International
Marcell Jacobs lance un défi amical à Usain Bolt
Lamont Marcell Jacobs, champion olympique du 100 m à Tokyo, a lancé un défi amical à Usain Bolt. Celui-ci a récemment affirmé qu'il aurait pu gagner cette course, tout en rendant hommage à l'Italien.
"Tu es mon héros, merci pour ton coup de chapeau, mais tu as également affirmé que tu étais sûr que tu aurais gagné donc je suis prêt à relever le défi", a écrit Marcell Jacobs dimanche sur son compte Instagram.
"Je te propose de commencer avec une action caritative" consistant en une course généralement pratiquée par des groupes d'enfants, appelée +rubabandiera+ en Italie, pour laquelle "tu viens avec ton équipe et je viens avec la mienne", a ajouté le sprinter italien.
Dans le jeu +rubabandiera+ (vole le drapeau), deux groupes d'enfants s'affrontent en courant, deux par deux et chaque coureur appartenant à une équipe diverse, pour aller prendre un drapeau situé à une dizaine ou une vingtaine de mètres. C'est l'équipe qui a réussi à prendre le plus grand nombre de drapeaux qui l'emporte.
"Courir en 9''80, c'était possible"
Il y a une semaine, Usain Bolt avait affirmé qu'il aurait pu gagner le 100 m à Tokyo et faire au moins aussi bien que les 9''80 de Jacobs, son record personnel - qui est le record du monde - étant de 9 ''58.
"Et c'est un fait: beaucoup d'athlètes n'améliorent pas vraiment leurs chronos. J'ai tellement repoussé les limites, j'ai commencé à reculer (d'un point de vue des chronos) avec le temps. Courir en 9''80 (le chrono de Lamont en finale), c'était possible", avait insisté la légende jamaïcaine.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
La première mission spatiale habitée survolant les pôles est lancée
L'entreprise SpaceX du multimilliardaire Elon Musk a lancé tard lundi sa mission "Fram2", qui doit survoler les pôles de la Terre. Elle est composée de quatre astronautes non professionnels, ce qui constitue un nouveau pas dans l'exploration commerciale de l'espace.
Des cris de joie et de soulagement des équipes SpaceX ont ponctué le décollage réussi de l'équipage à bord d'une capsule Dragon de l'entreprise d'Elon Musk transportée par la fusée Falcon 9, selon les images retransmises en direct sur Internet.
Quatre personnes aux profils variés et n'étant pas des astronautes professionnels prennent part à cette mission privée nommée Fram2 en hommage à un navire ayant servi à l'exploration polaire au XIXe siècle.
La fusée Falcon 9 a été lancée à 21h46 locales (03h46 mardi en Suisse) du centre spatial Kennedy, en Floride.
De trois à cinq jours
"Avec le même esprit pionnier que les premiers explorateurs polaires, nous cherchons à rapporter des connaissances et des données nouvelles pour faire progresser l'exploration spatiale sur le long terme", a déclaré le commandant de la mission Chun Wang, un entrepreneur ayant fait fortune dans les monnaies numériques et finançant cette mission.
Il est accompagné pour ce voyage dans l'espace d'une réalisatrice norvégienne, Jannicke Mikkelsen, d'un Australien ayant exploré les pôles en tant que guide, Eric Philips, et d'une chercheuse allemande en robotique, Rabea Rogge.
Leur mission dans l'espace doit durer entre trois et cinq jours et doit permettre la tenue de plus de 20 expériences scientifiques, dont la prise de premières images de radiographie dans l'espace ou la culture de champignons en microgravité, autant d'expériences qui pourraient servir pour de futurs vols vers Mars. L'équipage s'est entraîné en amont pendant huit mois, y compris en hiver en Alaska.
A leur retour sur terre, ils essaieront de sortir de la capsule sans soutien médical, dans le cadre d'une étude visant à déterminer les tâches simples pouvant être effectuées par des astronautes après un vol dans l'espace.
A l'exception des missions lunaires Apollo, les pôles de la Terre sont restés hors de vue des astronautes, y compris ceux à bord de la station spatiale internationale.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
La Chine annonce lancer des exercices simulant un blocus de Taïwan
L'armée chinoise a mobilisé mardi des forces terrestres, navales et aériennes autour de Taïwan, pour des exercices militaires visant à mettre en place un blocus de l'île. Selon elle, ces manoeuvres visent à faire passer un message d'"avertissement ferme" à l'île.
"Ces exercices sont principalement axés sur les patrouilles de préparation au combat mer-air, l'acquisition conjointe d'une supériorité globale, l'assaut de cibles maritimes et terrestres et le blocus de zones clés et de voies maritimes", a déclaré le colonel Shi Yi, porte-parole du commandement du théâtre oriental de l'armée chinoise.
