International
Raducanu se sépare de son entraîneur

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Emma Raducanu, la toute fraîche gagnante de l'US Open, cherche un nouvel entraineur. La Britannique a annoncé qu'elle se séparait d'Andrew Richardson, qui l'entrainait depuis juillet seulement.
Andrew Richardson avait commencé à travailler avec Emma Raducanu (WTA 22) au Bromley Tennis Centre près du domicile de la joueuse de 18 ans dans la région du Kent. Il l'a ensuite accompagnée à New York pour y participer aux qualifications du tournoi new-yorkais, seulement son deuxième tournoi majeur. Il remplaçait alors Nigel Sears, le beau-père d'Andy Murray, qu'Emma Raducanu avait congédié après avoir atteint les 16es de finale à Wimbledon en juillet.
"Après Wimbledon, je n'étais qu'au 200e rang mondial et, à l'époque, je pensais qu'il serait bon de faire un essai avec Andrew et nous sommes allés aux Etats-Unis mais je n'aurais jamais pensé gagner l'US Open", a déclaré Raducanu lors d'une réunion organisée par la British Lawn Tennis Association vendredi.
"A ce point de ma carrière, et alors que je joue contre les meilleures mondiales, j'ai réalisé que j'avais maintenant besoin de quelqu'un qui a l'expérience de la WTA au plus haut niveau", a-t-elle souligné. "Je manque tellement d'expérience et j'ai vraiment besoin pour me guider de quelqu'un qui a déjà connu cela".
Difficile
Emma Raducanu a concédé que la décision de se séparer de Richardson a été difficile à prendre. "Evidemment, après avoir partagé une telle expérience avec votre équipe, c'est difficile de devoir dire cela à quelqu'un mais je pense que c'est ce qu'il me faut".
La Britannique, qui n'a participé à son premier tournoi WTA à Nottingham qu'en juin et n'a joué que deux autres tournois avant sa victoire à l'US Open, a précisé qu'elle attendait toujours de décider quand elle allait retourner sur les courts. Le prestigieux tournoi américain d'Indian Wells débute le 6 octobre.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
En France, les librairies indépendantes se battent pour leur avenir
Quel avenir pour les librairies indépendantes? Cette exception française, menacée, face à la désaffection pour le livre et à la part de marché croissante des grandes enseignes, se bat avec inventivité.
La profession célèbre samedi la 27e Fête de la librairie indépendante, dans près de 700 librairies en France, Belgique, Suisse et Luxembourg.
À Genève, plusieurs boutiques vont jouer le jeu, à commencer par Le Temps d'un livre dans le quartier des Eaux-Vives, qui fête sa première année d’existence. Les bouquineurs seront aussi attendus à la Librairie du Boulevard notamment. Lausanne et sa quinzaine de librairies indépendantes devrait aussi être de la partie.
La date correspond au samedi proche de la Sant Jordi en Catalogne, une journée où on s'offre traditionnellement des roses et des livres. En Espagne en 2024, il s'était vendu ce jour-là 1,98 million de livres, un record.
Dans les pays francophones, la tradition n'est pas encore établie mais les organisateurs de cette fête y travaillent. Thème de l'édition 2025: "Pourquoi les librairies ne sont pas des commerces comme les autres ?"
Signaux inquiétants
Les signaux sont en effet inquiétants. Dans l'étude bisannuelle "Les Français et la lecture" réalisée en janvier-février pour le Centre national du livre, en 2025, pour la première fois depuis la première édition en 2015, les librairies sont passées derrière les grandes surfaces culturelles comme lieu d'achat des livres.
Les sondés ont été 66% à citer les librairies et 75% ces grandes enseignes, tandis qu'en 2023, 73% citaient les libraires et 69% les grandes surfaces.
"Oui, aujourd'hui on est fortement concurrencés", commente auprès de l'AFP la libraire parisienne promotrice de la manifestation, Marie-Rose Guarnieri.
"Les librairies sont des lieux imparfaits, elles ont des lacunes dans leur stock, des limites, mais un style et un savoir-faire. Quand il n'y aura plus que des chaînes, uniformisées, elles n'offriront que des best-sellers. Et s'il y a une alerte à lancer, c'est de dire: ne désertez pas les librairies, car vous perdriez quelque chose de très important", ajoute-t-elle.
Marché en recul
Le marché sur lequel se joue cette concurrence a tendance à stagner, voire reculer en 2025.
Pour une éditrice parlant sous le couvert de l'anonymat, "la baisse des ventes sur Amazon ne s'accompagne pas d'un report vers les librairies, même si on aimerait beaucoup".
Amazon, qui ne veut donner aucun chiffre, semble en effet pâtir des 3 euros de frais de port sur les commandes de moins de 35 euros, obligatoires depuis octobre 2023.
