International
Marc Marquez: examens ophtalmologiques rassurants
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Bonnes nouvelles pour Marc Marquez. Le pilote espagnol a passé des examens ophtalmologiques rassurants. Il souffre de troubles de la vision depuis une chute à l'entraînement.
Marquez va poursuivre sa préparation de la saison 2022. "Les examens réalisés ont montré que les progrès ont été jugés favorables et, par conséquent, Marquez continuera à suivre un traitement conservateur au cours des prochaines semaines", a expliqué son équipe Honda.
Chute en motocross
"La situation n'empêche pas le pilote de poursuivre son plan d'entraînement pour se préparer physiquement à une nouvelle saison", a ajouté l'écurie. Marquez (28 ans) souffre d'un épisode de diplopie (double vision) depuis une chute à l'entraînement en motocross fin octobre avant le Grand Prix du Portugal.
A la suite de cette chute, l'octuple champion du monde n'a pas disputé les deux dernières manches de la saison, puis a fait l'impasse sur les essais de Jerez en décembre. Marquez avait manqué toute la saison 2020 ainsi que les premières courses de 2021 à cause d'une grave blessure au bras droit contractée lors d'une chute en course.
Déjà en 2011
En 2021, il a remporté trois courses pour finir à la 6e place du championnat du monde et semblait progressivement retrouver son meilleur niveau. Le sextuple champion du monde de MotoGP avait déjà vu sa vision affectée par un épisode de diplopie en 2011 à la suite d'une chute lors du GP de Malaisie en Moto2, chute qui l'avait alors contraint à mettre un terme à sa saison.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
L'Ukraine dit avoir capturé deux Chinois combattant pour la Russie
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a annoncé mardi la capture de deux ressortissants chinois qui combattaient au sein de l'armée russe en Ukraine. Il a exhorté les Occidentaux à "réagir" face à "l'implication" de la Chine.
C'est la première fois que l'Ukraine affirme avoir découvert des Chinois participant aux hostilités sur son sol depuis le début de l'invasion russe il y a trois ans. Pékin n'a pas encore réagi à ces déclarations.
Selon des informations préliminaires, il s'agit de personnes qui ont signé "un contrat" avec l'armée russe plutôt que de l'envoi par Pékin de troupes régulières sur le front ukrainien, a dit à l'AFP un haut responsable ukrainien sous le couvert de l'anonymat.
Le chef de la diplomatie ukrainienne, Andriï Sybiga, a fait savoir sur X qu'il avait convoqué le chargé d'affaires chinois à Kiev pour "exiger des explications".
"Nous avons capturé deux citoyens chinois qui combattaient au sein de l'armée russe", avait juste avant déclaré M. Zelensky sur les réseaux sociaux.
Ces hommes ont été découverts près du village de Bilogorivka, dans la région de Donetsk, au cours d'un affrontement auquel ont pris part au total six militaires chinois.
"Nous avons des documents de ces prisonniers, des cartes bancaires, des données personnelles", a de son côté relevé M. Zelensky.
Confondus avec des Nord-Coréens
L'AFP a reçu du haut responsable ukrainien les copies de certains de ces documents présumés, sur lesquels il apparaît que l'un des "citoyens chinois" est âgé de 34 ans, appartient à l'ethnie Han, majoritaire en Chine, et est enregistré dans la ville de Xinzheng (centre).
Le président ukrainien a diffusé une courte vidéo censée montrer l'un de ces soldats chinois présumés.
Sur ces images, un jeune homme en treillis et aux mains liées tente de décrire à son interlocuteur hors champ ce qui semble être un combat auquel il a pris part. On l'entend prononcer le mot "commander" (commandant, en anglais).
"Nous avons des informations selon lesquelles il y aurait beaucoup plus de citoyens chinois dans les unités de l'occupant", a affirmé Volodymyr Zelensky.
Il a dénoncé "l'implication de la Chine dans cette guerre en Europe, directement ou indirectement", appelant en outre à une "réaction des Etats-Unis, de l'Europe et de tous ceux dans le monde qui veulent la paix."
La capture de militaires chinois présumés "remet en cause la position déclarée de la Chine en faveur de la paix", a renchéri son ministre des Affaires étrangères, Andriï Sybiga.
Ces hommes ont été faits prisonniers "il y a quelque jours", a raconté à l'AFP le haut responsable ukrainien. Plusieurs autres ont probablement été tués au combat, "des corps sont recherchés", a-t-il ajouté.
"Nous avons dans un premier temps pensé qu'ils étaient nord-coréens", a poursuivi ce responsable. "Il a fallu un certain temps pour déterminer quelle langue ils parlaient."
Selon des conclusions "préliminaires", "ce sont des citoyens chinois (qui ont été) séduits par des contrats" avec l'armée russe, a-t-il assuré. "Nous les considérons comme militaires car ce sont des soldats de l'armée de l'occupant", a-t-il ajouté.