Les forces armées chinoises "se rapprochent de l'île de Taïwan à partir de multiples directions", a-t-il déclaré, décrivant les manoeuvres comme "légitimes et nécessaires pour sauvegarder la souveraineté et l'unité nationale de la Chine".
La Chine considère que Taïwan, gouvernée de manière autonome, fait partie de son territoire et n'exclut pas d'employer un jour la force pour placer l'archipel sous son contrôle.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Ukraine: Trump estime que Poutine "remplira sa part"
Le président russe Vladimir Poutine va "remplir sa part" pour une trêve en Ukraine, a assuré lundi son homologue américain Donald Trump. Ce dernier avait exprimé la veille sa frustration face aux blocages empêchant un accord entre Moscou et Kiev.
Cherchant à remplir ses propres promesses de campagne, Donald Trump fait pression pour une fin rapide de la guerre en Ukraine, mais les pourparlers n'ont jusqu'ici abouti à aucune percée concrète.
Dimanche, le président américain s'était dit "très énervé" et "furieux" contre le président russe réticent à s'engager sur l'accord de cessez-le-feu, menaçant d'imposer de nouvelles taxes sur le pétrole russe, selon un entretien à la chaîne télévisée NBC.
"Je pense qu'il va se montrer à la hauteur de ce qu'il m'a dit. Et je pense qu'il va maintenant remplir sa part du contrat. Et puis, il y a Zelensky, en espérant qu'il sera à la hauteur", a déclaré Donald Trump à la Maison-Blanche, en référence au président ukrainien Volodymyr Zelensky.
Minerais ukrainiens
Sur le pétrole russe, il a affirmé ne pas vouloir "imposer de droits de douane" supplémentaires. "Mais je pense que je ferais quelque chose si je pensais qu'il ne fait pas ce qu'il faut", a-t-il ajouté.
Le président russe avait évoqué vendredi l'idée d'une "administration transitoire" pour l'Ukraine, sous l'égide de l'ONU, afin d'organiser une élection présidentielle "démocratique" dans ce pays, puis négocier un accord de paix avec les nouvelles autorités.
Dans des déclarations ultérieures dimanche, Donald Trump avait cependant modéré son ton à l'égard de Vladimir Poutine pour s'en prendre à Volodymyr Zelensky, qu'il accuse de vouloir tourner le dos à un accord sur les minerais ukrainiens que les Etats-Unis veulent exploiter.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Les deux astronautes coincés dans l'ISS se disent prêts à repartir
Rentrés sur terre il y a deux semaines après avoir passé plus de neuf mois coincés dans l'espace, deux astronautes américains ont assuré lundi être prêts à repartir avec le vaisseau de Boeing à l'origine de leurs péripéties.
"Nous allons faire en sorte que cela fonctionne", a assuré Butch Wilmore, l'un des deux vétérans de l'espace au coeur de ce feuilleton spatial, lors d'une conférence de presse de la NASA.
Accompagné de sa collègue Suni Williams, avec qui il menait le vol-test du vaisseau de Boeing, et de leur compatriote Nick Hague parti à leur rescousse, il est revenu lors de cette première prise de parole publique sur leur séjour prolongé dans l'espace et leur retour survenu le 18 mars.
"Je peux vous dire que revenir de l'espace sur terre et traverser l'atmosphère à l'intérieur d'une boule de feu [...] cela fait étrange", a raconté ce vétéran de l'espace, âgé de 62 ans, sous les rires de ses acolytes.
"Un excellent vaisseau spatial"
Initialement partis en juin dernier pour une mission de huit jours à bord du vaisseau Starliner de Boeing, Butch Wilmore et Suni Williams avaient vu leur séjour dans la station spatiale internationale (ISS) s'éterniser après que des défaillances ont été détectées sur l'engin spatial.
Ces problèmes techniques avaient poussé la NASA à décider à l'été de renvoyer le vaisseau à vide et à confier leur retour à l'entreprise rivale SpaceX, un camouflet pour le constructeur Boeing. La capsule était revenue sur terre sans problème.
"Nous sommes tous responsables" des problèmes rencontrés lors de ce vol habité inaugural, a insisté lundi M. Wilmore, tout en assurant vouloir "regarder vers l'avant". "C'est un excellent vaisseau spatial", a précisé sa collègue Suni Williams, indiquant que les équipes travaillaient activement sur les "quelques éléments qui doivent être corrigés".
Leur périple de plus de neuf mois dans l'ISS leur a valu la sympathie du public. Les deux compagnons d'infortune ont réassuré lundi avoir bien vécu leur séjour prolongé et avoir été préparés à ce type d'inattendu.
"Je suis très reconnaissante de l'attention des gens", a déclaré Suni Williams. Elle espère avoir transmis un message de "résilience" aux plus jeunes: "Vous savez, parfois il faut savoir prendre des virages" afin "d'en tirer le maximum".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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