Cette mesure a été conçue pour maintenir à flot le réseau de librairies en France. Mais la rentabilité est parmi les plus faibles des commerces de détail, d'après des chiffres du cabinet Xerfi, dans une étude commandée en 2024 par le Syndicat de la librairie française.
"On distribue 26'000 exemplaires d'un livre, grâce aux Éditions Gallimard, ce qui attire les gens. Mais l'idée est aussi de rassembler la profession, y compris les libraires qui sont dans de petites villes, des villages, très isolés, pour qu'ils sentent cette confrérie", selon Marie-Rose Guarnieri.
Le métier continue d'attirer des vocations. Une figure de la gauche française, Philippe Poutou, trois fois candidat à l'élection présidentielle pour le Nouveau Parti anticapitaliste, en reprend une à Bordeaux (sud-ouest), dont il promet que ce ne sera "pas un supermarché du livre".
D'autres ferment, comme L'Écume des jours à Toulouse (sud), en mars, ce qui fait redouter, dans son quartier des Minimes, un "désert culturel" selon un journal régional.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Une lycéenne tuée et trois blessés dans une attaque à Nantes
Une lycéenne a été tuée et trois autres lycéens ont été blessés à coups de couteau jeudi dans un collège-lycée privé de Nantes, dans l'ouest de la France, par un élève interpellé peu après les faits qui ont suscité une vive émotion.
Vers 12h30, un élève armé d'un couteau s'est attaqué à quatre de ses camarades, avant d'être maîtrisé par des enseignants et interpellé, selon les premiers éléments de l'enquête.
Des drames dans ou autour d'établissements scolaires impliquant des adolescents avec des couteaux se sont multipliés en France ces derniers mois.
Le Premier ministre François Bayrou a appelé à "un sursaut collectif" face à la "violence endémique" dans "une partie de notre jeunesse", disant vouloir "une intensification des contrôles" aux abords des écoles.
Il veut également que "des propositions concrètes en matière de prévention, de réglementation et de répression, lui soient soumises sous quatre semaines" autour des "violences commises par les mineurs avec des armes blanches".
D'autres pays européens, comme la Grande-Bretagne veulent lutter contre les violences avec des armes blanches. Ces dernières années, le Royaume-Uni a vu le nombre d'incidents impliquant ces armes augmenter chez les jeunes, à tel point que le Premier ministre Keir Starmer a parlé d'une "crise nationale".
"J'adresse mes pensées émues aux familles, aux lycéens et à toute la communauté éducative dont la Nation partage le choc et la peine. Par leur intervention, des professeurs ont sans doute empêché d'autres drames. Leur courage force le respect", a réagi de son côté sur X le président Emmanuel Macron.
"Pas tiré d'affaire"
La ministre de l'Education Élisabeth Borne a indiqué qu'il n'y avait "pas de garantie" qu'un des trois jeunes blessés soit "totalement tiré d'affaire".
Sur place, la rue menant à l'établissement est bouclée par un périmètre de sécurité surveillé par de nombreux policiers et des militaires, et des parents inquiets sont massés aux abords, a constaté l'AFP.
Ludivine (qui n'a pas souhaité donner son nom de famille), 48 ans, a dit avoir appris que sa fille était dans la classe de seconde concernée par l'attaque. "Moi qui suis une mère anxieuse et qui ne la laisse pas sortir seule, je ne pensais pas qu'il lui arriverait quelque chose dans son lycée", a-t-elle dit à l'AFP, qualifiant l'établissement Notre-Dame de Toutes-Aides - qui accueille environ 2000 élèves - de "calme et correct à tous les niveaux".
"Dépressif"
"J'étais au self (cantine, ndlr) avec mes amies et on nous a dit qu'un lycéen avait poignardé des élèves de seconde dans plusieurs classes. On nous a demandé de ne pas sortir du self pendant une vingtaine de minutes puis on nous a confinés dans un gymnase", a dit à l'AFP une collégienne de 3e.
"Le lycéen, les gens le connaissaient comme dépressif, il disait qu'il adorait Hitler. Il a envoyé un mail de 13 pages à tout le monde pour expliquer tous ses problèmes à midi", a-t-elle ajouté.
Un lycéen a transmis à l'AFP le manifeste du tueur présumé, où il évoque "la mondialisation (qui) a transformé notre système en une machine à décomposer l'humain", revendiquant une "révolte biologique" afin que "l'équilibre naturel, même cruel" reprenne "sa place" contre "l'écocide globalisé".
L., collégien de troisième, s'est lui retranché dans les toilettes peu après l'attaque. "On a vu des adultes qui bloquaient la porte du lycée et quand on s'est rapproché, ils ont hurlé 'cassez-vous y'a quelqu'un avec un couteau'. On a couru aux toilettes pour se cacher et on a entendu une fille hurler", a-t-il dit.