Rôle de la Chine
"Nous sommes en train de clarifier s'ils ont une expérience militaire (en Chine) et ce que Pékin en pense", a encore dit ce responsable.
Des ressortissants de nombreux pays combattent dans les armées respectives des deux belligérants dans cette guerre, les Russes ayant déclaré avoir notamment mis la main ces dernières années sur des Colombiens, des Britanniques, des Américains et des Australiens.
En décembre, Kiev avait déjà annoncé la capture de Nord-Coréens qui luttaient contre les Ukrainiens dans la région russe de Koursk, dont les forces ukrainiennes occupent une partie - de plus en plus minime - depuis août 2024.
Selon l'Ukraine, la Corée du Sud et les Occidentaux, la Corée du Nord avait envoyé des milliers de ses soldats pour épauler l'armée russe dans ce territoire.
La Chine se présente comme une partie neutre et un médiateur potentiel dans ce conflit mais reste un allié politique et économique clé de la Russie, au point que les Occidentaux l'ont qualifiée de "facilitateur décisif" de l'invasion russe - qu'elle n'a jamais condamnée.
La Chine est cependant notamment accusée d'aider la Russie à contourner les sanctions occidentales, lui permettant d'acquérir les composants technologiques nécessaires à la production d'armements.
"Il s'agit d'un nouveau pays qui soutient militairement l'invasion de l'Ukraine par la Russie, aux côtés de la Russie, après l'Iran et l'armée nord-coréenne", a dénoncé M. Zelensky.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Une cinquantaine d'hippopotames victimes de la maladie du charbon en RDC
Une cinquantaine d'hippopotames sont morts, victimes de l'anthrax, la maladie du charbon, dans le parc national des Virunga dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC), a indiqué mardi à l'AFP le directeur de ce parc.
Les hippopotames ont été retrouvés flottant ces derniers jours dans une rivière au sud du lac Edouard, séparant la RDC de l'Ouganda, dans la province du Nord-Kivu, a ajouté Emmanuel de Merode.
La Direction provinciale de l'Institut congolais pour la conservation de la nature (ICCN) au Nord-Kivu a recommandé l'application de mesures de précautions à la suite de "l'apparition d'une épizootie dans les zones périphériques du Parc National des Virunga", dans un communiqué publié mardi.
"Bien qu'actuellement cette maladie affecte principalement la faune sauvage, elle présente un risque potentiel de transmission à l'homme (zoonose), ainsi qu'aux animaux domestiques", a précisé cette institution qui gère les parcs nationaux en RDC.
L'ICCN recommande notamment d'éviter tout contact avec des animaux morts ou de consommer de la viande de brousse.
Transmissible à l'homme
La bactérie Bacillus anthracis, qui survit des dizaines d'années sous forme de spores dans les terres où ont été enterrés par le passé des animaux morts de l'anthrax ou porteurs de la maladie, est transmissible à l'homme et potentiellement mortelle dans ses formes les plus rares.
Le parc des Virunga, plus vieille réserve naturelle d'Afrique, a été créé en 1925. Il est réputé pour sa faune, notamment ses gorilles de montagne, et ses paysages grandioses. Il est aussi au coeur des zones de conflits qui déchirent l'est congolais depuis 30 ans.
Des hippopotames et d'autres mammifères ont déjà été victimes de l'anthrax à plusieurs reprises dans le parc des Virunga, comme dans d'autres parcs naturels en Afrique.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Renvoi de la représentante militaire américaine à l'Otan confirmé
Le ministre américain de la Défense Pete Hegseth a limogé la représentante militaire des Etats-Unis auprès de l'Otan, a annoncé mardi le Pentagone. Son renvoi était dû à "une perte de confiance dans sa capacité à diriger", a-t-il expliqué.
Depuis son entrée en fonction, le président américain Donald Trump a lancé une vaste réorganisation pour aligner l'armée américaine sur ses priorités, limogeant des officiers supérieurs et cherchant à licencier des milliers de travailleurs civils.
Pete Hegseth a démis la vice-amirale Shoshana Chatfield de sa position "en raison d'une perte de confiance dans sa capacité à diriger", a déclaré le porte-parole Sean Parnell dans un communiqué. Cette pilote d'hélicoptère de formation occupait ce poste depuis 2023.
Inquiétude des démocrates
En février, Donald Trump avait brusquement congédié, sans explication, le chef d'état-major Charles Brown, également connu sous le nom de CQ Brown. Outre CQ Brown, l'amirale Lisa Franchetti, cheffe de la marine américaine, le vice-chef d'état-major de l'armée de l'air et trois avocats militaires de haut rang ont été limogés.
L'amirale Linda Fagan, nommée par Joe Biden à la tête des Gardes-côtes américains et première femme à diriger l'une des six branches de l'armée, a également été renvoyée. Pete Hegseth a justifié ces licenciements en expliquant que le président plaçait simplement les responsables qu'il souhaitait là où il le voulait, mais des parlementaires démocrates ont exprimé leur inquiétude quant à une politisation potentielle de l'armée.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
La défense de Sarkozy fustige les failles de l'accusation
"Le financement n'existe pas": aux dernières heures du procès des soupçons de financement libyen de la campagne présidentielle 2007, les avocats de Nicolas Sarkozy plaident la relaxe mardi. Ils ont fustigé les "reculades" et "failles béantes" de l'accusation.
