires démocrates ont exprimé leur inquiétude quant à une politisation potentielle de l'armée.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Procès libyen: décision le 25 septembre pour Nicolas Sarkozy
Nicolas Sarkozy a dit dans ses derniers mots au procès libyen ne pas vouloir répondre au "réquisitoire politique et violent" du parquet à son encontre. La décision du tribunal sera rendue le 25 septembre.
L'ancien président est le dernier des prévenus à s'avancer à la barre pour prendre la parole une dernière fois, alors que ses avocats viennent de longuement plaider la relaxe pour tenter de convaincre le tribunal correctionnel de Paris d'oublier "l'idée folle" d'un pacte de corruption passé avec le dictateur libyen Mouammar Kadhafi pour qu'il finance son accession à l'Elysée en 2007.
A-t-il quelque chose à dire avant que le tribunal ne parte délibérer ? "Non... pour deux raisons", répond Nicolas Sarkozy, déclenchant des rires dans la salle d'audience.
"D'abord parce que mes avocats ont parlé et bien parlé, deuxièmement parce que le contexte médiatique et politique est détestable. J'aurais eu envie de répondre à un réquisitoire politique et violent", a-t-il dit en référence aux charges répétées portées par le Rassemblement national contre la justice après le jugement rendu contre Marine Le Pen le 31 mars dernier.
"Je ne le ferai pas, parce que je veux la vérité et je ne veux rien dire devant votre tribunal sur la conduite de votre audience" qui "puisse alimenter cette polémique", dit-il à la présidente Nathalie Gavarino. "Je ne suis pas ici pour faire de la politique mais pour défendre mon honneur et que la vérité soit faite".
"Failles béantes"
"Le financement n'existe pas", venaient de marteler pendant plusieurs heures les avocats de Nicolas Sarkozy, fustigeant les "reculades" et "failles béantes" du raisonnement du parquet financier.
L'ex-chef de l'Etat, 70 ans, a écouté assis sur les chaises dédiées aux prévenus, au côté des trois anciens ministres également poursuivis, Claude Guéant, Brice Hortefeux et Eric Woerth. Une image identique à celle du premier jour du procès trois mois plus tôt, le 6 janvier.
La salle d'audience est remplie pour cette journée qui marque l'épilogue d'un procès inédit. Au deuxième rang se sont assis l'épouse de Nicolas Sarkozy, la chanteuse Carla Bruni, ainsi que ses fils Jean et Pierre Sarkozy.
Le 27 mars, le PNF a requis sept ans d'emprisonnement, 300'000 euros (280'000 francs) d'amende et cinq ans d'inéligibilité contre Nicolas Sarkozy.
"Pour résumer l'accusation, Nicolas Sarkozy, élu président de l'UMP, aurait eu l'idée de répondre positivement à l'invitation de Mouammar Kadhafi pour lui demander de financer sa campagne", commence Me Christophe Ingrain en milieu d'après-midi.
"Pour quelle raison éprouve-t-il le besoin d'un autre mode de financement que celui que lui assure déjà l'UMP et le soutien incontesté de ses adhérents ? L'accusation ne le dit pas", poursuit le conseil.
"Quel montant aurait-il demandé ? Comment cet argent serait-il arrivé en France ? Comment il aurait été utilisé dans la campagne ? L'accusation ne le dit pas, car ce financement n'existe pas", affirme-t-il.
"Notes faramineuses"
Nicolas Sarkozy est soupçonné d'avoir noué en 2005, via ses plus proches collaborateurs, un "pacte de corruption" avec le dictateur libyen Mouammar Kadhafi, afin qu'il finance sa campagne présidentielle victorieuse de 2007.
Et ce, selon l'accusation, en échange de contreparties diplomatiques, économiques et juridiques, en particulier un soutien au retour de la Libye sur la scène internationale après des années d'embargo lié aux attentats commis par le régime.
"Les investigations n'ont pas trouvé l'argent du prétendu pacte de corruption. Pourtant, on ne parle pas ici de petites sommes" mais de millions d'euros, "ça ne peut pas disparaître comme ça !" plaide quant à lui Me Tristan Gautier.
Il s'attaque ensuite aux canaux de financement décrits par le parquet financier, sous les hochements de tête approbateurs et réguliers de Nicolas Sarkozy.
Le premier correspond à 5 à 6 millions d'euros libyens virés en 2006 sur un compte libanais de l'intermédiaire Ziad Takieddine - dont 670'000 euros, retirés en liquide depuis un autre compte, ont pu alimenter la campagne, selon le Parquet national financier (PNF).
Or pour l'avocat, Ziad Takieddine a "systématiquement utilisé cet argent pour ses dépenses personnelles", dans des "factures et notes faramineuses dans des hôtels de luxe", des "croisières en yacht" ou encore des "travaux dans des villas".
Quant au second canal de financement, qui serait passé par le directeur de cabinet de Kadhafi, Bechir Saleh, et Alexandre Djouhri, "cela n'a aucun sens" pour le conseil, en particulier car l'intermédiaire était un proche de Dominique de Villepin, alors "grand rival de Nicolas Sarkozy" qui n'aurait pas manqué de faire fuiter l'information.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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