"Le lycéen, les gens le connaissaient parce qu'il était bizarre, il suivait des groupes néo-nazis sur les réseaux. On est tous un peu choqués", a-t-il ajouté.
Plusieurs responsables politiques ont réagi à ce drame, dont la cheffe de file de l'extrême droite en France (RN) Marine Le Pen.
"Consternation et colère face à ce nouveau drame (...) Il est plus que temps de prendre les mesures qui s'imposent pour éradiquer cette banalisation de l'ultraviolence qui fait des ravages au coeur même de nos écoles", a-t-elle écrit sur X.
Malgré une montée des agressions ces derniers mois, les meurtres à l'intérieur des établissements scolaires restent rares en France. En février 2023, un lycéen avait poignardé son enseignante avec un couteau de cuisine dans un établissement privé de Saint-Jean-de-Luz (sud-ouest).
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp
International
Gaza: 36 morts dans des bombardements israéliens
Au moins 36 personnes, dont six membres d'une même famille, ont été tuées dans de nouveaux bombardements israéliens sur la bande de Gaza jeudi matin, ont annoncé la Défense civile palestinienne et des sources hospitalières.
L'hôpital indonésien à Jabalia (nord) a dit avoir reçu les corps de neuf victimes après une frappe israélienne sur un commissariat de police de cette ville du nord du territoire palestinien.
L'armée israélienne a confirmé dans un communiqué avoir effectué une frappe dans le secteur, précisant qu'elle ciblait "des terroristes opérant dans un centre de commandement et de contrôle du Hamas et du Jihad islamique".
"Le bombardement était extrêmement intense et a secoué toute la zone", a expliqué un témoin, Abdel Qader Sabah, à l'AFP. "Tout le monde s'est mis à courir et à crier, ne sachant pas quoi faire".
Famille de six personnes tuées
Un autre bombardement aérien sur une maison du nord de la ville de Gaza (nord) a tué une famille de six personnes, un couple et ses quatre enfants, a indiqué la Défense civile.
"Que dire? La destruction n'épargne personne", s'est lamenté le cousin du père de famille, Nidal al-Sarafiti, auprès de l'AFP. Plusieurs autres frappes ont tué au moins 21 personnes, notamment à Khan Younès (sud), al-Zawaida (centre) et Gaza-ville.
Des images de l'AFP sur une maison touchée à Khan Younès montrent des personnes éteignant les flammes provoquées par le bombardement et d'autres inspectant les décombres à la lumière de torches.
"Chaque jour, la mort"
"On était assis en paix quand le missile est tombé (...) Je ne comprends tout simplement pas", a déclaré un témoin, Mohammed Faris.
Des corps gisaient à même le sol, dont une jeune femme et un garçon, dans des housses mortuaires, entourés de proches en pleurs, embrassant et caressant leurs visages.
"Un par un, nous tombons en martyrs, nous sommes mis en morceaux. Ses enfants et elle ont été tués et réduits en morceaux", se lamente Rania al-Jumla, en évoquant sa soeur, tuée dans le bombardement. "On n'en peut plus. Chaque jour, c'est la mort".
"Pourquoi? Qu'ont-ils fait? Quelle est la faute de ces enfants? Ils les ont bombardés alors qu'ils dormaient simplement! Ils sont innocents. Tous les enfants de Gaza", s'emportait Oum Ibrahim al-Zamili, qui a aussi perdu un membre de sa famille.
Plus de 51'000 morts
Rompant une trêve de près de deux mois dans la guerre déclenchée il y a plus d'un an et demi, Israël a repris le 18 mars son offensive aérienne puis terrestre dans la bande de Gaza, où au moins 1978 Palestiniens ont depuis été tués depuis selon le ministère de la Santé du Hamas.
Ce bilan porte à 51'355 le nombre de morts dans la bande de Gaza, selon la même source, depuis le début de l'offensive israélienne lancée en représailles à l'attaque du Hamas en Israël le 7 octobre 2023.
Sur les 251 personnes alors enlevées, 58 sont toujours otages à Gaza dont 34 sont mortes, selon l'armée israélienne.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Le ton monte entre Inde et Pakistan après l'attentat au Cachemire
Suspension des visas, expulsion de diplomates et fermeture de frontières: le ton est monté d'un cran jeudi entre l'Inde et le Pakistan après l'attentat qui a causé la mort de 26 civils au Cachemire indien, dont New Delhi impute la responsabilité à Islamabad.
Dans une brusque escalade, les autorités indiennes et pakistanaises ont annoncé que les ressortissants de leur voisin et rival étaient priés de quitter leur territoire à brève échéance.
Sans mettre formellement en cause le Pakistan, le Premier ministre indien Narendra a durci son discours en promettant de traquer "jusqu'au bout de la terre" les auteurs de l'attaque et leurs complices.