A l'issue des plaidoiries, les prévenus auront, s'ils le souhaitent, la parole en dernier, puis le tribunal annoncera la date à laquelle il rendra son jugement - pas avant plusieurs mois.
L'ex-chef de l'Etat, 70 ans, est assis sur les chaises dédiées aux prévenus, aux côtés des trois anciens ministres poursuivis à ses côtés, Claude Guéant, Brice Hortefeux et Eric Woerth. Une image identique à celle du premier jour du procès trois mois plus tôt, le 6 janvier.
La salle d'audience est pleine comme un oeuf pour cette journée qui marque l'épilogue d'un procès inédit. Au deuxième rang se sont assis l'épouse de Nicolas Sarkozy, la chanteuse Carla Bruni, ainsi que ses fils Jean et Pierre Sarkozy.
"Pour résumer l'accusation, Nicolas Sarkozy, élu président de l'UMP, aurait eu l'idée de répondre positivement à l'invitation de Mouammar Kadhafi pour lui demander de financer sa campagne", commence Me Christophe Ingrain en milieu d'après-midi.
"Pour quelle raison éprouve-t-il le besoin d'un autre mode de financement que celui que lui assure déjà l'UMP et le soutien incontesté de ses adhérents ? L'accusation ne le dit pas", poursuit le conseil.
"Le financement n'existe pas"
"Quel montant aurait-il demandé ? Comment cet argent serait-il arrivé en France ? Comment il aurait été utilisé dans la campagne ? L'accusation ne le dit pas, car ce financement n'existe pas", affirme-t-il.
Nicolas Sarkozy est soupçonné d'avoir noué en 2005, via ses plus proches collaborateurs, un "pacte de corruption" avec le dictateur libyen Mouammar Kadhafi, afin qu'il finance sa campagne présidentielle victorieuse de 2007.
Et ce, selon l'accusation, en échange de contreparties diplomatiques, économiques et juridiques, en particulier un soutien au retour de la Libye sur la scène internationale après des années d'embargo lié aux attentats commis par le régime.
"Disparaître"
"Les investigations n'ont pas trouvé l'argent du prétendu pacte de corruption. Pourtant, on ne parle pas ici de petites sommes" mais de millions d'euros, "ça ne peut pas disparaître comme ça !" plaide quant à lui Me Tristan Gautier.
Il s'attaque ensuite aux canaux de financement décrits par le parquet financier, sous les hochements de tête approbateurs et réguliers de Nicolas Sarkozy.
Le premier correspond à 5 à 6 millions d'euros libyens virés en 2006 sur un compte libanais de l'intermédiaire Ziad Takieddine - dont 670'000 euros, retirés en liquide depuis un autre compte, ont pu alimenter la campagne, selon le Parquet national financier (PNF).
Or pour l'avocat, Ziad Takieddine a "systématiquement utilisé cet argent pour ses dépenses personnelles", dans des "factures et notes faramineuses dans des hôtels de luxe", des "croisières en yacht" ou encore des "travaux dans des villas".
Et concernant les 440'000 euros virés à l'ancien ami de Nicolas Sarkozy, Thierry Gaubert ? Me Gautier assure que ce dernier n'a retiré que "100'000 euros sur la période, dans une constante parfaitement similaire à ce qu'il faisait avant et après".
Quant au second canal de financement, qui serait passé par le directeur de cabinet de Kadhafi, Bechir Saleh, et Alexandre Djouhri, "cela n'a aucun sens" pour le conseil, en particulier car l'intermédiaire était un proche de Dominique de Villepin, alors "grand rival de Nicolas Sarkozy" qui n'aurait pas manqué de faire fuiter l'information.
Il soutient aussi que les sommes retrouvées dans la campagne en France, "infimes", sont "incompatibles avec des sommes d'origine libyenne". "Comment se fait-il qu'en 18 ans, dont 15 ans d'enquête ultra-médiatisée, il n'y a pas eu un seul prestataire de campagne qui soit venu corroborer cette thèse ?", lance-t-il.
Le 27 mars, le PNF a requis sept ans d'emprisonnement, 300'000 euros d'amende et cinq ans d'inéligibilité contre Nicolas Sarkozy.
Afin de "satisfaire ses ambitions politiques dévorantes", l'ancien locataire de l'Elysée a noué "un pacte de corruption faustien avec un des dictateurs les plus infréquentables de ces 30 dernières années", ont déclaré les procureurs.
Définitivement condamné à un an de prison ferme pour corruption et trafic d'influence dans l'affaire dite des écoutes ou Bismuth, M. Sarkozy s'est vu poser le 7 février un bracelet électronique.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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