Mardi, au moins trois tireurs, selon la police indienne, ont ouvert le feu sur des touristes dans la ville de Pahalgam, dans les contreforts de l'Himalaya, tuant 25 Indiens et un Népalais.
Cette attaque est la plus meurtrière visant des civils menée depuis 2000 dans ce territoire indien à majorité musulmane. Le Pakistan a nié toute responsabilité dans l'attentat.
Représailles
Dès mercredi pourtant, le gouvernement ultranationaliste hindou de New Delhi a ouvert le bal des sanctions en dévoilant une première série de représailles diplomatiques contre Islamabad.
Entre autres mesures largement symboliques, la suspension d'un traité sur le partage des eaux du fleuve Indus, la fermeture de principal poste-frontière terrestre entre les deux pays et le rappel de nombreux diplomates.
Jeudi, le ministère indien des Affaires étrangères a annoncé la "suspension à effet immédiat" de la délivrance des visas aux Pakistanais et l'annulation de tous ceux en cours d'ici au 29 avril.
"Tous les citoyens pakistanais actuellement en Inde doivent quitter l'Inde" d'ici là, a-t-il ajouté.
"Acte de guerre"
A l'issue d'une rare réunion de son Comité de la sécurité nationale, le Pakistan a riposté aussitôt en annonçant l'expulsion de diplomates et la suspension des visas indiens, ainsi que la fermeture de sa frontière et de son espace aérien.
Promettant des "mesures fermes" contre toute "menace indienne", Islamabad a également averti que toute tentative par son voisin de réduire son approvisionnement en eau de l'Indus serait considérée comme un "acte de guerre".
Pour sa première réaction publique à l'attaque dans le Cachemire, le chef du gouvernement indien n'avait pas mâché ses mots: "Je le dis au monde entier: l'Inde identifiera, poursuivra et punira les terroristes et ceux qui les soutiennent. Nous les poursuivrons jusqu'au bout de la terre".
"Je le dis sans équivoque: ceux qui ont mené cette attaque et ceux qui l'ont mise au point en paieront le prix au-delà de leur imagination", a insisté Narendra Modi.
Mercredi, son ministre de la Défense Rajnath Singh avait menacé de représailles "ceux qui ont organisé ça en cachette", visant implicitement le Pakistan.
De nombreux experts anticipent déjà une riposte militaire de New Delhi, comme ce fut le cas en 2019 après une attaque meurtrière qui avait visé un convoi de militaires indiens.
"Cette attaque va faire revenir les relations entre les deux pays à leurs heures les plus sombres", a anticipé pour l'AFP l'analyste Praveen Donthi, de l'International Crisis Group (ICG).
La fusillade de Pahalgam n'avait toujours pas été revendiquée jeudi à la mi-journée.
Menaces et harcèlement
La police a diffusé les portraits-robot de trois suspects, dont deux ressortissants pakistanais, les présentant comme membres du groupe Lashkar-e-Taibad (LeT), basé au Pakistan.
Ce groupe islamiste est soupçonné des attaques djihadistes qui ont visé la mégapole indienne de Bombay en novembre 2008, faisant 166 morts.
La police a également offert une récompense de deux millions de roupies (plus de 18'000 francs) pour toute information permettant leur capture.
Le Cachemire a été partagé entre l'Inde et le Pakistan en 1947, lorsque ces deux pays ont accédé à l'indépendance. Ils continuent depuis à réclamer la souveraineté de l'ensemble du territoire.
Depuis 1989, les combats entre l'insurrection séparatiste et les troupes indiennes ont fait des dizaines de milliers de morts dans la région.
Jeudi encore, un soldat a été tué dans un accrochage survenu à Basantgarh, a rapporté l'armée indienne.
A Srinagar, la principale ville du Cachemire, la situation était calme jeudi, mais de nombreux habitants ne cachaient pas leurs craintes.
"Tous ceux avec lesquels j'ai parlé ont le coeur brisé et sont choqués par la tournure prise par les événements", a réagi auprès de l'AFP l'historien local Siddhi Wa Hid. "Mais il est encore trop tôt pour se prononcer sur (les) raisons" de l'attaque.
De nombreux touristes indiens ont quitté la ville dans les heures qui ont suivi l'attaque. Mais ses rues restaient très animées, notamment dans ses fameux jardins, a constaté un photographe de l'AFP.
Selon l'Association des étudiants du Jammu et Cachemire, de nombreux étudiants originaires du Cachemire ont été depuis mercredi la cible de menaces et d'agressions dans toute l'Inde depuis l'attentat de mardi, accusés d'être des "terroristes".
"Il s'agit là d'une campagne délibérée et ciblée de haine et de calomnie", a dénoncé le président de l'association, Nasir Khuehami.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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